AUTOBIOGONIE
Un jour, j’apparus dans un petit pavillon en aval marnien, et déjà mes avatars se préparaient, se préparaient à se manifester eux aussi au fil des zones post-fictionnelles, tel le Transvivant issu d’une chute préalable à son réapprentissage physique, comme une mutation laborieuse, malgré et avec le cocon de pourrissement psychique où je marinais.
Puis, et en même temps, il y eut le Quasiparalytique qui laissera place à Béquille-man, le futur errant… Tandis que Big-Dingue big-banguait en tant que pseudo-cyborg avec son matériel neuro-spinal. Soudain, se forma l’image de mon film d’enculé ; « Le petit parigot chez les sales ploucs » dans lequel le héros déserta leur catéchisme de cons pour pouvoir regarder tranquillement les épisodes de Geulderak, et il délaissa les parties menteuses des manuels épiscolaires pour mieux s’imbiber tel un alcololo de Strangetés. Alors que pendant ce temps ou presque, quant à l’Amant miniature, il faisait des siennes au Soleil Océanien près des caravanes-men… il y revint en s’étant fait payer au préalable, ses services essentiellement musculaires, en Bon-points.
Après et avant la période longuement brève passée de l’Au-dehors à l’En-dedans de l’hostopsy… je précise que dans la zone post-fictionnelle la narration linéaire n’a pas lieu d’être, alors ne la cherchez pas ici. Mais primordiale fut la rencontre avec le Godmichel, souverain d’Utopsya, grâce auquel furent canalisées nombre d’hallunivisions, quand d’autres, elles, prirent l’aspect imaginatique. Telles celles de l’expo de la Cité du Pont ou cette autre du Fort de l’Art, et en outre, évoquons l’école pourrie des Corps Bizarres… Ah ! Pauv’ Joilie la Rousse… Par-delà les échecs, il y aura eu la victoire offerte par l’entité de la Lune à femme, à l’occasion de laquelle passa même sur les ondes de Fr3TV Ile française le dessin que produisit Big Bar Bu, à l’encre chinetoque, en collaboration ultra-rapide avec un schizozo sympa…
Entre autres sécrétions artistiques, furent celles de l’atelier de la Belle Homonyme ou le poème satirico-épistolaire pour la reine d’un monde théâtral… suite à la réinitialisation mentale… et puis, le chambardement tueur d’artistes vit le jour…
Et ensuite, par exemple, la Connasse au Chapeau supprima la publication dans la Blatte… mais heureusement, avec quelques multitudes éditées, le coup de main du génie Bi-Paul fut le bienvenu, jusqu’au plaisir du Doute avec une vision de Poétesse etc. car en fait, cette mort était sans fin.
Un jour, j’apparus dans un petit pavillon en aval marnien, et déjà mes avatars se préparaient, se préparaient à se manifester eux aussi au fil des zones post-fictionnelles, tel le Transvivant issu d’une chute préalable à son réapprentissage physique, comme une mutation laborieuse, malgré et avec le cocon de pourrissement psychique où je marinais.
Puis, et en même temps, il y eut le Quasiparalytique qui laissera place à Béquille-man, le futur errant… Tandis que Big-Dingue big-banguait en tant que pseudo-cyborg avec son matériel neuro-spinal. Soudain, se forma l’image de mon film d’enculé ; « Le petit parigot chez les sales ploucs » dans lequel le héros déserta leur catéchisme de cons pour pouvoir regarder tranquillement les épisodes de Geulderak, et il délaissa les parties menteuses des manuels épiscolaires pour mieux s’imbiber tel un alcololo de Strangetés. Alors que pendant ce temps ou presque, quant à l’Amant miniature, il faisait des siennes au Soleil Océanien près des caravanes-men… il y revint en s’étant fait payer au préalable, ses services essentiellement musculaires, en Bon-points.
Après et avant la période longuement brève passée de l’Au-dehors à l’En-dedans de l’hostopsy… je précise que dans la zone post-fictionnelle la narration linéaire n’a pas lieu d’être, alors ne la cherchez pas ici. Mais primordiale fut la rencontre avec le Godmichel, souverain d’Utopsya, grâce auquel furent canalisées nombre d’hallunivisions, quand d’autres, elles, prirent l’aspect imaginatique. Telles celles de l’expo de la Cité du Pont ou cette autre du Fort de l’Art, et en outre, évoquons l’école pourrie des Corps Bizarres… Ah ! Pauv’ Joilie la Rousse… Par-delà les échecs, il y aura eu la victoire offerte par l’entité de la Lune à femme, à l’occasion de laquelle passa même sur les ondes de Fr3TV Ile française le dessin que produisit Big Bar Bu, à l’encre chinetoque, en collaboration ultra-rapide avec un schizozo sympa…
Entre autres sécrétions artistiques, furent celles de l’atelier de la Belle Homonyme ou le poème satirico-épistolaire pour la reine d’un monde théâtral… suite à la réinitialisation mentale… et puis, le chambardement tueur d’artistes vit le jour…
Et ensuite, par exemple, la Connasse au Chapeau supprima la publication dans la Blatte… mais heureusement, avec quelques multitudes éditées, le coup de main du génie Bi-Paul fut le bienvenu, jusqu’au plaisir du Doute avec une vision de Poétesse etc. car en fait, cette mort était sans fin.