AUTOBIOGONIE

Le 25/06/2017
-
par pascal dandois
-
Thèmes / Fight / Critiques de sites
On connaissait le mystérieux phénomène de "Déjà Vu". Pascal Dandois nous révèle l'existence du moins connu et tout aussi étrange "Déjà Lu". Et j'invite les conspirationnistes et ceux qui croient que la vérité est ailleurs à suivre ce lien http://www.lazone.org/articles/2914.html et à lire la dernière partie du texte. Il semblerait que seul un nouveau paragraphe ait été ajouté, sans doute une mise à jour de l'oeuvre et la biographie dandoyenne, ce qui expliquerait bien des choses et entre autres, la disparition de l'auteur de notre site chéri, ces dernières semaines. De toute évidence, Pascalou nous a fait des infidélités avec la revue http://www.lecafardheretique.fr/ et bien mal lui en a pris puisque le voila qui revient en boitant et saignant de l'anus sur la Zone et qu'il s'arroge une cryptotribune et règle lapidairement ses comptes avec la dite revue. Comme on est pour la paix des ménages et les unions libres, qu'encore heureux, les zonards peuvent fricoter ailleurs si ça les démange, et que, cerise sur le gâteau, la boite de prod de feu Delarue souhaite racheter les actions de notre holding, on invite tous les protagonistes à s'expliquer cordialement dans le ring ouvert des commentaires de ce texte, se tirer les cheveux en lavant leur linge sale en public, voire les poils pubiens et se crêper le chignon du cul, car c'est encore mieux pour l'audimat.
AUTOBIOGONIE

Un jour, j’apparus dans un petit pavillon en aval marnien, et déjà mes avatars se préparaient, se préparaient à se manifester eux aussi au fil des zones post-fictionnelles, tel le Transvivant issu d’une chute préalable à son réapprentissage physique, comme une mutation laborieuse, malgré et avec le cocon de pourrissement psychique où je marinais.
Puis, et en même temps, il y eut le Quasiparalytique qui laissera place à Béquille-man, le futur errant… Tandis que Big-Dingue big-banguait en tant que pseudo-cyborg avec son matériel neuro-spinal. Soudain, se forma l’image de mon film d’enculé ; « Le petit parigot chez les sales ploucs » dans lequel le héros déserta leur catéchisme de cons pour pouvoir regarder tranquillement les épisodes de Geulderak, et il délaissa les parties menteuses des manuels épiscolaires pour mieux s’imbiber tel un alcololo de Strangetés. Alors que pendant ce temps ou presque, quant à l’Amant miniature, il faisait des siennes au Soleil Océanien près des caravanes-men… il y revint en s’étant fait payer au préalable, ses services essentiellement musculaires, en Bon-points.
Après et avant la période longuement brève passée de l’Au-dehors à l’En-dedans de l’hostopsy… je précise que dans la zone post-fictionnelle la narration linéaire n’a pas lieu d’être, alors ne la cherchez pas ici. Mais primordiale fut la rencontre avec le Godmichel, souverain d’Utopsya, grâce auquel furent canalisées nombre d’hallunivisions, quand d’autres, elles, prirent l’aspect imaginatique. Telles celles de l’expo de la Cité du Pont ou cette autre du Fort de l’Art, et en outre, évoquons l’école pourrie des Corps Bizarres… Ah ! Pauv’ Joilie la Rousse… Par-delà les échecs, il y aura eu la victoire offerte par l’entité de la Lune à femme, à l’occasion de laquelle passa même sur les ondes de Fr3TV Ile française le dessin que produisit Big Bar Bu, à l’encre chinetoque, en collaboration ultra-rapide avec un schizozo sympa…
Entre autres sécrétions artistiques, furent celles de l’atelier de la Belle Homonyme ou le poème satirico-épistolaire pour la reine d’un monde théâtral… suite à la réinitialisation mentale… et puis, le chambardement tueur d’artistes vit le jour…

Et ensuite, par exemple, la Connasse au Chapeau supprima la publication dans la Blatte… mais heureusement, avec quelques multitudes éditées, le coup de main du génie Bi-Paul fut le bienvenu, jusqu’au plaisir du Doute avec une vision de Poétesse etc. car en fait, cette mort était sans fin.