Jadis, si je me souviens bien,
Un beau soir, j'ai assis ta mère
Sur mes genoux - bouche légère,
Et gouleyante, sans tanin.
De nos bonheurs, l'on ne retient
Las ! que des bribes éphémères.
Depuis, j'endure une mégère
Et je dors du soir au matin.
Tôt ou tard, le printemps ramène
Ses chimères et ses Chimènes.
Il paraît que c'est hormonal.
Et l'on s'échine, et l'on ramone
Dans les draps d'une autre Simone.
Et l'on divorce. C'est fatal.
Un beau soir, j'ai assis ta mère
Sur mes genoux - bouche légère,
Et gouleyante, sans tanin.
De nos bonheurs, l'on ne retient
Las ! que des bribes éphémères.
Depuis, j'endure une mégère
Et je dors du soir au matin.
Tôt ou tard, le printemps ramène
Ses chimères et ses Chimènes.
Il paraît que c'est hormonal.
Et l'on s'échine, et l'on ramone
Dans les draps d'une autre Simone.
Et l'on divorce. C'est fatal.