Merde
Cela se peut-il ? Me demandai-je, tout en me retournant à grands pas vers la plage après m’être débarrassé d’elle. Cela se peut-il que cette femme agressive m’ait demandé de lui montrer ma bite (!) pour y découvrir je ne sais quelle preuve d’un forfait ? Lequel ? Je ne sais.
Cela se peut-il ? tout à l’heure, alors que je rentrais de la plage avec quelques camarades, ai-je vraiment suivi cette gamine, cette ado, qui venait de dire, à sa mère sans doute, qui venait de dire un peu ostensiblement je trouve, qu’elle allait aller faire ses besoins dans un coin du bois car ça urgeait trop. Ce peut-il que je l’aie alors suivis discrètement, très discrètement, jusqu’au détour d’un arbre ?
Ai-je vraiment attendu là qu’elle se déculotte et même qu’elle ait fini de faire caca pour profiter de la dilatation encore fraiche de son anus et l’enculer tout en la serrant fermement, et en lui parlant ? En lui disant des choses étranges pour la désorienter encore d’avantage, et la menacer, lui dire de ne surtout pas se retourner, « de ne pas me regarder, sinon… ». Alors que je déculais sans même jouir dans son cul, que je m’en allais vite, très vite derrière les broussailles et plus loin, non, elle ne m’avait pas regardé, jamais, pas même aperçut, « ni vu, ni connu » … Non, car ce n’était pas moi qui avais fait ça. D’ailleurs, tout cela n’était qu’un fantasme, un souvenir fabriqué, et il n’y aura pas le moindre flic pour m’attendre, nulle-part. Je n’ai rien fait, ce n’est pas moi, et de toute façon, l’océan dans lequel je suis en train de me baigner va, au cas où, faire disparaitre toute preuve s’il était besoin, laver toutes traces, toute trace de la merde de cette fille imaginaire qui aurait pu me salir le sexe.
Cela se peut-il ? Me demandai-je, tout en me retournant à grands pas vers la plage après m’être débarrassé d’elle. Cela se peut-il que cette femme agressive m’ait demandé de lui montrer ma bite (!) pour y découvrir je ne sais quelle preuve d’un forfait ? Lequel ? Je ne sais.
Cela se peut-il ? tout à l’heure, alors que je rentrais de la plage avec quelques camarades, ai-je vraiment suivi cette gamine, cette ado, qui venait de dire, à sa mère sans doute, qui venait de dire un peu ostensiblement je trouve, qu’elle allait aller faire ses besoins dans un coin du bois car ça urgeait trop. Ce peut-il que je l’aie alors suivis discrètement, très discrètement, jusqu’au détour d’un arbre ?
Ai-je vraiment attendu là qu’elle se déculotte et même qu’elle ait fini de faire caca pour profiter de la dilatation encore fraiche de son anus et l’enculer tout en la serrant fermement, et en lui parlant ? En lui disant des choses étranges pour la désorienter encore d’avantage, et la menacer, lui dire de ne surtout pas se retourner, « de ne pas me regarder, sinon… ». Alors que je déculais sans même jouir dans son cul, que je m’en allais vite, très vite derrière les broussailles et plus loin, non, elle ne m’avait pas regardé, jamais, pas même aperçut, « ni vu, ni connu » … Non, car ce n’était pas moi qui avais fait ça. D’ailleurs, tout cela n’était qu’un fantasme, un souvenir fabriqué, et il n’y aura pas le moindre flic pour m’attendre, nulle-part. Je n’ai rien fait, ce n’est pas moi, et de toute façon, l’océan dans lequel je suis en train de me baigner va, au cas où, faire disparaitre toute preuve s’il était besoin, laver toutes traces, toute trace de la merde de cette fille imaginaire qui aurait pu me salir le sexe.