C'est l'histoire de Petit Ours Brun qui vient poster un texte sur la Zone en se disant qu'il aura toutes ses chances de remporter la Saint-Con s'il est le seul à participer.
Petit Ours Brun se balade par les prés et les bois de Bohème en écoutant du Smetana, car c'est un moldu moldave supporteur du Sparta Prague. Soudain, au détour d'un sentier qui bifurque vers des univers parallèles, il s'orthogonalise à force de s'étirer la nouille et débarque dans un monde où Nicolas Sirkis a renié ses origines moldues moldaves pour se rallier à la cause magyare et, sous le ridicule pseudonyme de Nicolas Sarkozy, s'est fait élire président de la République Française pour s'emparer de l'arme nucléaire et vitrifier Bucarest afin de s'assurer que Budapest demeure pour mille ans la capitale de l'industrie pornographique. Ou le contraire, on sait bien que tout le monde s'embrouille là-dessus, et surtout la princesse de Clèves.
Petit Ours Brun n'en croit pas ses yeux mal cousus. Ces millions de crétins font-ils exprès de ne pas reconnaître le chanteur d'Indochine ? Colère il est. Colchique dans les prés et les bois de Bohème, c'est la fin du Léthé, dont les eaux se jettent dans le Prout, de sombre et indélébile mémoire. Il va tous les niquer, ces bâtards de Magyars ignares. Vienne leur nuit, sonne leur heure.
Petit Ours Brun se lance en politique. Se fait téléporter - sans vortex - ministre de l'économie par un président intérimaire à la solde de tous contes. Et bardaf ! c'est l'embardée. Petit Ours Brun se retrouve président de la République, parce que sinon c'était la ligne Philippot du FN, et c'eût été mauvais pour la pension des vieux. Petit Ours Brun s'en fout. Il se fait livrer Nicolas Sarkozy, alias Nicolas Sirkis, et le président intérimaire dont tout le monde a oublié, le nom dans la cour de l'Élysée, et organise un barbecue géant. Il remporte la Saint-Con et fait triompher les saines valeurs moldo-valaques non négotiables. Dans ton cul, Aelez, c'est à chier. Vive l'Éthiopie.
Petit Ours Brun n'en croit pas ses yeux mal cousus. Ces millions de crétins font-ils exprès de ne pas reconnaître le chanteur d'Indochine ? Colère il est. Colchique dans les prés et les bois de Bohème, c'est la fin du Léthé, dont les eaux se jettent dans le Prout, de sombre et indélébile mémoire. Il va tous les niquer, ces bâtards de Magyars ignares. Vienne leur nuit, sonne leur heure.
Petit Ours Brun se lance en politique. Se fait téléporter - sans vortex - ministre de l'économie par un président intérimaire à la solde de tous contes. Et bardaf ! c'est l'embardée. Petit Ours Brun se retrouve président de la République, parce que sinon c'était la ligne Philippot du FN, et c'eût été mauvais pour la pension des vieux. Petit Ours Brun s'en fout. Il se fait livrer Nicolas Sarkozy, alias Nicolas Sirkis, et le président intérimaire dont tout le monde a oublié, le nom dans la cour de l'Élysée, et organise un barbecue géant. Il remporte la Saint-Con et fait triompher les saines valeurs moldo-valaques non négotiables. Dans ton cul, Aelez, c'est à chier. Vive l'Éthiopie.