Je suis un con
Comme les gentilshommes je ne me salis guère que de ce que je mange, mes mains resteront propres et je ne peux porter la main sur moi que par celle d'un autre. Ainsi j'invoque la racaille, les vautours et tous les diables de mon entourage. Brûlez moi s'il vous plais.
Ces trois lignes suffisent à dépeindre le con qui m'anime. Ne le manquez pas.
Le con à forme de cône porte un petit chapeau ridicule qu'il soulève lorsqu'il croise une dame. Sous sa jupe elle aussi évasée, il y a un con profond d'où sortent les petits. Dans le ventre de cette jarre ils sommeillent et maturent, Puis par le goulot et dans la douleur ils sortent homme. Ensuite c'est par ses seins que la conne l'abreuve.
Je suis pour un calendrier Connien, brûlez moi s'il vous plais, à la saint Con.
Si je me fais plus bête que je ne suis, c'est uniquement que la connerie est la souche de la vie, c'est donc au nom d'un savoir inégalable et tout bien pénétrable, que je me fais idiot, inculte. Mes mots mal-choisis et contradictoires sauront trouver par leur pioche et leur lutte le chemin du con sous-terrain. Tout cela fait beaucoup de cons, c'est une répétition, je suis de l'école de Ford et de la nature, je pose un cierge. Merci de me brûler.
Mais n'êtes vous pas aussi de ces gentilshommes dont les mains gantés ou en poche ne se saliront point. Alors si tous ainsi n'attaquent pas la chaire, j'ai bien peur qu'à la saint Con nous ne constations aucun mort, mais un torrent d'idiot déversé sur la terre.
Et pour ce faire, car je suis partisan de l'opportunisme, et du moindre mal,
C'est parce que des fois le con n'a pas de raison de ne pas l'être, Ce serait lui faire offense que de vouloir donner raison à une phrase toute dénuée de sens, si ce n'est
O comme c'est bête.
Con con con con con con con con brûlez le, con co n con con con brûlez-moi.
À la saint Con s'il vous plais. Ou dès demain si besoin est.
Ces trois lignes suffisent à dépeindre le con qui m'anime. Ne le manquez pas.
Le con à forme de cône porte un petit chapeau ridicule qu'il soulève lorsqu'il croise une dame. Sous sa jupe elle aussi évasée, il y a un con profond d'où sortent les petits. Dans le ventre de cette jarre ils sommeillent et maturent, Puis par le goulot et dans la douleur ils sortent homme. Ensuite c'est par ses seins que la conne l'abreuve.
Je suis pour un calendrier Connien, brûlez moi s'il vous plais, à la saint Con.
Si je me fais plus bête que je ne suis, c'est uniquement que la connerie est la souche de la vie, c'est donc au nom d'un savoir inégalable et tout bien pénétrable, que je me fais idiot, inculte. Mes mots mal-choisis et contradictoires sauront trouver par leur pioche et leur lutte le chemin du con sous-terrain. Tout cela fait beaucoup de cons, c'est une répétition, je suis de l'école de Ford et de la nature, je pose un cierge. Merci de me brûler.
Mais n'êtes vous pas aussi de ces gentilshommes dont les mains gantés ou en poche ne se saliront point. Alors si tous ainsi n'attaquent pas la chaire, j'ai bien peur qu'à la saint Con nous ne constations aucun mort, mais un torrent d'idiot déversé sur la terre.
Et pour ce faire, car je suis partisan de l'opportunisme, et du moindre mal,
C'est parce que des fois le con n'a pas de raison de ne pas l'être, Ce serait lui faire offense que de vouloir donner raison à une phrase toute dénuée de sens, si ce n'est
O comme c'est bête.
Con con con con con con con con brûlez le, con co n con con con brûlez-moi.
À la saint Con s'il vous plais. Ou dès demain si besoin est.