La mère porteuse du Scarabée

Le 02/07/2021
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par Clacker
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Thèmes / Semaines Textes De Merde / Semaine 'textes de merde' 12
Pour cette 12ème semaine TDM, Clacker Delarose, BEST SELLING AUTHOR THIS YEAR IN USA, nous propose une romance paranormale qui vire en porno hardcore archétype du fantasme patriarcal de la femme seule dans la jungle au milieu d'hommes sauvages. De la bonne grosse daube qui place Clacker dans les favoris au poste de Grand Chambellan du prout.
Le Clan des Scarabées - La mère porteuse du Scarabée - Clacker Delarose

Une romance paranormale

BEST SELLING AUTHOR THIS YEAR IN USA
Moi je n'avais pas demandé ça. C'était difficile à croire, mais je n'y étais pour rien. Quand il m'avait regardée avec ses yeux, je me suis embrasée. J'avais chaud comme si on était brusquement en Juillet. Il portait un boxer noir et avait les jambes galbées. Je transpirais à grosses gouttes. Il avait un maillot de corps en matière flexible qui moulait ses abdominaux à la perfection. Je me consumais de partout.
Lui, c'est Ash. C'est un homme-scarabée. Le plus puissant de sa tribu. D'un claquement de doigt, tous les autres homme-scarabées se prosternaient devant lui. Il pouvait tout faire, avec n'importe qui, et avait une moto. C'était une Harley Davidson.

Ils m'ont capturée alors que je ramassais des morilles dans les bois de Cleveland. C'était un piège fabriqué dans un filet qui m'a fait basculer la tête en bas, pendue par les pieds à la branche d'un arbre centenaire extrêmement vieux. C'est alors que je les ai vus : les homme-scarabées. Ils étaient nombreux, une dizaine, mais il n'y avait pas toute la tribu. Ca, je ne le savais pas encore. Ils m'ont attachée sur un rondin de bois et, je sais que vous allez me prendre pour une folle, mais j'ai aimé ça. Ils m'ont traînée ainsi sur plusieurs kilomètres, j'avais les yeux bandés, je ne savais pas où j'étais. J'étais terrorisée et excitée en même temps. C'était la première fois qu'on me kidnappait.
Moi, c'est Jennifer au fait. Je suis une jeune fille comme les autres. Je suis entomologiste et j'aime le trampoline.
Après un temps infini, ils m'ont ôté le baîllon que j'avais sur les yeux et j'ai pu voir leur mode de vie. Mon esprit scientifique m'a fait comprendre qu'ils avaient adapté leur mode de vie à la forêt, et qu'ils étaient nomades. Ils dormaient dans des tentes décathlon et faisaient griller des saucisses sur un feu de camp. Ils étaient tous torse-nu et il n'y avait aucune femelle. J'ai appris avec surprise qu'ils parlaient anglais, comme moi. L'un deux, sans doute un delta, a demandé pourquoi on m'avait ramenée dans la tribu.
- Pourquoi avez-vous ramenée cette fille ici ? demanda-t-il.
Un autre delta lui a répondu qu'ils m'avaient trouvé dans le piège qu'ils avaient concoté la veille.
- On l'a trouvée dans le filet qu'on a posé hier.
Le premier delta a hôché la tête et fait signe qu'on me dépose près du feu de camp.
- Déposez-la près du foyer, dit-il.
J'étais toujours attachée, mais j'étais moins effrayée depuis que je savais qu'ils parlaient la même langue que moi. Peut-être pouvais-je négocier ma libération ? Quelles seraient leur conditions ? Me laisseraient-ils partir ? Qu'allaient-ils faire de moi ? Allaient-ils me faire du mal ? J'allais le savoir bien assez tôt.
- Il faut prévenir Ash, a dit un delta.
Les autres ont hôché la tête. C'est alors qu'un bruit de moto a retenti dans tout le campement. Le bruit s'est rapproché, et il bourdonnait de plus en plus fort. Soudain, la Harley Davidson est apparue derrière un arbre, et très vite elle est allée se positionner en plein centre du campement, près du feu de camp.
Le cavalier était vêtu de cuir qui lui moulait les jambes et les abdominaux. Il avait les jambes galbées et portait un casque avec une visière noire. Il est descendu de sa monture et a pointé un doigt dans ma direction, sans rien dire.
- Ceci est le produit de notre chasse, dit un delta.
J'ai deviné son regard sous la visière. Un regard insistant et troublant.
Puis il a désigné sa tente du doigt, et tous les autres homme-scarabées ont hôché la tête. L'un d'eux m'a soulevée et posée sur son épaule brutalement, avant de me faire traverser le campement. Je ne pouvais rien faire. Enfin, nous sommes entrés dans la tente, qui était bien plus grande que les autres. Il m'a déposée au sol sans rien dire.
- T'as pas intérêt à essayer de t'échapper, dit-il.
Puis il est sorti et je me suis retrouvée terriblement seule. Le temps m'a paru long. Alors que j'étais toujours ligotée, le motard en cuir noir est enfin entré dans la tente. J'étais allongée et sans défense. Il m'a tourné autour d'un pas lent. J'avais l'impression d'être devenue la proie d'une bête féroce, le festin d'un animal sauvage, le ver de terre convoité par la mouette rieuse. Finalement, il est allé s'asseoir sur une peau de bête. Je crois qu'il m'a regardée longuement, et je me suis presque sentie violée par cette insistance. Puis il a retiré son casque de moto, et j'ai vu son visage.

Sa beauté m'a transfigurée. Il avait les traits carrés, un menton proéminent, le nez busqué comme un aigle royal, et des sourcils broussailleux comme un balai-brosse. Il était terriblement ténébreux, et brun comme le charbon. Avec une barbe de trois jours parfaitement dessinée. Qu'allait-il me faire ? J'étais à sa merci.
Il a continué de me regarder, avec cette insistance sensuelle. Je ne savais plus quoi penser, et mes sens étaient en éveil. J'ai gigoté un peu en étouffant un soupir.
Ensuite il a dézippé son cuir de motard, lentement. J'ai pu voir qu'il portait un maillot de corps en matière flexible qui mettait en valeur ses abdominaux. Il était vraiment très musclé.
- Nous sommes des homme-scarabées, dit-il enfin. Sa voix était grave et profonde comme un puits sans fond qui regorge de trésors.
- Les nuits de pleine lune, nous nous transformons en scarabées. Telle est notre malediction.
Il avait un air peiné en disant cela. Il m'offrait un secret qu'il n'avait pu partager qu'avec ceux de son espèce.
- Tu as l'air d'une jeune femme intelligente, alors j'ai confiance en toi.
Cette subite confiance m'a rendue méfiante. Pourquoi moi ? Qu'avait-il vraiment en tête ?
- Je suis entomologiste, ai-je répondu malgré moi.
- Vraiment ? A-t-il demandé, avec beaucoup d'intérêt.
Il me scruta comme jamais. Peut-être essayait-il de déceler un mensonge sur mon visage.
- Alors, tu aimes les insectes ? demanda-t-il avec un intérêt grandissant.
J'ai hôché la tête en détournant le regard. C'était quelque chose que je n'avais jamais dit à personne. Ma passion pour les insectes remontait à la petite enfance. J'aimais les coccinelles et les fourmis, je les laissais monter sur mes mains, et elles me chatouillaient les bras en remontant jusque ma nuque, et ça me faisait frissonner. Je n'avais pas d'amis humains, j'aimais les insectes. Ils étaient vrais, ils ne mentaient jamais, ils me faisaient du bien. C'était mes amis.
- C'est rare, les jeunes femmes qui aiment les insectes. Surtout les jolies jeunes femmes, dit-il avec un regard pénétrant.
- Je ne sais pas ce que vous attendez de moi, mais je suis prête à vous aider, dis-je dans un souffle, pénétrée par son regard.
- C'est peut-être la providence qui t'envoie, dit-il, encore plus pénétrant. Et il a retiré son pantalon de cuir, laissant voir ses jambes galbées et le boxer qu'il portait. Le boxer était noir.
- La Prophétie parle d'une jeune fille qui viendra sur nos terres pour intercéder entre les hommes et les hommes-scarabées. Il est écrit qu'elle saura faire comprendre au monde des humains que nous ne leur voulons aucun mal, et que nous pouvons vivre en bonne entente. Pour prouver ses paroles, elle portera un enfant. Un enfant-scarabée né de l'union entre un homme-scarabée et une humaine. Elle sera la mère porteuse du Scarabée.
Je l'écoutais, les yeux brillants de larmes. Cette prophétie était bien trop belle pour être vraie. Pouvait-il s'agir de moi ? La prophétie ne mentionnait aucun trampoline.
- Qu'en penses-tu, belle humaine ? me demanda-t-il en se levant de sa peau de bête. Il se mit à me tourner autour, et ça me fit beaucoup d'effet.
Je ne savais que répondre. J'étais subjuguée.
La bosse dans son boxer se mit à bouger. Quelque chose prenait vie, là-dessous. J'osais à peine regarder. J'étais encore attachée, et mes tétons se durcirent brutalement. Je sentais des vagues de chaleur me parcourir le corps. Mon sexe se lubrifiait doucement.
- Je m'appelle Ash, au fait, dit-il en venant s'asseoir à mes côtés. Je pouvais sentir l'odeur de sa peau, encore mélangée au cuir qu'il portait pour faire de la moto. C'était terriblement excitant.
- Moi c'est Jennifer, glissai-je dans un souffle.
- Jennifer... veux-tu devenir la mère porteuse du Scarabée ?
- Oui, je le veux... dis-je, sans une hésitation.
Alors il commença a me déshabiller, me retirant ma longue jupe d'abord, puis mon chemisier à motifs hawaïens.
- Tu as un corps superbe, Jennifer, dit-il en me baisant la poitrine.
Moi je ne savais que dire, j'étais toute à lui. Je me consumais dans ses baisers, et j'avais terriblement chaud.
Il souffla sur mon téton gauche, et ça me fit frémir. Puis il déploya sa langue et, dans un mouvement rotatif, me lécha les seins. Je me courbais sous le plaisir déployé.
Enfin, il retira son boxer noir. Il avait une grosse érection, et son sexe était immense. On eût dit une tour de Babel, capable de communiquer et de bien s'entendre avec n'importe quel con.
- Lèche-moi le nombril, lui dis-je.
- Le nombril ? dit-il avec un sourcil haussé. Mais il s'exécuta, et ça me fit sauter au plafond - métaphoriquement, bien entendu, puisque j'étais attachée.
Puis il posa ses lèvres sur ma nuque, et, comme une ventouse, se mit à pomper ma peau en recrachant l'air par les narines. Ca créait des vibrations nouvelles dans mon oesophage, et me faisait beaucoup de bien. Mes cordes vocales vibraient sans que je les sollicite moi-même. Je stridulais des sons dignes du plus inspiré des grillons.
- Tu aimes quand je fais ça ? demanda-t-il en me malaxant les lobes d'oreilles.
Je ne pus même pas lui répondre, tant le plaisir était intense. J'étais toute à lui. Il me possédait.
- Et ça ? demanda-t-il en me léchant les sourcils. Il m'initiait à des pratiques que je n'aurais même pas imaginé dans mes plus sexuels fantasmes.
- Prends-moi par le cul, trouvai-je le courage d'ordonner.
Il retira sa langue de mon sourcil et me regarda avec un air interdit.
- Tu es sûre ? Es-tu suffisamment lubrifiée ?
- Je sue les chutes du Niagara par le vagin et j'ai le trou du cul transi comme le Finistère.
Alors il me retourna à l'horizontal, selon un angle aigu, et me fila des petites fessées comme si j'avais dix ans.
- T'es une mauvaise fille. Une mauvaise fille, et il me claquait le cul allégrement.
- Enfonce ton python préhistorique dans ma grotte de Lascaux ! hurlai-je, au bord de l'apoplexie.
- Tu l'auras voulue, putain d'entomologiste.
Alors je le sentis en moi. Il entra sans frapper, comme une foreuse dans une mine de calcaire, et son sexe immense fit des dégats collatéraux. Il me déchira le périnée en à peine trente secondes. Pour une excavation, c'en était une, et à la dynamite. Je hurlais mes grands dieux, mes ancêtres, et mes futurs enfants sur sept générations.
- Fais-moi mal, Ash, fais-moi encore plus mal !
- Je vais te briser en deux, Jennifer. Tu vas regretter d'avoir vu le jour entre les cuisses de ta salope de génitrice.
- Parle-moi mal, Ash, traumatise mon subconscient !
- Jennifer. Je suis ton père.
- NOOOOOOOON !
- Si. Maintenant, prends-la dans la bouche.
- Noooglourghhh !
Il m'enfonça son engin jusqu'à l'estomac. C'était douloureux et je m'étouffais. Mais c'était la noyade la plus plaisante qu'il m'ait été donné de vivre. Et pourtant, j'avais failli me noyer dans une piscine quand j'avais huit ans, et j'en gardais une phobie des plages où je n'avais pas pied. Par ailleurs, je sentais les veines de son sexe me chatouiller la glotte.
- Attends une seconde, Jennifer. C'est pas comme ça qu'on va te rendre enceinte. Tu veux pas que je te la mette dans le con, de manière classique ? C'est important, pour moi.
Je ne pus que hausser les épaules.
Il retira sa bite de ma gorge comme une épée d'un fourreau, et m'écarta les pattes avec ses muscles bandés.
Il tâta ma vulve avec sa grosse main, le temps de constater que j'étais littéralement en train d'exsuder toute la flotte de mon corps par la chatte.
- Okay, tu m'as l'air prête.
Un peu mon neveu.
Alors il m'a chopé les chevilles et a fait entrer sa bétonneuse dans le chantier qui me servait de sexe.
Il a pilloné un moment, et c'est ainsi qu'il m'a mise enceinte, et rendue handicapée motrice.