Le féminisme et la convergence des luttes

Le 11/07/2021
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par Félix
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Thèmes / Semaines Textes De Merde / Semaine 'textes de merde' 12
Alain Soral sors de ce corps ! Texte de merde rempli de fautes d'orthographe et d'accord de genre et de nombre probablement pour cacher ses desseins : créer la polémique. Il met dos à dos les luttes féministes, LGBT et immigration, sous un prétexte nationaliste débile, avec pour but de s'attaquer au capitalisme en nous montrant que la convergence des luttes est vaine et le sert. De la merde en barre donc, pratiquant raccourcis, contradictions, approximations et affirmations reposant sur du vent.
Texte légèrement provocatif ou du moins qui se veut honnête, sur la place de la femme et les incohérences de cette fameuse convergence des luttes qu'on nous vend à tout bras.
Le société occidental et capitaliste a sûrement joué l’une de ses meilleures cartes avec le féminisme postmoderne. Cette lutte sociétale historiquement promue pour accorder aux femmes les mêmes droits que leurs compatriotes hommes s'est vu détourner aux yeux de beaucoup de son but original. La seule égalité à vouloir est celle devant le droit et la justice. Une fois cette égalité atteinte, le reste n’est que vague caprice. Partant de ce principe, nous pouvons constater en toute honnêteté que l’égalité en droit entre les deux genres est en presque totalité établie et intégrée. Le droite de vote est accordé au femme. Le droit et maintenant même le devoir de travailler. Elles peuvent avoir un compte bancaire, conduire, rester célibataire, avorter ( sauf dans les pays les moins progressistes du bloc occidentale ). En bref, elles peuvent devenir indépendante, autonome et s’affranchir d’un modèle familial.
Malgré ça, les revendications persistent sous prétexte que rien n'est jamais acquis, qu’il faut continuer à se battre et nous voilà avec une vague de revendications supplémentaires. Il faudrait instaurer des quotas de parités, un plafond de verre serait présent pour les empêcher d'atteindre le pouvoir, le modèle patriarcat serait visible et présent chaque jour que ce soit au travail, dans la rue voire même en famille. Comme disait Freud : Que veulent-elles au juste ?
Nous arrivons maintenant au point le plus incohérent des luttes progressistes. La lutte intersectionnelle ou plutôt le combat de l'oppresseur contre les oppresseurs. Cette convergence des luttes à pour but de réunir toute les minorités opprimées. Problème premier. Dans les dites minorités se trouvent les femmes d’un côté et de l’autre les immigrés et musulmans. Féminisme dénoncent le patriarcat domination de l’homme sur la femme tandis que de l’autre coté nous avons des communautés qui sont encore dans un modèle patriarcat. Étant essentiellement de gauche, les féministes sont donc pour un monde sans frontière - salut du capitalisme … - ou on se doit d’accueillir les gens chez soi. N’y a t-il pas plus sucidaire que d’accueillir chez soi des communautés imposant dans une bonne partie du temps le voile au femme, qui pratique le mariage forcé sur des femmes mineurs, exision des femmes et la polygamie - qui plairait surement à quelque progressiste libertaire -. Nous pouvons donc voir lors de certaine manif des drapeau LGBT soutenant la Palestine et l’Islam.
Plutôt ironique quand on c’est que les orientations autres qu’hétéresexuelles sont soignés dans certains pays et qu’un homosexuel peut se faire coupé la tête sous prétexte d’être homosexuel. La liste des paradoxes est immense pour en citer encore un ou deux, les féministes et communautés LGBT se disent anti-capitalisme, or il prônent un monde ouvert et sans frontière. La mondialisation est roi, le libre échange règne et un monde ouvert est le salut du capitalisme qui n’a plus aucune limite. Autre incohérence. Sous prétexte de progrès sociaux, en promettant la PMA pour toutes et bientôt la GPA, se sont les labos et les grosses firmes médicales qui s'en mettent plein les poches. En plus de pratiquer et valider l’eugénisme, ses communautés vont accepter le fait qu’on marchandise un enfant juste pour l'égoïsme de certains. Le capitalisme servant avant tout à satisfaire les plaisirs individuels va se plier en quatre pour satisfaire cette nouvelle demande de consommation. Car n'oublions pas que, dans un monde capitaliste, tout se marchande.
Entre eugénisme, disparition officialisé du statut de père et marchandisation d’enfants, plus que changé la société, les progressistes changent la nature humaine dans ce qu’elle avait de plus sain. Bienvenue dans le meilleur des mondes ...