Dans un monde futuriste, où la morale était un concept obsolète, un jeune homme nommé Tom avait pris l'habitude de mener des farces sournoises. Sa dernière victime, une vieille dame en robe immaculée et chapeau de paille, avait été la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase. Les habitants de la petite ville, fatigués de ses blagues puériles, décidèrent de se mettre à sa poursuite.
Tom s'échappa dans les rues, mais les chasseurs se rapprochaient dangereusement. Il comprit qu'il était pris au piège lorsqu'il se retrouva acculé dans une ruelle obscure. Les voix hurlantes résonnaient dans ses oreilles, menaçant de le réduire en bouillie. C'est alors qu'un groupe de jeunes filles, armées d'un jerrycan rempli jusqu'à ras bord, se joignit à la chasse.
Les gouttes d'essence, telle une cascade froide et implacable, s'abattirent sur Tom, l'aspergeant de la tête aux pieds. Sa fierté éclaboussée, il comprit que sa quête incessante de divertissement avait des conséquences plus sombres qu'il ne l'avait imaginé. Les jeunes filles jetèrent une allumette sur le jeune homme qui flamba d'un seul coup. Les habitants, témoins de cette scène, acquiescèrent silencieusement, sachant que cet événement aurait un impact durable sur la psyché de Tom et peut-être même sur leur propre façon de vivre.
En fin de compte, l'histoire du jerrycan, bien qu'apparemment anodine, était devenue une parabole sur la fragilité de l'humain face à ses propres instincts et sur la nécessité de respecter les autres pour être respecté en retour.
Les gouttes d'essence, telle une cascade froide et implacable, s'abattirent sur Tom, l'aspergeant de la tête aux pieds. Sa fierté éclaboussée, il comprit que sa quête incessante de divertissement avait des conséquences plus sombres qu'il ne l'avait imaginé. Les jeunes filles jetèrent une allumette sur le jeune homme qui flamba d'un seul coup. Les habitants, témoins de cette scène, acquiescèrent silencieusement, sachant que cet événement aurait un impact durable sur la psyché de Tom et peut-être même sur leur propre façon de vivre.
En fin de compte, l'histoire du jerrycan, bien qu'apparemment anodine, était devenue une parabole sur la fragilité de l'humain face à ses propres instincts et sur la nécessité de respecter les autres pour être respecté en retour.