Je suis Zia Gouri, une punk folle, HP, droguée, et je me tiens debout face à la fenêtre de mon squat. La ville s'étale sous mes yeux, un labyrinthe de néons et de béton. J'en ai marre... Marre de ces adolescents attardés de cinquante ans, de ces prolos incultes qui ont bouffé de la télé jusqu'à la nausée. Leur cerveau, vide comme un désert aride, n'a plus rien à offrir. Quinze ans d'âge mental, tout au plus. Ils ne pensent qu'au foot, au MMA, à Hanouna... Tout ce qui est bête et simple, avec une dose de méchanceté en prime.
Je me souviens de cette soirée, il y a quelques jours, où j'avais tenté de discuter avec eux. Leurs rires gras, leurs blagues lourdes, leurs opinions simplistes. Ils aimaient la guerre, ces imbéciles. La guerre, comme une série télévisée, comme un jeu vidéo. Ils ne comprenaient pas que la guerre, la vraie, celle qui se prépare à les dévorer, n'a rien de drôle.
Je décide de ne plus rester passive. Je me lève, je fais les cent pas dans ma chambre vide. Les murs nus, le silence pesant. Mais je ne peux plus rester là, à ruminer mes pensées. Je dois agir. Je me dirige vers mon bureau, j'allume mon ordinateur. Je commence à écrire, à filmer, à partager. Je dois essayer de les réveiller, de les sauver. Je dois continuer à militer, à influencer, à lutter.
Les mots se bousculent dans ma tête. Je parle de la guerre, de la bêtise, de l'ignorance. Je parle de l'humanité, de l'espoir, de la lutte. Je parle de tout ce que j'ai sur le cœur, de tout ce que je veux partager. Mes vidéos deviennent des cris de révolte, des appels à la réflexion. Je montre les rues sales, les gens hagards, les écrans partout. Je dénonce la télé, cette drogue moderne, qui anesthésie les cerveaux, qui les rend dociles.
Mais je sais que c'est peine perdue. Leur cerveau est vide, leur âme est morte. Ils ne veulent pas entendre, ils ne veulent pas voir. Ils préfèrent se complaire dans leur ignorance, dans leur médiocrité. Ils préfèrent la guerre, la violence, la bêtise. Ils préfèrent Hanouna, le foot, le MMA. Alors je décide de frapper plus fort. J'organise des rassemblements, des discussions publiques, des ateliers de sensibilisation. Je veux les confronter à la réalité, à la vérité crue.
Je me tourne vers la fenêtre, je regarde la ville en contrebas. Les lumières scintillent, mais elles ne réchauffent pas. Je pense à ces gens, à ces adolescents attardés, à ces prolos incultes. Je pense à la guerre qui vient, qui va les dévorer. Je me demande s'il y a encore une chance de les sauver, de les réveiller.
Et je me dis qu'un jour, peut-être, quelqu'un m'écoutera. Quelqu'un comprendra. Quelqu'un se réveillera. Et peut-être, peut-être, que ce jour-là, le monde sera un peu moins désespéré. Un peu moins vide. Un peu moins bête. Un peu plus humain. Je continue à me battre, à agir, à espérer. Parce que c'est la seule chose qui me reste. Parce que c'est la seule chose qui vaut la peine.
Mais là, j'en ai assez. Assez de parler, assez d'écrire. Il est temps de passer à l'action. Je sors de mon squat, je descends dans la rue. Je prends une bombe de peinture et je commence à taguer les murs. Des messages crus, des vérités qui dérangent. "Réveillez-vous, bande de moutons !" "La guerre n'est pas un jeu !" "Hanouna, c'est de la merde !" Les passants me regardent, choqués, mais je m'en fous. Je continue, je tague, je crie ma révolte.
Je me dirige vers le centre-ville, là où les écrans géants diffusent leurs conneries. Je grimpe sur un banc, je sors un mégaphone. "Réveillez-vous, bordel ! Vous êtes en train de crever, et vous ne le voyez même pas ! Vous bouffez de la télé, vous bouffez de la merde, et vous trouvez ça normal ! Réveillez-vous avant qu'il ne soit trop tard !"
Les gens s'arrêtent, me regardent, certains rient, d'autres sont choqués. Mais je m'en fous. Je continue, je crie, je hurle ma révolte. Parce que c'est la seule chose qui me reste. Parce que c'est la seule chose qui vaut la peine. Et peut-être, peut-être, que quelqu'un m'écoutera. Quelqu'un comprendra. Quelqu'un se réveillera. Et peut-être, peut-être, que ce jour-là, le monde sera un peu moins désespéré. Un peu moins vide. Un peu moins bête. Un peu plus humain.
Je décide de ne plus rester passive. Je me lève, je fais les cent pas dans ma chambre vide. Les murs nus, le silence pesant. Mais je ne peux plus rester là, à ruminer mes pensées. Je dois agir. Je me dirige vers mon bureau, j'allume mon ordinateur. Je commence à écrire, à filmer, à partager. Je dois essayer de les réveiller, de les sauver. Je dois continuer à militer, à influencer, à lutter.
Les mots se bousculent dans ma tête. Je parle de la guerre, de la bêtise, de l'ignorance. Je parle de l'humanité, de l'espoir, de la lutte. Je parle de tout ce que j'ai sur le cœur, de tout ce que je veux partager. Mes vidéos deviennent des cris de révolte, des appels à la réflexion. Je montre les rues sales, les gens hagards, les écrans partout. Je dénonce la télé, cette drogue moderne, qui anesthésie les cerveaux, qui les rend dociles.
Mais je sais que c'est peine perdue. Leur cerveau est vide, leur âme est morte. Ils ne veulent pas entendre, ils ne veulent pas voir. Ils préfèrent se complaire dans leur ignorance, dans leur médiocrité. Ils préfèrent la guerre, la violence, la bêtise. Ils préfèrent Hanouna, le foot, le MMA. Alors je décide de frapper plus fort. J'organise des rassemblements, des discussions publiques, des ateliers de sensibilisation. Je veux les confronter à la réalité, à la vérité crue.
Je me tourne vers la fenêtre, je regarde la ville en contrebas. Les lumières scintillent, mais elles ne réchauffent pas. Je pense à ces gens, à ces adolescents attardés, à ces prolos incultes. Je pense à la guerre qui vient, qui va les dévorer. Je me demande s'il y a encore une chance de les sauver, de les réveiller.
Et je me dis qu'un jour, peut-être, quelqu'un m'écoutera. Quelqu'un comprendra. Quelqu'un se réveillera. Et peut-être, peut-être, que ce jour-là, le monde sera un peu moins désespéré. Un peu moins vide. Un peu moins bête. Un peu plus humain. Je continue à me battre, à agir, à espérer. Parce que c'est la seule chose qui me reste. Parce que c'est la seule chose qui vaut la peine.
Mais là, j'en ai assez. Assez de parler, assez d'écrire. Il est temps de passer à l'action. Je sors de mon squat, je descends dans la rue. Je prends une bombe de peinture et je commence à taguer les murs. Des messages crus, des vérités qui dérangent. "Réveillez-vous, bande de moutons !" "La guerre n'est pas un jeu !" "Hanouna, c'est de la merde !" Les passants me regardent, choqués, mais je m'en fous. Je continue, je tague, je crie ma révolte.
Je me dirige vers le centre-ville, là où les écrans géants diffusent leurs conneries. Je grimpe sur un banc, je sors un mégaphone. "Réveillez-vous, bordel ! Vous êtes en train de crever, et vous ne le voyez même pas ! Vous bouffez de la télé, vous bouffez de la merde, et vous trouvez ça normal ! Réveillez-vous avant qu'il ne soit trop tard !"
Les gens s'arrêtent, me regardent, certains rient, d'autres sont choqués. Mais je m'en fous. Je continue, je crie, je hurle ma révolte. Parce que c'est la seule chose qui me reste. Parce que c'est la seule chose qui vaut la peine. Et peut-être, peut-être, que quelqu'un m'écoutera. Quelqu'un comprendra. Quelqu'un se réveillera. Et peut-être, peut-être, que ce jour-là, le monde sera un peu moins désespéré. Un peu moins vide. Un peu moins bête. Un peu plus humain.