Ils dorment sur leurs grosses femmes.
On dit que bientôt les plages se recouvriront d'anthrax et que l'acide brûlera l'épiderme.
Les vieux hommes, plein d'huile solaire, ne bronzeront plus, avaleront des océans de déchets.
Les carcasses métalliques des manèges deviendront ruines et resteront comme vestiges des fêtes foraines de pacotille.
On dit que bientôt les plages se recouvriront d'anthrax et que l'acide brûlera l'épiderme.
Les vieux hommes, plein d'huile solaire, ne bronzeront plus, avaleront des océans de déchets.
Les carcasses métalliques des manèges deviendront ruines et resteront comme vestiges des fêtes foraines de pacotille.
Le sucre des barbes à papa collera sur les douches abandonnées des bords de plage.
Les manèges ne tourneront plus, les stands de tir seront poussière.
Et les touristes cons iront dépenser leur argent dans les sous-sols des grandes capitales.
Et ce sera beau tu verras.
Les bulldozers seront garés à l'ombre des sales pins parasols.
Les bulldozers resteront abandonnés sur les plages en béton, s’enfonceront dans la vase et le sable.
Les magasins en solde ne vendront que du vent, les zombies prendront le relais,
Et les gros hommes, s'endormiront dans leur monospace à essence.
Et le Dieu de la morve, sans cesse, nous bulldozer.
Les manèges ne tourneront plus, les stands de tir seront poussière.
Et les touristes cons iront dépenser leur argent dans les sous-sols des grandes capitales.
Et ce sera beau tu verras.
Les bulldozers seront garés à l'ombre des sales pins parasols.
Les bulldozers resteront abandonnés sur les plages en béton, s’enfonceront dans la vase et le sable.
Les magasins en solde ne vendront que du vent, les zombies prendront le relais,
Et les gros hommes, s'endormiront dans leur monospace à essence.
Et le Dieu de la morve, sans cesse, nous bulldozer.