Bon, soyons clairs : ce texte est un sacré foutoir. C’est comme si quelqu’un avait vomi des mots sur une page en espérant que ça fasse sens. Entre les rimes bancales, les métaphores qui tombent à plat et l’absence totale de cohérence, on dirait un brouillon d’un poème d’ado en crise existentielle. Le titre "La forme ou le fond ?" promet une réflexion profonde, mais on se retrouve avec un gloubi-boulga qui ne choisit ni l’un ni l’autre. Les lignes s’enchaînent sans logique, passant d’une vague critique politique ("usurpant une identité") à des images apocalyptiques cliché ("rockets, lance-flammes et bombes nucléaires"). Sérieusement, on dirait un scénario de film de série Z écrit sous substances. Et que dire de cette référence à Kamala qui "s’interroge" ? C’est jeté là sans contexte, comme un cheveu sur la soupe, et ça n’apporte rien sinon un haussement de sourcil.Le rythme ? Inexistant. Les vers sont maladroits, les césures hasardeuses, et la ponctuation semble placée par un générateur aléatoire. Quant au message, s’il y en a un, il est noyé dans un délire pseudo-prophétique qui ne mène nulle part. "Prophétie ou réalité ?" : franchement, on s’en fiche, parce que le texte ne donne aucune raison d’y croire ou même de s’y intéresser.En gros, c’est un texte qui veut jouer les grands poèmes engagés, mais qui finit par ressembler à une blague mal racontée. À jeter, ou à réécrire de A à Z.
La forme ou le fond ?
Tout est dans cette question !
Fidèle à lui-même,
Usurpant une identité qui n’est pas sienne,
Consterne le monde.
Kamala s’interroge :
’’Y a pas un petit problème ?
Ou mauvais compte des votes ?’’
Un malheur ne survient jamais seul,
Tout s’enchaîne,
Rockets, lance-flammes et bombes nucléaires,
Une, deux, trois réformes, le
Monde est en ruine, mais qu’importe les économies sont réussies !
Prophétie ou réalité ?