Insultes fertiles contre la Cacadémie de la Zone

Le 28/09/2025
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par Mausel Crine
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Thèmes / Fight / Autofight
Cette critique de l’idée du "beau pour le beau" dénonce la superficialité des mots qui masquent un vide de sens et prône un travail acharné pour créer quelque chose d’authentique, à l’image de la langue vivante et libre de Rabelais. Il rejette les attentes de clarté imposées par une critique bourgeoise, préférant une expression brute, provocatrice et débordante d’insultes créatives pour défendre une langue vivante et non formatée. L’auteur se moque des prétentions littéraires creuses, valorisant une langue "monstrueuse" et multiforme qui reflète la réalité dans toute sa beauté et sa laideur. Il célèbre la liberté poétique, où le naturel et le poétique s’entrelacent pour créer une langue magique, à la fois muscle précis pour écrire et chanter. Enfin, il rejette les conventions littéraires maniérées, comparées à l’esthétique surannée d’un Bouguereau, pour revendiquer une nudité authentique et sans artifices. Par ailleurs, ce texte s'adresse à une prétendue Académie de la Zone qui n'existe que dans les fantasmes de l'auteur, qui ce voit seul contre tous, alors qu'il est tout autant un zonard que ceux qui critiquent ses textes.
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