Eeh oui, encore... 22 ans, et je boude avec ma frustration des défaites relationnelles avec mon ex. Adolescent en colère, tromperie, enfin bref. Le tout enrobé d'encore un peu (trop) de sucrerie. Allant de métaphores sans queues et encore moins de têtes, aux comparaisons feignantes, j'espère que ce texte pourra faire ressortir vos meilleurs roasts.
Il y a des yeux qui ne mentent pas
Il y a ceux qui
dans le bois de l'hiver
craquèlent comme le verre
Il y a ceux qui
lors des tempêtes d'éclairs
attisent les brasiers du tonnerre
Il y a ceux qui
dès lors qu'ils aiment
les milliards d'étoiles
dans le fond du regard
illuminent et éclairent dans le noir
Mais les vôtres
les vôtres sont ceux qui
trompent la lumière
trompent les éclairs
trompent les rêves
Non les vôtres
sont remplis de rancœur
il n'y fait pas bon d'y vivre
dans l'obscurité perverse de votre cœur
Vos yeux construisent et détruisent
les barrières des maux
Ils n'ont aucun besoin
si ce n'est de regarder
un feu s'éteindre
sans se soucier de le rallumer
regarder
la bougie se noyer dans sa propre cire
Il y a des yeux qui ne mentent pas
Et il y a les vôtres
Il y a ceux qui
dans le bois de l'hiver
craquèlent comme le verre
Il y a ceux qui
lors des tempêtes d'éclairs
attisent les brasiers du tonnerre
Il y a ceux qui
dès lors qu'ils aiment
les milliards d'étoiles
dans le fond du regard
illuminent et éclairent dans le noir
Mais les vôtres
les vôtres sont ceux qui
trompent la lumière
trompent les éclairs
trompent les rêves
Non les vôtres
sont remplis de rancœur
il n'y fait pas bon d'y vivre
dans l'obscurité perverse de votre cœur
Vos yeux construisent et détruisent
les barrières des maux
Ils n'ont aucun besoin
si ce n'est de regarder
un feu s'éteindre
sans se soucier de le rallumer
regarder
la bougie se noyer dans sa propre cire
Il y a des yeux qui ne mentent pas
Et il y a les vôtres