Bien que l'on émet l'hypothèse que l'homme ait socialement et culturellement évolué, la chose n'en est pas encore vérifiée. La culture reste toujours le bien d'une élite. Les prix des livres sont quelques fois hors de portée pour le premier péquenaud entrant dans une librairie. Ce qui attrait à la culture est socialement mal vu car dans ce cas on passe pour un "intello"… pour ceux ou celles qui ne sauraient pas, un intello est le pauvre crétin qui a oublié qu'il fallait paraître inculte… du coup, pendant une partie de son enfance et adolescence il sera montré du doigt et utilisé comme un vulgaire outil… plus tard on le rejettera car aux yeux des Blaireaux qui auront grandi (mais qui seront restés toujours aussi stupides) il sera trop pédant ou en d'autres terme "il s'la jouera grave sa race"… Donc il n'est pas bon vouloir lire, peindre, etc… et l'élite en bonne bergère qu'elle est s'occupe de cela… On peut donc se demander de quel manière les choses évolueront, est ce que le système sera celui que l'on trouve dans le livre farenheit 451? Ou dans celui de 1984? Qui sait…
23 Mars 3982 Cours d'histoire N° 6201589
L'époque des sévices a vu l'essor de nouvelles utopies. Chacune d'elles opte pour la théorie suivante : les années futures seront la consécration de l'évolution humaine. L'Homme devra avoir atteint un degrés de conscience supérieur. La réalité est autre : le fossé entre chaque individu se creuse plus profondément.
La modification du système de vie a été amorcé par une découverte fondamental : le changement du plomb en or. Tout le monde désormais le possède et plus rien en conséquence n'a de valeur fixée.
C'est alors que survient une guerre mondiale, celle des djeunzérebel. Un groupuscule de jeunes boutonneux branchés a décidé de refaire le monde à leur manière. L'ordre des djeunz prend une ampleur considérable. Qui aurait pu soupçonner que de jeunes léthargiques allaient faire baigner dans la torpeur tout un monde? Cette guerre est d'ordre psychologique et fait craquer nerveusement plus d'un jusqu'à ce que les boutonneux (c'était leur nom de guerre) gagnent.
De nouveaux règlements sont instaurés :
- S'habiller branché.
- Tout individu ayant en dessous de 10 ans et au-dessus de 25 ans doit vivre dans des zones aménagées à leur égard.
- L'écoles et autres institutions de ce type sont prohibées
- Les livres sont détruits sous peine de graves poursuites judiciaires
- Etc….
Le courant de pensées (si on peut appeler ça penser) de l'époque se résument de façon suivante: " Les livres sont sources de conflits et atrophient le cerveau. De plus la lecture est une perte de temps qui se fait au profit d'une vie sociale…"
C'est ainsi que des œuvres et des années de travaux de réflexion et d'imagination sont anéanties… Enfin pas totalement… un petit groupe de dissidents se transmettent le savoir et le goût pour la lecture et les choses.
Donc les années défilent encore, l'ordre des djeunzérebel est renversé par le groupe des dissidents qui a pris de l'ampleur… ceux-ci accédèrent au pouvoir.
Le bas peuple redécouvre ce qui avait été prohibé pendant d'aussi nombreuses années…. Seulement voilà, les écrivains sont une denrée rare à l'instar de leur production. La valeur des choses a été fixée sur des œuvres littéraires, seul les plus riches en possèdent. Cette élite se garde de transmettre leur savoir…
Cependant le peuple ne l'entend pas ainsi… et un groupe de rebelles attend dans l'ombre le bon moment pour frapper.
Mais cela est un autre d'histoire...
L'époque des sévices a vu l'essor de nouvelles utopies. Chacune d'elles opte pour la théorie suivante : les années futures seront la consécration de l'évolution humaine. L'Homme devra avoir atteint un degrés de conscience supérieur. La réalité est autre : le fossé entre chaque individu se creuse plus profondément.
La modification du système de vie a été amorcé par une découverte fondamental : le changement du plomb en or. Tout le monde désormais le possède et plus rien en conséquence n'a de valeur fixée.
C'est alors que survient une guerre mondiale, celle des djeunzérebel. Un groupuscule de jeunes boutonneux branchés a décidé de refaire le monde à leur manière. L'ordre des djeunz prend une ampleur considérable. Qui aurait pu soupçonner que de jeunes léthargiques allaient faire baigner dans la torpeur tout un monde? Cette guerre est d'ordre psychologique et fait craquer nerveusement plus d'un jusqu'à ce que les boutonneux (c'était leur nom de guerre) gagnent.
De nouveaux règlements sont instaurés :
- S'habiller branché.
- Tout individu ayant en dessous de 10 ans et au-dessus de 25 ans doit vivre dans des zones aménagées à leur égard.
- L'écoles et autres institutions de ce type sont prohibées
- Les livres sont détruits sous peine de graves poursuites judiciaires
- Etc….
Le courant de pensées (si on peut appeler ça penser) de l'époque se résument de façon suivante: " Les livres sont sources de conflits et atrophient le cerveau. De plus la lecture est une perte de temps qui se fait au profit d'une vie sociale…"
C'est ainsi que des œuvres et des années de travaux de réflexion et d'imagination sont anéanties… Enfin pas totalement… un petit groupe de dissidents se transmettent le savoir et le goût pour la lecture et les choses.
Donc les années défilent encore, l'ordre des djeunzérebel est renversé par le groupe des dissidents qui a pris de l'ampleur… ceux-ci accédèrent au pouvoir.
Le bas peuple redécouvre ce qui avait été prohibé pendant d'aussi nombreuses années…. Seulement voilà, les écrivains sont une denrée rare à l'instar de leur production. La valeur des choses a été fixée sur des œuvres littéraires, seul les plus riches en possèdent. Cette élite se garde de transmettre leur savoir…
Cependant le peuple ne l'entend pas ainsi… et un groupe de rebelles attend dans l'ombre le bon moment pour frapper.
Mais cela est un autre d'histoire...