La vie est faite de rencontres… et certaines marquent plus que d’autres.
Le commun des mortels semble vouloir désigner ces rencontres par des expressions comme « amour » ou « amitié ». Alors je voulais juste te remercier de n’être rien de tout cela.
Le commun des mortels semble vouloir désigner ces rencontres par des expressions comme « amour » ou « amitié ». Alors je voulais juste te remercier de n’être rien de tout cela.
Merci de ne rien connaître de moi, de mon passé, de ne m’avoir jamais dis ton nom, de ne m’avoir rien laissé entrevoir de toi.
Merci pour les promesses qui n’ont jamais et ne seront jamais faites, pour ne jamais m’avoir laissé entrevoir la prison de la fidélité, de ne m’avoir jamais promis que tu serais toujours là pour moi.
Merci de ne pas me désirer, de tous ces regards complices mais jamais ambigus, pour l’intimité d’une pensée et jamais celle d’un lit.
Merci pour nos ressemblances et pour l’inutilité du mot confiance.
Merci de me prouver par ton absence à quel point je ne suis plus seule.
Merci de ne pas être un ami, un amant, un confident, un père ni un frère.
Merci d’être toi.
Merci d’être nous.
Merci pour les promesses qui n’ont jamais et ne seront jamais faites, pour ne jamais m’avoir laissé entrevoir la prison de la fidélité, de ne m’avoir jamais promis que tu serais toujours là pour moi.
Merci de ne pas me désirer, de tous ces regards complices mais jamais ambigus, pour l’intimité d’une pensée et jamais celle d’un lit.
Merci pour nos ressemblances et pour l’inutilité du mot confiance.
Merci de me prouver par ton absence à quel point je ne suis plus seule.
Merci de ne pas être un ami, un amant, un confident, un père ni un frère.
Merci d’être toi.
Merci d’être nous.