Elle sort de chez elle toujours coquette, bien habillée, fraîche, pétillante et de bonne humeur.
A chaque fois qu’elle sort de chez elle, je suis encore à demi-consciente, mal habillée, le teint gris et quelques traces de mon oreiller persistent sur mon visage.
Elle a toujours le sourire le sourire facile et un mots doux à prononcer.
Moi, je suis encore à demi-consciente, le visage fermé et la voie rauque.
Nous descendons les escaliers ensemble et je n’ai pas envie de l’entendre… Elle m’agace avec ses bonnes manières.
Quand elle sort de chez elle, elle court toujours pour ne pas rater le dernier bus.
Moi, je traîne mes pieds sur le gravier, et je ne veux pas arriver y aller.
Mais cette fois-ci, pour je ne sais quelle raison, j’ai envie d’arriver à ce bus avant elle.
Elle court, elle court…
Je fais craquer les graviers…
Au milieu de la grande place, je sais qu’elle sera là avant moi.
« Mais tu penses réellement que tu m’auras ! Non, tu perdras, et je n’aurai plus cette impression d’infériorité, d’oppression.. »
Je n’ai pas le courage de marché si vite qu’elle. Mais elle ne m’échappera pas cette idiote !
Je m’arrête et je la vois s’éloigner.
Des arbres prêts du bus. Il sont si grand, j’ai du mal à voir la cime.
Je sens une chaleur intense dans mes mains, j’ai chaud, si chaud…
Mes yeux se remplissent de haine.
Le vent tourbillonne autour de moi, il siffle… Il siffle si fort que mes oreilles me font mal.
J’aimerai tant que cet arbre lui tombe dessus…
« Je t’aurais sale garce ! »
Mes mains me brûlent, j’essaie de les rafraîchir avec le vent.
« Mon dieu ! Que se passe-t-il ? »
Tout est passé très vite, elle n’a pas eut mal. Elle n’a même pas crier… je suis un peu déçût.
J’arrive près du bus, elle est par terre, allongée.
Moi ? je suis debout à côté d’elle.
« Alors, on a voulu se dépêcher pour avoir ce bus ? »
Je pointe mes mains vers la porte du bus…Elle s’ouvre.
Cette fois-ci je l’aurai ma place dans ce foutu bus !
Elle a toujours le sourire le sourire facile et un mots doux à prononcer.
Moi, je suis encore à demi-consciente, le visage fermé et la voie rauque.
Nous descendons les escaliers ensemble et je n’ai pas envie de l’entendre… Elle m’agace avec ses bonnes manières.
Quand elle sort de chez elle, elle court toujours pour ne pas rater le dernier bus.
Moi, je traîne mes pieds sur le gravier, et je ne veux pas arriver y aller.
Mais cette fois-ci, pour je ne sais quelle raison, j’ai envie d’arriver à ce bus avant elle.
Elle court, elle court…
Je fais craquer les graviers…
Au milieu de la grande place, je sais qu’elle sera là avant moi.
« Mais tu penses réellement que tu m’auras ! Non, tu perdras, et je n’aurai plus cette impression d’infériorité, d’oppression.. »
Je n’ai pas le courage de marché si vite qu’elle. Mais elle ne m’échappera pas cette idiote !
Je m’arrête et je la vois s’éloigner.
Des arbres prêts du bus. Il sont si grand, j’ai du mal à voir la cime.
Je sens une chaleur intense dans mes mains, j’ai chaud, si chaud…
Mes yeux se remplissent de haine.
Le vent tourbillonne autour de moi, il siffle… Il siffle si fort que mes oreilles me font mal.
J’aimerai tant que cet arbre lui tombe dessus…
« Je t’aurais sale garce ! »
Mes mains me brûlent, j’essaie de les rafraîchir avec le vent.
« Mon dieu ! Que se passe-t-il ? »
Tout est passé très vite, elle n’a pas eut mal. Elle n’a même pas crier… je suis un peu déçût.
J’arrive près du bus, elle est par terre, allongée.
Moi ? je suis debout à côté d’elle.
« Alors, on a voulu se dépêcher pour avoir ce bus ? »
Je pointe mes mains vers la porte du bus…Elle s’ouvre.
Cette fois-ci je l’aurai ma place dans ce foutu bus !