Un soleil barbare mourrant, rouge comme le sang, darde encore ses derniers rayons sur une vaste plaine. Rouge, la plaine...Rouge comme la lumière du soir, sanguinolentes et Rouge, l'immonde charnier qui abreuve le sol de liquide vital.
Des monceaux de cadavres, Humains, Orc, Elfes et d'autres Créatures. Tous mortes. Terrassées par cette terrible bataille qui marquera cet âge de sa terrible violence...de son aura de mort et de désolation. Combien seront tombés la? Pour une cause... et quelle cause... La soif de domination d'un quelconque magicien... Quelle ironie.
Tous ennemis et pourtant tous frères dans cette obscurité finale. Pourtant tous la, sur le sol, unis dans leur dernière étreinte, serrés les uns sur les autres comme des amants s'étreignant tendrement. La mort les a réunis tous la… et la Mort contemple son oeuvre de désolation...
Comment cela a t’il pu arriver? Comment le monde a pu enfanter d'une telle horreur? En tout cas certains en profite... des charognards se régalent...picorant leur pitance…gobant un oeil, suçotant un coeur… ils ripaillent du malheur des autres... Ils sont toujours la, prêt à s'abreuver de cet immonde charnier qui jailli, généré par la haine... Et ils survivent toujours à toutes les batailles… attendant toujours leur heure... D'aucun pourraient penser qu'ils sont aussi la avant la bataille...
Un héro humain se relève. Chasse de la main un charognard... contemple le paysage... et vomis, vomis de la bile, durant de longues minutes il ne peut rien faire d'autre... comme pour se purger de cette violence qui l'a animé au coeur de la bataille, qui a guidé son esprit, son corps et son épée. Réalise et pleure... pleure ses amis comme ses ennemis... mon dieu cela est si vain? Pourquoi? Qu’avons nous gagné?
Une voix intérieure... une voix qu'il avait oublié, emporté par l'enthousiasme... la voix de sa conscience... Pour rien... cela n'a servi a rien... Contemple et bois jusqu'a la coupe ton infortune... On t'a dis de faire cela et tu l'as fait... tu t'es perdu pauvre de toi... Toi, un homme de bien tu as fait le mal... au nom de quoi? D’une religion, d'un gourou, d'une cause? Rien ne mérite la mort... qui est-tu pour décider de l'instant où un autre doit quitter ce monde?
Tous ennemis et pourtant tous frères dans cette obscurité finale. Pourtant tous la, sur le sol, unis dans leur dernière étreinte, serrés les uns sur les autres comme des amants s'étreignant tendrement. La mort les a réunis tous la… et la Mort contemple son oeuvre de désolation...
Comment cela a t’il pu arriver? Comment le monde a pu enfanter d'une telle horreur? En tout cas certains en profite... des charognards se régalent...picorant leur pitance…gobant un oeil, suçotant un coeur… ils ripaillent du malheur des autres... Ils sont toujours la, prêt à s'abreuver de cet immonde charnier qui jailli, généré par la haine... Et ils survivent toujours à toutes les batailles… attendant toujours leur heure... D'aucun pourraient penser qu'ils sont aussi la avant la bataille...
Un héro humain se relève. Chasse de la main un charognard... contemple le paysage... et vomis, vomis de la bile, durant de longues minutes il ne peut rien faire d'autre... comme pour se purger de cette violence qui l'a animé au coeur de la bataille, qui a guidé son esprit, son corps et son épée. Réalise et pleure... pleure ses amis comme ses ennemis... mon dieu cela est si vain? Pourquoi? Qu’avons nous gagné?
Une voix intérieure... une voix qu'il avait oublié, emporté par l'enthousiasme... la voix de sa conscience... Pour rien... cela n'a servi a rien... Contemple et bois jusqu'a la coupe ton infortune... On t'a dis de faire cela et tu l'as fait... tu t'es perdu pauvre de toi... Toi, un homme de bien tu as fait le mal... au nom de quoi? D’une religion, d'un gourou, d'une cause? Rien ne mérite la mort... qui est-tu pour décider de l'instant où un autre doit quitter ce monde?