Je te vise…. Toi. Je te pointe du doigts.
Je n’ai plus peur de te viser… ton cœur et de l’égratigner, de le racler avec mes ongles.
Ce n’est pas si jouissif, mais au moins tu cries.
Je n’ai plus peur de te pointer du doigts pour que tout le monde voit comme tu es moche, comme tu es puante.
Tu m’as chargé trop longtemps, tu m’as écrasé trop longtemps.
Je n’ai plus peur de te viser… ton cœur et de l’égratigner, de le racler avec mes ongles.
Ce n’est pas si jouissif, mais au moins tu cries.
Je n’ai plus peur de te pointer du doigts pour que tout le monde voit comme tu es moche, comme tu es puante.
Tu m’as chargé trop longtemps, tu m’as écrasé trop longtemps.
Ca y est, j’ai besoin de te faire mal comme tu me l’as fait. J’ai besoin de te faire voir le reflet de ce que tu m’as fait, de ce que tu as fait….
Tu riais bien de moi, tu criais bien de moi, tu ne pleurais jamais de moi.
Je n’ai rencontré de personne plus malade que toi, plus vicieuse que toi, plus malsaine que toi.
Tu m’as volé toute ma vie. En quelques secondes tu t’as injecté en moi, tu m’as rendu malade.
Tu m’as rendu comme ça.
Regarder moi un peu, n’ai pas peur, tu verras ce que tu as fait de moi.
Je n’ai plus peur de ta mort, alors regarde moi.
Tu ne vois rien hein ?
Tu ne vois pas de tâches, tu sais celle que tu ne peux enlever et que tu grattes jusqu’à suppuration, celle qui reste encrée en toi.
Non, je n’en ai pas…. Je n’en ai plus…
Non, tu ne vois pas….Tu ne vois plus…
Oui, je sais pourquoi tu t’étonnes des absences de tâche, de pue…
Tu as fini par m’avoir, saleté de maladie.
Mais ce que tu as oublié c’est qu’en quelques secondes tu as disparue.
Tu m’as donnée la mort et je t’en remercie…
Pourquoi cries-tu ? Oh ! je t’ai piqué ? Je sais mais, ne t’inquiètes pas, tu n’aura plus de tâches…
Tu riais bien de moi, tu criais bien de moi, tu ne pleurais jamais de moi.
Je n’ai rencontré de personne plus malade que toi, plus vicieuse que toi, plus malsaine que toi.
Tu m’as volé toute ma vie. En quelques secondes tu t’as injecté en moi, tu m’as rendu malade.
Tu m’as rendu comme ça.
Regarder moi un peu, n’ai pas peur, tu verras ce que tu as fait de moi.
Je n’ai plus peur de ta mort, alors regarde moi.
Tu ne vois rien hein ?
Tu ne vois pas de tâches, tu sais celle que tu ne peux enlever et que tu grattes jusqu’à suppuration, celle qui reste encrée en toi.
Non, je n’en ai pas…. Je n’en ai plus…
Non, tu ne vois pas….Tu ne vois plus…
Oui, je sais pourquoi tu t’étonnes des absences de tâche, de pue…
Tu as fini par m’avoir, saleté de maladie.
Mais ce que tu as oublié c’est qu’en quelques secondes tu as disparue.
Tu m’as donnée la mort et je t’en remercie…
Pourquoi cries-tu ? Oh ! je t’ai piqué ? Je sais mais, ne t’inquiètes pas, tu n’aura plus de tâches…