La passion de Bernard

Le 08/02/2004
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par Vassago
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Thèmes / Débile / Disjoncte
Le premier article de Vassago est l'exposé de la vie minable de Bernard le gros boulet. On a l'impression de se retrouver sur la homepage de base de n'importe quel benêt puceau et gentiment maniaque, le genre qui foisonne sur le net. Le type en question décrit en détail ses petites passions de merde et son emploi du temps à la minute près. Rien de bien affolant quoi, c'est plutôt marrant. Mais petit à petit on sent monter comme un truc qui déconne... Excellent, vraiment excellent. Bienvenue sur la Zone.
Venez vivre une journée avec Bernard L, et découvrir sa passion.
Bonjour. Permettez-moi de me présenter. Je m’appelle Bernard L. Je pourrais être votre voisin. Vous savez, le petit gros un peu chauve. Je travaille dans une compagnie d’assurance. Un emploi de bureau tout ce qu’il y a de plus banal. Mais bon, trêve de bavardage, mon propos n’est pas là.

Si je viens aujourd’hui sur ce site, c’est avant tout pour vous faire part de ma passion. Laissez moi vous décrire en quoi elle consiste. J’adore les animaux, et plus particulièrement les chiens. Le week-end je travaille comme bénévole dans l’antenne de la SPA de ma ville, et je crois que je peux me vanter d’y jouir d’une bonne réputation. Les gens m’apprécient parce que je suis simple et que j’aime le travail que j’y fais. Le contact avec les animaux, il n’y a que ca de vrai. Ils vous rendent votre amour au centuple, et sans discrimination ! Surtout les chiens, ces fidèles compagnons de l’homme depuis la nuit des temps. Excusez-moi, je m’égare un peu. J’ai toujours tendance a être volubile sur le sujet, et si je ne me reprenais pas je serais capable de vous faire une thèse sur le sujet ! ! !

Bon, je vais vous raconter un dimanche typique, comme ca vous comprendrez. Le matin, je me lève assez tôt, je n’aime pas trop trainer au lit, les jambes entortillées dans les draps, ca me gêne plutôt qu’autre chose… Donc en général je me lève vers 6H30, 6H45 je prends mon petit déjeuner, que des céréales, c’est bon pour le transit, 7H00 je suis sous la douche, 7H50 je suis propre, séché et habillé, je descends au garage et a 8H00 pile je quitte mon domicile, direction le chenil. Vers 8H30 j’arrive au chenil, la directrice, Marie, est déjà là, et j’arrive pile au bon moment pour l’aider à nettoyer les box et nourrir les animaux. Ca nous prend environ une heure, et à 9H30 on fait une petite pause café jusqu'à l’arrivée des premiers clients. On passe à peu près deux heures à essayer de placer des bêtes, et à 11H30 la plupart des gens sont repartis, alors on passe une demi-heure à faire les comptes. On a souvent des chiots que les gens nous apportent ou qui sont trouvés. Marie me dit souvent que je suis un saint parce que régulièrement j’emporte un de ces chiots chez moi, et je me charge de lui trouver un maître.

J’adore les chiots. C’est ma passion. Avoir un de ces chiots le dimanche après-midi avec moi est toujours un plaisir, j’adore leurs petites bouilles toutes rondes et leurs pattes chancelantes. Vers 12H00 je remonte donc dans ma voiture, direction la maison ! A 12H30 je suis de retour chez moi. Je m’accorde une petite demi-heure pour aller aux toilettes, et juste après je suis fin prêt pour la petite séance. A 13H00 précisément je me dirige vers la chaîne hi-fi, je mets un CD de Vivaldi, j’aime particulièrement le «concertos pour violon, violoncelles & cordes » orchestré par Christophe Coin. Je mets assez fort, j’aime bien la musique quand c’est fort, en plus ca a des avantages, ca couvre les bruits. De 13H02 à 13H07 je joue avec le chiot, je m’amuse à lui lancer une balle, ce genre de chose. A 13H08 je me lève, je me dirige vers la cuisine, je prends le couteau à pain, à 13H09 j’attrape le chiot par le cou et je lui ouvre le ventre avec le couteau à pain. J’aime bien le couteau a pain, ca tranche pas vraiment alors il faut faire comme avec une scie, des mouvements de va et vient. C’est là que ca fait le plus de bruit, parce que le chiot hurle un peu. Heureusement qu’il y a la musique pour couvrir, sinon les voisins pourraient se poser des questions. A 13H10 j’ai fini de lui ouvrir le ventre. Une minute pour faire ca, ca peut paraître long, mais j’aime prendre mon temps. A ce moment là le chiot vit encore, mais il ne bouge plus vraiment. Je lui donne un bisou sur la truffe pour le réconforter.

J’adore les chiots. Ah, j’avais oublié de préciser, je n’aime que les chiots mâles. C’est important pour la suite. Je ne fais pas une très grosse ouverture, juste de quoi passer quelques doigts. Il faut que je me dépêche tant qu’il est encore vivant. Je prends donc une fourchette et je me prépare pour la suite. Par la petite ouverture que j’ai faite je passe la fourchette et je farfouille un peu. J’en sort le gros intestin. Généralement c’est là que la majorité des chiots décèdent. Je reprends le couteau à pain et je coupe le pénis. A 13H15 j’ai fini cette besogne. Je pose le pénis et le gros intestin dans une assiette à coté. Je me dirige ensuite vers ma chambre pour prendre mon nécessaire a couture, et je recouds l’entaille que j’ai faite. A 13H20 j’ai terminé de recoudre. C’est alors que je vais chercher mon écarteur. J’en profite pour éteindre la musique. C’est un superbe outil tout en inox, avec trois pointes qui s’écartent quand on tourne une vis papillon. A 13H22 j’enfonce l’extracteur dans l’anus du chiot. Et je tourne. Tout doucement. Quand le premier craquement se fait entendre c’est plus fort que moi, je suis tout excité. J’adore le bruit des os qui craquent. Ca me rend fou. A partir de ce moment je ne peux plus attendre, je me mets à tourner de plus en plus vite, les os craquent de plus en plus jusqu’au moment ou ils finissent par tous céder. Je suis comme fou à ce moment ! Si je m’écoutais je finirais sur-le-champ, mais comme disait je ne sait plus qui, le plus important est de faire durer le plaisir. Je me relève donc et me dirige vers la table où j’avais posé l’assiette. Je prends le pénis et le coupe en deux, j’ouvre l’intestin et avec une petite cuillère je prends les matières fécales qui s’y trouve et en tartine le pénis. Un peu comme on ferait avec une banane au chocolat. Je referme le pénis. Il est alors 13H25.

Je me dirige ensuite vers le canapé, avec l’assiette dans une main, et le chiot tenu par l’extracteur de l’autre. Je pose l’assiette sur le canapé, le chiot à coté d’elle. Je me déshabille entièrement. En pliant bien mes vêtements. Je ne supporte pas que mes vêtements soient froissés. Il est 13H29. Je m’agenouille en face du canapé, prend le chiot et le coince entre deux coussins. 13H30. J’enlève l’extracteur. Le chiot à l’anus tout dilaté. Des gouttes de sang tombent par terre, mais ce n’est pas trop grave, tout le sol de mon salon est recouvert de sac poubelle. Il est 13H31. Il est très important pour moi de me concentrer à ce moment précis, car ce que je vais accomplir relève de l’exploit. A 13H32 je prends le pénis dans l’assiette et je me tiens paré. A 13H33 très précisément je pénètre le chiot tout en mordant dans le pénis. C’est un moment de pur bonheur, une joie ineffable se fait en moi. Je reste ainsi, les dents plantées dans le pénis, jusqu'à 13H35. A ce moment précis je commence un lent mouvement de va et vient avec mon bassin, et je mastique ma première bouchée. J’aime faire durer le plaisir. On sent les os du chiot qui bougent à l’intérieur. C’est très agréable.

C’est important de faire durer le plaisir. Il est 13H40 maintenant, j’ai mangé la moitié du pénis, j’accélère alors un peu le mouvement. Il est crucial que j’éjacule en même temps que j’avale la dernière bouchée. Mes battements de cœur s’accélèrent, je sens le sperme monter, je croque la dernière bouchée. Retiens-toi encore un peu Bernard. Ca y est, j’avale la dernière bouchée, le sperme jaillit. Je m’affale sur le chiot, épuisé et heureux. Je laisse alors mon esprit divaguer. Que de plaisirs réunis en une seule séance. J’ai encore réédité l’exploit d’être le seul homopédonécrozooscatophile cannibal de la planète.

Vivement dimanche prochain.