Conte de fées 6

Le 08/07/2002
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par Amanite
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Dossiers / Contes de fées
Blanche-neige partie en plein trip psychédélique et porno au sein d'une communauté hippie des années 70.
Il était une fois, dans les ALpes de Haute Provence, une communauté.
C'était une de ces communautés comme celles que l'on voyait tant fleurir dans les années 1970, peuplées de fous aux cheveux longs qui refaisaient le monde à coup de hasch.
Cette communauté possédai son chef, un fameux gourou nommé Gilles Leroi.
Leroi était un gourou pleinement épanoui, jusqu'au jour où sa tendre compagne mourru d'une indisgestion d'omelette aux psylos.
Toute la communauté fut frappée par la perte de cette femelle admirable.
Reine des Neiges (tel était son nom communautaire) était de ces concubines parfaites, toujours gaie, toujours stone, prête à partager ses rires, son corps et ses bédots avec tous.

Bref, tristesse et déprime s'emparèrent de Gilles Leroi et sa communauté fut plongée en des jours de deuil mémorable et dans le plus grand désarrois.

Gilles Leroi et Reine des Neiges avaient cepandant eu le temps d'avoir une enfant.
La môme avait 17 ans quand sa mère mourru. Cette enfant, ils l'avaient nommée Blanche Neige, en hommage à sa mère et tant sa beauté rayonnait!

Blanche Neige tentait du mieux qu'elle le pouvait de consoler son papa Leroi : elle allait cueillir les meilleures têtes de beuh, roulait des bédots-tulipes, glissait vers son tipi de jolies filles en leur demandant d'aller tailler une pipe à son pôpa malheureux, elle invitait des groupes pop connus à taper le boeuf....mais rien n'y faisait!
Papa Leroi était inconsolable!!!

Un jour qu'il méditait sur son trône de gourou, Leroi fut soudain frappé à l'esprit d'une grande lumière céleste. Il se tapa l'aura et dit : "Bon sang d'bédot, mais c'est bien sûr! Y me faut une gonzesse à tringler et ça ira mieux après!"

Or, en ce mois de juillet 1970, les routards et routardes affluaient à la divine communauté.
Leroi passait ses jours à reluquer en détails les nouvelles venues...

Un jour moins pire q'un autre, il apperçu LA GONZESSE !
Elle était pas mal roulée, avec de jolis nibbards qui dansaient nus sous sa tunique à fleurs ; sous sa jupe qui volait au vent d'été, ses jambes bien galbées promettaient un étau de choix à ses hanches lorsqu'il la prendait de son sexe affamé.
Il eu la gaule d'un coup d'un seul et couru vers elle pour se présenter.

La belle, flattée d'avoir de suite affaire au gourou, lui fit sourires et diverses cajôleries d'office.
Leroi retrouva la joie de vivre auprès de Reine, prénom que la donzelle avait adopté dans la communauté.

Mais un jour, Reine découvrit l'existence de Blanche Neige, fille adorée de Leroi et pour laquelle le gourou dépensait des sommes folles en poupées Barbie.
Reine entra dans une rage folle! De plus, cette mauviette était bien plus jolie qu'elle, bien plus jeune, et allait empocher un jour toute la fortune de son papa le gourou.

Reine échaffauda vite un plan d'enfer pour faire disparaître sa belle-fille.
Elle soudoya Jud, le meilleur ami de Leroi par quelques pipes bien lèchées et lui demanda d'emmener Blanche Neige en randonnée dans la montagne, jusqu'au refuge le plus éloigné.
Là, il avait pour mission de lui faire avaler 2 ou 3 yellow diamonds, variété de LSD aux vertues hallucinogènes démoniaques et de lui coller ainsi une bonne over dose qui la laisserait pour morte.

Jud parti un bon matin comme prévu, avec Blanche Neige. Mais la minette avait de jolis atouts et ses yeux de biche en chaleur firent craquer le bonhomme.
Jud arriva au refuge, baisa de son mieux la demoiselle, et, sous ses soupirs de contentement, il avala lui-même les 3 LSD mortels, sachant qu'il ne pourrait se présenter devant Reine avec un mensonge.

Blanche, une fois débarassée du cadavre encombrant, revint le soir même à la communauté.
Reine, la voyant revenir, seule de surcroît, failli s'étrangler avec la fumée de son schubang! Elle retourna aussitôt voir son dealer favori, l'engueula ferme, et lui demanda un bon petit buvard pour se remettre de ce terrible échec.
Les effets hallucinigènes ne tardèrent pas à se manifester au moent où Reine se retrouva dans sa chambre et devant sa psyché.
Là, horreur!!! Le miroir se mit à lui parler, et surtout à ricaner en se tordant de partout, déformant à qui mieux mieux le reflet de Reine en un sale boudin et en luis disant que Blanche Neige était la plus belle des nanas.

C'en était trop!Cette fois, Reine était bien décidée à en finir avec cette chaudasse de Blanche Neige. Cette fois, elle conduirait elle-même la môme dans la montagne.

Donc le lendemain, Blanche et Reine partirent pour une nouvelle randonnée.
Elles firent une pause déjeuner. Reine avait pris soin de cacher dans les petits spaces cake réservés pour le dessert, un énorme pink monster, LSD encore plus puissant que les précédents.
Blanche, belle blondasse mais bien niaise, n'y vit que du feu et avala en grosse goinfre le space cake que lui tendit Reine.
Prétextant une envie pressante, Reine s'éclipsa et profita de l'occasion
pour admirer la descente aux enfers de sa belle-fille. Puis, vite, elle se cassa à la communauté.

Blanche commençait à délirer sérieux quand survint un bouquetin...
La bête à cornes renifla le cul de Blanche Neige, en apprécia l'odeur légèrement marinée, la lècha histoire de goûter, puis, comme les chèvres se faisaient rares ces temps-ci, se dit qu'après tout, la minette ferait un subsitut acceptable.

Le bouquetin s'approcha de Blanche Neige qui cuvait son space cake affalée à plat ventre sur un rocher. Il releva sa jupette du bout du museau, glissa son membre entre les fesses charnues de la belle et se mit à la sodomiser vivement.
Blanche, surprise malgré son délire, fut si bien seccouée par les coups du bouc, qu'elle en cracha le pink monster resté coincé dans sa dent creuse!
Et du coup, son trip amorça une belle descente inattendue.
Quand elle réalisa que le bouquetin était vissé dans son arrière train, elle se mit à vociféré!!!....puis...mmmmmm!....tortilla de la croupe allègrement, car elle commençait à trouver ça rudement bon!
Blanche se dit que ma foi, une bonne enculade innopinée valait mieux que
d'avoir crevé.

Toute ragaillardie, Blanche Neige demanda à son sodomisateur s'il n'y avait pas dans la contrée un pti coin où se reposer de toutes ces émotions. Le bouc la conduisit alors à une petite masure non loin de là...
Blanche Neige ouvrit la porte d'un grand coup de latte : 3 chauves-souris s'enfuirent en maugréant après cette emmerdeuse qui venait de leur foutre un grand éclat de soleil dans leur paisible sommeil!
ça puait là dedans! Pouaaark! à gerber! Mais bon, n'ayant pas le choix de l'hôtel,Blanche entra...
Il n'y avait qu'une misérable table en bois au milieu de l'unique pièce au sol de terre battue. Mais, là, sur cette table, Blanche Neige n'en crut pas ses yeux !!!
Sur cette table infâme, trônaient 7 joints! OUI ! 7 joints tous plus beaux les uns que les autres, l'attendaient et la faisaient baver d'avance!
Chacun des cônes portait une étiquette : "herbe joyeuse", "herbe grincheuse", "herbe savante", etc...
Blanche Neige se dit qu'une seule chose ne restait plus qu'à faire: fumer les 7 joints!
Et c'est ce qu'elle fit.
"Ohlàlà! quel bonheur!" se dit-elle, après avoir tisé comme une damnée.
"Toujours ça que la viocque n'aura pas!"
Tiens...? elle était où la viocque au fait ?..
Là, Blanche Neige réalisa que la sale pouffe avait cherché à la faire crever avec ses spaces cake empoisonnés. Elle ne perdait rien pour attendre, la sale radasse!

Blanche Neige sorti de la cabane au fond des bois, siffla le bouquetin qui passait par là, et elle descendit de la montagne avec un chariot chargé de foin...

Arrivée à la communauté, Blanche se précipita dans le tipi de son père et lui raconta toute l'histoire et la cruauté cruelle de Reine. Le malheureux Leroi, encore sous l'emprise d'opium frelaté que Reine le forçait à fumer, se frotta l'aura et tomba dans un coma profond!

Devant son pauvre pôpa raide déf, Blanche dit : "t'en fais pas mon pôpa à moi! je vais aller de ce pas lui latter la tronche à cette connasse, et tu verras, on sera vengés!"

Blanche couru à la recherche de Reine, la trouva sous 3 jeunes puceaux qui essayaient leurs queues toutes neuves.
Elle l'attrapa Reine par la tignasse, lui colla deux mandales dans les dents et lui planta le manche de son narguilé dans les yeux!
Reine resta sur le carreau et toute la vermine ambulante de la région vint se régaler de son cadavre imbibé de fiel.

Et comme tout est bien qui fini bien, Blanche Neige convola en justes noces avec le bouquetin sodomisateur...