Jeune empereur devenu dément, despote parano menant une vie de debauche sans limite, qui a choisit d'éxiler l'essence de ses pensées morbides au sein du paradisaque enfer de la zone.
Tu as brisé mon cœur d’enfant ! Pourquoi agir de la sorte ?
N’ais-je point été bon descendant, pour ainsi me briser l’aorte ?
Qu’est-ce qui étais gênant, dans la merde qui nous escorte ?
Qu’y a-t-il dans l’air du temps pour maintenant fermer la porte ?
Je veux savoir ce qui t’a fait croire, qu’à jouer je t’autorisais,
Avec l’honneur et la mémoire, des choses qui m’animait.
Car, sans même le savoir, à présent voila que tu m’effraies,
Puisqu’à présent nos histoires prennent un bien tragique aspect !
Tu mènes une vie obscure, mais pas grâce à tes mœurs,
Mais du fait que sur ta figure, on peut entrevoir ta peur,
De perdre cette aventure, où à la fin tu meurs,
Ton apparence peu sure, te rend bien mauvais menteur.
Il me manque cet original ; qui autrefois nous a aimé,
Cet illustre si spécial ; qu’aujourd’hui je dois pleuré !
Il s’est muté en un animal ; qui ne pense qu’à exister,
Ne pensant qu’à son moral : une légende qu’il croit comblé !
Et pourtant, je l’aime, cette vie qui était dégueulasse !
Mais, il ne reste que moi blême, avec mon tourment qui se glace,
Voilà que s’allonge mon carême, alors que ton icône s’efface,
Que saigne ce poème ; que de ma dévotion reste une trace !
...Peut importe ton ascendance……Seul importe ta descendance...
N’ais-je point été bon descendant, pour ainsi me briser l’aorte ?
Qu’est-ce qui étais gênant, dans la merde qui nous escorte ?
Qu’y a-t-il dans l’air du temps pour maintenant fermer la porte ?
Je veux savoir ce qui t’a fait croire, qu’à jouer je t’autorisais,
Avec l’honneur et la mémoire, des choses qui m’animait.
Car, sans même le savoir, à présent voila que tu m’effraies,
Puisqu’à présent nos histoires prennent un bien tragique aspect !
Tu mènes une vie obscure, mais pas grâce à tes mœurs,
Mais du fait que sur ta figure, on peut entrevoir ta peur,
De perdre cette aventure, où à la fin tu meurs,
Ton apparence peu sure, te rend bien mauvais menteur.
Il me manque cet original ; qui autrefois nous a aimé,
Cet illustre si spécial ; qu’aujourd’hui je dois pleuré !
Il s’est muté en un animal ; qui ne pense qu’à exister,
Ne pensant qu’à son moral : une légende qu’il croit comblé !
Et pourtant, je l’aime, cette vie qui était dégueulasse !
Mais, il ne reste que moi blême, avec mon tourment qui se glace,
Voilà que s’allonge mon carême, alors que ton icône s’efface,
Que saigne ce poème ; que de ma dévotion reste une trace !
...Peut importe ton ascendance……Seul importe ta descendance...