L’amour rend fou

Le 02/09/2004
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par Le Duc
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Thèmes / Obscur / Nouvelles noires
Le Duc nous refait Carrie en version gore et (involontairement) stupide. On sent bien les efforts multiples pour faire de ce texte un truc qui tient la route, mais ça a tendance à aggraver le cas : les mots sont bien orthographiés mais pas à la bonne place, la réflexion sur l'ambiance et la psychologie est anéantie par une réalisation de chiottes, et le gore est même plus marrant tellement il pue le premier degré. Même le titre est digne de Johnny Hallyday. Va falloir abandonner toute ambition littéraire là, Duc.
Je suis un jeune homme de vingt quatre ans,
Je ne suis pas spécialement beau, ni spécialement moche. On ma toujours fait le reproche quand j’étais encore à l’école, de ne rien avoir à dire, d’être inintéressant.
Personne ne voulait me parler, car j’étais l’idiot de la classe, j’étais l’idiot parce que je ne riais pas aux blagues des autres, parce que je ne me m’étais pas, comme les autres à insulter la pauvre remplaçante qui débute dans son métier.
Aujourd’hui, au Mc Donald où je travail, on me fait les mêmes reproches entre autres celui de ne pas être intéressant.
Quel paradoxe, quand j’y pense, pour quelqu’un qui a toujours été insignifiant d’être aujourd’hui écouter par tant de monde.
C’est vrai que je ne parle pas beaucoup, c’est comme ça.. Je n’ai pas forcément envie de parler de la coiffure d’une tel, ou de remettre en cause l’intelligence d’un tel et je me soucie peu des histoires de couples des autres qui m’entours.
Donc c’est sûr que pour beaucoup de personnes quand on élimine les sujets de conversations que je viens de cité, il ne reste plus beaucoup de choses sur les qu’elles ont peu discuter.
On dit de moi que je suis un marginal, ce n’est pas faux. On dit aussi que je suis un « gogole » ou encore un « psychopathe ». Ceux qui dissent ça ne me connaissent pas, d’ailleurs personne ne me connaît vraiment ici.
Enfin bon, j’avais fini par m’y habituer, à ces petits rires camoufler, c’est commérages que l’on faisait plus ou moins discrètement sur ma personne.
Mais ce que j’appréciais moins, c’est quand on me prenait carrément pour un trisomique ou je ne sais quoi quand par exemple, on jeter sur moi sans que je m’y attende de l’huile sale, ou bien alors, quand je prenais mon repas les autres cracher dedans.
Cela avais fini par des insultes et on ne m’appeler plus par mon nom mais par toute sorte de surnom plus dégradants les uns que les autres.
Quand j’essayer de clarifier les choses ou de vouloir discuter généralement c’étais encore pire que auparavant.
Jusqu’ici, j’avais réussi à tenir le coup grâce à Emilie.
Emilie était belle, elle à un an de moins que moi. Elle est du 14 février, c’est un ange de l’amour tombé sur terre c’est cheveux sont blonds, elle à le tain mate et les yeux marrons. J’ai toujours adoré Emilie, je pense même que j’en étais amoureux, on est arrivé chez Mc Donald le même jour voilà de ça deux ans, elle ne me connaissait pas et je pense que c’est d’ailleurs pour ça quelle est venue me parler.
Même si on ne parler pas beaucoup une complicité c’était vite installer entre nous, j’aimais son sourire et ça façon de m’enlacer quand elle me faisait la bise. Le simple fait de parler d’elle et d’y repenser me donne des frissons et me tord l’estomac, je pense que c’est ce que l’on appelle l’amour, je n’avais jamais ressentis cela auparavant.
Ce qui à tout fais basculer, c’est quand Emilie à fêter son anniversaire, elle à inviter tous les employés du Mc do, à venir dans une soirée en boite de nuit. Personne ne voulait que je vienne mais Emilie a beaucoup insistait pour que je sois là ..
Elle est vraiment gentille avec moi.
C’été la première foi que je rentré dans une boite de nuit, la musique qui y passer été tous simplement atroce, je me rappelle la première chanson que j’ai entendu c’étais Claude François qui chanter Alexandrie.
On c’étais tous rassembler à une table privée, un serveur et venu nous apporter des boissons alcooliser dans un grand plat rempli de glaçons avec quelques bâtonner qui faisait des étincelles, c’est peut-être ceux qui à fais que je me suis « lâcher » pendant la soirée.
Comme tout le monde m’éviter et que j’étais seule dans mon coin, Emilie est venue me proposer de danser. J’en avais pas très envie car j’avais déjà beaucoup bu et en plus je ne savais pas danser, mais comme la musique qui passer étais un slow, je partis avec elle en direction de la piste de danse.
C’étais merveilleux, j’avais déjà rêver d’un tel moment, j’étais collé contre elle et je sentais son parfum m’envahir. Elle portait une de ces robe noir à décolleter ou son dos été dénudé et une mini jupe qui laisse deviner un porte jarreter. Je sentais sa poitrine ferme contre mon torse, j’avais trouvé mon point de gravité la tête calée sur son épaule, un grand vide et une grande sérénité s’installa en moi.
Pour la première foi de ma vie j’étais heureux.
Mais comme tous bonheur a une fin, le mien aller vite s’arrêter et d’une façons plutôt inconvenante ..
Emilie ne pu s'empecher de rire et me poussa au moment ou j’aller lui dire que je l’aimer en crian tout joyeusement « MAINTENANT » le DJ étais apparemment dans le coup ainsi que l’équipe toute entière de la boite de nuit car la musique s’arrêta et les spots m’éclairères et c’est alors que deux collègues à Emilie et moi à l’étage supérieur m’aspergèrent du contenu d’une bassine de gerbe et d'urine, qu'ils avaient remplie en la disposent dans les toilettes de la boite.
A ce moment là, tout aller au ralentit pour moi. Je voyais Emilie et tous les autres personne présente de la boite, mortes de rire.
Je n’entendais leur rire, plus quand bruit de fond, cacher par les battements de mon propre cœur, les battements été de plus en plus lents mais de plus en plus intenses je sentais les veines de mon coup les accompagner. Et c’est a ce moment là que j’ai attraper Emilie.
Je les projeter contre le mur qui étais à côté de nous je les saisie par les épaules et j’ai commencer à la secouer en lui demandant si elle étais consciente de se qu’elle venait de faire, que je pensé trouvé en elle quelqu'un qui me comprenne et qui m'accepte tel que je suis, mais non elle étais comme les autres, pendant tout se temps elle c'est moquer de moi.
Je la pousser contre le mur en y métant de plus en plus force, je voyais sa tête si fragile qui se cognait violemment contre, à chaque secousses je me sentais apaiser, apaiser d’une soif de tuer.
Apaiser oui, mais pas repus.
Au bout d’un court moment, je vis qu’elle n’était plus en vie .. En effet une longue marre de sang étais à mes pieds ainsi que contre le mur derrière son crâne explosé, sur le moment je m'en voulais d'avoir salie c'est jolie cheveux blonds avec son sang. Je les donc lâcher et à ma surprise, elle est rester debout incruster dans le mur je lui est murmurer un « je t’aime » c'étais les mots que je rêver de lui dire depuis deux ans.
J’étais comme déconnecter je n’étais plus énerver je n’avais plus la rage je ne ressentais même plus la moindre petite tristesse, j’étais vide, vide de toute émotions.
Je n’avais plus qu’une seule envie, une envie que je ne pouvais m’expliquer, une envie qui venais du plus profond de mon être. Tuer, tuer le maximum de personnes, n’on pas par vengeance, mais pour le simple plaisir et fait de tuer.
J'avais la haine de tout mes semblables.
Je ne suis pas un garçon spécialement fort, ni spécialement rapide.
Mais quand je me suis retourné face à la salle je découvris seulement alors que trois videur de la taille de trois gorilles essayaient désespérément de me maîtriser, soit, se seront eux les premiers.
Je pris la main du premier qui essayer de m’étrangler et d’un petit mouvement de mon poigner je la brisa, j’ai trouver cela très amusant et j’ai continuer mon geste jusqu'à voire son os de l’avant bras déchirer sa peau ce qui me fit éclater de rire. Lui, il crier comme un porc que l’on égorge.
Je pris son bras-moignon et je les enfoncer dans l’œil de son collègue qui lui essayer de me retenir par ma jambe gauche, j’attrapa le troisième à ma droite par le coup en le soulevant de terre et le serra si fort que l’on entendis toutes ces cervicales craquer les une après les autres.
Quand je vis du sang s’échapper de sa bouche, je les lâcher et il c’est effondrais par terre, le voir là gisant dans son sang, été bien plus que jouissif pourtant je ne le connaissais pas, mais qu'importe.
Lentement je me suis mis à relever la tête pour contempler la salle qui été stupéfaite de frayeur devant mes actes. Je ne comprends d’ailleurs toujours pas d’où m'est venue une telle force mais ce qui est sûr c’est qu’elle n’était pas encore partie tout comme mon envie de tuer n’était toujours pas rassasier.
Je me mis alors à sourire et c’est à se moment que tout le monde commença à fuir, ils fuyaient tous car ils avaient peur que je les tues, ce qui été tout à fais normal car c’est ce que j’aller faire. J’étais frustrait de voir que beaucoup s’entre-tuer en se piétinant pour rejoindre la sortie, moi j’avancer lentement, vers elle pour empêcher les gens de s’en aller, je n’en n’avais pas fini d’eux. Ceux qui se trouver sur mon passage je les tuais en leur rompant la colonne d’artébrale, ou bien en frappant suffisamment fort sur leurs visages qui se déformer instantanément sous l’effet du choc. Je me rappelle même d’un gars au crane rasé d’environ deux mètres qui me donner quelques coup au visage en criant que je ne lui fessais pas peur, j’ai bien rigoler quand je les frapper à mon tour et que j’ai vu c’est dents se détacher ainsi que l’os de son nez, qui lui à violemment remonter vers l’intérieur de son crâne jusqu'à en transpercer son cerveaux. Ahh oui c'été bien marrant.
J’ai continuer à tuer, tuer jusqu'à ce qu’il n’y est plus personne pour assouvir ma soif de meurtre et au petit matin quand je me suis réveiller j’étais dans une pièce blanche avec ces matelas au mur.
En tout cas, je suis content, maintenant j’ai de quoi parler. Regardez ça fais bien une heure que vous êtes là et que je parle et vous vous n’avez encore rien dis, je crois que je suis guéris, je ne suis plus « inintéressant » n’es ce pas ?
Vous ne vous sentez pas bien ?
Mais .. Mais pourquoi vous partez ? revenez voyons ! je ne vous est pas encore raconter comment je les est retenu enfermer dans la boite !
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c’est pourtant là où je me suis le plus amuser. Décidément ces jurés et ces journalistes, tous les mêmes.