Je devais enquêter sur un meurtre banal. Un homme était mort à la suite de blessures faites à l’aide d’un sabre ou quelque chose dans ce genre.
Seuls les indices étaient bizarres voire effrayants. Aux côtés de cet homme se trouvait la tête d’un autre homme et un masque à gaz marqué d’une croix gammée. Nous apprenions plus tard que l’homme à qui appartenait la tête se nommait Sergei Tatianochka et qu’il avait une femme encore en vie.
Nous allâmes l’interroger pour recueillir quelque information. Elle savait des choses mais la peur lui cousait les lèvres. Elle nous fit juste un dessin. Ou plus exactement une esquisse. Ça représentait une silhouette sombre habillée d’un grand manteau qui lui cachait les jambes. Il tenait un grand couteau, ou plutôt une machette. On aurait dit que la personne avait un masque à gaz sur le visage. Elle prit soudain un crayon rouge et dessina frénétiquement une croix gammée sur le front de la silhouette et fit deux énormes points rouges pour, sans doute, représenter les yeux de l’homme. Et elle cria tout à coup plusieurs fois des mots qui nous glacèrent le sang : « L’enfant du Diable ! L’enfant du Diable! ». Elle commença à pleurer et nous fit sortir.
C’était il y a une semaine. Mon équipier est mort de la même façon que l’homme de notre enquête.
Les obsèques sont finies. Je suis chez moi. La lumière ne s’allume pas. Je descends à la cave pour vérifier les fusibles. Je m’arrête. Dans le noir, deux points rouges lumineux me fixent…
Nous allâmes l’interroger pour recueillir quelque information. Elle savait des choses mais la peur lui cousait les lèvres. Elle nous fit juste un dessin. Ou plus exactement une esquisse. Ça représentait une silhouette sombre habillée d’un grand manteau qui lui cachait les jambes. Il tenait un grand couteau, ou plutôt une machette. On aurait dit que la personne avait un masque à gaz sur le visage. Elle prit soudain un crayon rouge et dessina frénétiquement une croix gammée sur le front de la silhouette et fit deux énormes points rouges pour, sans doute, représenter les yeux de l’homme. Et elle cria tout à coup plusieurs fois des mots qui nous glacèrent le sang : « L’enfant du Diable ! L’enfant du Diable! ». Elle commença à pleurer et nous fit sortir.
C’était il y a une semaine. Mon équipier est mort de la même façon que l’homme de notre enquête.
Les obsèques sont finies. Je suis chez moi. La lumière ne s’allume pas. Je descends à la cave pour vérifier les fusibles. Je m’arrête. Dans le noir, deux points rouges lumineux me fixent…