N° 903 047

Le 31/01/2005
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par Le Duc
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Thèmes / Polémique / Semaine 'textes de merde' 01
Après avoir tenté d'imiter le texte déconnant, la nouvelle horreur-gore puis la SF violente, Duc se met à la propagande nihiliste et l'exhortation agressive genre Bible du néant. Et comme d'hab ça foire : texte semi-lisible car criblé de fautes, clichés énormes qui le ferait aisément passer pour une parodie, manque d'intérêt global. Y a quand même du progrès, de ci de là, mais c'est pas encore ça, et on a pas encore dépassé le stade du pathétique.
Et si votre vie n’étais qu’un cauchemar, ou un rêve..
Et si toute votre existence n’était qu’un simple leurre ?
Dans votre vie, vous êtes né, fourmi parmi les fourmis.
Votre brève et pitoyable existence n’aura abouti à rien, cas vous reproduire tout au plus.
Vous ne laisserez pas de trace majeure.
Votre ambition essayera de faire de vous quelqu'un de fortuné et d’influant, vous y parviendrais peut être, au moyen d’on ne sait quels tricheries et impostures.
Pour vous donnez bonne conscience dans se monde abjecte dans lequel vous vivez, vous aiderez les plus pauvres en signant un chèque de temps en temps, si vous n’en faite pas parti.
Vous rencontrerez peut être un homme ou une femme dont vous tomberais amoureux, dépendamment de votre sexe et/ou de vos orientations sexuel qui dira vous aimer.
Et qui vous quittera en vous trompant et vous arnaquant quand vous aurez vécus dix années de votre vie avec il ou elle. A moins que ce ne soit vous.
Ce sera de toute façon mieux ainsi car cela calmera votre ulcère qui sera apparu toute au long de ses années de disputes.

Un jour, votre jour vous allez dans l’ordre logique des choses, mourir.
Et vous vous dites que c’est probablement ce qui vous arrivera de pire ou de mieux.

Vous vous réveillez un jour, agar, l’esprit mal lécher.
Vos yeux s’ouvrent d’un long sommeil qui à durer, dieu sait combien d’années.
Vous n’êtes plus qu’une ombre dans la vallée sinueuse de la mort, vous n’êtes qu’une fourmi dans le néant.
Vous chercher un repère, quelque chose, n’importe quoi qui vous paraîtra familier. Mais vous n’êtes plus, entouré que de brume.
Vous êtes là, assis, nu, sur un sol en béton qui s’étend vers l’infini recouvert de cette brume qui vous parait irréel car impalpable et immobile. Au dessus de vous s’étend un ciel noir, sans nuage ni étoile.
Il n’y à ni vent, ni bruit sauf celui de vos pieds nus, qui s’avancent sur le béton froid et sans vie.
Vous vous dites que vous rêver, mais non, vous n’avez jamais été aussi réveillé.
Vous êtes maintenant pris de panique vous courrez droit devant vous à la recherche d’une sortie, d’une lumière, de quelques chose.
Mais votre décor ne change pas.
Quand soudain, vous entendez un faible rire, féminin.
Vous cherchez du regard d’où à bien pus venir se rire, mais vous ne voyer rien, vous essayer donc de parler pour demander : qui est là ? Où êtes vous ?
Mais aucun sont ne sort de votre gorge, vous vous sentez étourdis par t’en de vide.
Vous transpirer.
Une ombre se dessine au loin devant vous, elle s’approche lentement.
Au fur et a mesure que l’ombre s’approche vous distinguer qu’il s’agit d’un être humain.
Vous essayer de marcher pour aller à sa rencontre, mais vos pieds son figer sur le béton.
Vous vous écroulez lamentablement.
L’ombre n’est plus qu’à quelques centaines de mètres de vous, mais quelque chose vous parait étrange en elle, vous ne voyez qu’une ombre et vous ne distingué pas d’être fais de chair et d’os. Son gabarie est trop maigre pour être celui d’un homme et trop grand et carré pour être celui d’une femme.
Vous fermer les yeux, en espérant vous réveiller dans votre lit quand vous les rouvriraient.
Vous êtes désemparé.
Vous rouvrez les yeux et la l’ombre est en face de vous, elle vous observe de tout son dédain, et vous l’observé en retour.
Il n’y à rien d’humain en elle.
Sa mâchoire s’ouvre laissant apparaître un souffle bleuté accompagné d’un long râle roque.
Une voie sinistre d'un thon ni masculin, ni féminin apparaît dans votre crâne et cette voie dit :

Qu’a tu appris numéro 903 047 ? Qu’a tu retenu de ton passage dans le monde putride d’où tu viens ? Tu n’as rien appris.
Tu vas recommencer.
Mais cette fois tu sera comme à l’accoutumé accompagné d’un handicap de plus.
Maintenant tu seras paraplégique et muet.

Vous êtes né, fourmi parmi les fourmis …
Bienvenu en enfer