Herméneutique.
Et les mots au hasard ne pourraient-ils pas être accompagnés de leur définition ou plus encore, afin que ton initiative se roule dans l'utile là où il est rejeté ? De cette manière, on pourrait enrichir nos vocabulaires de certains mots qui ne nous serviront jamais, ou nous pourrons par exemple nous lancer, un soir que l'on dîne chez mamie, dansun débat avec l'oncle Marcel concernant l'origine incertaine du mot "gouine".
Cuistre : Mec qui se la pète grave avec des mots savants et qui étale une culture générale approximative à grands coups de discours bruyants.
Courgette : cucurbitacée.
Au temps pour moi.
Correct ou pas ?
Bite : bite.
Mi j'aurais dit zboub, mais j'accepte l'existence d'écoles inférieures.
zboub : bite.
hypodraste: néologisme aléatoire.
Pâté : hihihi.
Citation de: _Strange_ le Janvier 21, 2009, 15:12:32
Pâté : hihihi.
ça marche aussi dans l'autre sens.
Ragondin : Glaüx
aboulie
Alors ça c'est bien comme mot. ABOULIE. HIHIHI. C'est merveilleux.
Capilotade : Ragoût. METTRE LA PÂTÉ.
déréliction
Difféomorphisme : bijection qui tourne et fait des bulles.
Polypepatéticienne: Avec ta mère, on en a plus que pour son argent.
Rhododendrer, verbe transitif
1 Provoquer un mouvement de foule glorieux, armé, victorieux, noble et en fracassant des têtes.
Citation : "Rhododendrons, mes frères, rhododendrons !" (Aristarque de Sesmorts à ses soldats)
2 S'acheminer d'un point A à un point B avec une armée sainte en détruisant tout.
Groquer : forme ancienne de rituel avant de boire son verre, qui consiste à beugler en tapant sur la tête de l'autre avec sa choppe. "Eh, Groquons ! **chbonk**"
Pharmacloper : Inhaler la fumée issue de la combustion de produits psychotropes à des fins curatives.
En 2043, dans les pharmacie, la loi força les industriels du crack et du shit, à apposer la mention suivante sur leurs paquets : "Pharmacloper soigne, mais pharmacloper tue."
En 2048, La loi interdit aux pharmaclopeurs de fumer dans les lieux publics.
Le mot "foutre" ne devrait etre employé que dans un contexte sexuel.
Et ailleurs que sous le plume de Flaubert aussi.
Si vous contestez, c´est que vous n´avez jamais vouvoyé quelqu´un en l´incitant à foutre.
Une expérience purement extatique entre le viol consenti et le pipe show de seconde zone.
Foutre :
A.− Trivial. Posséder charnellement. Synon. baiser (vulg.), enculer (trivial). La femme (...) est en rut et veut être foutue. Le beau mérite! (Baudel., Cœur nu, 1867, p. 643). Je suis ce soir, au chemin de fer, à côté d'un ouvrier complètement saoul, qui répète à tout moment : « Non, je ne la foutrais pas, quand on me donnerait tout Paris... oui, tout Paris, non, je ne la foutrais pas! » (Goncourt, Journal, 1872, p. 900).
♦ Emploi abs. Faire l'amour. Synon. baiser (vulg.). Plus l'homme cultive les arts, moins il bande (...). Foutre, c'est aspirer à entrer dans un autre, et l'artiste ne sort jamais de lui-même (Baudel., Cœur nu, 1867 p. 663) :
1. M. de Lameth, qui avait conservé dans un âge très avancé la puissance ithyphallique, disait que, dans sa jeunesse, il bandait tous les jours, mais ne foutait que le dimanche.
Mérimée, Lettres F. Michel, 1870, p. 46.
− Au fig., vulg.
♦ Envoyer (qqn, qqc.) (se) faire foutre. Envoyer promener (qqn, qqc.). Le grec va marcher de nouveau et si, dans deux ans, je ne le lis pas, je l'envoie faire foutre définitivement (Flaub., Corresp., 1845, p. 182).
♦ Aller se faire foutre. [S'emploie pour signifier à qqn qu'on ne veut plus le voir, qu'on ne veut plus entendre parler de lui] Synon. aller se faire fiche/voir. L'infortunée Mars, dont on n'avait pu tirer une parole jusque-là, se retourne tout à coup et répond : Va te faire f...tre! (Delécluze, Journal, 1825, p. 96). Avez-vous besoin de quelque chose? demande [le geôlier] (...) − Non. − En ce cas, allez vous faire f..., et il referme la porte ([L'Héritier], Suppl. Mém. Vidocq, t. 2, 1830, p. 5).
♦ Va te faire foutre. [S'emploie pour présenter un fait ou une situation comme contraire à ce qui était attendu]. Synon. penses-tu, va te faire fiche (fam.). Si je retrouvais quand je prends la plume les choses qui me passent dans la tête et qui me font dire, à part moi : « Je lui écrirai ça », tu aurais vraiment peut-être des lettres amusantes. Mais, va te faire foutre, cela s'en va aussitôt que j'ouvre mon carton (Flaub., Corresp., 1850, p. 250).
B.− Vulg. Emploi trans. sans compl. explicité. [Le compl. réfère à une activité] Faire. Qu'est-ce que tu fous? Synon. fabriquer, fiche/ficher (fam.). Vous v'là, eh! Salauds! Tas de cochons, qu'est-ce que vous venez foute ici? (Courteline, Ronds-de-cuir, 1893, 6e tabl., III, p. 259). Qu'est-ce que tu veux que je foute d'un couteau, je suis jardinier, moi, dans le civil (Dorgelès, Croix de bois, 1919, p. 180).
− [Le compl. est explicité] Foutre la zizanie, la pagaille. Synon. fiche/ficher (fam.). Comme j'foutais plus d'ouvrages que les autres, j'm'ai vu en avant. Les autres élargissaient et consolidaient derrière (Barbusse, Feu, 1916, p. 216). Après sept heures, pour rembobiner, c'est un monde! Y en a trop qui foutent le bordel (Céline, Mort à crédit, 1936, p. 163).
− Locutions
♦ Ne pas en foutre une datte, une rame, une secousse. Ne rien faire. Le boucher le regardait avec malice : − M'sieu est-il chargé d'la cuistance? − Un peu, dit Gaspard, les aut' veulent pas en foute une datte! (Benjamin, Gaspard, 1915, p. 32).
♦ En foutre un coup. Travailler dur (cf. Bruant 1901, p. 425).
♦ Qu'est-ce que ça fout? Qu'importe! Qu'est-ce que ça fout, tout cela? il n'y a de défaites que celles que l'on a tout seul devant sa glace, dans sa conscience (Flaub., Corresp., 1853, p. 178).
♦ Qu'est-ce que j'ai/tu as, etc., à foutre (de qqc.)? En quoi cela me/te, etc., concerne? Tu as bien signé une feuille d'embauche (...) je m'en tape, moi, de leur feuille d'embauche. Qu'est-ce que j'ai à en foutre? Je l'ai jamais lue (Simonin, Bazin, Voilà taxi! 1935, p. 14).
♦ N'avoir rien à foutre de (qqc., qqn). N'avoir cure de (quelque chose). Ces deux Espagnols, la barmaid m'en a dit deux mots, un soir, mais j'en avais rien à foutre, de ces mecs (Simonin, Touchez pas au grisbi, 1953, p. 208).
♦ Foutre le camp
S'en aller promptement. Foutez le camp d'ici. Synon. déguerpir, fiche/ficher le camp (fam.). Il a foutu le camp comme si le diable le fouaillait (Barbey d'Aurev., Memor. 2, 1838, p. 285). Mes paquets sont faits et demain matin, je fous le camp, en attendant que je foute autre chose (Flaub., Corresp., 1878, p. 111).
S'altérer, se dégrader, tomber en ruines. Tout fout le camp avec la république. Vous pensez bien qu'à mon âge, on ne peut plus recommencer à faire sa vie (Goncourt, Journal, 1870, p. 651). Tu finiras par y laisser la peau. Regarde, tu as les yeux injectés, le teint jaune, le ventre qui fout le camp, les jambes molles et je ne dis rien de ton foie (Cendrars, Bourlinguer, 1948, p. 44).
C.− Vulg. [Accompagné d'un compl. prép. locatif; avec indication de mouvement] Envoyer, mettre (quelque chose, quelqu'un) quelque part; en partic. jeter brusquement, violemment. Foutre qqn à la porte; foutre en l'air, par terre. Synon. flanquer (fam.), fiche/ficher (fam.), jeter. − Voilà le dénoûment, dis-je. Brûlons! Je reste. − On me foutrait en prison, dit Antoine qui sort (Renard, Journal, 1909, p. 1225) :
2. − D'abord, toi, n'en faut plus, tu es trop laid. Dans la société future, il n'y aura plus de boscos. On les fout à l'eau en naissant.
Rolland, J.-Chr., Buisson ard., 1911, p. 1306.
− [Avec un datif éthique] Foutez-moi ça au feu. Fouts-moi toutes ces canailles-là à la porte quand ils se présentent (Flaub., Corresp., 1853, p. 241). Mais il recula devant la troisième [assiettée], que le fermier voulait lui faire manger de force, en répétant : « Allons fous-toi ça dans le ventre. T'engraisseras ou tu diras pourquoi, va, mon cochon! » (Maupass., Contes et nouv., t. 2 St-Antoine, 1883, p. 195).
− Loc. Foutre qqc. plein + compl. locatif avec ou sans prép. Mettre en grande quantité. Foutez-moi des grenades plein vos poches et en bas! (Vercel, Cap. Conan, 1934, p. 243).
Emploi pronom. réfl. indir. S'en foutre plein la panse. − Les officiers ne disaient trop rien quand on chapardait? − I' s'en foutaient eux-mêmes plein la lampe, et comment! (Barbusse, Feu, 1916, p. 37).
♦ Au fig. En foutre plein la vue à qqn. Épater quelqu'un. Foutre (qqn) dedans, se foutre dedans (cf. ce mot I B 3). Foutre (qqn) sur la paille*.
− Emploi pronom. réfl. Synon. de s'envoyer, se flanquer (fam.), se fiche (fam.). Se foutre en bas d'une échelle. Ah, j'aurais donné dix francs pour être là à le surveiller quand il irait se foutre à l'eau, je l'aurais laissé faire, ah oui! (Giono, Baumugnes, 1929, p. 199).
D.− Vulg. [Avec un compl. prép. désignant un état phys. ou psychol.]
1. [Le compl. est un subst.] Mettre (quelqu'un) dans tel ou tel état. Il m'a foutu en boule; ça le fout en colère. − Et les Boches, ils n'en ont pas de canons, non? Tas de vieux jetons. Ça me fout en rogne d'entendre ça (Dorgelès, Croix de bois, 1919, p. 173). Après, un coup de tonnerre sec qui me fout au garde à vous, raide comme la justice, et un bruit doux de soie froissée (Giono, Baumugnes, 1929 p. 112). Maman en plus, et sa guibole, ça le foutait à crans pour des riens (Céline, Mort à crédit, 1936, p. 68).
− Emploi pronom. Se mettre dans un état tel ou tel. Se foutre en colère, à poil*.
− Loc. Ça la fout mal. Ça a mauvais aspect, c'est ennuyeux, regrettable. « Où que vous allez, vous autres? » − « Sais pas... le capiston attend des ordres. » − « Ça la fout mal, hein? » − « Oui, plutôt... paraît qu'on a signalé des Uhlans, au nord... » (Martin du G., Thib., Été 14, 1936, p. 750). Ça la fout mal, le dimanche, quand Fred sort avec ses copains. À propos de copains, Max Bartolomi ne vaut pas tripette (H. Bazin, Mort pt cheval, 1949, p. 49).
2. [Le compl. est un inf.] Rare. Faire que quelqu'un se mette à faire quelque chose. Ça le fout à roter l'effort (Céline, Mort à crédit, 1936, p. 329).
− Emploi pronom., usuel. Se mettre à faire quelque chose. Se foutre à crier. « Je suis fâché avec une putain que j'adore et je viens de la chasse avec des amis... eh bien, quand un lapin partait, au lieu de tirer dessus, je me foutais à pleurer » (Goncourt, Journal, 1883, p. 285).
E.− Vulg. [Avec un compl. datif]
1. Donner. Je t'en fous mon billet*. Synon. fiche/ ficher (fam.). Un médecin y t'en foutrait pour quinze francs de drogue et puis de la diète, en veux-tu en voilà. Ça, c'est le médecin des pauvres (Giono, Colline, 1929, p. 104). − Voilà que ça la reprend, foutez-lui à boire pour la faire taire et enfermez-la dans un placard! (Cendrars, Bourlinguer, 1948, p. 88). Qu'est-ce qui m'a foutu des goinfres pareils, qu'ils sont toujours à sangloter dans mon gilet, ces cochons goitreux! (Aymé, Tête autres, 1952, p. 215).
− Locutions
♦ Je vous/t'en foutrai (de qqc.). [S'emploie, accompagnant une reprise partielle des propos de l'interlocuteur, pour marquer le désaccord, la désapprobation du locuteur] Il lui faut ses dix heures de pucier, tout comme à un mignard. Sans ça, monsieur a la cosse toute la journée. − J'ten foutrai, moi! gronde Lamuse (Barbusse, Feu, 1916, p. 25). Une marque de fabrique! On t'en foutra des marques de fabrique! Ce n'est pas une marque de fabrique, c'est un garçon de café (Claudel, Lune, 1949, p. 1284). Ils se disent : pauvre Paul n'a pas eu de veine, et ils se frottent en pensant à moi. Je leur en foutrai, tiens, du pauvre Paul (Sartre, Mort ds âme, 1949, p. 110).
♦ Je t'en fous. [S'emploie après une question rhétorique pour détromper le destinataire] Synon. penses-tu. Ils [les officiers] couchent les types sur la route et ils passent dessus avec des camions (...) Tu crois qu'ils achèveraient les types? Je t'en fous (Sartre, Mur, 1939, p. 13).
2. [Le compl. désigne une action nuisible ou désagréable pour qqn] Donner. Foutre un coup de poing à qqn; il lui a foutu une torniole; foutre une volée; foutre son pied au cul* de qqn; foutre un procès, une contravention. Synon. flanquer, fiche/ficher (fam.). Je vais maintenant lui foutre une belle vérole! (Flaub., Corresp., 1878, p. 139). C'est une boule de pain en rab, elle est moisie. Si tu manges le bleu, ça te fout la chiasse... (Sartre, Mort ds âme, 1949, p. 235) :
3. − Regardez-le-moi, toujours en train de faire des grimaces. Je te lui foutrais mon balai par le travers de la gueule quand je le vois s'amuser comme ça.
Queneau, Loin Rueil, 1944, p. 56.
− P. ell. Foutre sur la gueule (à qqn). Frapper quelqu'un, se battre avec quelqu'un. − Mon capitaine, dit Gaspard, j'demande à r'partir tout de suite foute su la gueule aux Boches! (Benjamin, Gaspard, 1915, p. 128). Batiss' avait foutu sus l'gueule à un flic (M. Stéphane, Ceux du trimard, 1928, p. 162).
− Emploi pronom. réciproque. Se donner. Synon. se flanquer, se fiche/ficher (fam.). N'empêche qu'on s'abordait dans la tranchée, et qu'on se foutait de rudes coups de pelle sur la gueule (Moselly, Terres lorr., 1907, p. 50). Eux-mêmes!... Ils se foutaient des raclées terribles (Céline, Mort à crédit, 1936, p. 599).
3. [Le compl. désigne un état psychol. ou phys., une situation] Mettre (quelqu'un) dans tel ou tel état. Ça me fout la trouille, le trac. Synon. donner, flanquer, fiche/ficher (fam.). Que nous foutait à tous, que Dreyfus ait ou non trahi? (Rivière, Corresp. [avec Alain-Fournier], 1906, p. 153). Je voudrais vous contenter. Seulement j'ai pas l'habitude, c'est dur, ça me fout le cafard (Bernanos, Imposture, 1927, p. 476). Il m'en foutait la berlue, tellement qu'il s'embarbouillait dans ses propres explications (Céline, Mort à crédit, 1936 p. 155).
− Locutions
♦ Foutre la paix (à qqn). Laisser (quelqu'un) tranquille. Je vas vous démolir, moi, dans votre chalet!... Nom de Dieu! Voulez-vous me foutre la paix! (Zola, Assommoir, 1877, p. 783). Et voilà ce jour du Seigneur, ce dimanche qui m'est dû. Elle me foutra une paix royale, la mégère! (H. Bazin, Vipère, 1948, p. 250).
♦ Foutre un enfant à qqn. Faire un enfant à quelqu'un. Il lui jetait d'un bout de la table à l'autre : « Si tu continues, ce soir, je te fous un enfant » (Goncourt, Journal, 1882, p. 185). La vierge Lorraine! Je lui fouterai un gosse de force (Montherl., Celles qu'on prend, 1950, II, 6, p. 811).
F.− Vulg. Emploi pronom.
1. [Avec un compl. introduit par de] Ne pas se soucier, se moquer (de quelque chose, de quelqu'un). On s'en fout; ils se foutent de nous. Synon. se fiche/ficher (fam.), se balancer de (fam.). Mon petit Mithoerg, nous nous en foutons inexprimablement, de Janotte... N'est-ce pas petite fille?... (Martin du G., Thib., Été 14, 1936, p. 29). − Qu'est-ce que nous allons devenir? il n'y eut aucune réponse; les types se foutaient de ce qu'ils allaient devenir (Sartre, Mort ds âme, 1949, p. 96). − M'en fous, Grégoire, m'en contrefous (Arnoux, Solde, 1958, p. 39).
− Loc. Se foutre de qqc./qqn comme de l'an* quarante, de colin-tampon*, de sa première chemise, d'une guigne*, d'une pomme (vx). N'avoir cure de quelque chose, de quelqu'un; n'en faire aucun cas.
2. [Avec un compl. propositionnel] Ne pas se soucier que. Maintenant on s'aperçoit que les Américains sont des brutes aussi racistes que les nazis et qu'ils se foutent qu'on continue à crever dans les camps (Beauvoir, Mandarins, 1954, p. 134).
REM.
Fouteur, subst. masc., trivial, vx. Homme qui fout, qui aime foutre. Synon. baiseur (vulg.). Un fouteur sentant le sperme qui monte et la décharge qui s'apprête (Flaub., Corresp., 1866, p. 94). Et nous voilà dans la rue du Caire, où le soir, converge toute la curiosité libertine de Paris, dans cette rue du Caire aux âniers obscènes, aux grands Africains, dans des attitudes lascives, promenant des regards de fouteurs sur les femmes qui passent (...) la rue du Caire, une rue qu'on pourrait appeler la rue du rut (Goncourt, Journal, 1889, p. 999).
Et le mot "con", il t'inspire ?
Beaucoup moins, et ce même à ton sujet.
Hécatonicosaèdroïde.
Pull buoy.
Cupulolithiase.
Infudibuliforme.
Se dit de vos anus après passage de mbdvcs.
Cochléo-vestibulaire.
Se dit de la cavité dans ton oreille interne que je compte remplir de sperme et gros sel.
Miracule :
Se dit de la croupe enchanteresse de toute poufiasse ou connard se baladant sur la Zone ou pas.
Trématode
Jarnicoton.
Citation de: 400asa le Septembre 04, 2009, 13:16:30
Jarnicoton.
Rendons donc hommage à Marcel Aymé qui l'utilise dans "la jument verte" et "la table-aux-crevées", saines lectures s'il en est.
Marcel Aymé, je ne sais pas pourquoi, j'ai un énorme a priori contre.
Je crois que c'est à cause d'un recueil de contes infligé à l'école primaire, en fait.
Ça vaudrait la peine de vaincre l'a priori, ou c'était ironique ?
Ça se lit. Moi j'aime bien. Mais j'aime bien Roald Dahl, aussi alors je ne sais ni si mon avis compte ni si je mérite encore de respirer.
Les contes, c'est le mal aussi.
Tu peux déjà te faire une idée avec les premières lignes de La Table-aux-crevés :
"La cuisine était propre. Au milieu, L'Aurélie pendait à une grosse ficelle, accrochée par le cou. De grand matin, courbée sur son cuveau, elle avait entreprit de buander le linge. Au soir, elle avait eu envie de mourir, tout d'un coup, comme on a soif. L'envie l'avait prise au jardin, pendant qu'elle arrachait les poireaux pour la soupe."
Les enseignants en génie civil sont des gens tout à fait délicieux.
Il sont capable de vous infliger sans ciller des termes comme "architectonique".
phoniatre
CROUS
CESU.
non
groin
Entendu aujourd'hui le plus serieusement du monde :
Vétérotestamentaire.
J'ai failli pleurer de bonheur.
Ce n'est pas aussi beau que Anadyomène : qui sort de l'eau, qui émerge.
Exemple : lorsque je bande dans mon bain, ma verge est anadyomène
Je viens d'apprendre que les jeunes filles au pair ne sont pas des putes spécialisées dans les gang-bang saphiques.
De nombreux détails de ma vie prennent du même coup une signification toute neuve.
Barnabite.
mornave
L'acrotomophilie est l'attirance sexuelle pour des personnes amputées.
Apophathodiaphulatophobe
ou bien
Kéraunothnetophobe
Les néologismes étymologiques c'est moins drôle que des vrais mots califourchon.
Bolduc.
C'est pas pour critiquer, mais choisir systématiquement le mot le plus savant / rare / imprononçable, ça va un peu à l'encontre du principe aléatoire.
Bidet
Citation de: nihil le Janvier 07, 2010, 21:06:15
C'est pas pour critiquer, mais choisir systématiquement le mot le plus savant / rare / imprononçable, ça va un peu à l'encontre du principe aléatoire.
Sac à putes c'est imprononçable ?
saquebute
Nyctameral
Sa queue bute ?
Yog bordel, tu me coupe pas la parole ! puteputepute
Ongulé
Pictes
Larcin
Sacerdoce.
Prairie
Lacrymanal
Jambon
Nyctaméral
Nyctalope
Thébaïde
Who's baïde ?
Baïde is baïde, dylan is dylan.
Germophobie
Occiput
malencontreux
sédévacantistement.
osselet
Juif
Promizoulin.
Chihuahua
tracteur
oxymore
pétaflopique
Yabadabadouuu
Citation de: Yog le Mars 09, 2010, 15:34:18
pétaflopique
Intéressant (http://mathblogger.free.fr/index.php?entry=entry080410-102407).
Farlouse.
Stupride
Papiste.
boustrophédon
Scatogan
Lubie.
Glandouille.
Salmigondi
Kryptonite
Attention, du très lourd :
Micocoulier.
Bourgmestre.
Bourgmestre.
BOURGMESTRE §
Engoulevent
Citation de: Hag le Avril 03, 2010, 17:24:26
Bourgmestre.
Bourgmestre.
BOURGMESTRE §
Je surenchéris avec "échevin", enculé de ta mère.
Cyclamen, tas de putes.
"Le clapoutis des vagues". Trouvé à l'instant dans une copie. C'est terriblement mignon.
Carnotset.
"Exhilérante".
Ce paquet de copies est meilleur qu'une cuite au vin d'Alsace.
Salotropie
D'Alsace, que peut-il sortir de bon ?
daguerréotype
Duel de grands crus. Jusqu'au premier vomi.
glu
fourbir
MARGOULIN §
http://www.youtube.com/watch?v=EsJrRRNjFOs&feature=fvw
Citation de: nihil le Avril 03, 2010, 19:27:25
Je surenchéris avec "échevin", enculé de ta mère.
Je me contenterai finalement d'un "potentat".
potentiomètre
Ah oui au fait, lampadestre.
Tabouret, T-A-B-O-U-R-E-T.
Palsambeige.
J2ROBOAM§
Furibard.
Dindonneau.
Mordicant
Je.
Obvie.
Cénobite
<qef fesqf$m$$$f mzzre02 regfz
Palpitant.
Explosif.
Huit.
Bidouille
Flaque.
Fange.
Coupe-ongle
Pelure.
Vivisection.
Bouli.
Phonon.
Bastringue
Filicophyte.
rondoudou
Émétophobie.
Turlupiner
Chauffe-eau.
Celui-ci est pas au hasard.
Bilboquet (celui là est bien du au hasard)
tapioca
Biafrais.
Botulisme
Ça fait trois mots. Perdu.
Inintelligibilité.
Rouflaquettes.
Collision.
Je ne sais pas pourquoi, je déteste profondément ce fil de discusion.
topic
(au compteur, change pas le moteur)
Diététicien.
Poupe.
Rupestre.
Peloton.
Cubital
Cabinet.
Pagne.
Salmigondis.
Poutrelle.
Ratiocination.
Apocope.
Anaglyphe.
Analgésique.
Parpelège.
Pusillanime.
Poulailler.
Vespasienne.
Édicule, aussi.
Acousmêtre.
Mirliton !
Mâchicoulis !
No man's land.
Bernard m'a tuer
Tantinet.
Tantouze.
Sourdre.
Aponévrose.
vigne
infibulation
Téléverser
Circulaire
cucurbitacées
Hélitreuiller.
Éburnéen.
Rinçure.
Pripyatpisme
émacié
aquoiboniste
Avellanaire
Acribie.
alcyonien
alacrité
sénescence
prurit
zemblanité
[Signalons que l'antonyme de la sérendipité, la zemblanité, est la faculté de découvrir des résultats malheureux, malchanceux et... attendus ! C'est le cas des effets négatifs du karaoké tels l'effet de criminalisation, l'effet de prostitution et l'effet de transgression, qui représentent des utilisations négativement détournées du karaoké. — (Alain Anciaux, Ethno-anthropologie du karaoké, 2009, p. 178)]
défectuosité
C'est quoi comme figure de style :
"défectuosité perfectible" ?
un pléonasme , une tautologie, une pute à couettes ?
cela dit il y a des défauts incorrigibles, du coup ça doit être un gros truisme GROUIK GROUIKK GRROOOUIIKK
Goinfrures
l'inerrance
concaténer
décoction
réification
raieification,laule
sérendipité
ondinisme
autoritarisme
lynchage
allez vous faire foutre
sanie
chrématistique
Lapin d'eau : sympathique bestiole poilue à queue de rat et dents de castor dont on fait un excellent (quoi qu'un peu gras) pâté pompeusement appelé "terrine de lièvre des marais" (appellation plus vendeuse que "ragondin en croûte" qui aurait une nette tendance faire fuir le chaland)
À ne pas confondre avec le lapinchien, non comestible et hallucinogène.
il me semble d'ailleurs me souvenir de Maité dans la cuisine des mousquetaires en décapiter un.
Franchement DAESH à coté c'est une publicité pour promouvoir les bisous
concussion
dermocaustique
viatique
Apôtre au pas - hic.
Chiftir
framée
pétainisme
bas latin
sugar daddy
Cautèle
Igname
argutie
homéostasie
Seing
pleurote
enfarger
Concussion
Lapithe
Regimber
zététique
Perplexitude...
boulamatari
Superfétatoire
bistronomie
Rétiaire
stochastique
Broubeler
GLU
vénéfique
Rouanné
clafouti
Affenoir
Truculent: violent, excessif.
Exemple:
Ouesh ma gueule, té-ma la meuf, elle est trop truculente t'as vu! Ya pas moyen qu'j'la ken...
panspermie
irrumation
Le gus voulait me faire une irrumation mais quand j'ai vu la quantité de smegma près de son méat, je lui ai dit d'aller enfoncer sa bite pleine de kiri dans la bouche de quelqu'un d'autre.
Zymique
Facefloodindis' : flot ininterrompu de notifications socialement réseautaires sauvages par un lagomorphe canin redirigeant vers des contenus indisponibles.
où est ce que ça se produit ? ici ou sur Facebook ?
tu dois demander à papa et maman de désactiver le filtre parental
Sur FB. Page introuvable.
Chuis une buse avec ce truc ; j'ignorais même qu'il y avait un filtre parental sur FB...
c'est parce qu'en fait j'utilise FB juste pour que mes neurones communiquent entre eux. Je poste des videos et puis j'efface un peu après une fois que je les ai vues. c'est un concept expérimental
Moi j'ai un seul neurone, et ça se passe plutôt bien avec moi même.
Ça se complique seulement quand d'autres essaient d'entrer en communication avec moi, ou inversement.
ne t'inquiète pas. C'est moi qui ne comprends rien à Facebook. Je ne tiens pas un flux mais je poste quelques liens vers mes pages puis ça se ramifie parce que je comprends pas pourquoi ils ne proposent pas qu'on classe de manière arborescente nos infos. Les trucs linéaires je n'aime pas. Et puis après je ne joue pas jeu du partage des infos des autres. Je me la joue compte corporate des trucs que je fais. Puis j'ai un autre principe aussi. Je me dis qu'il n'y aucune raison que chaque information qu'on poste ait la même durée de vie, pour moi l'info à une naissance et une mort. Parce qu'in fine la connaissance est une succession de constructions et de déconstructions, la plupart des constructions étant des échafaudages qu'on détruit après qu'ils aient servi. J'applique donc ce principe aussi. C'est pourquoi souvent si on clique sur un de mes liens. Il n'existe déjà plus. C4EST UN PEU COMME UNE VENTE FLASH AU SUPERMARCH2§
Préhellénique
Bielle : nf : de bile et belle (à ne pas confondre avec la célèbre BD de Roba..) qui coule en jet...
Fanfrelon.
nerdgasm
Pelham
pour prendre le mors aux dents
JAVAL
langage de programmation pour les développeu(r/se)s acceptant de faire de la promotion canapé
contristée
Proditeur
Incube.
Abattures
Verduniser: pulvérifier de l'eau
Pulvérifier: purifier à grand coups d'obus
OMG j'avais mentalement lu vulvérifier
vulvérifier: comparer 2 orifices, dont l'un est un anus
indemnepotent: ne souffre aucun dommage à chaque fois
Ventripatent : manifestement en surcharge pondérale abdominale
Blablentulaire : qui parle pour ne rien dire.
Melliflu
Même Dourak en aura la mâchoire qui tombe.
C'est un terme qui donne envie de prendre la Bastille.
(http://i.telegraph.co.uk/multimedia/archive/02877/tamiflu-_2877735b.jpg)
Arôme barbapapa : effluve forain et oedipien irrésistible (tous les chemins y mènent)
Anoraksie: symptôme qui correspond à une perte de vêtements d'hiver.
Exemple:
CitationHier, j'ai perdu mes UGGs ; aujourd'hui, c'est mon North Face !
Citation de: L`OcuS le Avril 28, 2016, 23:29:25
Anoraksie: symptôme qui correspond à une perte de vêtements d'hiver.
Exemple:
CitationHier, j'ai perdu mes UGGs ; aujourd'hui, c'est mon North Face !
Splendide. On dirait du Booba.
Citation de: Muscadet le Février 09, 2016, 14:00:12
Melliflu
Même Dourak en aura la mâchoire qui tombe.
C'est un terme qui donne envie de prendre la Bastille.
Raté, je connais bien ce mot, Saint Bernard se faisait appeler comme ça par ses lèche-bottes.
Périféerique (n.m.) : rocade circulaire merveilleuse.
Exemple:
CitationEncore un connard qui roule sur à 50 sur la voie centrale du périféerique !
une odeur de défection
ex: Nicolas Hulot aura été le Delors de son époque. Qu'il aille se faire foutre. Il aimait nager avec les requins, tout le monde l'admirait pour cela, mais à la moindre petite frayeur s'enfuyait la queue entre les jambes.
https://www.youtube.com/watch?v=EOV4yzgacgo
perso, je pense que s'il s'était présenté, je me serais inscrit pour la première fois sur les listes électorales et j'aurai voté pour lui, parce qu'un mec qui co-pilote un Sukhoï 27 peut très bien diriger la France 5 ans correctement, même s'il a besoin de son petit sac à vomi.
https://www.youtube.com/watch?v=vMH27INzr6g
Agacerie
"Note d'usage : Il s'emploie surtout en parlant des femmes." Dixit Wikipedia.
Tamponnement
Dyade
en une brique Marie-Ange... heu... ragnagna ?
prêtrifier: transformer un enfant en matière à étude psychologique par l'intermédiaire d'une substance gluante issue d'un ministre d'un culte
Exemple:
CitationJ'ai emmené mon gamin au catéchisme l'autre jour, il en est ressorti tout prêtrifié...
Le sens
paondiculer: (v. intrans.) se mettre 10 belles plûmes dans le cul et faire la roue.
marrant j'aurais juré que c'était plutôt trans. comme verbe
Pour qu'on soit bien d'accord, intrans. c'est pour intransigeant ; ça veut dire que ce verbe n'admet pas qu'on le conjugue mal. Il est intraitable, comme les salades de Pierre Martinet.
ouais. paondiculer, verbe LGBT du premier groupe, ça pourrait le faire aussi. il faudrait soumettre ça à l'Académie Française.
une tetrachiée
Argutie (https://fr.wiktionary.org/wiki/argutie)
Jocrisserie (https://fr.wiktionary.org/wiki/jocrisserie)
morigéner
controuver
Commensalité
Captieux
Le mur de l'Aimantation :
- mur aux propriétés attractives de la ville de Jérusalem ;
- son champ magnétique est si puissant que tout religieux qui s'en approche se retrouve immédiatement orienté dans sa direction (alignement des moments opposés) ;
- certains fidèles plus réceptifs sont parfois attirés jusqu'à entrer en contact direct avec la paroi et le seul moyen de s'en dégager est qu'ils glissent un poème entre les pierres du mur.
intergouvernementalisation
Qui n'est pas le nouveau mot le plus long de la langue française, comme on le lit ou l'entend ces derniers temps : http://www.lefigaro.fr/langue-francaise/actu-des-mots/2017/12/08/37002-20171208ARTFIG00140-non-l-academie-n-a-pas-ajoute-un-nouveau-mot-le-plus-long-dans-son-dictionnaire.php
C'est encore les teutons qui l'emportent : Rindfleischetikettierungsüberwachungsaufgabenübertragungsgesetz (loi sur le transfert des obligations de surveillance de l'étiquetage de la viande bovine), 63 lettres.
je me découvre hippopotomonstrosesquippedaliophobique. Je précise ne pas être homophobe.
On peut aussi lancer une boucle infinie menant à des mots dont la longueur tendrait vers +Inf.
Exemple : poutinophobe(phobe)nphobique.
C'est encore l'IA qui l'emporte, donc. Et le Québec (car la poutinophobie est bien sûr la peur, pour un non Québécois, d'avoir à se demander si on dit : manger de la poutine ou manger une poutine).
j'aurais juré que c'était "manger du Poutine"
Je crains décidément que tes fantasmes sexuels ne l'emportent sur ta raison.
j'attends l'andropause avec impatience
"Je crains décidément que tes fantasmes sexuels ne l'emportent sur ta raison."
Je croyais que c'était notre lot commun.
Paranorak: personne qui a continuellement tendance à se croire persécutée et agressée par des vestes de sport imperméables et chaudes, à capuchon fixe ou amovible.
Ptérodactylographe: reptile volant mesurant environ 70 cm d'envergure et dont la profession était d'écrire ou de transcrire des textes à la machine à écrire. Les ptérodactylographes ont disparu il y a environ 150 millions d'années avec l'apparition des Minitels à reconnaissance vocale.
Baignoironaute : qui se déplace, voyage en baignoire.
Thanatobaignoironaute : qui fait son dernier voyage en baignoire (ex: Jean-Paul Marat, Claude François).
Aérobaignoironaute : https://www.youtube.com/watch?v=EQK9m_OBVgY .
abjecteur de conscience: Jeune homme qui, avant son incorporation, inspire, en raison de ses convictions religieuses ou philosophiques, le dégoût et le mépris par sa bassesse et sa dégradation morale.
Dictionnaire à mourants de la Zone.
Triskaïdékaphobie ou la peur du nombre 13.
Éclisse (polysémie)
Lame d'osier, de châtaignier ou de bois résineux, obtenue par fendage.
Ceinture mise autour de certains fromages pour faciliter leur retournement.
Plaque d'acier allongée servant à réunir l'extrémité de deux rails, pour assurer la continuité et la rigidité de la surface de roulement.
Synonyme d'attelle.
Pièce de bois réunissant le fond et la table d'harmonie (violon, guitare, clavecin, piano à queue).