Voici une analyse de texte de la pièce d'E.Roblès, Montserrat que j'ai choppé sur le net.
le but de cette initiative serait de faire un jeu de rôle par rounds s'inspirant de cette oeuvre.
dans cette histoire, une sorte de commandant psychopathe,Izquierdo, prend en otage 6 personnes au pif qu'il menace d'executer si un autre de ses prisonniers Montserrat ne balance pas la planque d'un autre gars qu'il recherche, Bolivar. Apres il pousse les otages à désigner dans leur groupe au fur et à mesure le prochain à être executé.
ça me fait penser aux règles de la plupart des reality show actuels qui font appel à de nobles valeurs comme la delation, le zèle, la conspiration, la cruauté gratuite, le voyeurisme. Je trouve ça génial en tant qu'expérience sociologique d'où l'idée de ce jeu de rôle : un show TV qui fait kidnapper aléatoirement des badauds dans Paris qui se retrouvent enfermés dans une sorte de Loft. toutes les semaines, le vendredi en prime time, un des concurents est executé en direct, celui que le groupe des survivants restant a désigné.
Une première étape va consister ,pour ceux qui voudrons bien participer, à emarger ici en choisissant un personnage et en rensignant les infos suivantes :
-description physique du personnage
-description sociale du personnage (travail/ famille)
-description des circonstances de son elevement
dans deux semaines, les inscriptions seront closes, nous passerons alors au lancement de la partie à proprement parlé avec un descriptif plus précis des règles.
Pour ma part je camperais Izquierdo, le présentateur du show et maître du jeu.
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ACTE I, p. 11 à 51.
Scène 1 (11-15) Zuazola, Moralès, Antonanzas.
Trois officiers espagnols évoquent la trahison qui a permis à Bolivar, le chef des nationalistes vénézuéliens, de s'échapper. Leurs récits permettent de découvrir les éléments de la situation historique : la guerre de libération menée par Bolivar, la cruauté de la répression menée par les Espagnols contre les nationalistes vénézuéliens.
Scène 2 (15-20) Zuazola, Moralès, Antonanzas, Izquierdo
Izquierdo précise les circonstances dans lesquelles Bolivar leur a échappé. Il connaît le traître et se déclare capable de le faire parler pour découvrir la cachette du chef rebelle.
Scène 3 (20-24) Le Père Coronil, Montserrat
Montserrat exprime son dégoût devant la violence de la répression espagnole. Le Père défend l'idée que la lutte contre les rebelles est une lutte contre le Mal et justifie ainsi les exactions des Espagnols. Montserrat accepte la proposition que lui fait le Père, de rentrer en Espagne.
Scène 4 (24-25) Le Père Coronil, Montserrat, Zuazola
Zuazola apprend au Père Coronil l'échec de l'expédition conduite par Izquierdo. Il raconte le massacre des habitants de la ferme où se cachait Bolivar.
Scène 5 (25-30) Le Père Coronil, Montserrat, Zuazola, Izquierdo, Moralès, Antonanzas
Izquierdo expose la situation de la guerre et envisage les possibilités qui s'offrent à Bolivar. Celui-ci peut rejoindre ses partisans et continuer la guerre pour libérer le pays de l'occupation espagnole. Afin de fonder une république. Izquierdo insinue que Bolivar pourrait aussi renoncer à la lutte et se réfugier chez les Anglais. Montserrat prend sa défense. Izquierdo dénonce la trahison d'un officier espagnol et met en cause Montserrat. Celui-ci avoue.
Scène 6 (31) Montserrat, Zuazola, Izquierdo, Moralès, Antonanzas
Izquierdo donne l'ordre de faire arrêter six personnes au hasard.
Scène 7 (32-35) Montserrat, Zuazola, Izquierdo, Antonanzas
Izquierdo expose à Montserrat les termes du marché : qu'il révèle la cachette de Bolivar, sinon les six otages seront exécutés.
Scène 8 (36-42) Montserrat, Zuazola, Izquierdo, Antonanzas, Le Potier, Le Marchand, des soldats.
Izquierdo interroge les deux premiers otages. Il s'agit d'un riche marchand, comblé par la vie, et d'un potier très talentueux.
Scène 9 (43-47) Montserrat, Zuazola, Izquierdo, Antonanzas, Le Potier, Le Marchand, des soldats, La Mère, Le Comédien, Eléna, Ricardo, Moralès.
Les soldats amènent quatre autres otages. Deux sont présentés : une mère dont les jeunes enfants sont restés seuls à la maison, un comédien espagnol, qui a joué dans une tragédie devant Izquierdo.
Scène 10 (47-54) Montserrat, Zuazola, Izquierdo, Antonanzas, Le Potier, Le Marchand, des soldats, La Mère, Le Comédien, Eléna, Ricardo, Moralès, Le Père Coronil.
Izquierdo expose devant le Père et le otages ce qu'il a imaginé pour faire parler Montserrat. Il donne une heure aux otages pour convaincre Montserrat de livrer Bolivar.
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ACTE II - PAGE 55 A 83
Scène 1 (55 - 74) MONTSERRAT, LES SIX OTAGES
Les otages ont encore des doutes mais Montserrat leur montre qu'Izquierdo fera ce qu'il a dit en rappelant sa cruauté. (55,56) Ils interrogent Montserrat qui reconnaît avoir trahi les siens en cachant Bolivar au nom de la dignité humaine (57). Les otages tentent de le convaincre, chacun exposant son cas particulier. Le comédien est espagnol et patriote. Le potier a cinq enfants qu'il doit élever. La mère a deux petits restés seuls chez elle. Le marchand, marié récemment, affolé par l'idée de perdre sa vie qui s'annonce heureuse, se montre le plus violent. Seul, Ricardo raisonne plus objectivement, il a eu lui-même à souffrir de la cruauté des occupants qui ont fusillé son père. Montserrat se justifie : pour lui, ce n'est pas Bolivar qui est seul en cause mais la liberté de millions d'hommes (59). Il rappelle les horreurs commises par les Espagnols (60,61) pour convaincre les otages d'accepter le sacrifice de leur vie. Il se réfère à la volonté divine et à l'exemple du Christ (63). Le marchand offre en vain sa fortune. Il se joint au potier pour essayer de tuer Montserrat. Le comédien s'interpose.
Scène 2 (74 - 75) MONTSERRAT LES SIX OTAGES MORALES DES SOLDATS
Moralès intervient pour calmer les otages.
Scène 3 (75 - 82) MONTSERRAT LES SIX OTAGES MORALES DES SOLDATS IZQUIERDO
Izquierdo a décidé de commencer les exécutions d'otages. Mais il découvre parmi eux la jeune et belle Eléna. Il annonce son intention d'abuser d'elle et lui promet la vie sauve. Eléna se déclare prête à mourir pour sauver Bolivar (75-79). Le potier est désigné pour être exécuté le premier. A ses supplications, Izquierdo répond par des sarcasmes.
Scène 4 (82 - 83) MONTSERRAT LES OTAGES moins LE POTIER, MORALES DES SOLDATS IZQUIERDO
Alors que l'exécution du Potier est imminente, la mère supplie de nouveau Izquierdo. Celui-ci donne l'ordre de la faire fusiller la dernière comme s'il s'agissait d'une mesure de clémence.
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ACTE III PAGE 87 A 139
Scène 1 (87 - 93) MONTSERRAT, IZQUIERDO, MORALES, LE P.CORONIL, LA MERE, ELENA, LE COMEDIEN, LE MARCHAND, RICARDO. MOINES, SOLDATS.
Le marchand essaie d'acheter sa grâce. Izquierdo se moque de lui et lui propose un autre marché : pour sauver sa vie, le marchand doit lui livrer sa femme. L'otage accepte pour découvrir aussitôt que l'officier continue de se moquer de lui. Il est conduit dans la cour.
Scène 2 (94 - 104.) MONTSERRAT, IZQUIERDO, MORALES, LE P.CORONIL, LA MERE, ELENA, LE COMEDIEN, RICARDO. MOINES, SOLDATS.
Avant de le faire fusiller, Izquierdo oblige Salcedo le comédien à réciter une tirade. Il s'agit d'un rôle dans lequel un condamné pardonne à ses bourreaux. (94-98) Le comédien en appelle à la protection de la religion en la personne du P. Coronil. Mais celui-ci lui recommande d'aimer ses bourreaux et soutient le raisonnement d'Izquierdo.
Scène 3 (105 A 107 ). MONTSERRAT, IZQUIERDO, MORALES, LA MERE, ELENA, RICARDO. MOINES, SOLDATS.
Izquierdo s'efforce une nouvelle fois de faire céder Montserrat. Arguments : mort = fin définitive ; Dieu en chaque homme, "c'est sur Dieu que tu pointes les fusils", d'où malédiction. Izquierdo transfère la responsabilité des exécutions sur Montserrat.
Scène 4 (107 - 114) . MONTSERRAT, IZQUIERDO, MORALES, LA MERE, ELENA, MOINES, SOLDATS. LE P. CORONIL
Izquierdo rappelle sa "mésaventure", quand il a été enterré vif par les partisans de Bolivar. Eléna se propose pour l'exécution suivante. Izquierdo refuse mais le P. Coronil intervient pour l'obliger à traiter Eléna comme les autres otages (109-110). L'officier désigne alors Ricardo qui affronte courageusement l'épreuve, affirmant sa confiance en Bolivar dont Izquierdo met en doute le courage.
Scène 5 (115 - 117) . MONTSERRAT, IZQUIERDO, LA MERE, ELENA, LE P.CORONIL, SOLDATS.
Pendant l'exécution de Ricardo... Montserrat exprime sa révolte devant la cruauté d'Izquierdo. Celui-ci ironise sur sa sensibilité à la "jeunesse".
Scène 6 (118 - 121) . MONTSERRAT, IZQUIERDO, LA MERE, ELENA, LE P.CORONIL, SOLDATS. MORALES.
La mère est désignée. Elle supplie Montserrat de céder en lui demandant de penser aux deux petits enfants qui mourront sans elle. Montserrat est sur le point de révéler la cachette de Bolivar, il donne les premières indications mais Eléna l'interrompt, lui rappelant les quatre "sacrifices" précédents. Furieux, le P.Coronil ordonne aux soldats de l'emmener.
Scène 7 (121 - 123) . MONTSERRAT, IZQUIERDO, MORALES, LA MERE, LE P.CORONIL, SOLDATS.
Pendant l'exécution d'Eléna... La mère supplie le P. Coronil, Izquierdo, Montserrat, en vain. Elle est emmenée à son tour. Izquierdo fait sortir tout le monde pour rester seul avec Montserrat.
Scène 8 (124 - 134) . MONTSERRAT, IZQUIERDO
Resté seul avec Montserrat, Izquierdo tente de nouveau de le convaincre en reprenant ses arguments : il essaie de le faire douter de Bolivar, de la justice de son combat. Il fait appel au sentiment chrétien du respect de la vie. Il justifie sa propre action en se référant à son devoir de soldat et se déclare "capable d'exterminer deux millions de Vénézuéliens". Puis il confie l'origine de sa haine: le souvenir des quatre jours qu'il a passé enterré vif et l'obsession des rires de ses tortionnaires. Il annonce à Montserrat que son épreuve va continuer avec six nouveaux otages. Pour la seconde fois, Montserrat est sur le point de céder et commence à livrer ses informations avant de se reprendre, alors que survient Moralès.
Scène 9 (134 - 137 ) MONTSERRAT, IZQUIERDO, MORALES, SOLDATS.
Moralès vient annoncer que Bolivar leur a échappé de nouveau et qu'il a réussi à rejoindre ses partisans. Trois Espagnols ont été tués. Izquierdo essaie d'effrayer Montserrat avec des menaces de torture mais celui-ci continue d'exprimer sa confiance et son espoir.
Scène 10 (138 - 139 ) MONTSERRAT, IZQUIERDO, MORALES, LE P. CORONIL, ANTONANZAS, ZUAZOLA, SOLDATS.
Antonanzas et Zuazola (officiers de la scène 1) surviennent en criant vengeance. Ils insultent Montserrat, le frappent puis l'entraînent dehors pour l'abattre.
Scène 11 ( 139 ). IZQUIERDO, LE P. CORONIL.
Bref échange à propos des derniers mots de Montserrat. Le P.Coronil demande s'il s'est repenti. Izquierdo lui répond "Non. Il me parlait seulement de la joie des autres."
Bon, j'ai rien capté parce que je suis naze, j'ai passé l'après-midi à écrire ; mais je prends.
OUAIS JE SAIS JE SAIS GLAÛX IL DIT JE PRENDS ET PUIS IL DISPARAÎT? CET ENCUL2;
Sauf que j'ai changé, oui madame.
Je c/c ton topo et je reviens demain avec un cerveau.
T'es malade ? T'as vu tout ce qu'il faut lire et réfléchir avant de commencer à jouer ?
D'ailleurs, Monserrat égale cabale, égale complot judéo-maçonnique, égale Jean Sarkozy à mort.
Par des chemins de pensée que j'ignore et que je veux à toute force ignorer, je viens de méditer sur l'absence de rapport numéral étonnant entre les cinq actes de la tragédie classique te les quatre strophes du sonnet, malgré une progression similaire. Dourak, tu me rends sale.
Je mesure mal ma responsabilité dans cette affaire, mais nous serons tous rendus sales et en poussière, et après on verra si on a encore des yeux pour voir.
pas la peine de lire le texte ci dessus pour comprendre les rêgles du jeu. (c'etait juste pour rendre hommage au texte original)
-il faut choisir un personnage et remplir sa fiche descriptive
-quand le jeu commencera il suffira juste de le faire interagir avec les autres personnages dans le topic consacré à la semaine en cours. En tant que maître du jeu, je modererais les actions des joueurs. l faudra avoir une approche deconnatoire. Tuer les autres ne sera pas autorisé, ni leur porter atteinte physiquement.
-le but sera de creer des alliances, faire preuve de ruse, des appartés via MP seront autorisées. L'objectif étant de designer democratiquement quel sera le joueur eliminé de la semaine à l'unanimité. (ça va bien foutre le boxon d'ailleurs) Le joueur dont le personnage est executé sort du jeu la semaine suivante.
Et on gagne un autocollant paganini du concours Reine Elisabeth de la musique 1985.
non, une Wii en pain d'épice.
Bon. Dans ces conditions. Vive Bolivar. Je me lance.
j'ai pas compris ce qu'il fallait faire
mais le premier prix est tentant
je m'inscris aussi
Citation de: lapinchien le Octobre 04, 2008, 20:42:05
Tuer les autres ne sera pas autorisé, ni leur porter atteinte physiquement.
et informatiquement on a le droit ?
genre planter leur freebox par exemple
non. le premier qui agresse un autre concurrent sera automatiquement executé par un des snipers d'elite sur les miradors. tout droit recrutés de la guerre de Yougoslavie, ils deconnent pas avec le reglement.
le but sera de raconter des trucs interessants et droles. Plus vous raconterez des trucs interessants et droles et plus Izquierdo, le presentateur, moi, vous donnera des trucs en echange.
La dernière fois que j'ai tué des personnages de projet à plusieurs, un de leurs auteurs a clamsé dans la réalité. Alors c'est bon, promis, je tue plus personne, j'ai capté.
C'est chiant d'être dieu parfois.
Tu peux jamais déconner.
et vos fiches persos alors ? il suffit pas de s'inscrire ou de voter. Je vous rappelle que c'est un jeu d'imagination pas la prochaine election presidentielle.
Ah oui mais je rappelle que j'ai dit demain, pour ma part, et là je commence déjà à sentir la douce caresse de l'alcool (excellent au demeurant), alors si je veux éviter un texte duchesque, je vais temporiser et procrastiner.
Marquise de Sade :
"-il faut choisir un personnage et remplir sa fiche descriptive"
salut
on doit choisir un perso dans ceux de l'oeuvre originale ou on le créée nous même et on en communique le portrait en public dans ton sujet ?
reponse :
on peut prendre n'importe lequel des personnages qu'on veut du moment qu'on y voit deja à potentiel à la deconne. l'ideal serait quant même un personnage contemporain, pas forcement connu, et un peu symbolique quant même.
heureusement que je suis restée sobre dans mon mp ! tu balances à tout le monde !
ben c'est utile à tout le monde.
qu'est ce que ça t'aurait donné comme avantage si je n'avais repondu qu'à toi ?
sinon je suis preneur de MP en état d'ébriété.
Donc je m'inscris à ce jeu et mon personnage sera Lapinchien.
Je prends le rôle du mec qui tâte le pouls de cette initiative et qui constate le décès dans un futur proche.
J'aimerais bien faire un suiveur.
Mais d'abord j'attends que quelqu'un ait posté sa fiche.
Ooooouuaiiis super initiative, ça promet des bataille enragés de vannes autopropulser annalement, des heures de rires de peines de joies, de larmes !!
C'est sans moi
je rappelle que le meilleur argument pour vous convaincre de participer est : Dourak va participer, bordil !
Citation de: 400asa le Octobre 05, 2008, 11:49:18
Mais d'abord j'attends que quelqu'un ait posté sa fiche.
j'attends exactement la même chose
vas-y commence
Au vu des arguments, je me vois dans l'obligation de participer.
youpi.
cordialement,
Aelez
OUAIS UNE FILLE OUAIS OUAIS UNE FILLE PUTAIN OUAIS
Je dois quand même objecter un truc.
[attention, ce qui suit pourrait faire l'objet d'une redirection violente vers le confessionnal]
J'ai acheté un bouquin d'Amélie Nothomb, un jour, dans le train.
[si]
Le titre m'échappe, mais le scénario "show-TV-qui-fait-kidnapper-aléatoirement-des-badauds-dans-Paris-qui-se-retrouvent-enfermés-dans-une-sorte-de-Loft-toutes-les-semaines-le-vendredi-en-prime-time-un-des-concurrents-est-exécute-en-direct-celui-que-le-groupe-des-survivants-restant-a-désigné", c'est le même (sauf que le principe d'Amélie est celui d'un Auschwitz-Story, ce qui revient au même, à un panzer près).
Donc :
- soit Lapinchien est Amélie Nothomb, ce qui ne serait pas vraiment étonnant,
- et/ou en se lançant là dedans, pour l'honneur des zonard*, on a intérêt de faire mieux que l'autre cruche de foire agricole.
Voilà, je voulais pas vous mettre la pression.
*même sous la torture, je nierai jusqu'au bout avoir écrit "honneur" à côté de "zonards"
Au XVIIe siècle, le terme honneur avait un sens localisé dans le cul et c'est dès lors une valeur typiquement zonarde que l'honneur.
Mon personnage :
Madame Campari est bien en chair, fière mère de 5 enfants, type italien, brune, nez aquilin.
Elle porte une robe à grosse fleurs rouges qui met en valeur son gros cul et laisse entrevoir le milieu de ses immenses mamelles. On pressent ces dernières pendantes, mais bien remplies. Elle était avec son caddie contenant : Une salade, du fromage, des légumes divers (chous fleur, tomates et brocolis (oui, oui, la tomate n'est pas un légume mais on s'en bat les coucougnettes)). Son cadie est vert quadrillé de lignes marrons et beiges. Elle porte son fils Antonio (Tonio) dans les bras. Plus précisément sur le bras gauche.
Elle a un gros chignon.
Son profil psychologique correspond à son aspect : Maternelle et sanguine.
Phrases fétiches :
"Tonio, ne joue pas avec le couteau du monsieur"
"Bonté divine! Mes pastas seront trop cuites" (le trop est souvent de trop vu qu'elle les mange al dente)
Ah, heu, sont mari est un être insignifiant. Elle représente à elle seule le couple entier.
(soumettre)
@ Aelez:
Acide Sulfurique le livre, et j'ai pensé toutafay la même chose en lisant.
Enfin bon.
Toussa pour dire que j'irais bien me branler dans les bois avec vous.
Mais faut quelqu'un pour ce lancer en premier.
Ouais.
J'aime bien me branler après les autres.
Je suis le chou fleur séropositif doté d'une réflexion, en embuscade dans le caddie de Madame Campari.
RAF, E.Roblès avait écrit le truc avant Amélie Nothomb...
Le premier personnage étant posé, toutes less autres merdes participants doivent mettre le leur.
Mark, jeune étudiant en droit, fraichement diplômé de son bac L.
Un peu maigrelet, cheveux noirs coupés courts, voix de gamin qui a trop mué.
Plus inquiet quand à la conciliation de Cécile et Claire, ses deux futures femmes (enfin juste une, mais il le leur précisera plus tard) que pour ses examens, c'est le typique fils à papa-maman qui cache bien son jeu. Habits chic avec certains, gogoth avec d'autres.
Pas spécialement bête, mais centré sur les mauvais centres d'intérêt : il connait sur le bout de ses doigts une quantité assez phénoménale de cocktails, les bases du droit constitutionnel, tous les sonnets qu'il a rédigé, la table périodique des éléments et le discordianisme (dont il était d'ailleurs le pape d'une nouvelle branche dans son ancien lycée). Geignard au fond, cherche juste de l'intérêt... Mais il est très doué pour sauver les apparences. Dans une situation normale, s'entend. De plus il est distrait, ce qui fait que sa situation conjugale tient plus du miracle que d'autre chose.
Enlevé après une soirée un peu trop arrosée, alors qu'il raccompagnait une éventuelle troisième future épouse de chez lui vers chez elle (une des deux autres doit passer dans la matinée). Il est donc encore maquillé en goth, piercings, rangers et t-shirt noir moulant, franchement pas frais, une bible discordianiste et deux capotes dans la poche arrière. En plus, il a oublié d'éteindre l'eau du bain qu'il a commencé a laisser couler.
(Si quelqu'un veut la fille...)
Oooooh, salaud.
Euh, quoi ?
Bref, ton perso est... dérangeant. Tue-le.
Une petite interuption pour dire que votre initiative est vouée à l'échec et est complétement soporifique. Merci de votre attention.