ce topic sert à poster des commentaires aléatoires pouvant convenir à tout type de texte zonard. Comme çà si l'un d'entre nous n'est pas trop inspiré par un texte fraichement publié il peut venir piocher ici et faire un copier-coller dans les commentaires du dit-texte. J'espère que çà relancera la participation ou que çà annéantira une bonne fois pour toute la zone. arf arf arf..
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maintenant que j'y pense je crois que comme d'hab çà va se retourner contre moi... bande d'enfoirés !
étrangement j'ai bien aimé ce texte. Les pulsions du narrateur sont en totale opposition avec ses actions et en complete inadequation avec le style adopté, mais on sent que l'auteur est une brave bête et c'est plus l'intention et l'effort que je souhaiterais louer ici. A part çà, j'ai rien capté...
À poil, l'auteur.
Ahahah c'est pas mal... C'est de la merde mais c''est pas mal.
çà me rappelle une chanson d'Elsa.
J'ai pisicne en capsule.
Glaüx, c'est Bernard Werber.
On sens quant même que c'est un newbie de l'écriture ce type... Faudrait qu'il pense à se faire changer ses couches.
Comme 20% des zonards, lorsque j'ai rien à dire, je parle de statistiques.
Sans commentaire.
J'écrirais bien un commentaire intelligent, mais on m'accuserait de vouloir voler la vedette à ce texte.
Ce texte mériterait d'être mis en sonnet.
Je suis tellement sur le cul, je ne vois pas ce qu'on peut ajouter.
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L'écriture est fluide, y a du style, on sent que c'est travaillé et tout... Mais je sais pas, on ne ressent aucune implication émotionnelle du point de vue stylistique non plus que de juxtaposition littérale du sentiment et de l'organe vis-à-vis du symbolisme archétypal du presse-purée.
pareil...
Et l'amour, dans tout ça ?
Mais pourquoi il s'appelle Jack ?
Quel connard, ce Konsstrukt.
Ah ouais, quand même.
si on prend 10 personnes. y en a une qui comprend le binaire alors que la seconde n'y entrave que dalle. En ce qui me conserne je ne comprend ni cette anecdote ni ce texte ni ce que je fous ici.
abusé, c arrivé a ma mere, je voi pa comen on peu rire de la soufrense dé autre
Je suis arrivé sur ce site en tapant "sodomie de grands mères diabétiques" dans un moteur de recherche et je me sens floué. Vous n'avez vraiment rien de mieux à foutre ?
Ah, j'ignorais que ça se fumait aussi, j'essaierai.
encore un Nième texte de salope maniacodepressive gothicoanorexique qui se drogue se prostitue avant de tuer tous les connards qu'elle connait et de se donner la mort et qu'un passant vienne et viole sa depouille pourissante tout en faisant un fist à un chien... je crois qu'on tourne en rond.
On dirait du Vincent Delerm sous acides...
L'image est bien.
le titre de ce texte : "tu suces ? t'avales ?" était bien intrigant. Je pensais enfin qu'on allait y expliquer l'étrange rituel de bienvenue, ses origines moldaves, la symbolique des des mots , le pouvoir guerriseur du sens... mais rien de tout çà... Je suis outré... Je demande tout de suite à être desinscrit du site et du forum. Je souhaite aussi que tous mes textes soient effacés (merci de m'en envoyer d'abord une copie)
Quant au final twist de merde où qu'on apprend que le narateur est mister freeze, ben vous pouvez vous le carrer bien profond.
Le Duc n'a qu'a bien se tenir.
Putain mais faut commencer par apprendre à conjuguer les verbes en -er, d'abord, ensuite seulement on verra si Gallimard cherche un mec pour faire une suite à La Recherche du temps perdu, mais je crois pas.
Worst-of, direct.
Ca fait trois fois que je lis le texte, et trois fois que j'oublie que je lis le texte à la moitié du texte. Puis je crois bien que ça fait trois fois que je me fais cette réflexion que ça fait trois fois que je lis le texte après avoir relu le texte, et que je me dis que ça fait trois fois parce que je ne sais plus combien de fois je l'ai lu, mais au moins trois. Je vais aller relire le texte pour vérifier que je dis pas de conneries.
Je cite :
"J'ai rien compri à la partie sur les anus et les frigos, mais ça m'a pas empéchée de bien aimer. "
J'ai bien aimé. Maintenant faut que je trouve une critique constructive. Ah ouais : y a nulle part le mot "castor".
J'aime beaucoup la Weltanschauung du texte.
A mort Lapinchien !
J'ai rien compris mais je suis d'accord avec le résumé de nihil.
DTCS
Tiens, en fait, ce texte m'a fait pensé à une large séance de diaporamas.
Avec trente minutes entre chaque image.
Mais c'est sûrement parce que je dormais entre temps, aussi.
J'ai pas compris la chute.
La drogue, c'est mal.
Faudra quand même expliquer aux gens que la semaine Textes de Merde sur la Zone, c'est une semaine par an. Les cinquante trois autres, on a le droit de faire des vrais textes.
Ca enfonce Marcel Proust, ça défonce Michel Houellebecq et ça nique sa race à Steinbeck. Bref c'est pas mal.
Bon. C'est un poème en vers blancs, quoi.
Sur du gros bourrin avec une basse sursaturée qui masque et des choeurs de lémuriens passés au barbecue, ça passerait sûrement mieux, parce qu'on n'entendrait pas les paroles.
Académie Française, prends ça dans ton cul.
Ca m'a fait trembler de partout, excepté de la bite, qui est restée résolument droite et rigide. Je pense que c'est bon signe.
*change de slip*
Je ne savais comment exprimer l'émotion qui m'étreint à cette lecture, aussi je laisserai le célèbre poète Arthur Rimbaud parler à ma place, je le cite : "PUTAIN D'ENCULE !"
Je reprendrais les mots de l'auteur eu égard à mon dernier texte : "c'est de la merde vomite."
Ça m'a l'air d'être de la bonne.
CTB (ou CMB)
NB : aucun rapport avec le message juste au-dessus
NB 2 : Finalement, si. Mais dans un seul des deux cas.
J'ai vu Dieu.
(http://img381.imageshack.us/img381/8427/jesusol6.jpg)
Si c'est une blague elle est très mauvaise.
Si c'est un texte c'est pas bien différent.
Si c'est un homme c'est vraiment un texte de merde.
Comme le cosmos est parfait, ce soir.
J'ai trouvé ça pas mal, mais pourquoi veux-tu que Jean-Pierre Chevenement ait un concombre dans le cul ?
L'auteur est visiblement le fruit d'un amour passionnel et incestueux entre Bret Easton Ellis et un panier à salade.
La scène du double fist fucking est si criante de vérité, qu'on se met parfaitement dans la peau du narateur.