= La Zone =

= PROPAGANDE = => = INITIATIVES = => Discussion démarrée par: lapinchien le Novembre 08, 2009, 03:28:46

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Posté par: lapinchien le Novembre 08, 2009, 03:28:46
initiative à la con. il faut insérer une phrase de plus à chaque édition et il faut que l'histoire reste cohérente. Les deux phrases énoncées au début doivent rester respectivement la première et dernière phrase.

"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 08, 2009, 03:31:45
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages.  Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 08, 2009, 03:35:55
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corp encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : Re : serial insert
Posté par: glopglop le Novembre 08, 2009, 05:34:10
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : Re : Re : serial insert
Posté par: glopglop le Novembre 08, 2009, 05:40:29
["Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."

Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 08, 2009, 08:57:21
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 08, 2009, 09:52:08
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eu été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ? Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 08, 2009, 09:58:07
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eu été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ? Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche.  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydrolique à vapeur de l'entrejambe de sa petite soeur en prennant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Das le Novembre 08, 2009, 11:58:18
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eu été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ? Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle.  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Das le Novembre 08, 2009, 12:06:25
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eu été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ? Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle.  C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Narak le Novembre 08, 2009, 12:31:22
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eu été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ? Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Glaüx le Novembre 08, 2009, 12:42:29
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eu été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ? Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: 400asa le Novembre 08, 2009, 13:18:28
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eu été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ? Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 08, 2009, 17:31:51
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : Re : serial insert
Posté par: glopglop le Novembre 08, 2009, 18:29:33
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. Le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d' éducation. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Glaüx le Novembre 08, 2009, 18:37:13
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. En s'étirant et grognant d'aise, il se demanda si son chat, habitué aux massages ciblés (visant à réveiller efficacement son maître et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle) en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait de toucher son bras gauche : le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d' éducation. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : Re : serial insert
Posté par: Hag le Novembre 08, 2009, 18:47:15
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. En s'étirant et grognant d'aise, il se demanda si son chat, habitué aux massages ciblés (visant à réveiller efficacement son maître et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle) en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait de toucher son bras gauche : le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Depuis que les cinq sages indiens qui avaient envahi sa salle d'eau lui avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", il essayait dans la mesure du possible d'éviter la pièce, histoire de laisser son fondement cicatriser entre chaque initiation. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d' éducation. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Das le Novembre 08, 2009, 22:58:07
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. En s'étirant et grognant d'aise, il se demanda si son chat, habitué aux massages ciblés (visant à réveiller efficacement son maître et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle) en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait de toucher son bras gauche : le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Depuis que les cinq sages indiens qui avaient envahi sa salle d'eau lui avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", il essayait dans la mesure du possible d'éviter la pièce, histoire de laisser son fondement cicatriser entre chaque initiation. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d' éducation. La journée s'annonçait chargée : il faudrait faire disparaître le corps et nettoyer la maison, trouver une explication tangible pour justifier une si soudaine disparition et le Haïku sur le mur, et surtout, préparer le pot au feu dominical avant le retour de ses parents, soit en moins de deux heures, sachant que le pain de viande restait à faire. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."

Titre: Re : Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 08, 2009, 23:17:44

"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. En s'étirant et grognant d'aise, il se demanda si son chat, habitué aux massages ciblés (visant à réveiller efficacement son maître et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle) en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait de toucher son bras gauche : le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Depuis que les cinq sages indiens qui avaient envahi sa salle d'eau lui avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", il essayait dans la mesure du possible d'éviter la pièce, histoire de laisser son fondement cicatriser entre chaque initiation. Prennant son prépuce entre le pouce et l'index, il tira un grand coup dessus, puis y clampa une pince à linge pour gagner encore quelques centimètres de peau, son but secret étant d'avoir le prépuce le plus long du monde pour l'utiliser comme un pull pour ses couilles quand l'hiver rude de Fontenay Aux Roses finirait par arriver sur sa bitte. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d' éducation. La journée s'annonçait chargée : il faudrait faire disparaître le corps et nettoyer la maison, trouver une explication tangible pour justifier une si soudaine disparition et le Haïku sur le mur, et surtout, préparer le pot au feu dominical avant le retour de ses parents, soit en moins de deux heures, sachant que le pain de viande restait à faire. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 09, 2009, 06:53:54
Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. En s'étirant et grognant d'aise, il se demanda si son chat, habitué aux massages ciblés (visant à réveiller efficacement son maître et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle) en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait de toucher son bras gauche : le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta t il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Depuis que les cinq sages indiens qui avaient envahi sa salle d'eau lui avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", il essayait dans la mesure du possible d'éviter la pièce, histoire de laisser son fondement cicatriser entre chaque initiation. Prennant son prépuce entre le pouce et l'index, il tira un grand coup dessus, puis y clampa une pince à linge pour gagner encore quelques centimètres de peau, son but secret étant d'avoir le prépuce le plus long du monde pour l'utiliser comme un pull pour ses couilles quand l'hiver rude de Fontenay Aux Roses finirait par arriver sur sa bitte. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d' éducation. La journée s'annonçait chargée : il faudrait faire disparaître le corps et nettoyer la maison, trouver une explication tangible pour justifier une si soudaine disparition et le Haïku sur le mur, et surtout, préparer le pot au feu dominical avant le retour de ses parents, soit en moins de deux heures, sachant que le pain de viande restait à faire. Sans compter qu'il n'avait plus de viande et que le Super U n'ouvrait qu'à 9h, qu'il ne pouvait décemment pas se servir de viande de nichon de sa sœur cadette, une pute même pas vierge, pour honorer ses parents du pot au feu dominical. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Glaüx le Novembre 09, 2009, 14:36:02
"Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. En s'étirant et grognant d'aise, il se demanda si son chat, habitué aux massages ciblés (visant à réveiller efficacement son maître et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle) en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait de toucher son bras gauche : le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta-t-il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Depuis que les cinq sages indiens qui avaient envahi sa salle d'eau lui avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", il essayait dans la mesure du possible d'éviter la pièce, histoire de laisser son fondement cicatriser entre chaque initiation. Prennant son prépuce entre le pouce et l'index, il tira un grand coup dessus, puis y clampa une pince à linge pour gagner encore quelques centimètres de peau, son but secret étant d'avoir le prépuce le plus long du monde pour l'utiliser comme un pull pour ses couilles quand l'hiver rude de Fontenay Aux Roses finirait par arriver sur sa bitte. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d'éducation. La journée s'annonçait chargée : il faudrait faire disparaître le corps et nettoyer la maison, trouver une explication tangible pour justifier une si soudaine disparition et le Haïku sur le mur, et surtout, préparer le pot au feu dominical avant le retour de ses parents, soit en moins de deux heures, sachant que le pain de viande restait à faire. Sans compter qu'il n'avait plus de viande et que le Super U n'ouvrait qu'à 9h, qu'il ne pouvait décemment pas se servir de viande de nichon de sa sœur cadette, une pute même pas vierge, pour honorer ses parents du pot au feu dominical. Il aurait certes pu la farcir, mais l'idée l'emplissait d'un vaste ennui, face aux efforts à fournir pour vider sa soeur avant de la bourrer de farce, ainsi que d'une déplaisante impression de déjà-vu ; il lui faudrait trouver une autre recette, ou d'autres ingrédients. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 09, 2009, 14:52:27
Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. En s'étirant et grognant d'aise, il se demanda si son chat, habitué aux massages ciblés (visant à réveiller efficacement son maître et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle) en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait de toucher son bras gauche : le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta-t-il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Depuis que les cinq sages indiens qui avaient envahi sa salle d'eau lui avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", il essayait dans la mesure du possible d'éviter la pièce, histoire de laisser son fondement cicatriser entre chaque initiation. Prennant son prépuce entre le pouce et l'index, il tira un grand coup dessus, puis y clampa une pince à linge pour gagner encore quelques centimètres de peau, son but secret étant d'avoir le prépuce le plus long du monde pour l'utiliser comme un pull pour ses couilles quand l'hiver rude de Fontenay Aux Roses finirait par arriver sur sa bitte. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d'éducation. Son éducation avait été sans faille, grâce à sa Sainte Maman qui lui avait appris à moucher son nez, dire bonjour et merci, arriver à l'heure et être propre sur soi. La journée s'annonçait chargée : il faudrait faire disparaître le corps et nettoyer la maison, trouver une explication tangible pour justifier une si soudaine disparition et le Haïku sur le mur, et surtout, préparer le pot au feu dominical avant le retour de ses parents, soit en moins de deux heures, sachant que le pain de viande restait à faire. Sans compter qu'il n'avait plus de viande et que le Super U n'ouvrait qu'à 9h, qu'il ne pouvait décemment pas se servir de viande de nichon de sa sœur cadette, une pute même pas vierge, pour honorer ses parents du pot au feu dominical. Il aurait certes pu la farcir, mais l'idée l'emplissait d'un vaste ennui, face aux efforts à fournir pour vider sa soeur avant de la bourrer de farce, ainsi que d'une déplaisante impression de déjà-vu ; il lui faudrait trouver une autre recette, ou d'autres ingrédients. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres
Titre: Re : serial insert
Posté par: Winteria le Novembre 09, 2009, 18:20:23
Faudrait penser à surligner les phrases ajoutées, maintenant. Je parle au nom des loques et des jean-foutres de toute la Terre.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 09, 2009, 18:22:54
Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. En s'étirant et grognant d'aise, il se demanda si son chat, habitué aux massages ciblés (visant à réveiller efficacement son maître et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle) en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait de toucher son bras gauche : le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta-t-il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Depuis que les cinq sages indiens qui avaient envahi sa salle d'eau lui avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", il essayait dans la mesure du possible d'éviter la pièce, histoire de laisser son fondement cicatriser entre chaque initiation. Prennant son prépuce entre le pouce et l'index, il tira un grand coup dessus, puis y clampa une pince à linge pour gagner encore quelques centimètres de peau, son but secret étant d'avoir le prépuce le plus long du monde pour l'utiliser comme un pull pour ses couilles quand l'hiver rude de Fontenay Aux Roses finirait par arriver sur sa bitte. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d'éducation. Son éducation avait été sans faille, grâce à sa Sainte Maman qui lui avait appris à moucher son nez, dire bonjour et merci, arriver à l'heure et être propre sur soi. La journée s'annonçait chargée : il faudrait faire disparaître le corps et nettoyer la maison, trouver une explication tangible pour justifier une si soudaine disparition et le Haïku sur le mur, et surtout, préparer le pot au feu dominical avant le retour de ses parents, soit en moins de deux heures, sachant que le pain de viande restait à faire. Sans compter qu'il n'avait plus de viande et que le Super U n'ouvrait qu'à 9h, qu'il ne pouvait décemment pas se servir de viande de nichon de sa sœur cadette, une pute même pas vierge, pour honorer ses parents du pot au feu dominical. Il aurait certes pu la farcir, mais l'idée l'emplissait d'un vaste ennui, face aux efforts à fournir pour vider sa soeur avant de la bourrer de farce, ainsi que d'une déplaisante impression de déjà-vu ; il lui faudrait trouver une autre recette, ou d'autres ingrédients. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres"

Ne me remercie pas.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Das le Novembre 09, 2009, 18:26:47
Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. En s'étirant et grognant d'aise, il se demanda si son chat, habitué aux massages ciblés (visant à réveiller efficacement son maître et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle) en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait de toucher son bras gauche : le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta-t-il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Depuis que les cinq sages indiens qui avaient envahi sa salle d'eau lui avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", il essayait dans la mesure du possible d'éviter la pièce, histoire de laisser son fondement cicatriser entre chaque initiation. Prennant son prépuce entre le pouce et l'index, il tira un grand coup dessus, puis y clampa une pince à linge pour gagner encore quelques centimètres de peau, son but secret étant d'avoir le prépuce le plus long du monde pour l'utiliser comme un pull pour ses couilles quand l'hiver rude de Fontenay Aux Roses finirait par arriver sur sa bitte. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d'éducation. Son éducation avait été sans faille, grâce à sa Sainte Maman qui lui avait appris à moucher son nez, dire bonjour et merci, arriver à l'heure et être propre sur soi. La journée s'annonçait chargée : il faudrait faire disparaître le corps et nettoyer la maison, trouver une explication tangible pour justifier une si soudaine disparition et le Haïku sur le mur, et surtout, préparer le pot au feu dominical avant le retour de ses parents, soit en moins de deux heures, sachant que le pain de viande restait à faire. Sans compter qu'il n'avait plus de viande et que le Super U n'ouvrait qu'à 9h, qu'il ne pouvait décemment pas se servir de viande de nichon de sa sœur cadette, une pute même pas vierge, pour honorer ses parents du pot au feu dominical. Il aurait certes pu la farcir, mais l'idée l'emplissait d'un vaste ennui, face aux efforts à fournir pour vider sa soeur avant de la bourrer de farce, ainsi que d'une déplaisante impression de déjà-vu ; il lui faudrait trouver une autre recette, ou d'autres ingrédients. Après un court instant de réflexion, Jack décida d'abandonner l'idée du pain de viande, et de se dévouer à un autre gibier; s'il partait chasser dès maintenant, il serait de retour à temps pour lancer la cuisson et attendre le retour de la messe de Gaston et Gervaise devant un bon feu de cheminée. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : Re : serial insert
Posté par: Das le Novembre 09, 2009, 18:28:34
Citation de: Winteria le Novembre 09, 2009, 18:20:23
Faudrait penser à surligner les phrases ajoutées, maintenant. Je parle au nom des loques et des jean-foutres de toute la Terre.

J'avais pas vu, j'édite uniquement parce que tu te définis comme un "jean-foutre".
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 09, 2009, 20:18:47
Non comme une loque. Mais je t'en prie.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Das le Novembre 09, 2009, 21:18:18
Quiproquo là ?
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 11, 2009, 13:09:26
ceci constitue donc le premier chapitre sinon on va tous finir enfermés dans un asile si on se voit dans l'obligation de tout relire à chaque fois. J'ai rajouté une nouvelle règle au jeu. Tous les chapitres porteront le titre d'un roman d'Amélie Nothomb.

1.Hygiène de l'assassin

Jack pensait en se réveillant que cette nouvelle journée serait extraordinaire. Cette splendide gaule matinale était le meilleur des présages. En s'étirant et grognant d'aise, il se demanda si son chat, habitué aux massages ciblés (visant à réveiller efficacement son maître et, en dernière analyse, à obtenir sa gamelle) en était responsable, mais non ; quelque chose de tiède et d'humide, indéniablement, venait de toucher son bras gauche : le corps encore chaud de Sabrina dépassait des draps maculés de sang. Sabrina n'avait jamais été du matin, songea-t-il. Et encore moins du soir, ajouta-t-il pour lui même. De toutes façons, on ne peut pas affirmer avec certitude que Sabrina eut été à un quelconque moment de la journée, d'ailleurs elle n'était plus mais avait-elle vraiment été un jour ?

Mais cette fois, il n'aurait pas à aller se soulager sous la douche. Depuis que les cinq sages indiens qui avaient envahi sa salle d'eau lui avaient fait découvrir les "mystères profonds du corps", il essayait dans la mesure du possible d'éviter la pièce, histoire de laisser son fondement cicatriser entre chaque initiation. Prennant son prépuce entre le pouce et l'index, il tira un grand coup dessus, puis y clampa une pince à linge pour gagner encore quelques centimètres de peau, son but secret étant d'avoir le prépuce le plus long du monde pour l'utiliser comme un pull pour ses couilles quand l'hiver rude de Fontenay Aux Roses finirait par arriver sur sa bite. Il décida de s'habiller directement pour vite aller profiter du beau temps avec elle. C'était un dimanche magnifique, et il lui semblait entendre le doux murmure du vent l'apaiser, il lui semblait que les arbres, les fleurs et la nature entière l'appelaient à la l'harmonie. Cueillant délicatement du sang à moitié coagulé du bout de l'index sur les lèvres de Sabrina, il se laissa porter par son inspiration printanière et nota sur le mur blanc de la chambre de sa soeur, entre ses posters, le haiku "Vergers au matin ; / Humides comme un baiser / Et comme ma bite".  Jack retira la perceuse Black et Decker à triple percution alternée et piston hydraulique à vapeur de l'entrejambe de sa petite sœur en prenant un soin tout particulier de désenficher le gode clouté qu'il avait monté sur la vrille. Il se rappela en caressant sa moustache naissante qu'il n'avait jamais eu l'intention d'en porter une et que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas alimenté son blog d'une quelconque note, fut-elle anodine. De fait il se saisit de son iPhone, se connecta en mode WiFi sur sa page Facebook pour y poster un nouveau statut :"J'ai joué à dragonball Z avec ma cadette. C'était Bulma et moi la fusion de Polanski et Charles Manson. Elle a perdu. mais ma gueule bordel."

Puis, comme à son habitude, Jack fit chauffer deux toasts 44 secondes sur la position 2 de son grille-pain style années 60 et s'installa à la modeste table en agglo plastifié de la cuisine de son petit appartement miteux néanmoins doté d'une bonne vue sur le parc -c'était madame Kerfelec du dessous qui disait tout le temps ça- et lu le journal de la veille, comme à son habitude; puis, il décida d'appeler son cher ami François Berléant sans avoir d'idée précise en tête et lorsque le répondeur lui répondit il reposa mollement le combiné et leva les yeux vers l'horloge de la cuisine, réalisant qu'avec toutes ces conneries il s'était foutu en retard. Et Jack avait toujours eu une sainte horreur d'être en retard, la ponctualité c'est une question d'éducation. Son éducation avait été sans faille, grâce à sa Sainte Maman qui lui avait appris à moucher son nez, dire bonjour et merci, arriver à l'heure et être propre sur soi. La journée s'annonçait chargée : il faudrait faire disparaître le corps et nettoyer la maison, trouver une explication tangible pour justifier une si soudaine disparition et le Haïku sur le mur, et surtout, préparer le pot au feu dominical avant le retour de ses parents, soit en moins de deux heures, sachant que le pain de viande restait à faire. Sans compter qu'il n'avait plus de viande et que le Super U n'ouvrait qu'à 9h, qu'il ne pouvait décemment pas se servir de viande de nichon de sa sœur cadette, une pute même pas vierge, pour honorer ses parents du pot au feu dominical. Il aurait certes pu la farcir, mais l'idée l'emplissait d'un vaste ennui, face aux efforts à fournir pour vider sa soeur avant de la bourrer de farce, ainsi que d'une déplaisante impression de déjà-vu ; il lui faudrait trouver une autre recette, ou d'autres ingrédients. Après un court instant de réflexion, Jack décida d'abandonner l'idée du pain de viande, et de se dévouer à un autre gibier; s'il partait chasser dès maintenant, il serait de retour à temps pour lancer la cuisson et attendre le retour de la messe de Gaston et Gervaise devant un bon feu de cheminée.



d''ailleurs je vais de ce pas poster le premier chapitre dans la liste des textes en attente.
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 11, 2009, 13:10:54
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Glaüx le Novembre 11, 2009, 13:30:50
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Kolokoltchiki le Novembre 11, 2009, 15:15:22
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 11, 2009, 18:30:34
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
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Posté par: glopglop le Novembre 11, 2009, 19:14:12

2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin.Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
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Posté par: Narak le Novembre 11, 2009, 20:08:48
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.

Posté par: lapinchien   
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Posté par: Hag le Novembre 11, 2009, 20:25:21
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
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Posté par: Das le Novembre 11, 2009, 22:19:58
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
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Posté par: Kolokoltchiki le Novembre 12, 2009, 00:41:23
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets. Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
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Posté par: lapinchien le Novembre 12, 2009, 17:34:39
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie  toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.


Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Narak le Novembre 12, 2009, 18:51:21
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie  toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.


Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Kolokoltchiki le Novembre 12, 2009, 19:05:52
+1
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 13, 2009, 07:38:39
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mèlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjeamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Géronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent froler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Das le Novembre 13, 2009, 15:37:34
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mèlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjeamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Géronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent froler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
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Posté par: lapinchien le Novembre 14, 2009, 17:00:56
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mèlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjeamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Géronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent froler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : Re : serial insert
Posté par: glopglop le Novembre 14, 2009, 17:45:12
[2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la patisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son coeur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème patissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème patissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclancher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mèlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjeamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Géronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent froler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien.S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 15, 2009, 10:33:21
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la pâtisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son cœur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème pâtissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème pâtissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclencher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mêlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Geronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent frôler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien. S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Au milieu de la foule, Jack reconnu sa proie avec l'acuité visuelle d'un lynx en chaleur, en l'alpaguant par le col (ou bien était-ce son quadruple menton), il la traina dans l'indifférence générale dans un endroit reclus où personne ne viendrait perturber leur rituel amoureux, la cabine à l'abandon pour cause de pause syndicale de guichetiers dealers de coupons violets et pass Navigo, aussi la grosse dame tétanisée ou peut être consentante, ne mouftant pas le moins du monde, se mis à  lécher et pourlécher son éclair suintant de nappage prédigéré et d'amylase salivaire en adoptant une moue lascive et offerte et en couvrant son auguste apollon de clins d'œil aguicheurs (ou peut être était-ce un tic nerveux provoqué par la terreur de devenir l'objet sexuel d'un déséquilibré).

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Narak le Novembre 15, 2009, 13:14:52
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la pâtisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son cœur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème pâtissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème pâtissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclencher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mêlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Geronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent frôler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien. S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Au milieu de la foule, Jack reconnu sa proie avec l'acuité visuelle d'un lynx en chaleur, en l'alpaguant par le col (ou bien était-ce son quadruple menton), il la traina dans l'indifférence générale dans un endroit reclus où personne ne viendrait perturber leur rituel amoureux, la cabine à l'abandon pour cause de pause syndicale de guichetiers dealers de coupons violets et pass Navigo, aussi la grosse dame tétanisée ou peut être consentante, ne mouftant pas le moins du monde, se mis à  lécher et pourlécher son éclair suintant de nappage prédigéré et d'amylase salivaire en adoptant une moue lascive et offerte et en couvrant son auguste apollon de clins d'œil aguicheurs (ou peut être était-ce un tic nerveux provoqué par la terreur de devenir l'objet sexuel d'un déséquilibré). Jack, rendu nerveux par l'urgence de la situation, tenta avec une maladresse gênante de lui gifler les joues avec son sexe comme il l'avait vu faire dans la plupart des pornos gonzo californiens qu'il s'envoyait tous les deux jours. Ce qui le touchait le plus dans ces productions, mis à part les anus dilatés par trois bites, était cet enthousiasme quasi-palpable avec lequel les acteurs endossaient leur rôle. "Ca c'est pas du mainstream" se plaisait-il à dire fréquemment en s'asseyant, encore transpirant d'onanisme, sur des sachets de glaçons. Mais revenons à la bite de Jack fraichement exhibée sous le gode-ceinture.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Kolokoltchiki le Novembre 17, 2009, 23:39:21
Elle avait une forme étrange aujourd'hui. En plus des croutes brunatres habituelles, elle semblait plus bridée que d'habitude. Jack et elle se fixait droit dans le blancs de yeux quand la grosse dame lui proposa une fellation pour redonner de la vigueur à cette relique ancestrale. Tandis que la femme commençait à travailler, Jack sortit son gode et se le planta dans le cul jusqu'à la garde.
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 18, 2009, 08:00:25
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la pâtisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son cœur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème pâtissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème pâtissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclencher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mêlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Geronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent frôler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien. S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Au milieu de la foule, Jack reconnu sa proie avec l'acuité visuelle d'un lynx en chaleur, en l'alpaguant par le col (ou bien était-ce son quadruple menton), il la traina dans l'indifférence générale dans un endroit reclus où personne ne viendrait perturber leur rituel amoureux, la cabine à l'abandon pour cause de pause syndicale de guichetiers dealers de coupons violets et pass Navigo, aussi la grosse dame tétanisée ou peut être consentante, ne mouftant pas le moins du monde, se mis à  lécher et pourlécher son éclair suintant de nappage prédigéré et d'amylase salivaire en adoptant une moue lascive et offerte et en couvrant son auguste apollon de clins d'œil aguicheurs (ou peut être était-ce un tic nerveux provoqué par la terreur de devenir l'objet sexuel d'un déséquilibré). Jack, rendu nerveux par l'urgence de la situation, tenta avec une maladresse gênante de lui gifler les joues avec son sexe comme il l'avait vu faire dans la plupart des pornos gonzo californiens qu'il s'envoyait tous les deux jours. Ce qui le touchait le plus dans ces productions, mis à part les anus dilatés par trois bites, était cet enthousiasme quasi-palpable avec lequel les acteurs endossaient leur rôle. "Ca c'est pas du mainstream" se plaisait-il à dire fréquemment en s'asseyant, encore transpirant d'onanisme, sur des sachets de glaçons. Mais revenons à la bite de Jack fraichement exhibée sous le gode-ceinture.Elle avait une forme étrange aujourd'hui. En plus des croutes brunatres habituelles, elle semblait plus bridée que d'habitude. Jack et elle se fixait droit dans le blancs de yeux quand la grosse dame lui proposa une fellation pour redonner de la vigueur à cette relique ancestrale. Tandis que la femme commençait à travailler, Jack sortit son gode et se le planta dans le cul jusqu'à la garde.

"Oh là, ya quelqu'un là-dedans ?" Un petit gars de la proche banlieue nord ou tu du moins cherchant à le prétendre de par son accoutrement de moine franciscain encapuché Nike, se mit soudain à tambouriner sur la vitre tout en postillonnant au travers de l'hygiaphone : "j'voudrais un aller-retour 2eme classe pour Freinville Sevran, s'il vous plaît. En train couchettes et si possible la place du haut."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Das le Novembre 18, 2009, 18:25:51
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la pâtisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son cœur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème pâtissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème pâtissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclencher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mêlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Geronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent frôler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien. S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Au milieu de la foule, Jack reconnu sa proie avec l'acuité visuelle d'un lynx en chaleur, en l'alpaguant par le col (ou bien était-ce son quadruple menton), il la traina dans l'indifférence générale dans un endroit reclus où personne ne viendrait perturber leur rituel amoureux, la cabine à l'abandon pour cause de pause syndicale de guichetiers dealers de coupons violets et pass Navigo, aussi la grosse dame tétanisée ou peut être consentante, ne mouftant pas le moins du monde, se mis à  lécher et pourlécher son éclair suintant de nappage prédigéré et d'amylase salivaire en adoptant une moue lascive et offerte et en couvrant son auguste apollon de clins d'œil aguicheurs (ou peut être était-ce un tic nerveux provoqué par la terreur de devenir l'objet sexuel d'un déséquilibré). Jack, rendu nerveux par l'urgence de la situation, tenta avec une maladresse gênante de lui gifler les joues avec son sexe comme il l'avait vu faire dans la plupart des pornos gonzo californiens qu'il s'envoyait tous les deux jours. Ce qui le touchait le plus dans ces productions, mis à part les anus dilatés par trois bites, était cet enthousiasme quasi-palpable avec lequel les acteurs endossaient leur rôle. "Ca c'est pas du mainstream" se plaisait-il à dire fréquemment en s'asseyant, encore transpirant d'onanisme, sur des sachets de glaçons. Mais revenons à la bite de Jack fraichement exhibée sous le gode-ceinture.Elle avait une forme étrange aujourd'hui. En plus des croutes brunatres habituelles, elle semblait plus bridée que d'habitude. Jack et elle se fixait droit dans le blancs de yeux quand la grosse dame lui proposa une fellation pour redonner de la vigueur à cette relique ancestrale. Tandis que la femme commençait à travailler, Jack sortit son gode et se le planta dans le cul jusqu'à la garde.Amateur des premières heures du toucher prostatique, il ne se sentait jamais autant comblé qu'avec le fion bien rempli, et cette fois-ci ne fit pas exception : d'extase, son front tendu de plaisir alla s'écraser mollement contre la vitre. Il l'avait presque recouverte entièrement de bave quand un faux plaisant vint l'interrompre fort peu à propos :

"Oh là, ya quelqu'un là-dedans ?" Un petit gars de la proche banlieue nord ou tu du moins cherchant à le prétendre de par son accoutrement de moine franciscain encapuché Nike, se mit soudain à tambouriner sur la vitre tout en postillonnant au travers de l'hygiaphone : "j'voudrais un aller-retour 2eme classe pour Freinville Sevran, s'il vous plaît. En train couchettes et si possible la place du haut."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 20, 2009, 13:31:04
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu.Son gode bordeaux etait mal attaché, il grattait et glissait sur la sueur de ses hanches et de son cul  Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 20, 2009, 13:31:34
Je me suis quichée et je vous emmerde
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 21, 2009, 20:02:45
2. Le Sabotage amoureux

Jack nu sous sa grande gabardine, enfila son gode ceinture explosif et prit pour quête de faire un beau safari dans le métro parisien et d'y dégoter du gibier de première qualité pour son pot-au-feu. Son gode bordeaux était mal attaché, il grattait et glissait sur la sueur de ses hanches et de son cul. Sorti du RER où personne n'avait fait attention à lui (puisqu'il n'était ni nu, ni mort, ni nu), il procéda jusqu'à Châtelet, posa son auguste pied sur le tapis roulant, et tout en avançant, détailla la viande qui allait en sens inverse. Alors il sentit l'escalator s'affaisser, il vit les marches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs s'ouvrirent, les briques et le béton se réduirent en poudre, il se sentit tomber avec les autres âmes vers un inconnu qu'il ne pouvait cerner. Il avait envie de chier. Il s'isola dans un coin peu exposé, et se dit que finalement, vomir c'est mieux, et donc il délivra son kebab du soir de sa prison stomacale. Jack se sentit soudain envahi par un sentiment d'exotisme puissant, il se voyait au sushi bar en bas de chez lui et les plats les plus raffinés défilaient devant ses yeux perlés de larmes du bonheur que peut éprouver un surconsommateur face à l'opulence et à l'embarras du choix puis reprit de fait l'escalator dans l'autre sens et recommença l'opération pendant plus d'une demie heure, émerveillé par la fraîcheur et le raffinement des mets.

Mâle ou femelle, je vais tout enculer, se dit-il dans son for intérieur, et, à cette pensée primesautière, son visage irradia d'un bonheur enfantin. Il remarqua cette énorme quadragénaire en train de déguster lascivement un éclair au café, et il imagina sa verge à la place de la pâtisserie. Il se rapprocha, en se concentrant sur une tempête d'images moites toutes reliées entre elles : l'auriculaire de la grosse, bruni par la pâte au café, fit manquer un battement à son cœur nerveux, tandis qu'il se voyait assis sur sa poitrine lui faisant déglutir de force des litres de crème pâtissière. Alors il sentit la dame s'affaisser, il vit ses grosses miches se déconnecter et choir dans le vide, partout autour de lui les murs secrétaient de la crème pâtissière, les briques et le béton se couvrirent d'un délicat nappage de café, il se sentit *Bzzzz* tomber avec les autres *Bzzz Bzzzz* âmes vers un inconnu qu'*BBZZZzz* il *Bzzzz* ne *Bzzzz* pouvait; un court circuit provoqué par quelques gouttes de liquide séminale libérées par sa fantaisie toute puissante venait de déclencher de manière impromptue le compte à rebours de son gode ceinture explosif.

Pris de panique, Jack, prisonnier de ces barbares usagers des heures de pointe qui formaient un block plus compact qu'une mêlée de rugbymen gays jouant à Twister pendant la 3eme mi-temps, se délesta de sa gabardine et, se remémorant Subway, ce monument du 7eme art accouché par l'esprit torturé de Luc Besson, enjamba la rambarde de l'escalator en jouant du coude et des dents, puis se mit à  dégringoler la rampe centrale comme s'il s'agissait d'un interminable toboggan, en criant "Geronimo !" et en slalomant du cul entre les ralentisseurs pointus et rouillés qui lui firent frôler à deux, trois reprises une déchirure anale qu'il n'aurait pas oublié de si tôt. Arrivé en bas, il profita du passage de la rampe à l'horizontale pour déclencher l'extension de ses membres inférieurs qui l'emmenèrent à près de trois mètres au dessus du sol, il parvint à rétablir rapidement l'équilibre pour placer un salto avant carpé et trois vrilles, qui furent brièvement saluées par la foule indifférente, et se demanda en quoi cela pouvait bien l'aider à se sortir de ce pétrin. La ceinture explosive, qui formait un cache-sexe opportun protégeant son micro-pénis du regard des badauds, était surmontée d'une part d'un petit écran sur lequel le décompte fatal s'égrainait à chaque seconde, mais aussi et surtout d'un gode-suisse multifonctions, long d'un bon demi-mètre et au diamètre impressionnant ; en lieu et place du gland se tenait triomphante la tête d'ogive d'un missile sol-sol iranien. S'agissant de cibles strictement civiles, son usage était parfaitement licite en regard du droit international applicable et notamment du traité de non-prolifération nucléaire signé par la République Islamique d'Iran.

Au milieu de la foule, Jack reconnu sa proie avec l'acuité visuelle d'un lynx en chaleur, en l'alpaguant par le col (ou bien était-ce son quadruple menton), il la traina dans l'indifférence générale dans un endroit reclus où personne ne viendrait perturber leur rituel amoureux, la cabine à l'abandon pour cause de pause syndicale de guichetiers dealers de coupons violets et pass Navigo, aussi la grosse dame tétanisée ou peut être consentante, ne mouftant pas le moins du monde, se mis à  lécher et pourlécher son éclair suintant de nappage prédigéré et d'amylase salivaire en adoptant une moue lascive et offerte et en couvrant son auguste apollon de clins d'œil aguicheurs (ou peut être était-ce un tic nerveux provoqué par la terreur de devenir l'objet sexuel d'un déséquilibré). Jack, rendu nerveux par l'urgence de la situation, tenta avec une maladresse gênante de lui gifler les joues avec son sexe comme il l'avait vu faire dans la plupart des pornos gonzo californiens qu'il s'envoyait tous les deux jours. Ce qui le touchait le plus dans ces productions, mis à part les anus dilatés par trois bites, était cet enthousiasme quasi-palpable avec lequel les acteurs endossaient leur rôle. "Ca c'est pas du mainstream" se plaisait-il à dire fréquemment en s'asseyant, encore transpirant d'onanisme, sur des sachets de glaçons. Mais revenons à la bite de Jack fraichement exhibée sous le gode-ceinture. Elle avait une forme étrange aujourd'hui. En plus des croutes brunâtres habituelles, elle semblait plus bridée que d'habitude. Jack et elle se fixait droit dans le blancs de yeux quand la grosse dame lui proposa une fellation pour redonner de la vigueur à cette relique ancestrale. Tandis que la femme commençait à travailler, Jack sortit son gode et se le planta dans le cul jusqu'à la garde. Amateur des premières heures du toucher prostatique, il ne se sentait jamais autant comblé qu'avec le fion bien rempli, et cette fois-ci ne fit pas exception : d'extase, son front tendu de plaisir alla s'écraser mollement contre la vitre. Il l'avait presque recouverte entièrement de bave quand un faux plaisant vint l'interrompre fort peu à propos :

"Oh là, ya quelqu'un là-dedans ?" Un petit gars de la proche banlieue nord ou tu du moins cherchant à le prétendre de par son accoutrement de moine franciscain encapuché Nike, se mit soudain à tambouriner sur la vitre tout en postillonnant au travers de l'hygiaphone : "j'voudrais un aller-retour 2eme classe pour Freinville-Sevran, s'il vous plaît. En train couchettes et si possible la place du haut."

"Va te faire foutre par un nabab, tas de vermines agglutinées !" Jack aimait imaginer un richissime hindou enfoncer son poing jusqu'au fond du colon d'un sale mioche banlieusard et gris; il désespérait de n'avoir pu être au volant de la voiture de police, à Clichy sous Bois, pour défoncer ces morveux sur une   mini-moto japonaise (Jack adorait les sushis fait par les chintocs à Paris parce qu'ils maudissaient les japs de n'être pas tous morts à Hiroshima ou à Nagasaki).

"Putain, ta mère, hé bâtard! Comment tu me parles!?..." Le petit gars gris encapuchonné gueulait et tapait sur la vitre avec ses poings, les yeux tout convulsionnés ! Il était tellement frustré de ne pouvoir lui en coller une sur la tronche. Mais quand il vit, soudainement, sa mère sucer allègrement la queue brunâtre de Jack, il s'étrangla de rage mêlée de désirs refoulés !

Le compte à rebours sur le gode ceinture indiquait qu'il ne restait plus que neufs secondes avant que la première décharge fatale n'ait lieu.  Jack empala la grosse gourmande jusqu'à fond de cale tout en comptant à voix haute sur l'air wagnérien de la chevauchée des Walkyries. Il y eu comme un grand éclair dans la cabine insonorisée. Les vitres se  fissurèrent et l'hygiaphone fut propulsé à plusieurs mètres. Avant de terminer sa course folle en s'enfichant dans un landau, il avait traversé la capuche du gamin tétanisé devant la cabine. Un petit filet de sang se dessina sur son cou, mais sa tête resta en place quoi que maintenant désolidarisée du reste de son corps, retenue par la pression verticale qu'exerçait la capuche sur ses épaules. Il s'effondra à genoux comme dans une dernière prière. Sur ses rétines la dernière image qui était venue s'imprimer était celle du corps de sa mère qui ne formait plus qu'une sorte de gros bocal à confiture de saindoux. Jack n'avait que quelques égratignures. Il retira son gode suisse multifonction dans un long filet de caramel. Jugeant hâtivement  que son gibier ne ferait pas l'affaire pour le pot-au-feu,  il ne prit cependant pas la peine de le cacher. « On ne sait jamais », Pensa-t-il, « Cette belle pièce de viande fera peut être le bonheur d'un nécessiteux de passage ? » Il traversa alors la vitre de la cabine dans un magnifique  salto groupé qu'il avait appris à maitriser en visionnant l'intégrale de Naruto Shippuden. « Le pot au feu est mon nindo* (* voie du ninja) ! », se mit il à crier en se dirigeant vers le quai en faisant tournoyer son gode comme un lasso et en aspergeant au passage de caramel tiède toute une foule d'usagers éberlués.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 22, 2009, 10:20:51
Vaut mieux réserver ça pour la suite, je sectionne, publie la 2eme partie et on entame le chapitre trois toujours en prenant comme intitulé, le titre d'une des oeuvres D'Amélie Nothomb.



3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle.   

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 22, 2009, 12:42:56
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle.  Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : Re : serial insert
Posté par: 400asa le Novembre 22, 2009, 14:06:46
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Hag le Novembre 22, 2009, 14:38:15
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 22, 2009, 15:06:33
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux levres rouges et fremissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Glaüx le Novembre 22, 2009, 15:24:27
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux levres rouges et fremissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manirèe à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 22, 2009, 16:05:14
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices.A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux levres rouges et fremissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manirèe à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech"

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres
Titre: Re : serial insert
Posté par: Glaüx le Novembre 22, 2009, 16:13:33
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God ! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux levres rouges et fremissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents ; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manirèe à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 22, 2009, 16:21:08
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God ! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux levres rouges et fremissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents ; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manirèe à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; a cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.


*Publi-information : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en*

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres
Titre: Re : Re : serial insert
Posté par: Hag le Novembre 22, 2009, 16:22:10
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du coeur, il effleura la bouche en coeur et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandisqu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs il se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux levres rouges et fremissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manirèe à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.  C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; à cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.


*Encart de réclamation : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en*

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 22, 2009, 16:23:15
Nos messages se sont croisés, ceci est réparé deux posts au dessus
Titre: Re : serial insert
Posté par: Hag le Novembre 22, 2009, 16:28:36
Et de même de mon côté c'est réparé, c'est simultané, c'est magnifique, c'est deux êtres qui se croisent l'espace d'un instant, c'est une métaphore, c'est de la poésie.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 22, 2009, 18:25:47
Non c'est juste l'internet. Mais merci d'y avoir pensé.
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 22, 2009, 22:20:37
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du cœur, il effleura la bouche en cul de poule et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandis qu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs ils se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux lèvres rouges et frémissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarrasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manière à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade d'une façon dont même les plus géniaux médecins de l'âme n'en pouvaient rien sucer, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.  C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; à cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.

Jack eut juste le temps de s'engouffrer dans la rame alors que la douce mélopée du signal de départ arrivait à son terme. Lech tenta de le rejoindre alors que les portières se rabattaient. Par réflexe, il les repoussa des deux bras. Il y eut un grand craquement lorsque le caoutchouc entrechoqua ses radius. Jack en profita d'instinct pour plonger ses deux mains dans la braguette béante du polonais et lui alpagua le paquet en tirant un grand coup sec. En deux, trois sautillements, il réussit à mordre à pleines dents dans une de ces poignées de cuir suspendues au plafond, il y resta pendu quelques secondes pendant lesquelles il se mit à se balancer d'avant en arrière comme ses pieds ne touchaient plus le sol. Lech faisait des vas-et-viens maladroits à chaque secousse mais tentait de se concentrer sur ces foutues portières qu'il repoussait de toutes ses forces. Un second signal de départ plus insistant se fit entendre. Jack pédalait dans les airs, faisant de petits moulinets avec ses genoux. Il trouva dans un dernier élan en se tortillant du fion assez d'énergie cinétique pour rabattre ses deux jambes violement contre le plexus solaire de Lech qui fut propulsé en arrière alors que les deux portières vinrent brutalement sectionner son appareil génital. Son long râle fut étouffé par les parois insonorisées du wagon. Lech, émasculé, batifolait sur le quai dans son sang et dans son foutre alors que le métro accélérait.
*Encart de réclamation : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en.*

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres

Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 23, 2009, 12:55:34
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du cœur, il effleura la bouche en cul de poule et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandis qu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs ils se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux lèvres rouges et frémissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarrasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manière à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade d'une façon dont même les plus géniaux médecins de l'âme n'en pouvaient rien sucer, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.  C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; à cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.

Jack eut juste le temps de s'engouffrer dans la rame alors que la douce mélopée du signal de départ arrivait à son terme. Lech tenta de le rejoindre alors que les portières se rabattaient. Par réflexe, il les repoussa des deux bras. Il y eut un grand craquement lorsque le caoutchouc entrechoqua ses radius. Jack en profita d'instinct pour plonger ses deux mains dans la braguette béante du polonais et lui alpagua le paquet en tirant un grand coup sec. En deux, trois sautillements, il réussit à mordre à pleines dents dans une de ces poignées de cuir suspendues au plafond, il y resta pendu quelques secondes pendant lesquelles il se mit à se balancer d'avant en arrière comme ses pieds ne touchaient plus le sol. Lech faisait des vas-et-viens maladroits à chaque secousse mais tentait de se concentrer sur ces foutues portières qu'il repoussait de toutes ses forces. Un second signal de départ plus insistant se fit entendre. Jack pédalait dans les airs, faisant de petits moulinets avec ses genoux. Il trouva dans un dernier élan en se tortillant du fion assez d'énergie cinétique pour rabattre ses deux jambes violemment contre le plexus solaire de Lech qui fut propulsé en arrière alors que les deux portières vinrent brutalement sectionner son appareil génital. Son long râle fut étouffé par les parois insonorisées du wagon. Lech, émasculé, batifolait sur le quai dans son sang et dans son foutre alors que le métro accélérait.
Dans un sursaut sidérant, Lech s'accrocha au dernier wagon déjà en pleine vitesse, jusqu'au mur au bout du quai où il s'éclata la panse dans un cri strident de castra : "hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!", et dans un dernier souffle, son corps d'athlète polytraumatisé, partagé entre un rire sardonique et la décomposition avancée de son petit déjeuner de moules assaisonnées à la Gueuze Becasse, Lech proféra pour l'éternité un : "JE T4ENCULE JACK!" qui résonna dans le tunnel où la rame de métro s'enfonçait dans un vacarme de salopes en rut.

*Encart de réclamation : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en avec de la Gueuze Bécasse.*


Complètement excité à cette image, Jack avisa un labrador anemique tenu par un aveugle à ray ban, sorti sa verge gonflée à bloc, crouteuse et sillonnée de veines variqueuses et l'encula sobrement, juste pour placer la vanne "Qu'est ce qu'un chien avec un Jack dans le cul? Une pedale ouah ouah" Il était heureux, il riait et aimait la terre entière

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres
Titre: Re : serial insert
Posté par: Narak le Novembre 23, 2009, 20:40:44
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du cœur, il effleura la bouche en cul de poule et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandis qu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs ils se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux lèvres rouges et frémissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarrasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manière à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade d'une façon dont même les plus géniaux médecins de l'âme n'en pouvaient rien sucer, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.  C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; à cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.

Jack eut juste le temps de s'engouffrer dans la rame alors que la douce mélopée du signal de départ arrivait à son terme. Lech tenta de le rejoindre alors que les portières se rabattaient. Par réflexe, il les repoussa des deux bras. Il y eut un grand craquement lorsque le caoutchouc entrechoqua ses radius. Jack en profita d'instinct pour plonger ses deux mains dans la braguette béante du polonais et lui alpagua le paquet en tirant un grand coup sec. En deux, trois sautillements, il réussit à mordre à pleines dents dans une de ces poignées de cuir suspendues au plafond, il y resta pendu quelques secondes pendant lesquelles il se mit à se balancer d'avant en arrière comme ses pieds ne touchaient plus le sol. Lech faisait des vas-et-viens maladroits à chaque secousse mais tentait de se concentrer sur ces foutues portières qu'il repoussait de toutes ses forces. Un second signal de départ plus insistant se fit entendre. Jack pédalait dans les airs, faisant de petits moulinets avec ses genoux. Il trouva dans un dernier élan en se tortillant du fion assez d'énergie cinétique pour rabattre ses deux jambes violemment contre le plexus solaire de Lech qui fut propulsé en arrière alors que les deux portières vinrent brutalement sectionner son appareil génital. Son long râle fut étouffé par les parois insonorisées du wagon. Lech, émasculé, batifolait sur le quai dans son sang et dans son foutre alors que le métro accélérait.
Dans un sursaut sidérant, Lech s'accrocha au dernier wagon déjà en pleine vitesse, jusqu'au mur au bout du quai où il s'éclata la panse dans un cri strident de castra : "hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!", et dans un dernier souffle, son corps d'athlète polytraumatisé, partagé entre un rire sardonique et la décomposition avancée de son petit déjeuner de moules assaisonnées à la Gueuze Becasse, Lech proféra pour l'éternité un : "JE T4ENCULE JACK!" qui résonna dans le tunnel où la rame de métro s'enfonçait dans un vacarme de salopes en rut.

*Encart de réclamation : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en avec de la Gueuze Bécasse.*


Complètement excité à cette image, Jack avisa un labrador anemique tenu par un aveugle à ray ban, sorti sa verge gonflée à bloc, crouteuse et sillonnée de veines variqueuses et l'encula sobrement, juste pour placer la vanne "Qu'est ce qu'un chien avec un Jack dans le cul? Une pedale ouah ouah" Il était heureux, il riait et aimait la terre entière. Pourtant Dieu sait que la terre entière ne l'aimait pas, lui et ses blagues de merde.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Hag le Novembre 23, 2009, 20:57:30
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du cœur, il effleura la bouche en cul de poule et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandis qu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs ils se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux lèvres rouges et frémissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarrasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manière à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade d'une façon dont même les plus géniaux médecins de l'âme n'en pouvaient rien sucer, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.  C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; à cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.

Jack eut juste le temps de s'engouffrer dans la rame alors que la douce mélopée du signal de départ arrivait à son terme. Lech tenta de le rejoindre alors que les portières se rabattaient. Par réflexe, il les repoussa des deux bras. Il y eut un grand craquement lorsque le caoutchouc entrechoqua ses radius. Jack en profita d'instinct pour plonger ses deux mains dans la braguette béante du polonais et lui alpagua le paquet en tirant un grand coup sec. En deux, trois sautillements, il réussit à mordre à pleines dents dans une de ces poignées de cuir suspendues au plafond, il y resta pendu quelques secondes pendant lesquelles il se mit à se balancer d'avant en arrière comme ses pieds ne touchaient plus le sol. Lech faisait des vas-et-viens maladroits à chaque secousse mais tentait de se concentrer sur ces foutues portières qu'il repoussait de toutes ses forces. Un second signal de départ plus insistant se fit entendre. Jack pédalait dans les airs, faisant de petits moulinets avec ses genoux. Il trouva dans un dernier élan en se tortillant du fion assez d'énergie cinétique pour rabattre ses deux jambes violemment contre le plexus solaire de Lech qui fut propulsé en arrière alors que les deux portières vinrent brutalement sectionner son appareil génital. Son long râle fut étouffé par les parois insonorisées du wagon. Lech, émasculé, batifolait sur le quai dans son sang et dans son foutre alors que le métro accélérait.
Dans un sursaut sidérant, Lech s'accrocha au dernier wagon déjà en pleine vitesse, jusqu'au mur au bout du quai où il s'éclata la panse dans un cri strident de castra : "hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!", et dans un dernier souffle, son corps d'athlète polytraumatisé, partagé entre un rire sardonique et la décomposition avancée de son petit déjeuner de moules assaisonnées à la Gueuze Becasse, Lech proféra pour l'éternité un : "JE T4ENCULE JACK!" qui résonna dans le tunnel où la rame de métro s'enfonçait dans un vacarme de salopes en rut.

*Encart de réclamation : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en avec de la Gueuze Bécasse.*


Complètement excité à cette image, Jack avisa un labrador anemique tenu par un aveugle à ray ban, sorti sa verge gonflée à bloc, crouteuse et sillonnée de veines variqueuses et l'encula sobrement, juste pour placer la vanne "Qu'est ce qu'un chien avec un Jack dans le cul? Une pedale ouah ouah" Il était heureux, il riait et aimait la terre entière. Pourtant Dieu sait que la terre entière ne l'aimait pas, lui et ses blagues de merde. La terre commença d'ailleurs à l'engloutir, probablement juste pour le faire chier, la rame de métro s'enfonçait sous terre en faisant une sort de "Glou glouk" amusant, ce que ne manquèrent pas de noter les quelques passager à proximité des fenêtre, en prenant soin de tempérer leurs affirmations en assurant que le mauvais état du réseau était probablement du fait des socialistes ou des atlantes nazis, que ça allait les mettre en retard et que c'était tout de même la troisième fois ce mois-ci, et je ne parle pas de la ligne 3 qui a plongée droit aux Enfers il y a deux semaines.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 24, 2009, 09:20:37
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du cœur, il effleura la bouche en cul de poule et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandis qu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs ils se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux lèvres rouges et frémissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarrasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manière à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade d'une façon dont même les plus géniaux médecins de l'âme n'en pouvaient rien sucer, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.  C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; à cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.

Jack eut juste le temps de s'engouffrer dans la rame alors que la douce mélopée du signal de départ arrivait à son terme. Lech tenta de le rejoindre alors que les portières se rabattaient. Par réflexe, il les repoussa des deux bras. Il y eut un grand craquement lorsque le caoutchouc entrechoqua ses radius. Jack en profita d'instinct pour plonger ses deux mains dans la braguette béante du polonais et lui alpagua le paquet en tirant un grand coup sec. En deux, trois sautillements, il réussit à mordre à pleines dents dans une de ces poignées de cuir suspendues au plafond, il y resta pendu quelques secondes pendant lesquelles il se mit à se balancer d'avant en arrière comme ses pieds ne touchaient plus le sol. Lech faisait des vas-et-viens maladroits à chaque secousse mais tentait de se concentrer sur ces foutues portières qu'il repoussait de toutes ses forces. Un second signal de départ plus insistant se fit entendre. Jack pédalait dans les airs, faisant de petits moulinets avec ses genoux. Il trouva dans un dernier élan en se tortillant du fion assez d'énergie cinétique pour rabattre ses deux jambes violemment contre le plexus solaire de Lech qui fut propulsé en arrière alors que les deux portières vinrent brutalement sectionner son appareil génital. Son long râle fut étouffé par les parois insonorisées du wagon. Lech, émasculé, batifolait sur le quai dans son sang et dans son foutre alors que le métro accélérait.
Dans un sursaut sidérant, Lech s'accrocha au dernier wagon déjà en pleine vitesse, jusqu'au mur au bout du quai où il s'éclata la panse dans un cri strident de castra : "hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!", et dans un dernier souffle, son corps d'athlète polytraumatisé, partagé entre un rire sardonique et la décomposition avancée de son petit déjeuner de moules assaisonnées à la Gueuze Becasse, Lech proféra pour l'éternité un : "JE T4ENCULE JACK!" qui résonna dans le tunnel où la rame de métro s'enfonçait dans un vacarme de salopes en rut.

*Encart de réclamation : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en avec de la Gueuze Bécasse.*


Complètement excité à cette image, Jack avisa un labrador anemique tenu par un aveugle à ray ban, sorti sa verge gonflée à bloc, crouteuse et sillonnée de veines variqueuses et l'encula sobrement, juste pour placer la vanne "Qu'est ce qu'un chien avec un Jack dans le cul? Une pedale ouah ouah" Il était heureux, il riait et aimait la terre entière. Pourtant Dieu sait que la terre entière ne l'aimait pas, lui et ses blagues de merde. Jack se disait en lui-même : "Je suis dans un endroit qui n'est pas chez moi. Entouré de gens qui m'emmerdent. Je ne peux même pas partir. Et puis partir où ?". La terre commença d'ailleurs à l'engloutir, probablement juste pour le faire chier, la rame de métro s'enfonçait sous terre en faisant une sort de "Glou glouk" amusant, ce que ne manquèrent pas de noter les quelques passager à proximité des fenêtre, en prenant soin de tempérer leurs affirmations en assurant que le mauvais état du réseau était probablement du fait des socialistes ou des atlantes nazis, que ça allait les mettre en retard et que c'était tout de même la troisième fois ce mois-ci, et je ne parle pas de la ligne 3 qui a plongée droit aux Enfers il y a deux semaines.
La rame gondolait sévèrement sur plusieurs niveaux de réalité, le gode même de Jack semblait soudain composé de fractales aux couleurs psychédéliques du plus bel effet

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
   
Titre: Re : serial insert
Posté par: Narak le Novembre 25, 2009, 21:14:12
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du cœur, il effleura la bouche en cul de poule et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandis qu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs ils se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux lèvres rouges et frémissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarrasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manière à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade d'une façon dont même les plus géniaux médecins de l'âme n'en pouvaient rien sucer, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.  C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; à cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.

Jack eut juste le temps de s'engouffrer dans la rame alors que la douce mélopée du signal de départ arrivait à son terme. Lech tenta de le rejoindre alors que les portières se rabattaient. Par réflexe, il les repoussa des deux bras. Il y eut un grand craquement lorsque le caoutchouc entrechoqua ses radius. Jack en profita d'instinct pour plonger ses deux mains dans la braguette béante du polonais et lui alpagua le paquet en tirant un grand coup sec. En deux, trois sautillements, il réussit à mordre à pleines dents dans une de ces poignées de cuir suspendues au plafond, il y resta pendu quelques secondes pendant lesquelles il se mit à se balancer d'avant en arrière comme ses pieds ne touchaient plus le sol. Lech faisait des vas-et-viens maladroits à chaque secousse mais tentait de se concentrer sur ces foutues portières qu'il repoussait de toutes ses forces. Un second signal de départ plus insistant se fit entendre. Jack pédalait dans les airs, faisant de petits moulinets avec ses genoux. Il trouva dans un dernier élan en se tortillant du fion assez d'énergie cinétique pour rabattre ses deux jambes violemment contre le plexus solaire de Lech qui fut propulsé en arrière alors que les deux portières vinrent brutalement sectionner son appareil génital. Son long râle fut étouffé par les parois insonorisées du wagon. Lech, émasculé, batifolait sur le quai dans son sang et dans son foutre alors que le métro accélérait.
Dans un sursaut sidérant, Lech s'accrocha au dernier wagon déjà en pleine vitesse, jusqu'au mur au bout du quai où il s'éclata la panse dans un cri strident de castra : "hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!", et dans un dernier souffle, son corps d'athlète polytraumatisé, partagé entre un rire sardonique et la décomposition avancée de son petit déjeuner de moules assaisonnées à la Gueuze Becasse, Lech proféra pour l'éternité un : "JE T4ENCULE JACK!" qui résonna dans le tunnel où la rame de métro s'enfonçait dans un vacarme de salopes en rut.

*Encart de réclamation : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en avec de la Gueuze Bécasse.*


Complètement excité à cette image, Jack avisa un labrador anemique tenu par un aveugle à ray ban, sorti sa verge gonflée à bloc, crouteuse et sillonnée de veines variqueuses et l'encula sobrement, juste pour placer la vanne "Qu'est ce qu'un chien avec un Jack dans le cul? Une pedale ouah ouah" Il était heureux, il riait et aimait la terre entière. Pourtant Dieu sait que la terre entière ne l'aimait pas, lui et ses blagues de merde. Jack se disait en lui-même : "Je suis dans un endroit qui n'est pas chez moi. Entouré de gens qui m'emmerdent. Je ne peux même pas partir. Et puis partir où ?". La terre commença d'ailleurs à l'engloutir, probablement juste pour le faire chier, la rame de métro s'enfonçait sous terre en faisant une sort de "Glou glouk" amusant, ce que ne manquèrent pas de noter les quelques passager à proximité des fenêtre, en prenant soin de tempérer leurs affirmations en assurant que le mauvais état du réseau était probablement du fait des socialistes ou des atlantes nazis, que ça allait les mettre en retard et que c'était tout de même la troisième fois ce mois-ci, et je ne parle pas de la ligne 3 qui a plongée droit aux Enfers il y a deux semaines.
La rame gondolait sévèrement sur plusieurs niveaux de réalité, le gode même de Jack semblait soudain composé de fractales aux couleurs psychédéliques du plus bel effet.

"Putain de merde!", Jack se réveillait mal d'un mauvais trip, encore un merdique. Il était affalé presque nu dans le local à poubelle, la bite comme une bougie consumée, le cul atrocement douloureux. Jack s'arracha une vieille canette de bière, défoncée, de son large orifice anal qui dégagea comme un pétard une odeur de foutre et de merde de mort. Il dégueula sa bile sur son ventre et s'étouffait comme un crevard quand la porte grinçante s'ouvrit doucement sur un môme encapuchonné et blême.

"Oh là, ya quelqu'un là-dedans ?"
Merde, c'était lui, Ce-petit-gars-de-la-proche-banlieue-nord-ou-tout-du-moins-cherchant-à-le-prétendre-de-par-son-accoutrement-de-moine-franciscain-estampillé-Nike ! Grands Dieux ! Nietzsche avait donc raison avec son éternel retour, quoique tout ça sentait encore vachement le trip à l'acide. Jack se demanda s'il ne confondait pas l'éternel retour et les conseils de son dealer pour gérer les bad-trips.
"J'voudrais un aller-retour 2eme classe pour Freinville Sevran. Huhuhu. Va te faire foutre par un nabab, tas de vermines agglutinées !"
Ca commençait sévèrement à être dur pour Jack.
"Putain, ta mère, hé bâtard! Comment tu me parles!?..."
Prévisible...


Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 25, 2009, 22:35:40
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du cœur, il effleura la bouche en cul de poule et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandis qu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs ils se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux lèvres rouges et frémissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarrasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manière à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade d'une façon dont même les plus géniaux médecins de l'âme n'en pouvaient rien sucer, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.  C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; à cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.

Jack eut juste le temps de s'engouffrer dans la rame alors que la douce mélopée du signal de départ arrivait à son terme. Lech tenta de le rejoindre alors que les portières se rabattaient. Par réflexe, il les repoussa des deux bras. Il y eut un grand craquement lorsque le caoutchouc entrechoqua ses radius. Jack en profita d'instinct pour plonger ses deux mains dans la braguette béante du polonais et lui alpagua le paquet en tirant un grand coup sec. En deux, trois sautillements, il réussit à mordre à pleines dents dans une de ces poignées de cuir suspendues au plafond, il y resta pendu quelques secondes pendant lesquelles il se mit à se balancer d'avant en arrière comme ses pieds ne touchaient plus le sol. Lech faisait des vas-et-viens maladroits à chaque secousse mais tentait de se concentrer sur ces foutues portières qu'il repoussait de toutes ses forces. Un second signal de départ plus insistant se fit entendre. Jack pédalait dans les airs, faisant de petits moulinets avec ses genoux. Il trouva dans un dernier élan en se tortillant du fion assez d'énergie cinétique pour rabattre ses deux jambes violemment contre le plexus solaire de Lech qui fut propulsé en arrière alors que les deux portières vinrent brutalement sectionner son appareil génital. Son long râle fut étouffé par les parois insonorisées du wagon. Lech, émasculé, batifolait sur le quai dans son sang et dans son foutre alors que le métro accélérait.
Dans un sursaut sidérant, Lech s'accrocha au dernier wagon déjà en pleine vitesse, jusqu'au mur au bout du quai où il s'éclata la panse dans un cri strident de castra : "hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!", et dans un dernier souffle, son corps d'athlète polytraumatisé, partagé entre un rire sardonique et la décomposition avancée de son petit déjeuner de moules assaisonnées à la Gueuze Becasse, Lech proféra pour l'éternité un : "JE T4ENCULE JACK!" qui résonna dans le tunnel où la rame de métro s'enfonçait dans un vacarme de salopes en rut.

*Encart de réclamation : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en avec de la Gueuze Bécasse.*


Complètement excité à cette image, Jack avisa un labrador anemique tenu par un aveugle à ray ban, sorti sa verge gonflée à bloc, crouteuse et sillonnée de veines variqueuses et l'encula sobrement, juste pour placer la vanne "Qu'est ce qu'un chien avec un Jack dans le cul? Une pedale ouah ouah" Il était heureux, il riait et aimait la terre entière. Pourtant Dieu sait que la terre entière ne l'aimait pas, lui et ses blagues de merde. Jack se disait en lui-même : "Je suis dans un endroit qui n'est pas chez moi. Entouré de gens qui m'emmerdent. Je ne peux même pas partir. Et puis partir où ?". La terre commença d'ailleurs à l'engloutir, probablement juste pour le faire chier, la rame de métro s'enfonçait sous terre en faisant une sort de "Glou glouk" amusant, ce que ne manquèrent pas de noter les quelques passager à proximité des fenêtre, en prenant soin de tempérer leurs affirmations en assurant que le mauvais état du réseau était probablement du fait des socialistes ou des atlantes nazis, que ça allait les mettre en retard et que c'était tout de même la troisième fois ce mois-ci, et je ne parle pas de la ligne 3 qui a plongée droit aux Enfers il y a deux semaines.
La rame gondolait sévèrement sur plusieurs niveaux de réalité, le gode même de Jack semblait soudain composé de fractales aux couleurs psychédéliques du plus bel effet.

"Putain de merde!", Jack se réveillait mal d'un mauvais trip, encore un merdique. Il était affalé presque nu dans le local à poubelle, la bite comme une bougie consumée, le cul atrocement douloureux. Jack s'arracha une vieille canette de bière, défoncée, de son large orifice anal qui dégagea comme un pétard une odeur de foutre et de merde de mort. Il dégueula sa bile sur son ventre et s'étouffait comme un crevard quand la porte grinçante s'ouvrit doucement sur un môme encapuchonné et blême.

"Oh là, ya quelqu'un là-dedans ?"
Merde, c'était lui, Ce-petit-gars-de-la-proche-banlieue-nord-ou-tout-du-moins-cherchant-à-le-prétendre-de-par-son-accoutrement-de-moine-franciscain-estampillé-Nike ! Grands Dieux ! Nietzsche avait donc raison avec son éternel retour, quoique tout ça sentait encore vachement le trip à l'acide. Jack se demanda s'il ne confondait pas l'éternel retour et les conseils de son dealer pour gérer les bad-trips.
"J'voudrais un aller-retour 2eme classe pour Freinville Sevran. Huhuhu. Va te faire foutre par un nabab, tas de vermines agglutinées !"
Ca commençait sévèrement à être dur pour Jack.
"Putain, ta mère, hé bâtard! Comment tu me parles!?..."
Prévisible...
Fatigué des redondances et des explosions décapitantes, Jack se gratta les couilles avec conviction et sa main droite

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
   
Titre: Re : serial insert
Posté par: Narak le Novembre 26, 2009, 11:26:56
3. Les Combustibles


Lech Magolwicz, petit fils d'un pyromane polonais, assis dans l'attente frénétique de son métro sur sa ligne préférée, la numéro 2, la fameuse Dauphine - Nation, celle qui connut le magnifique incendie de l'été 1903, où finalement les pompiers beaux gosses, enculés et viriles, avaient trouvé plus de 80 asphyxiés, morts entassés sous terre dans un dernier élan d'une partouze finale, se dit en voyant Jack survolant le quai bondé et aspergeant de gouttes merdiques et sanguines les ahuris mal léchés : « ça recommence! ça va cramer! ça va baiser! », il se leva et derechef ouvrit sa braguette pour en sortir un énorme gourdin qu'il balança sur la joue d'une mignonne qui le regardait depuis un bon moment, se gratter les burnes!

« My God! » fit sa mère américaine, très croyante depuis qu'elle avait avalé le sperme de celui qui se faisait passer, dans sa cuisine, pour le Christ réincarné en pasteur évangéliste. Elle n'avait pas vu arriver Jack nu sous sa grande gabardine, son gode à la main, juste derrière elle. Croyant être appelé par ce cri du cœur, il effleura la bouche en cul de poule et en bouton de rose de la mignonne de ses burnes violettes et gonflées de ne s'être pas assez paluché ces derniers temps et actionna la triple action de son gode, le rotor quintuple vitesse, le vibrator arythmique, l'émission de gaz de serre et le refroidissement liquide par lubrifiant chauffant longue durée, hot spices. A cet instant précis, les regards respectifs des deux humanistes se croisèrent et pour eux le temps s'arrêta, et, tandis qu'entre eux deux les mégères formaient un rempart de leurs pudeurs ils se dévisagèrent pendant un laps de temps indéfinissable, Lech voyant dans le gode brandit par son reflet la tour abolie de sa principauté d'Aquitaine natale dont il était le noir régent et Jack se demandant ce qu'il allait bouffer ce soir là. Oubliée la foule, oubliée la jeune femme nubile aux lèvres rouges et frémissantes, un vortex s'ouvrait devant eux, le cosmos s'incurvait pour les prendre en ses bras gracieux et infinis dans un tourbillon de naines noires t de trous de vers luminescents; Jack avait mangé de la langue épicée à midi et il allait avoir la chiasse.

*Publi-communiqué : Avez-vous mangé des palourdes récemment ? Mangez des palourdes.

Jack resta comme tétanisé, frappé par la Révélation comme un lapin par un pare-boeufs de Kenworth chromé. MAIS PUTAIN OUAIS? IL ALLAIT PLUSTÖT FAIRE UNE CHOUCROUTE AUX FRUITS DE MER? LE POT AU FEU C4EST OLD SCHOOL? C4EST D2PSS2? C4EST TOTALLY OUT I MEAN, il s'évertua donc à se débarrasser le plus vite possible de son gode désormais inutile et s'enquit auprès du clochard de fond de wagon de la possibilité qu'il lui prête-son-opinel-pour-une-durée-indéterminée-enculé-d'assisté-de-mon-cul, de manière à découper de la moule dans l'anatomie de son choix et d'une pute alentour. Subitement, tendant d'évacuer un pet graisseux, il se chia dessus; fixant son comparse d'origine polonaise et pyromane il lui tint ce langage énamouré "Lèche, Lech". C'est alors qu'une jeune p- ; qu'une jeune étudiante s'esclaffa et compléta, "Lèche, et tu vas m'avaler ça, Lech" ; ce que Jack ne comprit pas, ce qui le frustra, ce qui fit naître un désir immense et douloureux, phallus intellectuel tout ça, ce qui causa la farandole des phantasmes les plus éculés dans son imagination malade d'une façon dont même les plus géniaux médecins de l'âme n'en pouvaient rien sucer, avec un bon gros mélange d'institutrices à lunettes, d'étudiantes à couettes, d'académiciennes en uniforme qui caressent un gros sabre du bout de la langue, et tout alentour, des palourdes et des moules, des MATELAS ENTIERS remplis de moules à la place du duvet, et des bites à la place des ressorts ; Jack se sentit soudain un peu fatigué.  C'est bien sur ce moment que choisit son compagnon pour sortir une forte masse d'arme à ailettes et le provoquer en un duel dont l'issue ne faisait aucun doute ; à cet instant précis le métropolitain pénétra la station dans une orgie de sifflements et couinements hydrauliques, avant de s'arrêter en un râle bref, signe d'une mécanique bien lubrifiée.

Jack eut juste le temps de s'engouffrer dans la rame alors que la douce mélopée du signal de départ arrivait à son terme. Lech tenta de le rejoindre alors que les portières se rabattaient. Par réflexe, il les repoussa des deux bras. Il y eut un grand craquement lorsque le caoutchouc entrechoqua ses radius. Jack en profita d'instinct pour plonger ses deux mains dans la braguette béante du polonais et lui alpagua le paquet en tirant un grand coup sec. En deux, trois sautillements, il réussit à mordre à pleines dents dans une de ces poignées de cuir suspendues au plafond, il y resta pendu quelques secondes pendant lesquelles il se mit à se balancer d'avant en arrière comme ses pieds ne touchaient plus le sol. Lech faisait des vas-et-viens maladroits à chaque secousse mais tentait de se concentrer sur ces foutues portières qu'il repoussait de toutes ses forces. Un second signal de départ plus insistant se fit entendre. Jack pédalait dans les airs, faisant de petits moulinets avec ses genoux. Il trouva dans un dernier élan en se tortillant du fion assez d'énergie cinétique pour rabattre ses deux jambes violemment contre le plexus solaire de Lech qui fut propulsé en arrière alors que les deux portières vinrent brutalement sectionner son appareil génital. Son long râle fut étouffé par les parois insonorisées du wagon. Lech, émasculé, batifolait sur le quai dans son sang et dans son foutre alors que le métro accélérait.
Dans un sursaut sidérant, Lech s'accrocha au dernier wagon déjà en pleine vitesse, jusqu'au mur au bout du quai où il s'éclata la panse dans un cri strident de castra : "hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!", et dans un dernier souffle, son corps d'athlète polytraumatisé, partagé entre un rire sardonique et la décomposition avancée de son petit déjeuner de moules assaisonnées à la Gueuze Becasse, Lech proféra pour l'éternité un : "JE T4ENCULE JACK!" qui résonna dans le tunnel où la rame de métro s'enfonçait dans un vacarme de salopes en rut.

*Encart de réclamation : avez vous pensé à manger des moules aujourd'hui ? Les moules c'est bon, mangez en avec de la Gueuze Bécasse.*


Complètement excité à cette image, Jack avisa un labrador anemique tenu par un aveugle à ray ban, sorti sa verge gonflée à bloc, crouteuse et sillonnée de veines variqueuses et l'encula sobrement, juste pour placer la vanne "Qu'est ce qu'un chien avec un Jack dans le cul? Une pedale ouah ouah" Il était heureux, il riait et aimait la terre entière. Pourtant Dieu sait que la terre entière ne l'aimait pas, lui et ses blagues de merde. Jack se disait en lui-même : "Je suis dans un endroit qui n'est pas chez moi. Entouré de gens qui m'emmerdent. Je ne peux même pas partir. Et puis partir où ?". La terre commença d'ailleurs à l'engloutir, probablement juste pour le faire chier, la rame de métro s'enfonçait sous terre en faisant une sort de "Glou glouk" amusant, ce que ne manquèrent pas de noter les quelques passager à proximité des fenêtre, en prenant soin de tempérer leurs affirmations en assurant que le mauvais état du réseau était probablement du fait des socialistes ou des atlantes nazis, que ça allait les mettre en retard et que c'était tout de même la troisième fois ce mois-ci, et je ne parle pas de la ligne 3 qui a plongée droit aux Enfers il y a deux semaines.
La rame gondolait sévèrement sur plusieurs niveaux de réalité, le gode même de Jack semblait soudain composé de fractales aux couleurs psychédéliques du plus bel effet.

"Putain de merde!", Jack se réveillait mal d'un mauvais trip, encore un merdique. Il était affalé presque nu dans le local à poubelle, la bite comme une bougie consumée, le cul atrocement douloureux. Jack s'arracha une vieille canette de bière, défoncée, de son large orifice anal qui dégagea comme un pétard une odeur de foutre et de merde de mort. Il dégueula sa bile sur son ventre et s'étouffait comme un crevard quand la porte grinçante s'ouvrit doucement sur un môme encapuchonné et blême.

"Oh là, ya quelqu'un là-dedans ?"
Merde, c'était lui, Ce-petit-gars-de-la-proche-banlieue-nord-ou-tout-du-moins-cherchant-à-le-prétendre-de-par-son-accoutrement-de-moine-franciscain-estampillé-Nike ! Grands Dieux ! Nietzsche avait donc raison avec son éternel retour, quoique tout ça sentait encore vachement le trip à l'acide. Jack se demanda s'il ne confondait pas l'éternel retour et les conseils de son dealer pour gérer les bad-trips.
"J'voudrais un aller-retour 2eme classe pour Freinville Sevran. Huhuhu. Va te faire foutre par un nabab, tas de vermines agglutinées !"
Ca commençait sévèrement à être dur pour Jack.
"Putain, ta mère, hé bâtard! Comment tu me parles!?..."
Prévisible... Un goy, connard de bobo avec sa carte d'antiraciste agréé par l'OMS, mal déguisé en zonard errant, qui cherchait à faire des vidéoclichés de la putain de pute de vie des cités, pour les montrer à sa vieille tante suceuse, s'était fait alpaguer, dans la cave à côté, par trois petits blacks gris et gonflés par le crack, et qui lui proposaient en échange de son videocam Jap, de lui allonger sa queue blanche à la senteur Chanel, au chalumeau, pendant qu'une énorme diamantaire voilée lui faisait bouffer ses hémorroïdes par son bulldog anémié, il criait de douleur et suppliait en chialant : "JE SUIS VOTRE PUTE!" (lapsus dangereux, il voulait dire : "je suis votre pote"), avant qu'il ne tombe dans un coma extatique profond, trois bites noires se battant dans sa gorge.
Fatigué des redondances et des explosions décapitantes, Jack se gratta les couilles avec conviction et sa main droite et décida de ne pas réagir à cette nouvelle hallucination, ce qui aurait été, dans le fond, une preuve qu'il accordait une importance au genre humain plus qu'à l'expression de ses sensations ce qui était totalement faux. " Après tout, le monde n'existe que dans ma tête. ", se dit il pour se rassurer. Par contre, au vu des immondes bulles qu'il sentait crever dans ses intestins, ce n'était pas exactement le bon moment pour ce concentrer sur ses sensations : Il fallait chier, et vite.

Finalement ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres.
Titre: Re : serial insert
Posté par: 400asa le Novembre 26, 2009, 20:05:27
LALAHAHAHAHAHHHAHHAHAHHAHHAHHAAAAAAAAAA HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA§
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 28, 2009, 14:58:32
4 - Les Catilinaires

Jack secouant la tête comme un chien mouillé épileptique pour reprendre ses esprits, se souvint de cet épluche patates rouillé qu'il gardait toujours scotché sous les aisselles au cas où quelque enculé lui tombe dessus par  suprise. Il s'empressa de le brandir,menaçant, à l'ensemble des usagers de la rame émerveillés par la touffe de poils que le ruban adhésif avait arraché. "Mesdames, Messieurs, je viens pas faire la manche, je suis pas Louis Blériot, bande de conards. Je viens faire mon marché." Jack bondit sur une première dame et lui enfonça d'un geste franc le pouce de la main qui serrait l'économe rouillé dans la chatte. Il la planta dans le prolongement de son effort au niveau du périnée puis se mit à vriller son poignet calmement en sifflotant, gilleret :" A la pêche aux moules, moules, moules..."
Titre: Re : serial insert
Posté par: Hag le Novembre 28, 2009, 15:30:35
4 - Les Catilinaires

Jack secouant la tête comme un chien mouillé épileptique pour reprendre ses esprits, se souvint de cet épluche patates rouillé qu'il gardait toujours scotché sous les aisselles au cas où quelque enculé lui tombe dessus par  suprise. Il s'empressa de le brandir,menaçant, à l'ensemble des usagers de la rame émerveillés par la touffe de poils que le ruban adhésif avait arraché. "Mesdames, Messieurs, je viens pas faire la manche, je suis pas Louis Blériot, bande de conards. Je viens faire mon marché." Jack bondit sur une première dame et lui enfonça d'un geste franc le pouce de la main qui serrait l'économe rouillé dans la chatte. Il la planta dans le prolongement de son effort au niveau du périnée puis se mit à vriller son poignet calmement en sifflotant, gilleret :" A la pêche aux moules, moules, moules..."

-Messieurs-Dames bonjour, contrôle des tickets s'il vous plaît.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 28, 2009, 19:00:01
4 - Les Catilinaires

Jack secouant la tête comme un chien mouillé épileptique pour reprendre ses esprits, se souvint de cet épluche patates rouillé qu'il gardait toujours scotché sous les aisselles au cas où quelque enculé lui tombe dessus par  suprise. Il s'empressa de le brandir,menaçant, à l'ensemble des usagers de la rame émerveillés par la touffe de poils que le ruban adhésif avait arraché. "Mesdames, Messieurs, je viens pas faire la manche, je suis pas Louis Blériot, bande de conards. Je viens faire mon marché." Jack bondit sur une première dame et lui enfonça d'un geste franc le pouce de la main qui serrait l'économe rouillé dans la chatte. Il la planta dans le prolongement de son effort au niveau du périnée puis se mit à vriller son poignet calmement en sifflotant, gilleret :" A la pêche aux moules, moules, moules..."

-Messieurs-Dames bonjour, contrôle des tickets s'il vous plaît.

Le contrôleur débonnaire qui venait de pénétrer dans la rame ne semblait pas méchant, il portait encore sur son visage juvénile l'acnée de ses quinze ans et son long cou maigre laissait apparaitre au dessus du col de l'uniforme une pomme d'adam saillante et tressautante du plus bandant effet.
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Novembre 29, 2009, 15:57:07
4 - Les Catilinaires

Jack secouant la tête comme un chien mouillé épileptique pour reprendre ses esprits, se souvint de cet épluche patates rouillé qu'il gardait toujours scotché sous les aisselles au cas où quelque enculé lui tombe dessus par  surprise. Il s'empressa de le brandir, menaçant, à l'ensemble des usagers de la rame émerveillés par la touffe de poils que le ruban adhésif avait arraché. "Mesdames, Messieurs, je viens pas faire la manche, je suis pas Louis Blériot, bande de conards. Je viens faire mon marché." Jack bondit sur une première dame et lui enfonça d'un geste franc le pouce de la main qui serrait l'économe rouillé dans la chatte. Il la planta dans le prolongement de son effort au niveau du périnée puis se mit à vriller son poignet calmement en sifflotant, guilleret :" A la pêche aux moules, moules, moules..."



-Messieurs-Dames bonjour, contrôle des tickets s'il vous plaît.

Le contrôleur débonnaire qui venait de pénétrer dans la rame ne semblait pas méchant, il portait encore sur son visage juvénile l'acné de ses quinze ans et son long cou maigre laissait apparaitre au dessus du col de l'uniforme une pomme d'Adam saillante et tressautante du plus bandant effet.  Attiré par des cris stridents et l'odeur de la moule, Jack continuait son travail méticuleux, le jeune contrôleur s'approcha de la femme tiraillée de douleur et lui glissa à l'oreille : "Est-ce que, lorsqu'on sait que l'on va mourir, on acquiert une lucidité qu'on n'a pas eue auparavant ?", il aimait citer, in vivo, des auteurs célèbres, il croyait ainsi égayer la morne vie du peuple voyageur.

Sans se soucier de cet hurluberlu anecdotique, Jack qui avait dans sa prime jeunesse pratiqué, le temps d'un stage d'été, le beau métier d'assistant désanusseur de porc breton, savait bien comment s'y prendre avec la madame. Une fois un cercle de bidoche taillé autour des grandes lèvres, il retira l'épluche patate et son pouce d'un coup sec. Il prit l'économe rouillé entre les dents puis plongea ses deux mains dans la plaie circulaire béante qui ressemblait à une sorte de césarienne pratiquée à l'ouvre boite, puis en s'appuyant sur son gros cul et en écartant les jambes de la dame avec ses pieds, il tira un grand coup sec et tout l'appareil génital se déversa dans une grande marre de sang sur le sol souillé de la rame. Jack sectionna tout ce qui reliait la matrice à sa donneuse d'organe improvisée avec l'opinel qu'il avait tantôt arraché au clochard sur le quai. Il enfoura alors entièrement sa main droite dans le vagin en faisant passer son pouce et son auriculaire dans les trompes ovariennes qui pendouillaient puis brandit son trophée au peuple neurasténique et très peu impressionné par les lois de non assistance à personne en danger. Jack ramassa de l'autre main ce qu'il restait de l'appendice reproducteur de Lech puis s'approchant d'un garçonnet éploré, prit pour quête de lui donner une leçon gratuite d'éducation sexuelle. « Che chuis bibitte ! » « Ché moi, Chachatte ! » Entonnait Jack avec grand peine puisque l'économe rouillé entre ses dents lui chatouillait les gencives. Il prit un air attendri puis se mit à gesticuler comme s'il avait tenu deux marionnettes dans chacune de ses paumes.

Titre: Re : serial insert
Posté par: Das le Novembre 29, 2009, 18:06:07
4 - Les Catilinaires

Jack secouant la tête comme un chien mouillé épileptique pour reprendre ses esprits, se souvint de cet épluche patates rouillé qu'il gardait toujours scotché sous les aisselles au cas où quelque enculé lui tombe dessus par  surprise. Il s'empressa de le brandir, menaçant, à l'ensemble des usagers de la rame émerveillés par la touffe de poils que le ruban adhésif avait arraché. "Mesdames, Messieurs, je viens pas faire la manche, je suis pas Louis Blériot, bande de conards. Je viens faire mon marché." Jack bondit sur une première dame et lui enfonça d'un geste franc le pouce de la main qui serrait l'économe rouillé dans la chatte. Il la planta dans le prolongement de son effort au niveau du périnée puis se mit à vriller son poignet calmement en sifflotant, guilleret :" A la pêche aux moules, moules, moules..."



-Messieurs-Dames bonjour, contrôle des tickets s'il vous plaît.

Le contrôleur débonnaire qui venait de pénétrer dans la rame ne semblait pas méchant, il portait encore sur son visage juvénile l'acné de ses quinze ans et son long cou maigre laissait apparaitre au dessus du col de l'uniforme une pomme d'Adam saillante et tressautante du plus bandant effet.  Attiré par des cris stridents et l'odeur de la moule, Jack continuait son travail méticuleux, le jeune contrôleur s'approcha de la femme tiraillée de douleur et lui glissa à l'oreille : "Est-ce que, lorsqu'on sait que l'on va mourir, on acquiert une lucidité qu'on n'a pas eue auparavant ?", il aimait citer, in vivo, des auteurs célèbres, il croyait ainsi égayer la morne vie du peuple voyageur.

Sans se soucier de cet hurluberlu anecdotique, Jack qui avait dans sa prime jeunesse pratiqué, le temps d'un stage d'été, le beau métier d'assistant désanusseur de porc breton, savait bien comment s'y prendre avec la madame. Une fois un cercle de bidoche taillé autour des grandes lèvres, il retira l'épluche patate et son pouce d'un coup sec. Il prit l'économe rouillé entre les dents puis plongea ses deux mains dans la plaie circulaire béante qui ressemblait à une sorte de césarienne pratiquée à l'ouvre boite, puis en s'appuyant sur son gros cul et en écartant les jambes de la dame avec ses pieds, il tira un grand coup sec et tout l'appareil génital se déversa dans une grande marre de sang sur le sol souillé de la rame. Jack sectionna tout ce qui reliait la matrice à sa donneuse d'organe improvisée avec l'opinel qu'il avait tantôt arraché au clochard sur le quai. Il enfoura alors entièrement sa main droite dans le vagin en faisant passer son pouce et son auriculaire dans les trompes ovariennes qui pendouillaient puis brandit son trophée au peuple neurasténique et très peu impressionné par les lois de non assistance à personne en danger. Jack ramassa de l'autre main ce qu'il restait de l'appendice reproducteur de Lech puis s'approchant d'un garçonnet éploré, prit pour quête de lui donner une leçon gratuite d'éducation sexuelle. « Che chuis bibitte ! » « Ché moi, Chachatte ! » Entonnait Jack avec grand peine puisque l'économe rouillé entre ses dents lui chatouillait les gencives. Il prit un air attendri puis se mit à gesticuler comme s'il avait tenu deux marionnettes dans chacune de ses paumes.
A côté du corps de la victime, un jeune homme de seize ou dix sept ans avait taché son beau bermuda beige d'urine. Jack lui proposa de se détendre et lui offrit une cigarette que le gamin refusa avant de fondre en larme en bavant des pathétiques "mamans" .
Titre: Re : Re : serial insert
Posté par: Kolokoltchiki le Novembre 29, 2009, 19:11:34

4 - Les Catilinaires

Jack secouant la tête comme un chien mouillé épileptique pour reprendre ses esprits, se souvint de cet épluche patates rouillé qu'il gardait toujours scotché sous les aisselles au cas où quelque enculé lui tombe dessus par  surprise. Il s'empressa de le brandir, menaçant, à l'ensemble des usagers de la rame émerveillés par la touffe de poils que le ruban adhésif avait arraché. "Mesdames, Messieurs, je viens pas faire la manche, je suis pas Louis Blériot, bande de conards. Je viens faire mon marché." Jack bondit sur une première dame et lui enfonça d'un geste franc le pouce de la main qui serrait l'économe rouillé dans la chatte. Il la planta dans le prolongement de son effort au niveau du périnée puis se mit à vriller son poignet calmement en sifflotant, guilleret :" A la pêche aux moules, moules, moules..."



-Messieurs-Dames bonjour, contrôle des tickets s'il vous plaît.

Le contrôleur débonnaire qui venait de pénétrer dans la rame ne semblait pas méchant, il portait encore sur son visage juvénile l'acné de ses quinze ans et son long cou maigre laissait apparaitre au dessus du col de l'uniforme une pomme d'Adam saillante et tressautante du plus bandant effet.  Attiré par des cris stridents et l'odeur de la moule, Jack continuait son travail méticuleux, le jeune contrôleur s'approcha de la femme tiraillée de douleur et lui glissa à l'oreille : "Est-ce que, lorsqu'on sait que l'on va mourir, on acquiert une lucidité qu'on n'a pas eue auparavant ?", il aimait citer, in vivo, des auteurs célèbres, il croyait ainsi égayer la morne vie du peuple voyageur.

Sans se soucier de cet hurluberlu anecdotique, Jack qui avait dans sa prime jeunesse pratiqué, le temps d'un stage d'été, le beau métier d'assistant désanusseur de porc breton, savait bien comment s'y prendre avec la madame. Une fois un cercle de bidoche taillé autour des grandes lèvres, il retira l'épluche patate et son pouce d'un coup sec. Il prit l'économe rouillé entre les dents puis plongea ses deux mains dans la plaie circulaire béante qui ressemblait à une sorte de césarienne pratiquée à l'ouvre boite, puis en s'appuyant sur son gros cul et en écartant les jambes de la dame avec ses pieds, il tira un grand coup sec et tout l'appareil génital se déversa dans une grande marre de sang sur le sol souillé de la rame. Jack sectionna tout ce qui reliait la matrice à sa donneuse d'organe improvisée avec l'opinel qu'il avait tantôt arraché au clochard sur le quai. Il enfoura alors entièrement sa main droite dans le vagin en faisant passer son pouce et son auriculaire dans les trompes ovariennes qui pendouillaient puis brandit son trophée au peuple neurasténique et très peu impressionné par les lois de non assistance à personne en danger. Jack ramassa de l'autre main ce qu'il restait de l'appendice reproducteur de Lech puis s'approchant d'un garçonnet éploré, prit pour quête de lui donner une leçon gratuite d'éducation sexuelle. « Che chuis bibitte ! » « Ché moi, Chachatte ! » Entonnait Jack avec grand peine puisque l'économe rouillé entre ses dents lui chatouillait les gencives. Il prit un air attendri puis se mit à gesticuler comme s'il avait tenu deux marionnettes dans chacune de ses paumes.
A côté du corps de la victime, un jeune homme de seize ou dix sept ans avait taché son beau bermuda beige d'urine. Jack lui proposa de se détendre et lui offrit une cigarette que le gamin refusa avant de fondre en larme en bavant des pathétiques "mamans" .
C'est alors que le contrôleur s'avanca en prononçant d'étranges psaumes inaudibles, tout en fixant l'âme de Jack. Tout devint noir. Quand Jack se réveilla, il s'appellait Jacques et il était alongé dans une forêt de conifères en compagnie de l'adolescent sus-nommé.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Hag le Novembre 29, 2009, 19:32:04

4 - Les Catilinaires

Jack secouant la tête comme un chien mouillé épileptique pour reprendre ses esprits, se souvint de cet épluche patates rouillé qu'il gardait toujours scotché sous les aisselles au cas où quelque enculé lui tombe dessus par  surprise. Il s'empressa de le brandir, menaçant, à l'ensemble des usagers de la rame émerveillés par la touffe de poils que le ruban adhésif avait arraché. "Mesdames, Messieurs, je viens pas faire la manche, je suis pas Louis Blériot, bande de conards. Je viens faire mon marché." Jack bondit sur une première dame et lui enfonça d'un geste franc le pouce de la main qui serrait l'économe rouillé dans la chatte. Il la planta dans le prolongement de son effort au niveau du périnée puis se mit à vriller son poignet calmement en sifflotant, guilleret :" A la pêche aux moules, moules, moules..."



-Messieurs-Dames bonjour, contrôle des tickets s'il vous plaît.

Le contrôleur débonnaire qui venait de pénétrer dans la rame ne semblait pas méchant, il portait encore sur son visage juvénile l'acné de ses quinze ans et son long cou maigre laissait apparaitre au dessus du col de l'uniforme une pomme d'Adam saillante et tressautante du plus bandant effet.  Attiré par des cris stridents et l'odeur de la moule, Jack continuait son travail méticuleux, le jeune contrôleur s'approcha de la femme tiraillée de douleur et lui glissa à l'oreille : "Est-ce que, lorsqu'on sait que l'on va mourir, on acquiert une lucidité qu'on n'a pas eue auparavant ?", il aimait citer, in vivo, des auteurs célèbres, il croyait ainsi égayer la morne vie du peuple voyageur.

Sans se soucier de cet hurluberlu anecdotique, Jack qui avait dans sa prime jeunesse pratiqué, le temps d'un stage d'été, le beau métier d'assistant désanusseur de porc breton, savait bien comment s'y prendre avec la madame. Une fois un cercle de bidoche taillé autour des grandes lèvres, il retira l'épluche patate et son pouce d'un coup sec. Il prit l'économe rouillé entre les dents puis plongea ses deux mains dans la plaie circulaire béante qui ressemblait à une sorte de césarienne pratiquée à l'ouvre boite, puis en s'appuyant sur son gros cul et en écartant les jambes de la dame avec ses pieds, il tira un grand coup sec et tout l'appareil génital se déversa dans une grande marre de sang sur le sol souillé de la rame. Jack sectionna tout ce qui reliait la matrice à sa donneuse d'organe improvisée avec l'opinel qu'il avait tantôt arraché au clochard sur le quai. Il enfoura alors entièrement sa main droite dans le vagin en faisant passer son pouce et son auriculaire dans les trompes ovariennes qui pendouillaient puis brandit son trophée au peuple neurasténique et très peu impressionné par les lois de non assistance à personne en danger. Jack ramassa de l'autre main ce qu'il restait de l'appendice reproducteur de Lech puis s'approchant d'un garçonnet éploré, prit pour quête de lui donner une leçon gratuite d'éducation sexuelle. « Che chuis bibitte ! » « Ché moi, Chachatte ! » Entonnait Jack avec grand peine puisque l'économe rouillé entre ses dents lui chatouillait les gencives. Il prit un air attendri puis se mit à gesticuler comme s'il avait tenu deux marionnettes dans chacune de ses paumes.
A côté du corps de la victime, un jeune homme de seize ou dix sept ans avait taché son beau bermuda beige d'urine. Jack lui proposa de se détendre et lui offrit une cigarette que le gamin refusa avant de fondre en larme en bavant des pathétiques "mamans" .
C'est alors que le contrôleur s'avanca en prononçant d'étranges psaumes inaudibles, tout en fixant l'âme de Jack. Tout devint noir. Quand Jack se réveilla, il s'appellait Jacques et il était alongé dans une forêt de conifères en compagnie de l'adolescent sus-nommé. Il avisa un écureuil à quelques centimètres de là et qui semblait fort occupé à secouer un gland.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Novembre 30, 2009, 09:09:36
4 - Les Catilinaires

Jack secouant la tête comme un chien mouillé épileptique pour reprendre ses esprits, se souvint de cet épluche patates rouillé qu'il gardait toujours scotché sous les aisselles au cas où quelque enculé lui tombe dessus par  surprise. Il s'empressa de le brandir, menaçant, à l'ensemble des usagers de la rame émerveillés par la touffe de poils que le ruban adhésif avait arraché. "Mesdames, Messieurs, je viens pas faire la manche, je suis pas Louis Blériot, bande de conards. Je viens faire mon marché." Jack bondit sur une première dame et lui enfonça d'un geste franc le pouce de la main qui serrait l'économe rouillé dans la chatte. Il la planta dans le prolongement de son effort au niveau du périnée puis se mit à vriller son poignet calmement en sifflotant, guilleret :" A la pêche aux moules, moules, moules..."



-Messieurs-Dames bonjour, contrôle des tickets s'il vous plaît.

Le contrôleur débonnaire qui venait de pénétrer dans la rame ne semblait pas méchant, il portait encore sur son visage juvénile l'acné de ses quinze ans et son long cou maigre laissait apparaitre au dessus du col de l'uniforme une pomme d'Adam saillante et tressautante du plus bandant effet.  Attiré par des cris stridents et l'odeur de la moule, Jack continuait son travail méticuleux, le jeune contrôleur s'approcha de la femme tiraillée de douleur et lui glissa à l'oreille : "Est-ce que, lorsqu'on sait que l'on va mourir, on acquiert une lucidité qu'on n'a pas eue auparavant ?", il aimait citer, in vivo, des auteurs célèbres, il croyait ainsi égayer la morne vie du peuple voyageur.

Sans se soucier de cet hurluberlu anecdotique, Jack qui avait dans sa prime jeunesse pratiqué, le temps d'un stage d'été, le beau métier d'assistant désanusseur de porc breton, savait bien comment s'y prendre avec la madame. Une fois un cercle de bidoche taillé autour des grandes lèvres, il retira l'épluche patate et son pouce d'un coup sec. Il prit l'économe rouillé entre les dents puis plongea ses deux mains dans la plaie circulaire béante qui ressemblait à une sorte de césarienne pratiquée à l'ouvre boite, puis en s'appuyant sur son gros cul et en écartant les jambes de la dame avec ses pieds, il tira un grand coup sec et tout l'appareil génital se déversa dans une grande marre de sang sur le sol souillé de la rame. Jack sectionna tout ce qui reliait la matrice à sa donneuse d'organe improvisée avec l'opinel qu'il avait tantôt arraché au clochard sur le quai. Il enfoura alors entièrement sa main droite dans le vagin en faisant passer son pouce et son auriculaire dans les trompes ovariennes qui pendouillaient puis brandit son trophée au peuple neurasténique et très peu impressionné par les lois de non assistance à personne en danger. Jack ramassa de l'autre main ce qu'il restait de l'appendice reproducteur de Lech puis s'approchant d'un garçonnet éploré, prit pour quête de lui donner une leçon gratuite d'éducation sexuelle. « Che chuis bibitte ! » « Ché moi, Chachatte ! » Entonnait Jack avec grand peine puisque l'économe rouillé entre ses dents lui chatouillait les gencives. Il prit un air attendri puis se mit à gesticuler comme s'il avait tenu deux marionnettes dans chacune de ses paumes.
A côté du corps de la victime, un jeune homme de seize ou dix sept ans avait taché son beau bermuda beige d'urine. Jack lui proposa de se détendre et lui offrit une cigarette que le gamin refusa avant de fondre en larme en bavant des pathétiques "mamans" .
C'est alors que le contrôleur s'avanca en prononçant d'étranges psaumes inaudibles, tout en fixant l'âme de Jack. Tout devint noir. Quand Jack se réveilla, il s'appellait Jacques et il était alongé dans une forêt de conifères en compagnie de l'adolescent sus-nommé. Il avisa un écureuil à quelques centimètres de là et qui semblait fort occupé à secouer un gland. Il pensa un moment proposer ses noisettes au petit animal doux et roux mais se dit que ça suffisait ls jeux de mots foireux, surtout avec une francisation si percutante de son prénom - il se contenta donc de l'écraser du plat de sa ranger droite
   
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Décembre 05, 2009, 13:49:01
4 - Les Catilinaires

Jack secouant la tête comme un chien mouillé épileptique pour reprendre ses esprits, se souvint de cet épluche patates rouillé qu'il gardait toujours scotché sous les aisselles au cas où quelque enculé lui tombe dessus par  surprise. Il s'empressa de le brandir, menaçant, à l'ensemble des usagers de la rame émerveillés par la touffe de poils que le ruban adhésif avait arraché. "Mesdames, Messieurs, je viens pas faire la manche, je suis pas Louis Blériot, bande de conards. Je viens faire mon marché." Jack bondit sur une première dame et lui enfonça d'un geste franc le pouce de la main qui serrait l'économe rouillé dans la chatte. Il la planta dans le prolongement de son effort au niveau du périnée puis se mit à vriller son poignet calmement en sifflotant, guilleret :" A la pêche aux moules, moules, moules..."

-Messieurs-Dames bonjour, contrôle des tickets s'il vous plaît.

Le contrôleur débonnaire qui venait de pénétrer dans la rame ne semblait pas méchant, il portait encore sur son visage juvénile l'acné de ses quinze ans et son long cou maigre laissait apparaitre au dessus du col de l'uniforme une pomme d'Adam saillante et tressautante du plus bandant effet.  Attiré par des cris stridents et l'odeur de la moule, Jack continuait son travail méticuleux, le jeune contrôleur s'approcha de la femme tiraillée de douleur et lui glissa à l'oreille : "Est-ce que, lorsqu'on sait que l'on va mourir, on acquiert une lucidité qu'on n'a pas eue auparavant ?", il aimait citer, in vivo, des auteurs célèbres, il croyait ainsi égayer la morne vie du peuple voyageur.

Sans se soucier de cet hurluberlu anecdotique, Jack qui avait dans sa prime jeunesse pratiqué le kayak de mer, le sabotage d'une ligne TGV, la varape, l'onanisme avec un écureuil doux et roux, la planche à voile, le VTT, la ratonade, la fellation de l'abbé pierre, le théâtre de boulevard, la guerre en rangers, la batterie, l'excision, la plongée, la mini-moto, la sodomie avec le fils d'une garde barrière, le temps d'un stage d'été, et le beau métier d'assistant désanusseur de porc breton, savait bien comment s'y prendre avec la madame. Une fois un cercle de bidoche taillé autour des grandes lèvres, il retira l'épluche patate et son pouce d'un coup sec. Il prit l'économe rouillé entre les dents puis plongea ses deux mains dans la plaie circulaire béante qui ressemblait à une sorte de césarienne pratiquée à l'ouvre boite, puis en s'appuyant sur son gros cul et en écartant les jambes de la dame avec ses pieds, il tira un grand coup sec et tout l'appareil génital se déversa dans une grande marre de sang sur le sol souillé de la rame. Jack sectionna tout ce qui reliait la matrice à sa donneuse d'organe improvisée avec l'opinel qu'il avait tantôt arraché au clochard sur le quai. Il enfoura alors entièrement sa main droite dans le vagin en faisant passer son pouce et son auriculaire dans les trompes ovariennes qui pendouillaient puis brandit son trophée au peuple neurasthénique et très peu impressionné par les lois de non assistance à personne en danger. Jack ramassa de l'autre main ce qu'il restait de l'appendice reproducteur de Lech puis s'approchant d'un garçonnet éploré, prit pour quête de lui donner une leçon gratuite d'éducation sexuelle. « Che chuis bibitte ! » « Ché moi, Chachatte ! » Entonnait Jack avec grand peine puisque l'économe rouillé entre ses dents lui chatouillait les gencives. Il prit un air attendri puis se mit à gesticuler comme s'il avait tenu deux marionnettes dans chacune de ses paumes. A côté du corps de la victime, un jeune homme de seize ou dix sept ans avait taché son beau bermuda beige d'urine. Jack lui proposa de se détendre et lui offrit une cigarette que le gamin refusa avant de fondre en larme en bavant des pathétiques "mamans".

C'est alors que le contrôleur s'avança en prononçant d'étranges psaumes inaudibles, tout en fixant l'âme de Jack. Tout devint noir. Quand Jack se réveilla, il s'appelait Jacques et il était allongé dans une forêt de conifères en compagnie de l'adolescent susnommé. Il avisa un écureuil à quelques centimètres de là et qui semblait fort occupé à secouer un gland. Il pensa un moment proposer ses noisettes au petit animal doux et roux mais se dit que ça suffisait les jeux de mots foireux, surtout avec une francisation si percutante de son prénom - il se contenta donc de l'écraser du plat de sa ranger droite.

Jack venait de rompre le puissant genjutsu que le contrôleur avait jeté sur lui. Lui qui connaissait l'intégrale de Naruto et Naruto Shippuden par cœur, qui chaque mercredi allait lire les spoils sur les sites spécialisés, qui chaque vendredi allait télécharger la version scannée du dernier épisode paru le jour même au Japon dans le magazine manga Shonen Jump, ne pouvait se faire avoir par un dôjutsu aussi pitoyable que le sharingan (写輪眼, Œil copieur tournoyant) à 2 tomoe lui qui possédait un MangeKyo Sharingan flamboyant. Il faisait partie de cette étrange communauté de geeks  français qui s'employaient à traduire les scans dans la langue de Molière et à les coloriser, parfois même à les animer et à les doubler en français. Il avait tissé un puissant réseau avec de nombreux ottakus  qui vivaient à Tokyo, Kyoto et Nagoya et était très actif dans le milieu. Jack venait d'énucléer le contrôleur et s'employait à raboter ses deux yeux avec l'économe rouillé en chantonnant :
« Je suis le poinçonneur des Lilas
Le gars qu'on croise et qu'on ne regarde pas
Y a pas de soleil sous la terre, drôle de croisière
Pour tuer l'ennui, j'ai dans ma veste
Les extraits du Reader's Digest
Et dans ce bouquin y a écrit
Que des gars se la coulent douce à Miami
Pendant ce temps que je fais le zouave
Au fond de la cave
Parait qu'il y a pas de sots métiers
Moi je fais des trous dans les billets

Je fais des trous, des petits trous, encore des petits trous
Des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous
Des trous de seconde classe, des trous de première classe.

Je fais des trous, des petits trous, encore des petits trous
Des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous
Des petits trous, des petits trous, des petits trous, des petits trous »
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Décembre 12, 2009, 13:02:51
5 -  Péplum

Lorsque la rame de métro s'immobilisa sur le quai de la station Père Lachaise, tout n'était plus que luxe, calme et volupté. De grandes giclées de sang recouvraient portillons et fenêtres du wagon et obstruaient la vue à quiconque eut voulu entrapercevoir l'antre de la bête mécanique. Quelques mains livides marbrées de veines noires ou d'autres écorchées vives dépassaient des semi-battants, ongles arrachés et retroussés, phalanges brisées. Quelques organes palpitants tressaillaient encore après avoir improbablement traversé les joints caoutchouteux des portes à fermeture semi automatique. Il y eu un long silence puis les portillons s'ouvrirent de concert sans que la moindre alarme ne soit enclenchée.  Jack se tenait nu  baignant dans d'une gigantesque bouillabaisse humaine.  Quelques râles de –ci, quelques expirations de-là, tapissaient le vide cosmique d'une ambiance sonore assez proche de celles que seul David Guetta savait entretenir dans ses folles soirées à Ibiza. Un bref songe extatique traversa l'esprit de Jack, il se remémora l'espace d'un éclair ses exploits dans les backrooms  luxueux  grouillants de teutons et de gretchens aux corps moites et velus. Il était plus connu en ces lieux, en ces temps reclus, sous le joyeux sobriquet du « Super cosmic head fucker » Un sursaut vînt l'étreindre quand une réminiscence de la soirée à thème « sodomie et castagnettes » irrigua des zones de son cerveau qu'à jamais il s'était interdit d'explorer de nouveau. Il y avait des nabuchodonosors de Moët & Chandon, des centaines, enfourés dans des cohortes d'orifices germaniques et sabrés tour à tour par le gotha de l'élite des acteurs d'AB production. L'année du nouveau millénaire fut dignement célébrée.

C'est à ce moment précis, que Jack aperçu les légions de CRS et membres du GIGN qui le figeaient abasourdis sur le quai de la station Père Lachaise.  Un « Go ! Go ! Go ! » étouffé retentit et tous ces cancrelats s'engouffrèrent d'un  seul assaut gluant dans la rame.
Titre: Re : serial insert
Posté par: Yog le Décembre 13, 2009, 14:18:00
5 -  Péplum

Lorsque la rame de métro s'immobilisa sur le quai de la station Père Lachaise, tout n'était plus que luxe, calme et volupté. De grandes giclées de sang recouvraient portillons et fenêtres du wagon et obstruaient la vue à quiconque eut voulu entrapercevoir l'antre de la bête mécanique. Quelques mains livides marbrées de veines noires ou d'autres écorchées vives dépassaient des semi-battants, ongles arrachés et retroussés, phalanges brisées. Quelques organes palpitants tressaillaient encore après avoir improbablement traversé les joints caoutchouteux des portes à fermeture semi automatique. Il y eu un long silence puis les portillons s'ouvrirent de concert sans que la moindre alarme ne soit enclenchée.  Jack se tenait nu  baignant dans d'une gigantesque bouillabaisse humaine.  Quelques râles de –ci, quelques expirations de-là, tapissaient le vide cosmique d'une ambiance sonore assez proche de celles que seul David Guetta savait entretenir dans ses folles soirées à Ibiza. Un bref songe extatique traversa l'esprit de Jack, il se remémora l'espace d'un éclair ses exploits dans les backrooms  luxueux  grouillants de teutons et de gretchens aux corps moites et velus. Il était plus connu en ces lieux, en ces temps reclus, sous le joyeux sobriquet du « Super cosmic head fucker » Un sursaut vînt l'étreindre quand une réminiscence de la soirée à thème « sodomie et castagnettes » irrigua des zones de son cerveau qu'à jamais il s'était interdit d'explorer de nouveau. Il y avait des nabuchodonosors de Moët & Chandon, des centaines, enfourés dans des cohortes d'orifices germaniques et sabrés tour à tour par le gotha de l'élite des acteurs d'AB production. L'année du nouveau millénaire fut dignement célébrée.

C'est à ce moment précis, que Jack aperçu les légions de CRS et membres du GIGN qui le figeaient abasourdis sur le quai de la station Père Lachaise.  Un « Go ! Go ! Go ! » étouffé retentit et tous ces cancrelats s'engouffrèrent d'un  seul assaut gluant dans la rame.
Les yeux révulsés, l'écume au lèvre et la bite à l'air, Jack se saisit d'un moignon de bras qu'il brandit au dessus de son imperméable face à la pléthore d'uniformes fondant sur lui. Brièvement il cru voir une frele pucelle vetue de blanc et coiffée d'une couronne de fleurs d'oranger passer à la périphérie de son champ visuel; revigoré" il fit face et de sa gorge profonde s'élevé son chant du cygne, son cri de guerre "FREEDOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOM §§§"
Titre: Re : serial insert
Posté par: Das le Décembre 13, 2009, 18:31:57
5 -  Péplum

Lorsque la rame de métro s'immobilisa sur le quai de la station Père Lachaise, tout n'était plus que luxe, calme et volupté. De grandes giclées de sang recouvraient portillons et fenêtres du wagon et obstruaient la vue à quiconque eut voulu entrapercevoir l'antre de la bête mécanique. Quelques mains livides marbrées de veines noires ou d'autres écorchées vives dépassaient des semi-battants, ongles arrachés et retroussés, phalanges brisées. Quelques organes palpitants tressaillaient encore après avoir improbablement traversé les joints caoutchouteux des portes à fermeture semi automatique. Il y eu un long silence puis les portillons s'ouvrirent de concert sans que la moindre alarme ne soit enclenchée.  Jack se tenait nu  baignant dans d'une gigantesque bouillabaisse humaine.  Quelques râles de –ci, quelques expirations de-là, tapissaient le vide cosmique d'une ambiance sonore assez proche de celles que seul David Guetta savait entretenir dans ses folles soirées à Ibiza. Un bref songe extatique traversa l'esprit de Jack, il se remémora l'espace d'un éclair ses exploits dans les backrooms  luxueux  grouillants de teutons et de gretchens aux corps moites et velus. Il était plus connu en ces lieux, en ces temps reclus, sous le joyeux sobriquet du « Super cosmic head fucker » Un sursaut vînt l'étreindre quand une réminiscence de la soirée à thème « sodomie et castagnettes » irrigua des zones de son cerveau qu'à jamais il s'était interdit d'explorer de nouveau. Il y avait des nabuchodonosors de Moët & Chandon, des centaines, enfourés dans des cohortes d'orifices germaniques et sabrés tour à tour par le gotha de l'élite des acteurs d'AB production. L'année du nouveau millénaire fut dignement célébrée.

C'est à ce moment précis, que Jack aperçu les légions de CRS et membres du GIGN qui le figeaient abasourdis sur le quai de la station Père Lachaise.  Un « Go ! Go ! Go ! » étouffé retentit et tous ces cancrelats s'engouffrèrent d'un  seul assaut gluant dans la rame.
Les yeux révulsés, l'écume au lèvre et la bite à l'air, Jack se saisit d'un moignon de bras qu'il brandit au dessus de son imperméable face à la pléthore d'uniformes fondant sur lui. Brièvement il cru voir une frele pucelle vetue de blanc et coiffée d'une couronne de fleurs d'oranger passer à la périphérie de son champ visuel; revigoré" il fit face et de sa gorge profonde s'élevé son chant du cygne, son cri de guerre "FREEDOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOM §§§" ou quelque chose du genre, il ne se souvenait pas très bien, ça aurait très bien pu être "Ananas", personne ne l'aurait remarqué. Tout le monde était bien trop occupé à à mater la donzelle qui ne se doutait visiblement de rien. Tandis que les hommes qui entouraient Jack commençaient à croiser les jambes et à prendre un teint bien vif, s'engagea entre les CRS et Jack une course insensée pour protéger la jeune fille. Chacun voyait en l'entité en face de lui un prédateur qui ne laisserait aucune chance à cette superbe couronne de sortir indemne. Ils bondirent au même moment et déployèrent toute leur énergie pour arriver le premier. A moins de eux mètres, Jack, qui, comme nous l'avons vu lors du premier épisode, jouissait d'une maîtrise spatiale en milieu aérien particulièrement efficace, se jeta tête en avant, comme il avait vu le faire René sur la piste de savon, à la finale d'Interville en 1998, ou Bourgoin-Jallieu avait d'ailleurs arraché la victoire à Mont-de-marsan, grâce à José, pompier de 26 ans, dont le courage fut ensuite salué par la presse entière pour cet acte héroïque.
Titre: Re : serial insert
Posté par: lapinchien le Décembre 19, 2009, 14:46:31
5 -  Péplum

Lorsque la rame de métro s'immobilisa sur le quai de la station Père Lachaise, tout n'était plus que luxe, calme et volupté. De grandes giclées de sang recouvraient portillons et fenêtres du wagon et obstruaient la vue à quiconque eut voulu entrapercevoir l'antre de la bête mécanique. Quelques mains livides marbrées de veines noires ou d'autres écorchées vives dépassaient des semi-battants, ongles arrachés et retroussés, phalanges brisées. Quelques organes palpitants tressaillaient encore après avoir improbablement traversé les joints caoutchouteux des portes à fermeture semi automatique. Il y eu un long silence puis les portillons s'ouvrirent de concert sans que la moindre alarme ne soit enclenchée.  Jack se tenait nu  baignant dans d'une gigantesque bouillabaisse humaine.  Quelques râles de –ci, quelques expirations de-là, tapissaient le vide cosmique d'une ambiance sonore assez proche de celles que seul David Guetta savait entretenir dans ses folles soirées à Ibiza. Un bref songe extatique traversa l'esprit de Jack, il se remémora l'espace d'un éclair ses exploits dans les backrooms  luxueux  grouillants de teutons et de gretchens aux corps moites et velus. Il était plus connu en ces lieux, en ces temps reclus, sous le joyeux sobriquet du « Super cosmic head fucker » Un sursaut vînt l'étreindre quand une réminiscence de la soirée à thème « sodomie et castagnettes » irrigua des zones de son cerveau qu'à jamais il s'était interdit d'explorer de nouveau. Il y avait des nabuchodonosors de Moët & Chandon, des centaines, enfourés dans des cohortes d'orifices germaniques et sabrés tour à tour par le gotha de l'élite des acteurs d'AB production. L'année du nouveau millénaire fut dignement célébrée.

C'est à ce moment précis, que Jack aperçu les légions de CRS et membres du GIGN qui le figeaient abasourdis sur le quai de la station Père Lachaise.  Un « Go ! Go ! Go ! » étouffé retentit et tous ces cancrelats s'engouffrèrent d'un  seul assaut gluant dans la rame.

Les yeux révulsés, l'écume aux lèvres et la bite à l'air, Jack se saisit d'un moignon de bras qu'il brandit au dessus de son imperméable face à la pléthore d'uniformes fondant sur lui. Brièvement il cru voir une frêle pucelle vêtue de blanc et coiffée d'une couronne de fleurs d'oranger passer à la périphérie de son champ visuel. Revigoré,  il fit face et de sa gorge profonde s'éleva son chant du cygne, son cri de guerre "FREEDOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOM §§§" ou quelque chose du genre, il ne se souvenait pas très bien, ça aurait très bien pu être "Ananas", personne ne l'aurait remarqué. Tout le monde était bien trop occupé à  mater la donzelle qui ne se doutait visiblement de rien. Tandis que les hommes qui entouraient Jack commençaient à croiser les jambes et à prendre un teint bien vif, s'engagea entre les CRS et Jack une course insensée pour protéger la jeune fille. Chacun voyait en l'entité en face de lui un prédateur qui ne laisserait aucune chance à cette superbe couronne de sortir indemne. Ils bondirent au même moment et déployèrent toute leur énergie pour y arriver en  premier. A moins de deux mètres, Jack, qui, comme nous l'avons vu lors du premier épisode, jouissait d'une maîtrise spatiale en milieu aérien particulièrement efficace, se jeta tête en avant, comme il avait vu faire René sur la piste de savon, à la finale d'Interville en 1998, ou Bourgoin-Jallieu avait d'ailleurs arraché la victoire à Mont-de-marsan, grâce à José, pompier de 26 ans, dont le courage fut ensuite salué par la presse entière pour cet acte héroïque.

Tout se déroulait à présent au ralenti. C'est ce qu'il se passe, parait-il, quand on est au seuil de la mort. Le temps s'égraine de plus en plus lentement, jusqu'à ce que nos dernières secondes d'agonie ne se convertissent en éternité. Nous sommes intemporels mais nous n'en n'avons pas conscience. Le temps est relatif aux êtres et les dernières nanosecondes  d'une vie s'étirent à l'infini pour les mourants alors qu'elles s'étiolent instantanément pour ceux qui les survivent. C'est ce qu'on appelle l'enfer.

Jack ne sentit pas les deux premières balles perforer son torse et le temps s'allongeant ensuite, sa douleur s'en retrouva diluée, vive au départ puis supportable et finalement imperceptible.  Il y eut une rafale encore qu'il ne put esquiver. Son oreille droite éclata, puis sa mâchoire se fendit en 10 morceaux. Une balle trancha sa carotide.  Jack assistait ébahi à un formidable ballet où se mêlaient giclées d'hémoglobine, de peau et de morceaux d'organes, telles d'improbables éruptions solaires émanant de sa personne, les balles s'allongeant petit à petit sur leur propre trajectoire comme de longues tiges métalliques végétales,  des assaillants au rictus grotesques embourbés dans l'intemporalité qui envahissait les lieux et cette resplendissante jeune femme, la beauté incarnée, courbes saillantes et rebondies, visage aux symétries parfaites sublimées, combinées à des pléthores d'asymétries harmonieusement constellées, la finalité du tout.  L'étude Opus 10 numéro 3 en Mi Majeur de Chopin se mit à jouer en boucle dans l'esprit de Jack tesselé par la vérité.
Jack profitant de cette manne que lui offrait l'existence décida de prendre son temps puisqu'il en disposait à profusion, bien plus en tous cas que celui de tous ces mannequins de cire figés face à son omnipotence.  Il se surprit à reconsidérer ses priorités.  Il avait un objectif en tête alors il entreprit, déterminé, de se focaliser sur ses motivations primaires sans se soucier du bruit cosmique anecdotique. Il  avait appris par cœur la moindre ligne de ce magnifique recueil de recettes de cuisines que lui avaient offert ses parents à  Noël pour ses 5 ans, le seul cadeau qu'il n'avait jamais reçu d'eux d' ailleurs, à part bien sûr le présent de la vie, le seul qu'on ne puisse refuser qu'après coup.

« Le pot-au-feu est un plat traditionnel de la cuisine française, à base de viande de bœuf et de légumes. La cuisson se fait dans un bouillon aromatisé par des herbes (thym, persil, laurier...) et des légumes.  Il y a de multiples choix d'ingrédients, aussi diront nous qu'il y a autant de pot-au-feu que de cuisiniers. Cependant  l'impasse n'est pas permise dans la liste d'ingrédients qui suivent qui bien entendu doivent être choisis avec la plus délicate des attentions. La fraîcheur et la qualité des produits étant principalement la clef du succès de la facture du plat... »
Jack désenficha  son gode suisse multifonction de sa ceinture, prit une grande inspiration puis se mit à psalmodier en gloussant du sang et des bouts de cartilages...
« viande de boeuf : jarret, joue, paleron, gite, culotte et queue... » En un mouvement de molette des lames de rasoir surgirent des quatre coins du gode. Jack le fit fondre une vingtaine de fois de suite par dedans la visière du casque d'un des CRS immobiles.
« os à moelle » En pressant deux bouton latéraux un équarisseur à sangliers jaillit par une fente escamotée de l'appareil. Jack propulsa son gode dans les airs où il tournoyait au ralenti, ce qui lui laissa le temps d'alpaguer deux de ses assaillants par le col. Leur casque s'entrechoquèrent violement avant que  Jack n'attrape son arme au vol et ne l'emploie à raboter la colonne vertébrale d'un des deux cafards qu'il avait assommé. Les cervicales furent crochetées par l'arme et dans le prolongement du mouvement de Jack arrachées d'un seul tenant de leur hôte originel. Voilà que les bouts d'os entrelacés de muscles mis à nu, dégainés comme de simples câbles électriques,  venaient compléter le gode multifonction de Jack. Il se mit à le faire tournoyer tel un fouet.

« oignon, ail , poireau, carotte » Le fouet s'enroula  sur le cou d'un des membres du GIGN qui tentait d'attraper Jack par traitrise. Jack tira un coup sec et la tête de l'assaillant fût propulsée jusque dans les néons qui ornaient de plafond de la rame. Il y eu un grésillement, une odeur de steack grillé comme au restaurant quand c'est dessiné dessus. Et puis les lumières s'éteignirent. On pouvait entendre Jack promouvoir 9 fruits et legumes par jour pour une meilleure santé. « chou » coup de tronçonneuse, « navet » coup de boule balayette  « pomme de terre » cri de terreur et un corps ensanglanté traverser  un des portillons en l'explosant au passage avant de s'écraser sur le quai de la station Père Lachaise «  branche de céleri » Une immense détonation qui fit se gondoler la rame et toute sa structure en métal léger se gonfler comme s'il ce fût agit d'un ballon de baudruche « clous de girofle » Une épaisse fumée noire s'échappait de toutes les issues dont toutes les vitres avaient été disséminées sur les deux quais « plantes aromatisées (thym, laurier, persil...) »
De l'épaisse fumée au bout d'un temps certain. Un être sortit à l'agonie en titubant. Il s'agissait de la resplendissante jeune rescapée, la frêle pucelle vêtue de blanc et coiffée d'une couronne de fleurs d'oranger. Elle s'écroula sur les bris de verre sur le  quai après avoir tenté deux, trois pas hésitants. Le silence sublime qui avait drapé les lieux, au bout d'un laps de temps assez conséquent, on put imperceptiblement deviner d'abord puis petit à petit entendre un sifflotement surgissant de nulle part. Il s'agissait  de L'étude Opus 10 numéro 3 en Mi Majeur de Chopin entrecoupées de rires sadiques et de gloussements. Il y eut le résonnement d'une improbable flatulence qui fit écho jusque dans les stations voisines  Rue Saint-Maur, Gambetta, Ménilmontant et Philippe Auguste. L'onde de choc fit péter deux, trois caténaires et à ce même instant Jack se tortillait par à-coups avec peine et détermination, il glissait tant bien que mal pour sortir du fondement de la jeune pucelle  dans lequel il avait à peine eu le temps de se planquer avant que ne se produise l'explosion de son  gode suisse multifonctions.

Titre: Re : serial insert
Posté par: Kolokoltchiki le Décembre 21, 2009, 20:03:07

5 -  Péplum

Lorsque la rame de métro s'immobilisa sur le quai de la station Père Lachaise, tout n'était plus que luxe, calme et volupté. De grandes giclées de sang recouvraient portillons et fenêtres du wagon et obstruaient la vue à quiconque eut voulu entrapercevoir l’antre de la bête mécanique. Quelques mains livides marbrées de veines noires ou d’autres écorchées vives dépassaient des semi-battants, ongles arrachés et retroussés, phalanges brisées. Quelques organes palpitants tressaillaient encore après avoir improbablement traversé les joints caoutchouteux des portes à fermeture semi automatique. Il y eu un long silence puis les portillons s’ouvrirent de concert sans que la moindre alarme ne soit enclenchée.  Jack se tenait nu  baignant dans d’une gigantesque bouillabaisse humaine.  Quelques râles de –ci, quelques expirations de-là, tapissaient le vide cosmique d’une ambiance sonore assez proche de celles que seul David Guetta savait entretenir dans ses folles soirées à Ibiza. Un bref songe extatique traversa l’esprit de Jack, il se remémora l’espace d’un éclair ses exploits dans les backrooms  luxueux  grouillants de teutons et de gretchens aux corps moites et velus. Il était plus connu en ces lieux, en ces temps reclus, sous le joyeux sobriquet du « Super cosmic head fucker » Un sursaut vînt l’étreindre quand une réminiscence de la soirée à thème « sodomie et castagnettes » irrigua des zones de son cerveau qu’à jamais il s’était interdit d’explorer de nouveau. Il y avait des nabuchodonosors de Moët & Chandon, des centaines, enfourés dans des cohortes d’orifices germaniques et sabrés tour à tour par le gotha de l’élite des acteurs d’AB production. L’année du nouveau millénaire fut dignement célébrée.

C’est à ce moment précis, que Jack aperçu les légions de CRS et membres du GIGN qui le figeaient abasourdis sur le quai de la station Père Lachaise.  Un « Go ! Go ! Go ! » étouffé retentit et tous ces cancrelats s’engouffrèrent d'un  seul assaut gluant dans la rame.

Les yeux révulsés, l'écume aux lèvres et la bite à l'air, Jack se saisit d'un moignon de bras qu'il brandit au dessus de son imperméable face à la pléthore d'uniformes fondant sur lui. Brièvement il cru voir une frêle pucelle vêtue de blanc et coiffée d'une couronne de fleurs d'oranger passer à la périphérie de son champ visuel. Revigoré,  il fit face et de sa gorge profonde s'éleva son chant du cygne, son cri de guerre "FREEDOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOM §§§" ou quelque chose du genre, il ne se souvenait pas très bien, ça aurait très bien pu être "Ananas", personne ne l'aurait remarqué. Tout le monde était bien trop occupé à  mater la donzelle qui ne se doutait visiblement de rien. Tandis que les hommes qui entouraient Jack commençaient à croiser les jambes et à prendre un teint bien vif, s'engagea entre les CRS et Jack une course insensée pour protéger la jeune fille. Chacun voyait en l'entité en face de lui un prédateur qui ne laisserait aucune chance à cette superbe couronne de sortir indemne. Ils bondirent au même moment et déployèrent toute leur énergie pour y arriver en  premier. A moins de deux mètres, Jack, qui, comme nous l'avons vu lors du premier épisode, jouissait d'une maîtrise spatiale en milieu aérien particulièrement efficace, se jeta tête en avant, comme il avait vu faire René sur la piste de savon, à la finale d'Interville en 1998, ou Bourgoin-Jallieu avait d'ailleurs arraché la victoire à Mont-de-marsan, grâce à José, pompier de 26 ans, dont le courage fut ensuite salué par la presse entière pour cet acte héroïque.

Tout se déroulait à présent au ralenti. Sauf au sommet de Copenhague où Barack enculait vivement le petit Nicolas coincé entre un chinois et un afrikaner. C’est ce qu’il se passe, parait-il, quand on est au seuil de la mort. Le temps s’égraine de plus en plus lentement, jusqu’à ce que nos dernières secondes d’agonie ne se convertissent en éternité. Nous sommes intemporels mais nous n’en n’avons pas conscience. Le temps est relatif aux êtres et les dernières nanosecondes  d’une vie s’étirent à l’infini pour les mourants alors qu’elles s’étiolent instantanément pour ceux qui les survivent. C’est ce qu’on appelle l’enfer sur terre.

Jack ne sentit pas les deux premières balles perforer son torse et le temps s’allongeant ensuite, sa douleur s’en retrouva diluée, vive au départ puis supportable et finalement imperceptible.  Il y eut une rafale encore qu’il ne put esquiver. Son oreille droite éclata, puis sa mâchoire se fendit en 10 morceaux. Une balle trancha sa carotide.  Jack assistait ébahi à un formidable ballet où se mêlaient giclées d’hémoglobine, de peau et de morceaux d’organes, telles d’improbables éruptions solaires émanant de sa personne, les balles s’allongeant petit à petit sur leur propre trajectoire comme de longues tiges métalliques végétales,  des assaillants au rictus grotesques embourbés dans l’intemporalité qui envahissait les lieux et cette resplendissante jeune femme, la beauté incarnée, courbes saillantes et rebondies, visage aux symétries parfaites sublimées, combinées à des pléthores d’asymétries harmonieusement constellées, la finalité du tout.  L’étude Opus 10 numéro 3 en Mi Majeur de Chopin se mit à jouer en boucle dans l’esprit de Jack tesselé par la vérité.
Jack profitant de cette manne que lui offrait l’existence décida de prendre son temps puisqu’il en disposait à profusion, bien plus en tous cas que celui de tous ces mannequins de cire figés face à son omnipotence.  Il se surprit à reconsidérer ses priorités.  Il avait un objectif en tête alors il entreprit, déterminé, de se focaliser sur ses motivations primaires sans se soucier du bruit cosmique anecdotique. Il  avait appris par cœur la moindre ligne de ce magnifique recueil de recettes de cuisines que lui avaient offert ses parents à  Noël pour ses 5 ans, le seul cadeau qu’il n’avait jamais reçu d’eux d’ ailleurs, à part bien sûr le présent de la vie, le seul qu’on ne puisse refuser qu’après coup.

« Le pot-au-feu est un plat traditionnel de la cuisine française, à base de viande de bœuf et de légumes. La cuisson se fait dans un bouillon aromatisé par des herbes (thym, persil, laurier…) et des légumes.  Il y a de multiples choix d’ingrédients, aussi diront nous qu’il y a autant de pot-au-feu que de cuisiniers. Cependant  l’impasse n’est pas permise dans la liste d’ingrédients qui suivent qui bien entendu doivent être choisis avec la plus délicate des attentions. La fraîcheur et la qualité des produits étant principalement la clef du succès de la facture du plat… »
Jack désenficha  son gode suisse multifonction de sa ceinture, prit une grande inspiration puis se mit à psalmodier en gloussant du sang et des bouts de cartilages…
« viande de boeuf : jarret, joue, paleron, gite, culotte et queue... » En un mouvement de molette des lames de rasoir surgirent des quatre coins du gode. Jack le fit fondre une vingtaine de fois de suite par dedans la visière du casque d’un des CRS immobiles.
« os à moelle » En pressant deux bouton latéraux un équarisseur à sangliers jaillit par une fente escamotée de l’appareil. Jack propulsa son gode dans les airs où il tournoyait au ralenti, ce qui lui laissa le temps d’alpaguer deux de ses assaillants par le col. Leur casque s’entrechoquèrent violement avant que  Jack n’attrape son arme au vol et ne l’emploie à raboter la colonne vertébrale d’un des deux cafards qu’il avait assommé. Les cervicales furent crochetées par l’arme et dans le prolongement du mouvement de Jack arrachées d’un seul tenant de leur hôte originel. Voilà que les bouts d’os entrelacés de muscles mis à nu, dégainés comme de simples câbles électriques,  venaient compléter le gode multifonction de Jack. Il se mit à le faire tournoyer tel un fouet.

« oignon, ail , poireau, carotte » Le fouet s’enroula  sur le cou d’un des membres du GIGN qui tentait d’attraper Jack par traitrise. Jack tira un coup sec et la tête de l’assaillant fût propulsée jusque dans les néons qui ornaient de plafond de la rame. Il y eu un grésillement, une odeur de steack grillé comme au restaurant quand c’est dessiné dessus. Et puis les lumières s’éteignirent. On pouvait entendre Jack promouvoir 9 fruits et legumes par jour pour une meilleure santé. « chou » coup de tronçonneuse, « navet » coup de boule balayette  « pomme de terre » cri de terreur et un corps ensanglanté traverser  un des portillons en l’explosant au passage avant de s’écraser sur le quai de la station Père Lachaise «  branche de céleri » Une immense détonation qui fit se gondoler la rame et toute sa structure en métal léger se gonfler comme s’il ce fût agit d’un ballon de baudruche « clous de girofle » Une épaisse fumée noire s’échappait de toutes les issues dont toutes les vitres avaient été disséminées sur les deux quais « plantes aromatisées (thym, laurier, persil…) »
De l’épaisse fumée au bout d’un temps certain. Un être sortit à l’agonie en titubant. Il s’agissait de la resplendissante jeune rescapée, la frêle pucelle vêtue de blanc et coiffée d'une couronne de fleurs d'oranger. Elle s’écroula sur les bris de verre sur le  quai après avoir tenté deux, trois pas hésitants. Le silence sublime qui avait drapé les lieux, au bout d’un laps de temps assez conséquent, on put imperceptiblement deviner d’abord puis petit à petit entendre un sifflotement surgissant de nulle part. Il s’agissait  de L’étude Opus 10 numéro 3 en Mi Majeur de Chopin entrecoupées de rires sadiques et de gloussements. Il y eut le résonnement d’une improbable flatulence qui fit écho jusque dans les stations voisines  Rue Saint-Maur, Gambetta, Ménilmontant et Philippe Auguste. L’onde de choc fit péter deux, trois caténaires et à ce même instant Jack se tortillait par à-coups avec peine et détermination, il glissait tant bien que mal pour sortir du fondement de la jeune pucelle  dans lequel il avait à peine eu le temps de se planquer avant que ne se produise l’explosion de son  gode suisse multifonctions.

Il faut savoir que le gode suisse multifonctions avec option autodestruction et explosion de souffrance est une arme expérimentale top-secrète de 2ème catégorie, alors forcément, ça a un peu foutu le bordel dans le vagin spatial de la jeune nymphette.
Titre: Re : Re : serial insert
Posté par: Yog le Décembre 22, 2009, 14:54:05
Citation de: Kolokoltchiki le Décembre 21, 2009, 20:03:07

5 -  Péplum

Lorsque la rame de métro s'immobilisa sur le quai de la station Père Lachaise, tout n'était plus que luxe, calme et volupté. De grandes giclées de sang recouvraient portillons et fenêtres du wagon et obstruaient la vue à quiconque eut voulu entrapercevoir l'antre de la bête mécanique. Quelques mains livides marbrées de veines noires ou d'autres écorchées vives dépassaient des semi-battants, ongles arrachés et retroussés, phalanges brisées. Quelques organes palpitants tressaillaient encore après avoir improbablement traversé les joints caoutchouteux des portes à fermeture semi automatique. Il y eu un long silence puis les portillons s'ouvrirent de concert sans que la moindre alarme ne soit enclenchée.  Jack se tenait nu  baignant dans d'une gigantesque bouillabaisse humaine.  Quelques râles de –ci, quelques expirations de-là, tapissaient le vide cosmique d'une ambiance sonore assez proche de celles que seul David Guetta savait entretenir dans ses folles soirées à Ibiza. Un bref songe extatique traversa l'esprit de Jack, il se remémora l'espace d'un éclair ses exploits dans les backrooms  luxueux  grouillants de teutons et de gretchens aux corps moites et velus. Il était plus connu en ces lieux, en ces temps reclus, sous le joyeux sobriquet du « Super cosmic head fucker » Un sursaut vînt l'étreindre quand une réminiscence de la soirée à thème « sodomie et castagnettes » irrigua des zones de son cerveau qu'à jamais il s'était interdit d'explorer de nouveau. Il y avait des nabuchodonosors de Moët & Chandon, des centaines, enfourés dans des cohortes d'orifices germaniques et sabrés tour à tour par le gotha de l'élite des acteurs d'AB production. L'année du nouveau millénaire fut dignement célébrée.

C'est à ce moment précis, que Jack aperçu les légions de CRS et membres du GIGN qui le figeaient abasourdis sur le quai de la station Père Lachaise.  Un « Go ! Go ! Go ! » étouffé retentit et tous ces cancrelats s'engouffrèrent d'un  seul assaut gluant dans la rame.

Les yeux révulsés, l'écume aux lèvres et la bite à l'air, Jack se saisit d'un moignon de bras qu'il brandit au dessus de son imperméable face à la pléthore d'uniformes fondant sur lui. Brièvement il cru voir une frêle pucelle vêtue de blanc et coiffée d'une couronne de fleurs d'oranger passer à la périphérie de son champ visuel. Revigoré,  il fit face et de sa gorge profonde s'éleva son chant du cygne, son cri de guerre "FREEDOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOM §§§" ou quelque chose du genre, il ne se souvenait pas très bien, ça aurait très bien pu être "Ananas", personne ne l'aurait remarqué. Tout le monde était bien trop occupé à  mater la donzelle qui ne se doutait visiblement de rien. Tandis que les hommes qui entouraient Jack commençaient à croiser les jambes et à prendre un teint bien vif, s'engagea entre les CRS et Jack une course insensée pour protéger la jeune fille. Chacun voyait en l'entité en face de lui un prédateur qui ne laisserait aucune chance à cette superbe couronne de sortir indemne. Ils bondirent au même moment et déployèrent toute leur énergie pour y arriver en  premier. A moins de deux mètres, Jack, qui, comme nous l'avons vu lors du premier épisode, jouissait d'une maîtrise spatiale en milieu aérien particulièrement efficace, se jeta tête en avant, comme il avait vu faire René sur la piste de savon, à la finale d'Interville en 1998, ou Bourgoin-Jallieu avait d'ailleurs arraché la victoire à Mont-de-marsan, grâce à José, pompier de 26 ans, dont le courage fut ensuite salué par la presse entière pour cet acte héroïque.

Tout se déroulait à présent au ralenti. Sauf au sommet de Copenhague où Barack enculait vivement le petit Nicolas coincé entre un chinois et un afrikaner. C'est ce qu'il se passe, parait-il, quand on est au seuil de la mort. Le temps s'égraine de plus en plus lentement, jusqu'à ce que nos dernières secondes d'agonie ne se convertissent en éternité. Nous sommes intemporels mais nous n'en n'avons pas conscience. Le temps est relatif aux êtres et les dernières nanosecondes  d'une vie s'étirent à l'infini pour les mourants alors qu'elles s'étiolent instantanément pour ceux qui les survivent. C'est ce qu'on appelle l'enfer sur terre.

Jack ne sentit pas les deux premières balles perforer son torse et le temps s'allongeant ensuite, sa douleur s'en retrouva diluée, vive au départ puis supportable et finalement imperceptible.  Il y eut une rafale encore qu'il ne put esquiver. Son oreille droite éclata, puis sa mâchoire se fendit en 10 morceaux. Une balle trancha sa carotide.  Jack assistait ébahi à un formidable ballet où se mêlaient giclées d'hémoglobine, de peau et de morceaux d'organes, telles d'improbables éruptions solaires émanant de sa personne, les balles s'allongeant petit à petit sur leur propre trajectoire comme de longues tiges métalliques végétales,  des assaillants au rictus grotesques embourbés dans l'intemporalité qui envahissait les lieux et cette resplendissante jeune femme, la beauté incarnée, courbes saillantes et rebondies, visage aux symétries parfaites sublimées, combinées à des pléthores d'asymétries harmonieusement constellées, la finalité du tout.  L'étude Opus 10 numéro 3 en Mi Majeur de Chopin se mit à jouer en boucle dans l'esprit de Jack tesselé par la vérité.
Jack profitant de cette manne que lui offrait l'existence décida de prendre son temps puisqu'il en disposait à profusion, bien plus en tous cas que celui de tous ces mannequins de cire figés face à son omnipotence.  Il se surprit à reconsidérer ses priorités.  Il avait un objectif en tête alors il entreprit, déterminé, de se focaliser sur ses motivations primaires sans se soucier du bruit cosmique anecdotique. Il  avait appris par cœur la moindre ligne de ce magnifique recueil de recettes de cuisines que lui avaient offert ses parents à  Noël pour ses 5 ans, le seul cadeau qu'il n'avait jamais reçu d'eux d' ailleurs, à part bien sûr le présent de la vie, le seul qu'on ne puisse refuser qu'après coup.

« Le pot-au-feu est un plat traditionnel de la cuisine française, à base de viande de bœuf et de légumes. La cuisson se fait dans un bouillon aromatisé par des herbes (thym, persil, laurier...) et des légumes.  Il y a de multiples choix d'ingrédients, aussi diront nous qu'il y a autant de pot-au-feu que de cuisiniers. Cependant  l'impasse n'est pas permise dans la liste d'ingrédients qui suivent qui bien entendu doivent être choisis avec la plus délicate des attentions. La fraîcheur et la qualité des produits étant principalement la clef du succès de la facture du plat... »
Jack désenficha  son gode suisse multifonction de sa ceinture, prit une grande inspiration puis se mit à psalmodier en gloussant du sang et des bouts de cartilages...
« viande de boeuf : jarret, joue, paleron, gite, culotte et queue... » En un mouvement de molette des lames de rasoir surgirent des quatre coins du gode. Jack le fit fondre une vingtaine de fois de suite par dedans la visière du casque d'un des CRS immobiles.
« os à moelle » En pressant deux bouton latéraux un équarisseur à sangliers jaillit par une fente escamotée de l'appareil. Jack propulsa son gode dans les airs où il tournoyait au ralenti, ce qui lui laissa le temps d'alpaguer deux de ses assaillants par le col. Leur casque s'entrechoquèrent violement avant que  Jack n'attrape son arme au vol et ne l'emploie à raboter la colonne vertébrale d'un des deux cafards qu'il avait assommé. Les cervicales furent crochetées par l'arme et dans le prolongement du mouvement de Jack arrachées d'un seul tenant de leur hôte originel. Voilà que les bouts d'os entrelacés de muscles mis à nu, dégainés comme de simples câbles électriques,  venaient compléter le gode multifonction de Jack. Il se mit à le faire tournoyer tel un fouet.

« oignon, ail , poireau, carotte » Le fouet s'enroula  sur le cou d'un des membres du GIGN qui tentait d'attraper Jack par traitrise. Jack tira un coup sec et la tête de l'assaillant fût propulsée jusque dans les néons qui ornaient de plafond de la rame. Il y eu un grésillement, une odeur de steack grillé comme au restaurant quand c'est dessiné dessus. Et puis les lumières s'éteignirent. On pouvait entendre Jack promouvoir 9 fruits et legumes par jour pour une meilleure santé. « chou » coup de tronçonneuse, « navet » coup de boule balayette  « pomme de terre » cri de terreur et un corps ensanglanté traverser  un des portillons en l'explosant au passage avant de s'écraser sur le quai de la station Père Lachaise «  branche de céleri » Une immense détonation qui fit se gondoler la rame et toute sa structure en métal léger se gonfler comme s'il ce fût agit d'un ballon de baudruche « clous de girofle » Une épaisse fumée noire s'échappait de toutes les issues dont toutes les vitres avaient été disséminées sur les deux quais « plantes aromatisées (thym, laurier, persil...) »
De l'épaisse fumée au bout d'un temps certain. Un être sortit à l'agonie en titubant. Il s'agissait de la resplendissante jeune rescapée, la frêle pucelle vêtue de blanc et coiffée d'une couronne de fleurs d'oranger. Elle s'écroula sur les bris de verre sur le  quai après avoir tenté deux, trois pas hésitants. Le silence sublime qui avait drapé les lieux, au bout d'un laps de temps assez conséquent, on put imperceptiblement deviner d'abord puis petit à petit entendre un sifflotement surgissant de nulle part. Il s'agissait  de L'étude Opus 10 numéro 3 en Mi Majeur de Chopin entrecoupées de rires sadiques et de gloussements. Il y eut le résonnement d'une improbable flatulence qui fit écho jusque dans les stations voisines  Rue Saint-Maur, Gambetta, Ménilmontant et Philippe Auguste. L'onde de choc fit péter deux, trois caténaires et à ce même instant Jack se tortillait par à-coups avec peine et détermination, il glissait tant bien que mal pour sortir du fondement de la jeune pucelle  dans lequel il avait à peine eu le temps de se planquer avant que ne se produise l'explosion de son  gode suisse multifonctions.

Il faut savoir que le gode suisse multifonctions avec option autodestruction et explosion de souffrance est une arme expérimentale top-secrète de 2ème catégorie, alors forcément, ça a un peu foutu le bordel dans le vagin spatial de la jeune nymphette.
Il atrappa une feuille de papier pour ecrire ses memoires, griffona "mon petit papa, ma chere petite maman, il est temps de vous enculer" et exhala un râle putride rappelant le ragondins ecrasé qu'il s'était payé il y a dix ajours, laissa choir une molaire sur son oeuvre presque posthume et s'éteignit dans un dernier soubressaut causé par la chiasse qui debordait à flot de son rectum.
Finalement, ce fut une journée de merde comme il y en avait eu tant d'autres
Titre: Re : serial insert
Posté par: Kolokoltchiki le Décembre 22, 2009, 20:59:30
Ca, c'est une bonne fin.