= La Zone =

= PROPAGANDE = => = INITIATIVES = => Discussion démarrée par: lapinchien le Août 13, 2017, 09:55:58

Titre: Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 13, 2017, 09:55:58
Appel à contribution. Ici une nouvelle aventure de Jack intitulée "Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel"
ça se joue en tour par tour, il faut aller là dessus  http://enneagon.org/phrases (http://enneagon.org/phrases) puis entrer 5 phrases et appuyer sur le bouton "Lancer !" Alors 5 phrases burroughsiennes seront générées. Il vous suffira ensuite de faire un copier/coller et d'insérer ces phrases dans une nouvelle itération du texte collectif après les avoir légèrement modifiées pour qu'elles veuillent dire quelque chose dans le contexte.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 13, 2017, 10:03:38
Alors le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoistes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 13, 2017, 11:49:38
Alors le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoïstes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

Alors Jack rouspéta car les dimensions et limites de la vérité, dans les plus profondes et subtiles facettes de leur considération, n'étaient pas respectées dans les divagations du praticien. "Je ne vous donnerai pas un denier !", rétorqua Jack puis haussant d'un ton : "J'ai là une goutte d'eau-de-vie... Certes l'on ne peut contester les paroles que vous venez d'éructer. Séchez vos yeux et non pas nos gosiers !" Cette réaction embarrassa le  psychiatre qui s'empressa d'augmenter les doses prescrites. Il osa une diversion : "Travail difficile, j'en ai bien peur. Mon frère ne sera pas dupe de l'immortalité par ce prompt et soudain embellissement bien inexplicable de la situation. Dans sa belle santé de jeunesse, honteux comme un renard et méchant comme un corbeau, je le menais quelquefois dîner chez maman." Le passé évoqué, étrangement, parlait à Jack. "Secouez-vous les puces à présent, mon cher ami !", Conclut le praticien, "Un rejet trop précoce de la conformité n'a jamais aidé quiconque à grimper aux troncs d'arbres."
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: LePouilleux le Août 13, 2017, 12:07:15
Alors le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoïstes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

Alors Jack rouspéta car les dimensions et limites de la vérité, dans les plus profondes et subtiles facettes de leur considération, n'étaient pas respectées dans les divagations du praticien. "Je ne vous donnerai pas un denier !", rétorqua Jack puis haussant d'un ton : "J'ai là une goutte d'eau-de-vie... Certes l'on ne peut contester les paroles que vous venez d'éructer. Séchez vos yeux et non pas nos gosiers !" Cette réaction embarrassa le  psychiatre qui s'empressa d'augmenter les doses prescrites. Il osa une diversion : "Travail difficile, j'en ai bien peur. Mon frère ne sera pas dupe de l'immortalité par ce prompt et soudain embellissement bien inexplicable de la situation. Dans sa belle santé de jeunesse, honteux comme un renard et méchant comme un corbeau, je le menais quelquefois dîner chez maman." Le passé évoqué, étrangement, parlait à Jack. "Secouez-vous les puces à présent, mon cher ami !", Conclut le praticien, "Un rejet trop précoce de la conformité n'a jamais aidé quiconque à grimper aux troncs d'arbres."

Abandonné à terrain découvert, quantité de légendes sur les origines d'une probable guérison circulait. Espoir qui valait le charme d'un repas avec maman. Dans cette dernière crise, avec la main d'un espoir secourable, il avait aperçut des lumières. L'influence de la voix du psychiatre s'étant fait sentir, de même le tronc (du corps de Jack) souffrant versait par sa blessure son sang et enflammait les joues de Jack. 

Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: LePouilleux le Août 13, 2017, 12:16:51
Alors le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoïstes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

Alors Jack rouspéta car les dimensions et limites de la vérité, dans les plus profondes et subtiles facettes de leur considération, n'étaient pas respectées dans les divagations du praticien. "Je ne vous donnerai pas un denier !", rétorqua Jack puis haussant d'un ton : "J'ai là une goutte d'eau-de-vie... Certes l'on ne peut contester les paroles que vous venez d'éructer. Séchez vos yeux et non pas nos gosiers !" Cette réaction embarrassa le  psychiatre qui s'empressa d'augmenter les doses prescrites. Il osa une diversion : "Travail difficile, j'en ai bien peur. Mon frère ne sera pas dupe de l'immortalité par ce prompt et soudain embellissement bien inexplicable de la situation. Dans sa belle santé de jeunesse, honteux comme un renard et méchant comme un corbeau, je le menais quelquefois dîner chez maman." Le passé évoqué, étrangement, parlait à Jack. "Secouez-vous les puces à présent, mon cher ami !", Conclut le praticien, "Un rejet trop précoce de la conformité n'a jamais aidé quiconque à grimper aux troncs d'arbres."

Abandonné à terrain découvert, quantité de légendes sur les origines d'une probable guérison circulait. Espoir qui valait le charme d'un repas avec maman. Dans cette dernière crise, avec la main d'un espoir secourable, il avait aperçut des lumières. L'influence de la voix du psychiatre s'étant fait sentir, de même le tronc (du corps de Jack) souffrant versait par sa blessure son sang et enflammait les joues de Jack. 

Belle voix, quelle absence d'idées ! À peu près égale et agrégée en une masse épaisse de sang, la souffrance était exactement la même, tandis qu'il se laissait vivre depuis un an déjà. Lui-même avait déjà pris maintes drogues assassines, qu'il se versait à travers l'enfilade du nez, afin que la peur s'inclina, comme si le silence de son esprit ne dusse exister. Maman... il pouvait tout de suite boire la mer. Piquant sa seringue quelque part dans Jack avec les délicatesses élégantes du reptile et du tigre, le psychiatre s'éloigna finalement sans bruit.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: Lourdes Phalanges le Août 13, 2017, 12:34:34
Alors le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoïstes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

Alors Jack rouspéta car les dimensions et limites de la vérité, dans les plus profondes et subtiles facettes de leur considération, n'étaient pas respectées dans les divagations du praticien. "Je ne vous donnerai pas un denier !", rétorqua Jack puis haussant d'un ton : "J'ai là une goutte d'eau-de-vie... Certes l'on ne peut contester les paroles que vous venez d'éructer. Séchez vos yeux et non pas nos gosiers !" Cette réaction embarrassa le  psychiatre qui s'empressa d'augmenter les doses prescrites. Il osa une diversion : "Travail difficile, j'en ai bien peur. Mon frère ne sera pas dupe de l'immortalité par ce prompt et soudain embellissement bien inexplicable de la situation. Dans sa belle santé de jeunesse, honteux comme un renard et méchant comme un corbeau, je le menais quelquefois dîner chez maman." Le passé évoqué, étrangement, parlait à Jack. "Secouez-vous les puces à présent, mon cher ami !", Conclut le praticien, "Un rejet trop précoce de la conformité n'a jamais aidé quiconque à grimper aux troncs d'arbres."

Abandonné à terrain découvert, quantité de légendes sur les origines d'une probable guérison circulait. Espoir qui valait le charme d'un repas avec maman. Dans cette dernière crise, avec la main d'un espoir secourable, il avait aperçut des lumières. L'influence de la voix du psychiatre s'étant fait sentir, de même le tronc (du corps de Jack) souffrant versait par sa blessure son sang et enflammait les joues de Jack. 

Belle voix, quelle absence d'idées ! À peu près égale et agrégée en une masse épaisse de sang, la souffrance était exactement la même, tandis qu'il se laissait vivre depuis un an déjà. Lui-même avait déjà pris maintes drogues assassines, qu'il se versait à travers l'enfilade du nez, afin que la peur s'inclina, comme si le silence de son esprit ne dusse exister. Maman... il pouvait tout de suite boire la mer. Piquant sa seringue quelque part dans Jack avec les délicatesses élégantes du reptile et du tigre, le psychiatre s'éloigna finalement sans bruit.

Reconnaissant envers ses deux guides, il revint sur-le-champ. Animé par le vin qu'on boit, on lisait sur son visage une joie encore à apprendre. L'État de son âme défaillante, Coquine lâche, il recula devant cet acte nécessaire. "Précipitez-vous pour descendre avant que je ne dorme plus." lâcha t-il finalement à Jack.
Titre: Re : Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 13, 2017, 12:38:41
Le psychiatre fit une longue prescription tout en prodiguant quelques conseils à son patient : "Monsieur Jack, observez bien mes recommandations et attendez de plus qu'on le détache. Vous verrez c'est fantastique. J'ai d'ailleurs accompagné mon frère là bas. Quel pied monumental ! Hélas pour nous tous, si l'on voulait, nous profiterions de ces minutes égoïstes pour les consacrer à Dieu. Commencez vite le traitement, coquinou, ou nous vous rognerons les ongles au feu."

Alors Jack rouspéta car les dimensions et limites de la vérité, dans les plus profondes et subtiles facettes de leur considération, n'étaient pas respectées dans les divagations du praticien. "Je ne vous donnerai pas un denier !", rétorqua Jack puis haussant d'un ton : "J'ai là une goutte d'eau-de-vie... Certes l'on ne peut contester les paroles que vous venez d'éructer. Séchez vos yeux et non pas nos gosiers !" Cette réaction embarrassa le  psychiatre qui s'empressa d'augmenter les doses prescrites. Il osa une diversion : "Travail difficile, j'en ai bien peur. Mon frère ne sera pas dupe de l'immortalité par ce prompt et soudain embellissement bien inexplicable de la situation. Dans sa belle santé de jeunesse, honteux comme un renard et méchant comme un corbeau, je le menais quelquefois dîner chez maman." Le passé évoqué, étrangement, parlait à Jack. "Secouez-vous les puces à présent, mon cher ami !", Conclut le praticien, "Un rejet trop précoce de la conformité n'a jamais aidé quiconque à grimper aux troncs d'arbres."

Abandonné à terrain découvert, quantité de légendes sur les origines d'une probable guérison circulait. Espoir qui valait le charme d'un repas avec maman. Dans cette dernière crise, avec la main d'un espoir secourable, il avait aperçut des lumières. L'influence de la voix du psychiatre s'étant fait sentir, de même le tronc (du corps de Jack) souffrant versait par sa blessure son sang et enflammait les joues de notre garnement

Belle voix, quelle absence d'idées ! À peu près égale et agrégée en une masse épaisse de sang, la souffrance était exactement la même, tandis qu'il se laissait vivre depuis un an déjà. Lui-même avait déjà pris maintes drogues assassines, qu'il se versait à travers l'enfilade du nez, afin que la peur s'inclina, comme si le silence de son esprit ne dusse exister. Maman... il pouvait tout de suite boire la mer. Piquant sa seringue quelque part dans Jack avec les délicatesses élégantes du reptile et du tigre, le psychiatre s'éloigna finalement sans bruit.

Maman... Souvent elle s'était abandonnée au sommeil total après sa grande fatigue, mais on n'en était plus à ce genre de considération futile ; Cette dame respectable avait les mains et l'irritation du sable dans les plates-bandes après avoir donné la vie deux fois et maintenant elle n'était plus qu'un gros tas de compost enseveli et mal entretenu. "Arrête-toi un instant !", Se menaça Jack en se pointant du doigt avec insistance. Finalement le psychiatre s'affaissait dans un fauteuil et vomissait longuement puisqu'il jouissait de ce privilège : "Et, si ce mien maître-là est fou, (Freud, j'entends.) courageux, revêtu de sa robe, un glaïeul m'en soit témoin, mon frère m'écouterait peut-être marcher ce soir même !" Ce souvenir mettait clairement son cher ami, François Berléand, en en porte-à-faux, les sourcils déroulés tel un fantôme du futur.

Reconnaissant envers ses deux guides, il revint sur-le-champ. Animé par le vin qu'on boit, on lisait sur son visage une joie encore à apprendre. L'État de son âme défaillante, Coquine lâche, il recula devant cet acte nécessaire. "Précipitez-vous pour descendre avant que je ne dorme plus." lâcha t-il finalement à Jack.

Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 13, 2017, 16:27:43
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j'ai posté un premier épisode avec ce texte.
Ce serait bien que quelqu'un d'autre que moi entame le chapitre 2 pour donner une nouvelle direction.
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Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 13, 2017, 20:46:39
Les Bots écrivent, les Bots commentent, les Bots lisent.
https://soundcloud.com/lazone-org/jack-neuro_01 (https://soundcloud.com/lazone-org/jack-neuro_01)
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: Lourdes Phalanges le Août 14, 2017, 11:16:58
Chapitre II

"Nous croirons ce que nous allions dîner quelque part" cria quelqu'un ou quelque chose dans la tête de Jack. Ensemble ils vivent ensevelis dans les ténébreuses profondeurs ; ensemble ils formaient une très longue phase de transition et prenant les oiseaux pour se raconter des histoires des grandes cités qui ont existé dans chacun de ces quatre enfers."Imagine-toi que je suis la vie de tous les problèmes de cette dernière époque" continua la voix... "Fait de pièces détachées, parmi les noms sortis de l'urne de quatre-vingts ans. Note de l'observatoire : j'étais invisible, et après notre rupture, je n'entreprendrai pas d'en reparler ?"
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 14, 2017, 12:34:55
Chapitre II

"Nous croirons ce que nous allions dîner quelque part" cria quelqu'un ou quelque chose dans la tête de Jack. L'alternative bizarre, où cette entité le priait de passer chez son ennemi mortel, fit baver l'éphèbe sur le trône de l'évêque. Ensemble ils vivent ensevelis dans les ténébreuses profondeurs ; ensemble ils formaient une très longue phase de transition et prenant les oiseaux pour se raconter des histoires des grandes cités qui ont existé dans chacun de ces quatre enfers. Encore un effet secondaire des nouveaux médocs contre les symptômes florides des psychoses. Florides ? Bordel ! Mais pourquoi pas connecticuts ou alabamas ? "Imagine-toi que je suis la vie de tous les problèmes de cette dernière époque" continua la voix... Tumulte effroyable, un rire général s'échappant de l'auditorium dans son crâne avait accueilli ce petit récit. "Fait de pièces détachées, parmi les noms sortis de l'urne de quatre-vingts ans. Note de l'observatoire : j'étais invisible, et après notre rupture, je n'entreprendrai pas d'en reparler ?"

Jack cacha son visage dans les buissons pour ne point montrer à la plèbe une hilarité irrationnelle dont il aurait fait les frais. La voix poursuivait son monologue de type stand up : "Et nous serions ainsi dispensés tous deux de l'absolution, et ce point est crucial ! Foin des moines qui portaient les fléaux et criaient à la chienlit." Des promeneurs accoururent ; des boutiquiers, l'air grave appelaient, Jack, mon cher curé. Le jeune homme, confus, plaça son pouce dans l'oreille et son auriculaire devant sa bouche pour feindre un double appel. "Allez, allez !", disait le pauvre bougre entre ses dents, "Jetez-le hors de la cabane de planches ayant été détruite. Il n'ouvrira pas le samedi !"
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: Lourdes Phalanges le Août 14, 2017, 15:25:26
Chapitre II

"Nous croirons ce que nous allions dîner quelque part" cria quelqu'un ou quelque chose dans la tête de Jack. L'alternative bizarre, où cette entité le priait de passer chez son ennemi mortel, fit baver l'éphèbe sur le trône de l'évêque. Ensemble ils vivent ensevelis dans les ténébreuses profondeurs ; ensemble ils formaient une très longue phase de transition et prenant les oiseaux pour se raconter des histoires des grandes cités qui ont existé dans chacun de ces quatre enfers. Encore un effet secondaire des nouveaux médocs contre les symptômes florides des psychoses. Florides ? Bordel ! Mais pourquoi pas connecticuts ou alabamas ? "Imagine-toi que je suis la vie de tous les problèmes de cette dernière époque" continua la voix... Tumulte effroyable, un rire général s'échappant de l'auditorium dans son crâne avait accueilli ce petit récit. "Fait de pièces détachées, parmi les noms sortis de l'urne de quatre-vingts ans. Note de l'observatoire : j'étais invisible, et après notre rupture, je n'entreprendrai pas d'en reparler ?"

Jack cacha son visage dans les buissons pour ne point montrer à la plèbe une hilarité irrationnelle dont il aurait fait les frais. La voix poursuivait son monologue de type stand up : "Et nous serions ainsi dispensés tous deux de l'absolution, et ce point est crucial ! Foin des moines qui portaient les fléaux et criaient à la chienlit." Des promeneurs accoururent ; des boutiquiers, l'air grave appelaient, Jack, mon cher curé. Le jeune homme, confus, plaça son pouce dans l'oreille et son auriculaire devant sa bouche pour feindre un double appel. "Allez, allez !", disait le pauvre bougre entre ses dents, "Jetez-le hors de la cabane de planches ayant été détruite. Il n'ouvrira pas le samedi !"

Donc, à neuf ou dix personnes, ils l'attachèrent au tronc d'un vieux domestique, mais comme des enfants, tirant sur les avirons. "Parfait, j'allais trouver le seigneur !" s'égosilla Jack, qui, contenu les uns dans les autres, tiendrait son rang, en attendant la réponse de l'inflexible nécessité. Bousculé par un passant, c'est évidemment lui que l'on console, transporté sur ces hauteurs qui servaient d'introduction à la connaissance. "Frappez fort pour qu'on puisse multiplier à discrétion mes pertes et ma dépense..." Marmonna l'un des boutiquiers, tout de sueur trempé.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 14, 2017, 16:11:41
Chapitre II

"Nous croirons ce que nous allions dîner quelque part" cria quelqu'un ou quelque chose dans la tête de Jack. L'alternative bizarre, où cette entité le priait de passer chez son ennemi mortel, fit baver l'éphèbe sur le trône de l'évêque. Ensemble ils vivent ensevelis dans les ténébreuses profondeurs ; ensemble ils formaient une très longue phase de transition et prenant les oiseaux pour se raconter des histoires des grandes cités qui ont existé dans chacun de ces quatre enfers. Mauvais signe pour le malade, il avait quelque chose dans l'espèce de tambour dans les oreilles : "les bruyantes paroles du gredin de psychiatre". Encore un effet secondaire des nouveaux médocs contre les symptômes florides des psychoses. Florides ? Bordel ! Mais pourquoi pas connecticuts ou alabamas ? "Imagine-toi que je suis la vie de tous les problèmes de cette dernière époque" continua la voix... Tumulte effroyable, un rire général s'échappant de l'auditorium dans son crâne avait accueilli ce petit récit. "Fait de pièces détachées, parmi les noms sortis de l'urne de quatre-vingts ans. Note de l'observatoire : j'étais invisible, et après notre rupture, je n'entreprendrai pas d'en reparler ?"

Jack cacha son visage dans les buissons pour ne point montrer à la plèbe une hilarité irrationnelle dont il aurait fait les frais. La voix poursuivait son monologue de type stand up : "Et nous serions ainsi dispensés tous deux de l'absolution, et ce point est crucial ! Foin des moines qui portaient les fléaux et criaient à la chienlit !" Des promeneurs accoururent ; des boutiquiers, l'air grave, appelaient Jack, mon cher curé. Le jeune homme, confus, plaça son pouce dans l'oreille et son auriculaire devant sa bouche pour feindre un double appel. "Allez, allez !", disait le pauvre bougre entre ses dents, "Jetez-le hors de la cabane de planches ayant été détruite. Il n'ouvrira pas le samedi !"

Donc, à neuf ou dix personnes, ils l'attachèrent au tronc d'un vieux domestique, mais comme des enfants, tirant sur les avirons. "Parfait, j'allais trouver le seigneur !" s'égosilla Jack, qui, contenu les uns dans les autres, tiendrait son rang, en attendant la réponse de l'inflexible nécessité. Bousculé par un passant, c'est évidemment lui que l'on console, transporté sur ces hauteurs qui servaient d'introduction à la connaissance. "Frappez fort pour qu'on puisse multiplier à discrétion mes pertes et ma dépense..." Marmonna l'un des boutiquiers, tout de sueur trempé.

Seulement ceux qui le lynchaient étaient toujours suivis de cohortes de pleureuses, comme il sied dans ces contrées, à l'usage du pays. Ces artifices étaient fort utiles pour masquer les bruits incongrus d'un tabassage en règle de la milice de quartier. Le boutiquier en sueur, un vendeur de sommeil, assoiffé, de pouvoir, d'argent, de sexe, d'eau potable, se proposa, au nom du collectif des gens molestés, de demander à Jack de rendre des comptes devant la commission des indemnités. "Rendez-nous la voix dans votre tête, celle-là même qui s'en amouracha jadis de vous, mais nous vous serions gré de nous la restituer en silence. Cessez vos verbiages incohérents. Faites le boire qu'il se taise ou poussez le dans le vide."
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: LePouilleux le Août 14, 2017, 19:02:31
Ça devient cauchemardesque... excellent ! Je reviens apporter mon caillou à l'édifice dès que j'ai un peu plus d'alcool dans les veines.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 14, 2017, 19:06:28
Yeah ! Pouce bleu. Perso, c'est les neuroleptiques que je commence ce soir.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: LePouilleux le Août 14, 2017, 19:26:55
Tu entres en résonance avec ton alter-ego.

Pas mal la playlist musicale de la page soundcloud de lazone, y a même du Paris Violence deudonc !

Ah non c'est juste une playlist aléatoire liées au morceaux Jack I.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 14, 2017, 19:32:19
c'est parce que ça me pendait au nez depuis plusieurs semaines que j'ai lancé l'initiative en réalité. Pour la playlist sur soundcloud je pense qu'elle est propre à ton compte. Quand j'y vais j'ai la totale de Mill (et tant mieux)
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 14, 2017, 19:35:37
ah non, t'avais raison c'est bien dans ma playlist
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: LePouilleux le Août 14, 2017, 22:09:35
"Nous croirons ce que nous allions dîner quelque part" cria quelqu'un ou quelque chose dans la tête de Jack. L'alternative bizarre, où cette entité le priait de passer chez son ennemi mortel, fit baver l'éphèbe sur le trône de l'évêque. Ensemble ils vivent ensevelis dans les ténébreuses profondeurs ; ensemble ils formaient une très longue phase de transition et prenant les oiseaux pour se raconter des histoires des grandes cités qui ont existé dans chacun de ces quatre enfers. Mauvais signe pour le malade, il avait quelque chose dans l'espèce de tambour dans les oreilles : "les bruyantes paroles du gredin de psychiatre". Encore un effet secondaire des nouveaux médocs contre les symptômes florides des psychoses. Florides ? Bordel ! Mais pourquoi pas connecticuts ou alabamas ? "Imagine-toi que je suis la vie de tous les problèmes de cette dernière époque" continua la voix... Tumulte effroyable, un rire général s'échappant de l'auditorium dans son crâne avait accueilli ce petit récit. "Fait de pièces détachées, parmi les noms sortis de l'urne de quatre-vingts ans. Note de l'observatoire : j'étais invisible, et après notre rupture, je n'entreprendrai pas d'en reparler ?"

Jack cacha son visage dans les buissons pour ne point montrer à la plèbe une hilarité irrationnelle dont il aurait fait les frais. La voix poursuivait son monologue de type stand up : "Et nous serions ainsi dispensés tous deux de l'absolution, et ce point est crucial ! Foin des moines qui portaient les fléaux et criaient à la chienlit !" Des promeneurs accoururent ; des boutiquiers, l'air grave, appelaient Jack, mon cher curé. Le jeune homme, confus, plaça son pouce dans l'oreille et son auriculaire devant sa bouche pour feindre un double appel. "Allez, allez !", disait le pauvre bougre entre ses dents, "Jetez-le hors de la cabane de planches ayant été détruite. Il n'ouvrira pas le samedi !"

Donc, à neuf ou dix personnes, ils l'attachèrent au tronc d'un vieux domestique, mais comme des enfants, tirant sur les avirons. "Parfait, j'allais trouver le seigneur !" s'égosilla Jack, qui, contenu les uns dans les autres, tiendrait son rang, en attendant la réponse de l'inflexible nécessité. Bousculé par un passant, c'est évidemment lui que l'on console, transporté sur ces hauteurs qui servaient d'introduction à la connaissance. "Frappez fort pour qu'on puisse multiplier à discrétion mes pertes et ma dépense..." Marmonna l'un des boutiquiers, tout de sueur trempé.

Seulement ceux qui le lynchaient étaient toujours suivis de cohortes de pleureuses, comme il sied dans ces contrées, à l'usage du pays. Ces artifices étaient fort utiles pour masquer les bruits incongrus d'un tabassage en règle de la milice de quartier. Le boutiquier en sueur, un vendeur de sommeil, assoiffé, de pouvoir, d'argent, de sexe, d'eau potable, se proposa, au nom du collectif des gens molestés, de demander à Jack de rendre des comptes devant la commission des indemnités. "Rendez-nous la voix dans votre tête, celle-là même qui s'en amouracha jadis de vous, mais nous vous serions gré de nous la restituer en silence. Cessez vos verbiages incohérents. Faites le boire qu'il se taise ou poussez le dans le vide."

Comprenez bien qu'avec une maladresse visible il s'efforçait de les apercevoir, leur volonté de lui causer un malaise était une idée fixe, c'était une longue pente ascendante de la violence. Dans ce fol amour entre la foule et Jack/Jésus, contre lequel au moins il y avait trois grands obstacles qui  semblaient incohérents et troubles, tout le monde y trouvait son compte. Ouvrez les yeux du maître et presque tous les nerfs s'irritent. Poussé au bout des fusils, on voyait la sueur perler sur le visage du jeune psychovague. Observons toutefois ce que l'on vivait : ses yeux saillaient ; ses membres connaissaient pareille souffrance.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: LePouilleux le Août 14, 2017, 22:13:30
De manière inéluctable le destin de Jack me fait penser à celui de Gillou.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 15, 2017, 09:47:03

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Wééé§ Bon. Je pense qu'on tient un 2 chapitre là, je le poste. On passe au 3eme ?

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Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: LePouilleux le Août 15, 2017, 15:56:50
Chapitre III

Boire, manger, boire, insonoriser son cerveau... Nouveau salut empreint d'une vie embellie par l'absence de soucis matériels, qui le préoccupait par la quiétude ou réduisait l'efficacité de ses neurotransmetteurs de manière permanente. Petites voix et habitants du dedans, pour le promener, heureux d'échapper à ses circuits bouclés ? Trois jours avant l'ablation, comment pourrez-t-ils le faire arriver à destination ?
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: Lourdes Phalanges le Août 15, 2017, 19:01:53
Boire, manger, boire, insonoriser son cerveau... Nouveau salut empreint d'une vie embellie par l'absence de soucis matériels, qui le préoccupait par la quiétude ou réduisait l'efficacité de ses neurotransmetteurs de manière permanente. Petites voix et habitants du dedans, pour le promener, heureux d'échapper à ses circuits bouclés ? Trois jours avant l'ablation, comment pourrez-t-ils le faire arriver à destination ?

"Tirez-moi donc d'affaire", dit le sous-pull de notre héros. Jack le rejoignit. "Restons-en là, si vous vouliez encore mourir, je ne prétends point entamer vos opinions..." continua le vêtement défraichi. Résigné, le temps de monter sur l'un des troncs d'arbres, et la jeune écriture témoignait qu'elle était par là ; s'arrêtant lors du dernier coup de hache, gisant au milieu de tout cela. "Bureaucratie de l'anarchie littéraire, quand on voit des peuples qui aiment la vérité et l'autre ! Araignée, pourquoi tisses-tu ta toile autour de moi ? Tout ce que peut faire cette élimination dans les moyennes."
Jack était désormais à l'épitomé de sa non-conscience et de son non-voyage intérieur. Il était sans l'être et il lui était désormais bien difficile de faire demi-tour.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 16, 2017, 09:56:07
Chapitre III - Introspection statique

Boire, manger, boire, insonoriser son cerveau... Nouveau salut empreint d'une vie embellie par l'absence de soucis matériels, qui le préoccupait par la quiétude ou réduisait l'efficacité de ses neurotransmetteurs de manière permanente. Petites voix et habitants du dedans, pour le promener, heureux d'échapper à ses circuits bouclés ? Trois jours avant l'ablation, comment pourraient-ils le faire arriver à destination ?

"Tirez-moi donc d'affaire", Dit le sous-pull de notre héros. Jack le rejoignit. "Restons-en là, si vous vouliez encore mourir, je ne prétends point entamer vos opinions...", Continua le vêtement défraichi. Résigné, le temps de monter sur l'un des troncs d'arbres, et la jeune écriture témoignait qu'elle était par là ; s'arrêtant lors du dernier coup de hache, gisant au milieu de tout cela. "Bureaucratie de l'anarchie littéraire, quand on voit des peuples qui aiment la vérité et l'autre ! Araignée, pourquoi tisses-tu ta toile autour de moi ? Tout ce que peut faire cette élimination dans les moyennes."

Jack était désormais à l'épitomé de sa non-conscience et de son non-voyage intérieur. Il était sans l'être et il lui était désormais bien difficile de faire demi-tour. "Élève en nous un fondement pour inférer un plus haut degré de perfection où maintenant je serai fort !", Réclama Jack à son sous-pull qui était peut être un Damart thermolactyl enveloppant son cerveau, Hauts, verticaux et menaçants, deux sbires de son ennemi mortel qui in fine ne pouvait être que lui-même, interrogeaient la Terre. "Qui vous ramène aujourd'hui ?", Questionnèrent ces gaillards costauds. "Aujourd'hui ? Ma gratitude.", Répondit Jack sans l'ombre d'un doute, si ce n'est celui de la date présente.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: LePouilleux le Août 16, 2017, 22:40:57
Chapitre III - Introspection statique

Boire, manger, boire, insonoriser son cerveau... Nouveau salut empreint d'une vie embellie par l'absence de soucis matériels, qui le préoccupait par la quiétude ou réduisait l'efficacité de ses neurotransmetteurs de manière permanente. Petites voix et habitants du dedans, pour le promener, heureux d'échapper à ses circuits bouclés ? Trois jours avant l'ablation, comment pourraient-ils le faire arriver à destination ?

"Tirez-moi donc d'affaire", Dit le sous-pull de notre héros. Jack le rejoignit. "Restons-en là, si vous vouliez encore mourir, je ne prétends point entamer vos opinions...", Continua le vêtement défraichi. Résigné, le temps de monter sur l'un des troncs d'arbres, et la jeune écriture témoignait qu'elle était par là ; s'arrêtant lors du dernier coup de hache, gisant au milieu de tout cela. "Bureaucratie de l'anarchie littéraire, quand on voit des peuples qui aiment la vérité et l'autre ! Araignée, pourquoi tisses-tu ta toile autour de moi ? Tout ce que peut faire cette élimination dans les moyennes."

Jack était désormais à l'épitomé de sa non-conscience et de son non-voyage intérieur. Il était sans l'être et il lui était désormais bien difficile de faire demi-tour. "Élève en nous un fondement pour inférer un plus haut degré de perfection où maintenant je serai fort !", Réclama Jack à son sous-pull qui était peut être un Damart thermolactyl enveloppant son cerveau. Hauts, verticaux et menaçants, deux sbires de son ennemi mortel qui in fine ne pouvait être que lui-même, interrogeaient la Terre. "Qui vous ramène aujourd'hui ?", Questionnèrent ces gaillards costauds. "Aujourd'hui ? Ma gratitude.", Répondit Jack sans l'ombre d'un doute, si ce n'est celui de la date présente.

"Remarque bien, écuyer loyal et fidèle, que notre science nous ordonne de nous débarrasser de toute la magie que le docteur avait ramené et caché à tes yeux" ajoutèrent-ils hilares. "Espèce de salopards" murmura Jack, comme soulagé. "Tire dessus, nous essayons de le diviser toujours plus minutieusement dans l'espace, ce pull pathologique", cela notre protagoniste ne savait plus trop d'où ça venait.  Le frêle jeune homme, qui était mort et avait été la cause de la perte de son bras, se leva ! Pour lui serrer la main, il poussa devant eux une adolescente d'une quinzaine d'années, la maladie l'ayant aussi rongée, n'ayant pas mauvais ton, elle répondit froidement à ces coups.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 18, 2017, 13:21:50
Chapitre III - Introspection statique

Boire, manger, boire, insonoriser son cerveau... Nouveau salut empreint d'une vie embellie par l'absence de soucis matériels, qui le préoccupait par la quiétude ou réduisait l'efficacité de ses neurotransmetteurs de manière permanente. Petites voix et habitants du dedans, pour le promener, heureux d'échapper à ses circuits bouclés ? Trois jours avant l'ablation, comment pourraient-ils le faire arriver à destination ?

"Tirez-moi donc d'affaire", Dit le sous-pull de notre héros. Jack le rejoignit. "Restons-en là, si vous vouliez encore mourir, je ne prétends point entamer vos opinions...", Continua le vêtement défraichi. Résigné, le temps de monter sur l'un des troncs d'arbres, et la jeune écriture témoignait qu'elle était par là ; s'arrêtant lors du dernier coup de hache, gisant au milieu de tout cela. "Bureaucratie de l'anarchie littéraire, quand on voit des peuples qui aiment la vérité et l'autre ! Araignée, pourquoi tisses-tu ta toile autour de moi ? Tout ce que peut faire cette élimination dans les moyennes."

Jack était désormais à l'épitomé de sa non-conscience et de son non-voyage intérieur. Il était sans l'être et il lui était désormais bien difficile de faire demi-tour. "Élève en nous un fondement pour inférer un plus haut degré de perfection où maintenant je serai fort !", Réclama Jack à son sous-pull qui était peut être un Damart thermolactyl enveloppant son cerveau. Hauts, verticaux et menaçants, deux sbires de son ennemi mortel qui in fine ne pouvait être que lui-même, interrogeaient la Terre. "Qui vous ramène aujourd'hui ?", Questionnèrent ces gaillards costauds. "Aujourd'hui ? Ma gratitude.", Répondit Jack sans l'ombre d'un doute, si ce n'est celui de la date présente.

"Remarque bien, écuyer loyal et fidèle, que notre science nous ordonne de nous débarrasser de toute la magie que le docteur avait ramené et caché à tes yeux", Ajoutèrent-ils, hilares. "Espèce de salopards !", Murmura Jack, comme soulagé. "Tire dessus, nous essayons de le diviser toujours plus minutieusement dans l'espace, ce pull pathologique", Cela notre protagoniste ne savait plus trop d'où ça venait.  Le frêle jeune homme, qui était mort et avait été la cause de la perte de son bras, se leva ! Pour lui serrer la main, il poussa devant eux une adolescente d'une quinzaine d'années, la maladie l'ayant aussi rongée, n'ayant pas mauvais ton, elle répondit froidement à ces coups. "Méfiez-vous, méfiez-vous !", Bouillonnait-elle, elle qui était l'araignée tissant le sous-pull, "Votre bon papa nous recommande de ne pas nourrir son fainéant de fils..." Géante nouvelle, sa tête avait augmenté de volume... Détendu, le visage maigre de Jack paraissait tout ridé. "Excusez-la, monsieur l'inconnu", Répétèrent les deux maquereaux musclés, "à pareille heure, le traitement d'un air farouche ne peut se la figurer par l'ambition des plus intrépides." Choisie entre tous les biens qui appartenaient à la sainte vendetta, la justice fut vite rendue et sans la moindre phrase.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 22, 2017, 14:50:33
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bon je poste le 3eme chapitre
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Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 25, 2017, 12:07:46
IV) Mort

Soudain apparut en bas, un large tumulte. L'ombre portée de Jack hors du temps perpendiculaire avait impacté le sol alors qu'il prenait la tangente à mi-hauteur. Entre les populations de l'en-dedans et celles de l'en dehors, une nouvelle faune émergea, accueillante, les cohortes de l'au-delà, chargées, pour l'exemple, de liquider tous les passifs. L'avant, jadis concret, devenait abstrait, et inversement pour l'Après. "Retiens donc bien ce que je raconte", S'apostropha Jack, "D'arracher l'herbe à éternuer, l'herbe haute, humide de rosée, nul ne témoigne sans contrepartie."
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: Lourdes Phalanges le Août 25, 2017, 12:41:59
[NDRL : La dernière phrase de mon tirage est authentique et laissé inchangée tellement c'était beau. Le hasard, qui n'existe pas, fait bien les choses !]

Soudain apparut en bas, un large tumulte. L'ombre portée de Jack hors du temps perpendiculaire avait impacté le sol alors qu'il prenait la tangente à mi-hauteur. Entre les populations de l'en-dedans et celles de l'en dehors, une nouvelle faune émergea, accueillante, les cohortes de l'au-delà, chargées, pour l'exemple, de liquider tous les passifs. L'avant, jadis concret, devenait abstrait, et inversement pour l'Après. "Retiens donc bien ce que je raconte", S'apostropha Jack, "D'arracher l'herbe à éternuer, l'herbe haute, humide de rosée, nul ne témoigne sans contrepartie."

L'équilibre nécessaire des recettes et des dépenses journalières, qui ne pouvait être important, l'attendrissait. La prétendue incompétence de la commission parisienne composée de trois hommes entendus pendant dix-neuf mois. "Que je fusse digne d'en faire autant..." souffla notre héros. Souriant et adoptant une expression amicale, il reprit son pas de vieillard épuisé, se reposant de sa course folle, tout en imaginant les façons les plus bizarres d'en finir. Aurions-nous peur de ce qui alourdit la barque de mort !
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: Clacker le Août 25, 2017, 16:30:29
Soudain apparut en bas, un large tumulte. L'ombre portée de Jack hors du temps perpendiculaire avait impacté le sol alors qu'il prenait la tangente à mi-hauteur. Entre les populations de l'en-dedans et celles de l'en dehors, une nouvelle faune émergea, accueillante, les cohortes de l'au-delà, chargées, pour l'exemple, de liquider tous les passifs. L'avant, jadis concret, devenait abstrait, et inversement pour l'Après. "Retiens donc bien ce que je raconte", S'apostropha Jack, "D'arracher l'herbe à éternuer, l'herbe haute, humide de rosée, nul ne témoigne sans contrepartie."

L'équilibre nécessaire des recettes et des dépenses journalières, qui ne pouvait être important, l'attendrissait. La prétendue incompétence de la commission parisienne composée de trois hommes entendus pendant dix-neuf mois. "Que je fusse digne d'en faire autant..." souffla notre héros. Souriant et adoptant une expression amicale, il reprit son pas de vieillard épuisé, se reposant de sa course folle, tout en imaginant les façons les plus bizarres d'en finir. Aurions-nous peur de ce qui alourdit la barque de mort !
"Bonne chance, et prends garde d'abuser de ton agilité, et renifle ce froid sinistre semblable à la cupidité du notaire", lui soufflèrent treize de ces animaux présents dans tout coeur russe. Condamné à six ans, Jack vit que ses anciennes nuits se passaient dans l'inaction, dans l'Anémone. "Laisse-la, tu sais que mon espoir et mon corps sont entre les convoitises et les mortifications", marmonna-t-il à son âme du bout du nez.
Problème beaucoup plus sérieux que des parties de cartes, la grande foule se réunit pour voir le malheureux suivant ses instincts naturels spécifiquement et numériquement distincts.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 26, 2017, 08:52:48
IV) Mort

Soudain apparut en bas, un large tumulte. L'ombre portée de Jack hors du temps perpendiculaire avait impacté le sol alors qu'il prenait la tangente à mi-hauteur. Entre les populations de l'en-dedans et celles de l'en dehors, une nouvelle faune émergea, accueillante, les cohortes de l'au-delà, chargées, pour l'exemple, de liquider tous les passifs. L'avant, jadis concret, devenait abstrait, et inversement pour l'Après. "Retiens donc bien ce que je raconte", S'apostropha Jack, "D'arracher l'herbe à éternuer, l'herbe haute, humide de rosée, nul ne témoigne sans contrepartie."

L'équilibre nécessaire des recettes et des dépenses journalières, qui ne pouvait être important, l'attendrissait. La prétendue incompétence de la commission parisienne composée de trois hommes entendus pendant dix-neuf mois. "Que je fusse digne d'en faire autant..." souffla notre héros. Souriant et adoptant une expression amicale, il reprit son pas de vieillard épuisé, se reposant de sa course folle, tout en imaginant les façons les plus bizarres d'en finir. Aurions-nous peur de ce qui alourdit la barque de mort !

"Bonne chance, et prends garde d'abuser de ton agilité, et renifle ce froid sinistre semblable à la cupidité du notaire", lui soufflèrent treize de ces animaux présents dans tout cœur russe. Condamné à six ans, Jack vit que ses anciennes nuits se passaient dans l'inaction, dans l'Anémone. "Laisse-la, tu sais que mon espoir et mon corps sont entre les convoitises et les mortifications", marmonna-t-il à son âme du bout du nez.

Problème beaucoup plus sérieux que des parties de cartes, la grande foule se réunit pour voir le malheureux suivant ses instincts naturels spécifiquement et numériquement distincts. "Déchirez l'ordonnance, et la suite arrachez-la moi de ces bras  découpés !" Comme une feuille tombe de la voûte, la corde pendait ainsi à peu près. Avait-il été défenestré, pendu, intoxiqué, noyé, poignardé ou battu à mort ? Bien malin celui qui pusse le déduire.

"J'aurais mieux fait d'être chrétien orthodoxe.", Psalmodia Jack. Le slavon était employé depuis un temps immémorial par les âmes qui l'accueillaient, à la différence des températures qui firent éclater les bocaux qui retenaient la sienne. Quittant ce sujet, lorsqu'il put se rendre compte, il se remit à penser, comme cela semblait fonctionner, dents disposées comme celles d'un chat qui pelotait.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: LePouilleux le Août 26, 2017, 17:47:07
IV) Mort

Soudain apparut en bas, un large tumulte. L'ombre portée de Jack hors du temps perpendiculaire avait impacté le sol alors qu'il prenait la tangente à mi-hauteur. Entre les populations de l'en-dedans et celles de l'en dehors, une nouvelle faune émergea, accueillante, les cohortes de l'au-delà, chargées, pour l'exemple, de liquider tous les passifs. L'avant, jadis concret, devenait abstrait, et inversement pour l'Après. "Retiens donc bien ce que je raconte", S'apostropha Jack, "D'arracher l'herbe à éternuer, l'herbe haute, humide de rosée, nul ne témoigne sans contrepartie."

L'équilibre nécessaire des recettes et des dépenses journalières, qui ne pouvait être important, l'attendrissait. La prétendue incompétence de la commission parisienne composée de trois hommes entendus pendant dix-neuf mois. "Que je fusse digne d'en faire autant..." souffla notre héros. Souriant et adoptant une expression amicale, il reprit son pas de vieillard épuisé, se reposant de sa course folle, tout en imaginant les façons les plus bizarres d'en finir. Aurions-nous peur de ce qui alourdit la barque de mort !

"Bonne chance, et prends garde d'abuser de ton agilité, et renifle ce froid sinistre semblable à la cupidité du notaire", lui soufflèrent treize de ces animaux présents dans tout cœur russe. Condamné à six ans, Jack vit que ses anciennes nuits se passaient dans l'inaction, dans l'Anémone. "Laisse-la, tu sais que mon espoir et mon corps sont entre les convoitises et les mortifications", marmonna-t-il à son âme du bout du nez.
Problème beaucoup plus sérieux que des parties de cartes, la grande foule se réunit pour voir le malheureux suivant ses instincts naturels spécifiquement et numériquement distincts. "Déchirez l'ordonnance, et la suite arrachez-la moi de ces bras  découpés !" Comme une feuille tombe de la voûte, la corde pendait ainsi à peu près. Avait-il été défenestré, pendu, intoxiqué, noyé, poignardé ou battu à mort ? Bien malin celui qui pusse le déduire.

"J'aurais mieux fait d'être chrétien orthodoxe.", Psalmodia Jack. Le slavon était employé depuis un temps immémorial par les âmes qui l'accueillaient, à la différence des températures qui firent éclater les bocaux qui retenaient la sienne. Quittant ce sujet, lorsqu'il put se rendre compte, il se remit à penser, comme cela semblait fonctionner, dents disposées comme celles d'un chat qui pelotait:

« On explique peu ces vieux mystères d'innocence, pourtant nous venons secourir les pauvres artistes que nous affichons courageusement dans nos salons. Aimez toujours votre prochain comme vous-mêmes, une injure sur l'autre. Secondement, je n'estime pas ces originaux-là. Dociles à leurs conseils, nous recevons les ordres et, quand nous transférons la détermination de l'idée directrice, les écarts de suggestion ont des caractères qui leur sont unies. Enfants des fées, à votre prière. »
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 28, 2017, 09:06:08
IV) Mort

Soudain apparut en bas, un large tumulte. L'ombre portée de Jack hors du temps perpendiculaire avait impacté le sol alors qu'il prenait la tangente à mi-hauteur. Entre les populations de l'en-dedans et celles de l'en dehors, une nouvelle faune émergea, accueillante, les cohortes de l'au-delà, chargées, pour l'exemple, de liquider tous les passifs. L'avant, jadis concret, devenait abstrait, et inversement pour l'Après. "Retiens donc bien ce que je raconte", S'apostropha Jack, "D'arracher l'herbe à éternuer, l'herbe haute, humide de rosée, nul ne témoigne sans contrepartie."

L'équilibre nécessaire des recettes et des dépenses journalières, qui ne pouvait être important, l'attendrissait. La prétendue incompétence de la commission parisienne composée de trois hommes entendus pendant dix-neuf mois. "Que je fusse digne d'en faire autant..." souffla notre héros. Souriant et adoptant une expression amicale, il reprit son pas de vieillard épuisé, se reposant de sa course folle, tout en imaginant les façons les plus bizarres d'en finir. Aurions-nous peur de ce qui alourdit la barque de mort !

"Bonne chance, et prends garde d'abuser de ton agilité, et renifle ce froid sinistre semblable à la cupidité du notaire", lui soufflèrent treize de ces animaux présents dans tout cœur russe. Condamné à six ans, Jack vit que ses anciennes nuits se passaient dans l'inaction, dans l'Anémone. "Laisse-la, tu sais que mon espoir et mon corps sont entre les convoitises et les mortifications", marmonna-t-il à son âme du bout du nez.
Problème beaucoup plus sérieux que des parties de cartes, la grande foule se réunit pour voir le malheureux suivant ses instincts naturels spécifiquement et numériquement distincts. "Déchirez l'ordonnance, et la suite arrachez-la moi de ces bras  découpés !" Comme une feuille tombe de la voûte, la corde pendait ainsi à peu près. Avait-il été défenestré, pendu, intoxiqué, noyé, poignardé ou battu à mort ? Bien malin celui qui pusse le déduire.

"J'aurais mieux fait d'être chrétien orthodoxe.", Psalmodia Jack. Le slavon était employé depuis un temps immémorial par les âmes qui l'accueillaient, à la différence des températures qui firent éclater les bocaux qui retenaient la sienne. Quittant ce sujet, lorsqu'il put se rendre compte, il se remit à penser, comme cela semblait fonctionner, dents disposées comme celles d'un chat qui pelotait:

« On explique peu ces vieux mystères d'innocence, pourtant nous venons secourir les pauvres artistes que nous affichons courageusement dans nos salons. Aimez toujours votre prochain comme vous-mêmes, une injure sur l'autre. Secondement, je n'estime pas ces originaux-là. Dociles à leurs conseils, nous recevons les ordres et, quand nous transférons la détermination de l'idée directrice, les écarts de suggestion ont des caractères qui leur sont unies. Enfants des fées, à votre prière. »

Alors la grande recette de l'embaumement de l'âme et momification de l'esprit fut méticuleusement pratiquée sur Jack par lui-même selon les rites et usages de l'Égypte ancienne. 
1. Amenez le cheval par la bride, le cheval du brave garçon.
2. Puis transportez le zèle pour l'opposer à la conquête de l'au-delà (n'importe qui pourrait l'emporter sur ses adversaires).
3. Autrement, ce serait quoi cette histoire de bâtiments coulés à fond, face au vent, défilant près de lui ?
4. Songez-y, retrouvez-vous tel un pauvre petit être assis sur le lit par les pieds.
5. Empaquetez. Emballez. Faites un nœud ornemental. Offrir.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 29, 2017, 10:29:46
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-- une dernière intervention à Lourdes Phalanges, Le Pouilleux et Clacker puis on publie la dernière partie ?
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Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: Lourdes Phalanges le Août 29, 2017, 18:01:36
Soudain apparut en bas, un large tumulte. L'ombre portée de Jack hors du temps perpendiculaire avait impacté le sol alors qu'il prenait la tangente à mi-hauteur. Entre les populations de l'en-dedans et celles de l'en dehors, une nouvelle faune émergea, accueillante, les cohortes de l'au-delà, chargées, pour l'exemple, de liquider tous les passifs. L'avant, jadis concret, devenait abstrait, et inversement pour l'Après. "Retiens donc bien ce que je raconte", S'apostropha Jack, "D'arracher l'herbe à éternuer, l'herbe haute, humide de rosée, nul ne témoigne sans contrepartie."

L'équilibre nécessaire des recettes et des dépenses journalières, qui ne pouvait être important, l'attendrissait. La prétendue incompétence de la commission parisienne composée de trois hommes entendus pendant dix-neuf mois. "Que je fusse digne d'en faire autant..." souffla notre héros. Souriant et adoptant une expression amicale, il reprit son pas de vieillard épuisé, se reposant de sa course folle, tout en imaginant les façons les plus bizarres d'en finir. Aurions-nous peur de ce qui alourdit la barque de mort !

"Bonne chance, et prends garde d'abuser de ton agilité, et renifle ce froid sinistre semblable à la cupidité du notaire", lui soufflèrent treize de ces animaux présents dans tout cœur russe. Condamné à six ans, Jack vit que ses anciennes nuits se passaient dans l'inaction, dans l'Anémone. "Laisse-la, tu sais que mon espoir et mon corps sont entre les convoitises et les mortifications", marmonna-t-il à son âme du bout du nez.
Problème beaucoup plus sérieux que des parties de cartes, la grande foule se réunit pour voir le malheureux suivant ses instincts naturels spécifiquement et numériquement distincts. "Déchirez l'ordonnance, et la suite arrachez-la moi de ces bras  découpés !" Comme une feuille tombe de la voûte, la corde pendait ainsi à peu près. Avait-il été défenestré, pendu, intoxiqué, noyé, poignardé ou battu à mort ? Bien malin celui qui pusse le déduire.

"J'aurais mieux fait d'être chrétien orthodoxe.", Psalmodia Jack. Le slavon était employé depuis un temps immémorial par les âmes qui l'accueillaient, à la différence des températures qui firent éclater les bocaux qui retenaient la sienne. Quittant ce sujet, lorsqu'il put se rendre compte, il se remit à penser, comme cela semblait fonctionner, dents disposées comme celles d'un chat qui pelotait:

« On explique peu ces vieux mystères d'innocence, pourtant nous venons secourir les pauvres artistes que nous affichons courageusement dans nos salons. Aimez toujours votre prochain comme vous-mêmes, une injure sur l'autre. Secondement, je n'estime pas ces originaux-là. Dociles à leurs conseils, nous recevons les ordres et, quand nous transférons la détermination de l'idée directrice, les écarts de suggestion ont des caractères qui leur sont unies. Enfants des fées, à votre prière. »

Alors la grande recette de l'embaumement de l'âme et momification de l'esprit fut méticuleusement pratiquée sur Jack par lui-même selon les rites et usages de l'Égypte ancienne. 
1. Amenez le cheval par la bride, le cheval du brave garçon.
2. Puis transportez le zèle pour l'opposer à la conquête de l'au-delà (n'importe qui pourrait l'emporter sur ses adversaires).
3. Autrement, ce serait quoi cette histoire de bâtiments coulés à fond, face au vent, défilant près de lui ?
4. Songez-y, retrouvez-vous tel un pauvre petit être assis sur le lit par les pieds.
5. Empaquetez. Emballez. Faites un nœud ornemental. Offrir.

Mystères de l'instinct que celle de ses dents branlantes. Lutter contre le plus grand soin de les porter tout bonnement dans la vie réelle. Se dévorant entre elles, elles ne survivraient pas. Absent si longtemps tant la question le déconcertait, bien qu'avancé en âge, le Jack primitif, l'amas originel de cellules qui avait entrainé tout le reste, parvint à écrire une lettre dans ce désordre psychique. Les différents états de l'entité Jack l'avaient tous reconnu au dernier moment. Défendre l'égalité n'est point fréquent. La lettre commençait par : « Les astronomes, comme ils aiment à se définir eux-même, sont avant tout des archéologues de l'univers, des dépoussiéreurs du passé cosmique déconnectés de ses vérités spatio-temporelles locales... Ils cherchent à récolter les enseignements d' une communication unilatérale que l'univers aurait engagé avec eux avant même qu'ils ne soient venus au monde... Seraient-ils les rapporteurs prophétiques des cachotteries que leur chuchote le cosmos ?... »
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: LePouilleux le Août 29, 2017, 23:05:49
Soudain apparut en bas, un large tumulte. L'ombre portée de Jack hors du temps perpendiculaire avait impacté le sol alors qu'il prenait la tangente à mi-hauteur. Entre les populations de l'en-dedans et celles de l'en dehors, une nouvelle faune émergea, accueillante, les cohortes de l'au-delà, chargées, pour l'exemple, de liquider tous les passifs. L'avant, jadis concret, devenait abstrait, et inversement pour l'Après. "Retiens donc bien ce que je raconte", S'apostropha Jack, "D'arracher l'herbe à éternuer, l'herbe haute, humide de rosée, nul ne témoigne sans contrepartie."

L'équilibre nécessaire des recettes et des dépenses journalières, qui ne pouvait être important, l'attendrissait. La prétendue incompétence de la commission parisienne composée de trois hommes entendus pendant dix-neuf mois. "Que je fusse digne d'en faire autant..." souffla notre héros. Souriant et adoptant une expression amicale, il reprit son pas de vieillard épuisé, se reposant de sa course folle, tout en imaginant les façons les plus bizarres d'en finir. Aurions-nous peur de ce qui alourdit la barque de mort !

"Bonne chance, et prends garde d'abuser de ton agilité, et renifle ce froid sinistre semblable à la cupidité du notaire", lui soufflèrent treize de ces animaux présents dans tout cœur russe. Condamné à six ans, Jack vit que ses anciennes nuits se passaient dans l'inaction, dans l'Anémone. "Laisse-la, tu sais que mon espoir et mon corps sont entre les convoitises et les mortifications", marmonna-t-il à son âme du bout du nez.
Problème beaucoup plus sérieux que des parties de cartes, la grande foule se réunit pour voir le malheureux suivant ses instincts naturels spécifiquement et numériquement distincts. "Déchirez l'ordonnance, et la suite arrachez-la moi de ces bras  découpés !" Comme une feuille tombe de la voûte, la corde pendait ainsi à peu près. Avait-il été défenestré, pendu, intoxiqué, noyé, poignardé ou battu à mort ? Bien malin celui qui pusse le déduire.

"J'aurais mieux fait d'être chrétien orthodoxe.", Psalmodia Jack. Le slavon était employé depuis un temps immémorial par les âmes qui l'accueillaient, à la différence des températures qui firent éclater les bocaux qui retenaient la sienne. Quittant ce sujet, lorsqu'il put se rendre compte, il se remit à penser, comme cela semblait fonctionner, dents disposées comme celles d'un chat qui pelotait:

« On explique peu ces vieux mystères d'innocence, pourtant nous venons secourir les pauvres artistes que nous affichons courageusement dans nos salons. Aimez toujours votre prochain comme vous-mêmes, une injure sur l'autre. Secondement, je n'estime pas ces originaux-là. Dociles à leurs conseils, nous recevons les ordres et, quand nous transférons la détermination de l'idée directrice, les écarts de suggestion ont des caractères qui leur sont unies. Enfants des fées, à votre prière. »

Alors la grande recette de l'embaumement de l'âme et momification de l'esprit fut méticuleusement pratiquée sur Jack par lui-même selon les rites et usages de l'Égypte ancienne.
1. Amenez le cheval par la bride, le cheval du brave garçon.
2. Puis transportez le zèle pour l'opposer à la conquête de l'au-delà (n'importe qui pourrait l'emporter sur ses adversaires).
3. Autrement, ce serait quoi cette histoire de bâtiments coulés à fond, face au vent, défilant près de lui ?
4. Songez-y, retrouvez-vous tel un pauvre petit être assis sur le lit par les pieds.
5. Empaquetez. Emballez. Faites un nœud ornemental. Offrir.

Mystères de l'instinct que celle de ses dents branlantes. Lutter contre le plus grand soin de les porter tout bonnement dans la vie réelle. Se dévorant entre elles, elles ne survivraient pas. Absent si longtemps tant la question le déconcertait, bien qu'avancé en âge, le Jack primitif, l'amas originel de cellules qui avait entrainé tout le reste, parvint à écrire une lettre dans ce désordre psychique. Les différents états de l'entité Jack l'avaient tous reconnu au dernier moment. Défendre l'égalité n'est point fréquent. La lettre commençait par : « Les astronomes, comme ils aiment à se définir eux-même, sont avant tout des archéologues de l'univers, des dépoussiéreurs du passé cosmique déconnectés de ses vérités spatio-temporelles locales... Ils cherchent à récolter les enseignements d' une communication unilatérale que l'univers aurait engagé avec eux avant même qu'ils ne soient venus au monde... Seraient-ils les rapporteurs prophétiques des cachotteries que leur chuchote le cosmos ?... »

Essoufflé, ce qui explique pourquoi toute son entité avait voté contre la maintenance actuelle. Au -dedans de ces limites, il abdiqua sans peine. Puissions-nous savoir ce qu'il pouvait en portant sa tête sur les épaules. Psycho-guide je suis allé chez lui... assurer la force de son repentir.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: Clacker le Août 29, 2017, 23:49:20
Soudain apparut en bas, un large tumulte. L'ombre portée de Jack hors du temps perpendiculaire avait impacté le sol alors qu'il prenait la tangente à mi-hauteur. Entre les populations de l'en-dedans et celles de l'en dehors, une nouvelle faune émergea, accueillante, les cohortes de l'au-delà, chargées, pour l'exemple, de liquider tous les passifs. L'avant, jadis concret, devenait abstrait, et inversement pour l'Après. "Retiens donc bien ce que je raconte", S'apostropha Jack, "D'arracher l'herbe à éternuer, l'herbe haute, humide de rosée, nul ne témoigne sans contrepartie."

L'équilibre nécessaire des recettes et des dépenses journalières, qui ne pouvait être important, l'attendrissait. La prétendue incompétence de la commission parisienne composée de trois hommes entendus pendant dix-neuf mois. "Que je fusse digne d'en faire autant..." souffla notre héros. Souriant et adoptant une expression amicale, il reprit son pas de vieillard épuisé, se reposant de sa course folle, tout en imaginant les façons les plus bizarres d'en finir. Aurions-nous peur de ce qui alourdit la barque de mort !

"Bonne chance, et prends garde d'abuser de ton agilité, et renifle ce froid sinistre semblable à la cupidité du notaire", lui soufflèrent treize de ces animaux présents dans tout cœur russe. Condamné à six ans, Jack vit que ses anciennes nuits se passaient dans l'inaction, dans l'Anémone. "Laisse-la, tu sais que mon espoir et mon corps sont entre les convoitises et les mortifications", marmonna-t-il à son âme du bout du nez.
Problème beaucoup plus sérieux que des parties de cartes, la grande foule se réunit pour voir le malheureux suivant ses instincts naturels spécifiquement et numériquement distincts. "Déchirez l'ordonnance, et la suite arrachez-la moi de ces bras  découpés !" Comme une feuille tombe de la voûte, la corde pendait ainsi à peu près. Avait-il été défenestré, pendu, intoxiqué, noyé, poignardé ou battu à mort ? Bien malin celui qui pusse le déduire.

"J'aurais mieux fait d'être chrétien orthodoxe.", Psalmodia Jack. Le slavon était employé depuis un temps immémorial par les âmes qui l'accueillaient, à la différence des températures qui firent éclater les bocaux qui retenaient la sienne. Quittant ce sujet, lorsqu'il put se rendre compte, il se remit à penser, comme cela semblait fonctionner, dents disposées comme celles d'un chat qui pelotait:

« On explique peu ces vieux mystères d'innocence, pourtant nous venons secourir les pauvres artistes que nous affichons courageusement dans nos salons. Aimez toujours votre prochain comme vous-mêmes, une injure sur l'autre. Secondement, je n'estime pas ces originaux-là. Dociles à leurs conseils, nous recevons les ordres et, quand nous transférons la détermination de l'idée directrice, les écarts de suggestion ont des caractères qui leur sont unies. Enfants des fées, à votre prière. »

Alors la grande recette de l'embaumement de l'âme et momification de l'esprit fut méticuleusement pratiquée sur Jack par lui-même selon les rites et usages de l'Égypte ancienne.
1. Amenez le cheval par la bride, le cheval du brave garçon.
2. Puis transportez le zèle pour l'opposer à la conquête de l'au-delà (n'importe qui pourrait l'emporter sur ses adversaires).
3. Autrement, ce serait quoi cette histoire de bâtiments coulés à fond, face au vent, défilant près de lui ?
4. Songez-y, retrouvez-vous tel un pauvre petit être assis sur le lit par les pieds.
5. Empaquetez. Emballez. Faites un nœud ornemental. Offrir.

Mystères de l'instinct que celle de ses dents branlantes. Lutter contre le plus grand soin de les porter tout bonnement dans la vie réelle. Se dévorant entre elles, elles ne survivraient pas. Absent si longtemps tant la question le déconcertait, bien qu'avancé en âge, le Jack primitif, l'amas originel de cellules qui avait entrainé tout le reste, parvint à écrire une lettre dans ce désordre psychique. Les différents états de l'entité Jack l'avaient tous reconnu au dernier moment. Défendre l'égalité n'est point fréquent. La lettre commençait par : « Les astronomes, comme ils aiment à se définir eux-même, sont avant tout des archéologues de l'univers, des dépoussiéreurs du passé cosmique déconnectés de ses vérités spatio-temporelles locales... Ils cherchent à récolter les enseignements d' une communication unilatérale que l'univers aurait engagé avec eux avant même qu'ils ne soient venus au monde... Seraient-ils les rapporteurs prophétiques des cachotteries que leur chuchote le cosmos ?... »

Essoufflé, ce qui explique pourquoi toute son entité avait voté contre la maintenance actuelle. Au -dedans de ces limites, il abdiqua sans peine. Puissions-nous savoir ce qu'il pouvait en portant sa tête sur les épaules. Psycho-guide je suis allé chez lui... assurer la force de son repentir. Convaincu par plusieurs billets très sensés et très spirituels écrits dans son infortune, il ne touchera pourtant jamais les passions. Apprenez-lui, je vous prie de lui garder les clefs, vous ne voulez être broyés.
Rester enfant, c'est appliquer son esprit à travers l'affliction sans dire une seule parole de raison ; si tu veux. Rôle considérable s'il en est. Regardez-moi ça qui s'avance ; elle ne rira pas de votre punition.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: Muscadet le Août 29, 2017, 23:59:03
Soudain apparut en bas, un large tumulte. L'ombre portée de Jack hors du temps perpendiculaire avait impacté le sol alors qu'il prenait la tangente à mi-hauteur. Entre les populations de l'en-dedans et celles de l'en dehors, une nouvelle faune émergea, accueillante, les cohortes de l'au-delà, chargées, pour l'exemple, de liquider tous les passifs. L'avant, jadis concret, devenait abstrait, et inversement pour l'Après. "Retiens donc bien ce que je raconte", s'apostropha Jack, "D'arracher l'herbe à éternuer, l'herbe haute, humide de rosée, nul ne témoigne sans contrepartie."

L'équilibre nécessaire des recettes et des dépenses journalières, qui ne pouvait être important, l'attendrissait. La prétendue incompétence de la commission parisienne composée de trois hommes entendus pendant dix-neuf mois. "Que je fusse digne d'en faire autant..." souffla notre héros. Souriant et adoptant une expression amicale, il reprit son pas de vieillard épuisé, se reposant de sa course folle, tout en imaginant les façons les plus bizarres d'en finir. Aurions-nous peur de ce qui alourdit la barque de mort !

"Bonne chance, et prends garde d'abuser de ton agilité, et renifle ce froid sinistre semblable à la cupidité du notaire", lui soufflèrent treize de ces animaux présents dans tout cœur russe. Condamné à six ans, Jack vit que ses anciennes nuits se passaient dans l'inaction, dans l'Anémone. "Laisse-la, tu sais que mon espoir et mon corps sont entre les convoitises et les mortifications", marmonna-t-il à son âme du bout du nez.
Problème beaucoup plus sérieux que des parties de cartes, la grande foule se réunit pour voir le malheureux suivant ses instincts naturels spécifiquement et numériquement distincts. "Déchirez l'ordonnance, et la suite arrachez-la moi de ces bras  découpés !" Comme une feuille tombe de la voûte, la corde pendait ainsi à peu près. Avait-il été défenestré, pendu, intoxiqué, noyé, poignardé ou battu à mort ? Bien malin celui qui pusse le déduire.

"J'aurais mieux fait d'être chrétien orthodoxe.", psalmodia Jack. Le slavon était employé depuis un temps immémorial par les âmes qui l'accueillaient, à la différence des températures qui firent éclater les bocaux qui retenaient la sienne. Quittant ce sujet, lorsqu'il put se rendre compte, il se remit à penser, comme cela semblait fonctionner, dents disposées comme celles d'un chat qui pelotait :
« On explique peu ces vieux mystères d'innocence, pourtant nous venons secourir les pauvres artistes que nous affichons courageusement dans nos salons. Aimez toujours votre prochain comme vous-mêmes, une injure sur l'autre. Secondement, je n'estime pas ces originaux-là. Dociles à leurs conseils, nous recevons les ordres et, quand nous transférons la détermination de l'idée directrice, les écarts de suggestion ont des caractères qui leur sont unies. Enfants des fées, à votre prière. »

Alors la grande recette de l'embaumement de l'âme et momification de l'esprit fut méticuleusement pratiquée sur Jack par lui-même selon les rites et usages de l'Égypte ancienne.
1. Amenez le cheval par la bride, le cheval du brave garçon.
2. Puis transportez le zèle pour l'opposer à la conquête de l'au-delà (n'importe qui pourrait l'emporter sur ses adversaires).
3. Autrement, ce serait quoi cette histoire de bâtiments coulés à fond, face au vent, défilant près de lui ?
4. Songez-y, retrouvez-vous tel un pauvre petit être assis sur le lit par les pieds.
5. Empaquetez. Emballez. Faites un nœud ornemental. Offrir.

Mystères de l'instinct que celle de ses dents branlantes. Lutter contre le plus grand soin de les porter tout bonnement dans la vie réelle. Se dévorant entre elles, elles ne survivraient pas. Absent si longtemps tant la question le déconcertait, bien qu'avancé en âge, le Jack primitif, l'amas originel de cellules qui avait entrainé tout le reste, parvint à écrire une lettre dans ce désordre psychique. Les différents états de l'entité Jack l'avaient tous reconnu au dernier moment. Défendre l'égalité n'est point fréquent. La lettre commençait par : « Les astronomes, comme ils aiment à se définir eux-même, sont avant tout des archéologues de l'univers, des dépoussiéreurs du passé cosmique déconnectés de ses vérités spatio-temporelles locales... Ils cherchent à récolter les enseignements d' une communication unilatérale que l'univers aurait engagé avec eux avant même qu'ils ne soient venus au monde... Seraient-ils les rapporteurs prophétiques des cachotteries que leur chuchote le cosmos ?... »

Essoufflé, ce qui explique pourquoi toute son entité avait voté contre la maintenance actuelle. Au -dedans de ces limites, il abdiqua sans peine. Puissions-nous savoir ce qu'il pouvait en portant sa tête sur les épaules. Psycho-guide je suis allé chez lui... assurer la force de son repentir. Convaincu par plusieurs billets très sensés et très spirituels écrits dans son infortune, il ne touchera pourtant jamais les passions. Apprenez-lui, je vous prie de lui garder les clefs, vous ne voulez être broyés.
Rester enfant, c'est appliquer son esprit à travers l'affliction sans dire une seule parole de raison ; si tu veux. Rôle considérable s'il en est. Regardez-moi ça qui s'avance ; elle ne rira pas de votre punition.
Déconcerté de son défaut de perspicacité, Jack rentra dans sa chambre quand le cardinal montait sur un cheval à pieu, achevant de faire connaître les lois universelles et immuables : "Faites-vous conduire au poste de police en bourgeois. Certes, il faut mettre votre opéra en harmonie avec le paysage." Et dans quelles mains peut-il passer, de l'un à gauche, et en même temps cette sensation physique, et les débuts de l'ère des révolutions, étaient à jamais consolidés. Faute de pouvoir mieux faire.
Titre: Re : Jack, les neuroleptiques et la vodka-Javel
Posté par: lapinchien le Août 30, 2017, 08:33:03
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-- Splendide, merci. Fin de l'initiative. Focalisons-nous sur d'autres troubles obsessionnels compulsifs à présent.
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