CitationVoici le communiqué de presse que Caz va faire dans son réseau toulousain. Validé par les admins à part le terme "clodos littéraire" qui n'a pas fait consensus. N'hésitez pas à le retravailler collectivement et repostez votre mouture modifiée.
Objet : LaZone.org : Squat numérique dans les ruines du web
Texte d'aperçu : LaZone.org un espace sauvage et libre où les mots crient, râlent, dérangent. Pas de pub, pas d'algorithmes, juste une écriture brute qui refuse de se plier aux standards du net. Un squat numérique pour les textes et les voix qui n'ont plus leur place ailleurs.
Contenu mail :
Titre : COMMUNIQUÉ POUR CEUX QUI LISENT EN DIAGONALE
Texte :
LaZone.org c'est pas un site. C'est une décharge. Un squat numérique. Un rade crasseux où les mots sentent la sueur, la bile et parfois un peu l'encre. Ici, on écrit comme on crache, comme on saigne, comme on rigole nerveusement en matant le monde partir en vrille.
C'est pas un projet. Pas une start-up. Pas un "collectif d'auteurs engagés". C'est un foutoir. Un asile textuel. Une bouche d'égout d'où sortent des nouvelles, des journaux dépressifs, des fictions absurdes, des coups de gueule, des cadavres exquis et des pamphlets contre tout et parfois contre rien. Les contributeurs ? Des ombres. Des clodos littéraires. Des voix sans visage ni CV LinkedIn.
Pas de pub. Pas d'algorithmes. Pas de stratégie de contenu. Pas d'ambition.
Rien que du texte. Brut. Parfois mauvais. Parfois génial. Toujours libre.
On est pas là pour séduire. On est là pour exister.
Pour ceux qui ne trouvent pas leur place dans le web propre, marchand, poli.
Pour ceux qui vomissent les likes, les influenceurs, les IA qui écrivent des poèmes pour chiens morts.
Pour ceux qui ont quelque chose à dire, même si c'est moche. Surtout si c'est moche.
LaZone.org, c'est un refuge pour les âmes en bordel.
Un crachoir pour l'écriture sauvage.
Une secte sans gourou.
Un site qui n'a pas changé de design depuis 2001, parce que franchement, on s'en bat les pixels.
Tu veux lire ? Viens.
Tu veux écrire ? Fous ton texte sur le tas.
Tu veux comprendre ? Mauvaise porte.
Les contributeurs ? Des voix sans vitrine, sans CV LinkedIn, qui préfèrent le fond à la façade.
si ca vous parle?
change et ajoute directement ce que tu veux en mettant tes modifications en gras.
Objet : LaZone.org : Squat numérique dans les ruines du web
Texte d'aperçu : LaZone.org un espace sauvage et libre où les mots crient, râlent, dérangent. Pas de pub, pas d'algorithmes, juste une écriture brute qui refuse de se plier aux standards du net. Un squat numérique pour les textes et les voix qui n'ont plus leur place ailleurs.
Contenu mail :
Titre : COMMUNIQUÉ POUR CEUX QUI LISENT EN DIAGONALE
Texte :
LaZone.org c'est pas un site. C'est une décharge. Un squat numérique. Un rade crasseux où les mots sentent la sueur, la bile et parfois un peu l'encre. Ici, on écrit comme on crache, comme on saigne, comme on rigole nerveusement en matant le monde partir en vrille.
C'est pas un projet. Pas une start-up. Pas un "collectif d'auteurs engagés". C'est un foutoir. Un asile textuel. Une bouche d'égout d'où sortent des nouvelles, des journaux dépressifs, des fictions absurdes, des coups de gueule, des cadavres exquis et des pamphlets contre tout et parfois contre rien. Les contributeurs ? Des voix sans vitrine, sans CV LinkedIn, qui préfèrent le fond à la façade.
Pas de pub. Pas d'algorithmes. Pas de stratégie de contenu. Pas d'ambition.
Rien que du texte. Brut. Parfois mauvais. Parfois génial. Toujours libre.
On est pas là pour séduire. On est là pour exister.
Pour ceux qui ne trouvent pas leur place dans le web propre, marchand, poli.
Pour ceux qui vomissent les likes, les influenceurs, les IA qui écrivent des poèmes pour chiens morts.
Pour ceux qui ont quelque chose à dire, même si c'est moche. Surtout si c'est moche.
LaZone.org, c'est un refuge pour les âmes en bordel.
Un crachoir pour l'écriture sauvage.
Une secte sans gourou.
Un site qui n'a pas changé de design depuis 2001, parce que franchement, on s'en bat les pixels.
Tu veux lire ? Viens.
Tu veux écrire ? Fous ton texte sur le tas.
Tu veux comprendre ? Mauvaise porte.