Télérama, c'est de la bombe. Ces gens-là sont des professionnels du second degré. De l'autocritique sarcastique. De l'humour noir destructeur et suicidaire.
Ou alors c'est vraiment des cons.
Je vote b.
Suite à la parution d'un dossier intitulé "Mais où sont passés les provocateurs", dans le numéro de cette semaine, je vous invite vivement à jouer avec moi à une de ces petite initiatives ludiques qui réjouissent les coeurs et les bites, en envoyant chacun un, ou plusieurs -je vote b- messages
1) à la rédaction de Télérama
2) au courrier des lecteurs
3) dans les forums de Télérama (modérés, mais l'union fait la force, un peu comme dans les caves, quoi)
sur le modèle suivant :
[titre] "Mais où sont passés les provocateurs ?"
[corps du message] DANS TON CUL ?
[signature ou pas, au pro rata du ramage de chacun]
Il me semble que ça s'impose.
Pour ma part, si je le fais pas, plus jamais je pourrai me regarder dans une glace.
Dépéchez-vous, j'ai commencé sans vous.
Putain, on t'aime mec, t'es le punk du nouveau millénaire.
CitationSur scène, il peut y avoir un jeans "juste" et un jeans "pas juste", note Gérard Mortier, directeur de l'Opéra de Paris.
Vite, vite, où est-ce que j'ai mis les kleenex?
Télémoustique, y a que ça de vrai.
Ou bien les films de Jean-Luc Grodard trro mdrrrrr §§
Gros-Dard.
Gros
Dard
GROSSE BITE
Grisse botte
Quoi kriss kross ouais ta gueule
[
Qu'ils aillent tous se faire mettre bien profond.
S'ils sont trop cons pour pouvoir apprécier une oeuvre, ça je m'en branle, mais qu'ils ne viennent pas casser les couilles a propos de notions qui leurs sont strictement antithétique, qu'on aurait même dû les attacher à un arbre, les couilles badigeonnées de miel et un ours à proximité, hé ben ces putes de salopes me casseraient encore le cul.
MECONTENTEMENT putain ouais. Qu'ils crèvent.
Qu'ils se mouchent leurs culx de gamins trop gâtés avec les torchons qu'ils vendent en place publique.
Pour la peine, aujourd'hui, j'ai décidé de laisser exploser ma hargne, dans un acte immonde et symbolique.
Je vais acheter un exemplaire de Télérama, ainsi que le dernier livre de Bernard Werber, de préférance une version bien chère, pour avoir bien mal au porte-monnaie, et je vais les cramer purement et bestialement.
Là où on commence par brûler des livres, on finit par brûler des hommes.
C't'un poète allemand qu'a dit ça en 1870, a peu près, et bah il avait pas tort.
Et même si ce sont les nazis et les pires fous totalitaires que font acte de foi (autodafe), je m'en branle.
Je ne me fais pas peur. Je veux juste assouvir une pulsion depuis trop longtemps urticaire.
Voilà. C'est décidé.
Joignez vous à moi dans le Kitsch de la grande marche communiste et purificatrice.
Feuer Frei Oééééé
Le truc marrant avec les magazines en papier glacé c'est qu'après crémation, on arrive encore à les lire. Mais pas à tourner les pages. Faut penser à ouvrir le magazine à la meilleure page avant de bouter le feu.
Bobo, puisque l'article est sur le net, je serais toi, j'éviterais la dépense de l'achat du magazine papier, et je brûlerais directement mon ordinateur.
"Pourtant, des artistes continuent à bousculer les consciences, et n'hésitent pas à passer les bornes, quitte à franchir les limites."
Ah ah ah. J'adore cette phrase.