La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 
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Sujets - Narak

#1
Voilà, je suis actuellement en train de chercher un nom pour un groupe de musique conceptuelle de merde à base de larsen, et j'aurais besoin de votre participation.

Je suis extrêmement déçu de constater que Charlemagne Palestine est déjà pris. Pour le moment j'hésite entre " mais ma gueule bordel Pakistan " et " Vogue Homme Japan " ( dont le potentiel d'évocation de  " Garçon-coiffeur à petite bite " est très approprié à ma démarche. )

J'ai besoin d'aide pour aller plus loin dans l'absurdement naze. Lâchez-vous.
#2
= INITIATIVES = / Abandon de texte.
Février 13, 2010, 22:33:03
Bon, je file ici un début de nouvelle que je ne finirais probablement jamais, mais qui selon moi ne méritait pas forcément de finir à la poubelle sans être regardé ne serait-ce que 5min.
Je laisse une personne qui serait intéressée le reprendre ou le bidouiller, ou peu-importe quoi.
L'idée de base c'était de faire une nouvelle de science-fiction néo-coloniale, ambiance grandes villas en autarcie sur les côtes d'Afrique du Sud, avec de riches bourgeois cosmopolites qui s'emmerdent en regardant des tribus de nomades passer au loin à travers leurs grandes baies vitrées. J'avais dans l'idée de coller des gros symboles bibliques dans ce texte, de montrer l'horreur et l'ennui dans le couple qui ne s'est jamais aimé, de faire de la villa un eden végétal  complètement repompé de certaines architectures de baraques de Frank Lloyd Wright et de Geoffroy Bawa, un truc très 70's, avec un fonctionnement assisté par la technologie qui plus tard tombait en panne et obligeait le perso principal à errer dans le désert à la recherche de... j'avais pas encore trouvé quoi.
J'avais commencé un truc très squelettique, mais ça aurait pu être intéressant et bizarroïde. (Écrit entièrement en écoutant le premier album de Vampire Weekend ce qui n'a pas grande importance hormis le fait que j'avais voulu retransmettre quelque chose de ce que leur musique de connard à voilier m'évoquait. )


[Pas de titre]

Les volets thermiques s'activèrent automatiquement tandis que l'aube se levait. Un rose malade remplaça la nuit métallique, le sable collant de la plage apparut. En l'espace d'une heure à peine le bronze des dunes se changea en or aztèque. Les cris des mouettes s'élevaient dans le ciel au dessus de la mer. Il n'y a avait aucun nuage, l'air semblait ne rien peser, mais à cette heure matinale les oiseaux et les plantes ruisselantes du patio en étaient les seuls témoins.
La domus Iulia était située sur une basse colline, à environ deux cent mètres du rivage, une butte pelée et rocailleuse qui surplombait le paysage de douces crêtes de sable brun et de vallées modelées par les souffles du vent marin. Arrivant du large sur le désert, l'air séchait aussitôt et devenait brûlant. Ensuite, en roulant sur les dunes sans ombre il se mêlait de poussière et devenait irrespirable. Jamais un oiseau ne s'approchait du sol.
Les Iulia devaient envoyer régulièrement un rapport à la société chargée de l'entretien du réseau de circulation car l'asphalte fondait plusieurs fois chaque été. La voie ultra-rapide qui traversait le désert en une droite parfaite se mettait alors à gondoler et se tordre et les déplacements devaient être ralentis. En contrepartie de ces rapports, les Iulia étaient déchargés de tout frais d'entretien.
Leur domus avait été pensée comme une Unité Résidentielle Autonome selon les dires de son architecte. Elle produisait sa propre énergie par de fins sillons de photo-accumulateurs qui couraient sur toute la longueur de la toiture comme des veines de nacre. L'électricité produite alimentait de puissantes pompes qui puisaient dans une nappe phréatique souterraine. Tout le reste se répartissait dans les batteries-servo. Un tube de métal riveté peint en blanc s'échappait de la façade Est depuis l'emplacement de la cuisine et, au dessus des deux voitures, il amorçait une courbe majestueuse à plusieurs mètres du sol. Des piliers surmontés par des pinces massives soutenaient les deux mètres de diamètre du tube et les rattachaient au socle de béton armé, profondément enfoui et soudé dans la roche. Chacun de ces piliers gérait le fonctionnement des électro-aimants du rail magnétique ainsi que les moteurs des pinces qui se réajustaient toutes les quarante minutes afin que le métal ne soit pas broyé par sa propre dilatation. Plus loin, la courbe rejoignait la route et la longeait parallèlement jusqu'à ce qu'elle disparaisse à l'horizon. Comme surnageant par dessus les dunes, le tube ressemblait à l'épine dorsale d'un serpent démesuré. Lorsque le chariot de ravitaillement filait à travers à la vitesse moyenne de 400 km/h, le vent, les vibrations, et le magnétisme soulevaient dans le ciel des traînées épaisses de poussières rouge, chargées de fer. Quatre fois par semaine le serpent semblait alors onduler.

Quelque part dans la chambre un réveil sonna.
Curieusement, de longues secondes s'écoulèrent avant que les variateurs préprogrammés allument deux imposantes lampes en opaline verte de chaque coté du lit. Deux fines jambes se libéraient des draps. Avant même d'avoir ouvert les yeux, elle tendait le bras vers la table de chevet et attrapait un paquet de cigarette et son téléphone dans le même mouvement. Tirant plusieurs courtes bouffées, elle promenait un index précis sur l'écran tactile. Le nom de Joseph s'afficha un instant parmi une centaine d'autres mais elle l'effaçait déjà machinalement avant même l'avoir remarqué et écrasa la cigarette dans une vasque sans la terminer. Elle se leva, et après avoir traversé la pièce sur ce long parquet d'acajou africain qui amortissait le moindre son, elle disparu dans sa salle de bain. Dans la pièce attenante le percolateur se mit à ronronner et commença à remplir une tasse de porcelaine d'un café qui devait atteindre la température buvable dans trois minutes chronométrées. Un autre servo versa dans un verre un mélange de dix-neuf céréales qui composaient l'apport alimentaire journalier le plus complet, sur lequel il répandit un lait stérilisé. La cuisine augmenta sa température de quatre degrés, prévoyant la perte de chaleur que la maîtresse de maison aurait à subir dans le couloir en sortant de la salle de bain humide. Elle se penchait anxieusement face vers le miroir en peignant savamment ses paupières et enfilait une robe de lin. Le servo-ordinateur central alluma tous les plafonniers afin de dynamiser les occupants de la maison et connecta tous les écrans sur les canaux d'information. La cuisine s'illumina et se remplit de dizaines de voix annonçant des spectacles, des crashs d'avions et des factures à payer. Elle bu son café au dessus de la table-écran qui lui avait compilé les récentes évolutions politiques et scientifiques susceptibles de l'intéresser ce matin, mais elle semblait préoccupée. Le téléphone décroché de son bracelet et déposé sur la table transféra l'image des messages reçus dans les dernières minutes.
Une icône s'illumina. Ava, étirant ses deux bras contre sa nuque, se permit d'ignorer durant une ridicule poignée de secondes la communication intercontinentale. Elle soupira brusquement. Comme elle s'y attendait, le message provenait d'un des départements universitaires dont elle avait la charge et était accompagné d'un numéro de vol prépayé. Elle disparu de nouveau, dehors un moteur s'éloigna.
La maison resta silencieuse durant un moment.
A l'autre bout, à travers une enfilade de chambres d'amis partiellement meublées, des rais de lumière tranchée par les persiennes s'incurvaient sur les meubles de cuir et de bois du salon. Bien qu'on ait été à la fin du mois d'octobre et que les baies vitrées soient teintées, le soleil y était presque douloureux. Ordinairement, les rares invités s'y sentaient mal à l'aise au bout de quelques instants. Avec ses dix-huit mètres sur six, il ressemblait à un terminal d'embarquement peint de couleurs criardes et rempli d'antiquités.


#3
= PROPAGANDE GRAPHIQUE = / Ambiance de fin du monde.
Décembre 20, 2009, 13:27:13
http://www.btvision.bt.com/tv/life-after-people-shocking-images-from-an-empty-earth

Des images extraites d'un bouquin de photos " Life After People ". Personnellement, j'aime bien le New York sous la mousse.
#4
= TRI SELECTIF = / Tri Sélectif : Mihtsyou
Novembre 19, 2009, 20:03:49
 PB est partit.

Bon. Alors là, c'est la merde. Je suis dans un endroit qui n'est pas chez moi. Entouré de gens qui m'emmerdent. Je ne peux meme pas partir. Et puis partir où ? Dans mon appartement la situation sera la meme, un endroit qui n'est definitivement pas chez moi et des gens qui m'emmerdent.
Alors quoi ?! Où devrais je aller ? Cette impression de n'avoir de place nulle part m'envahit. Je remarque alors que les jointures de mes mains sont blanches a force de serrer mon verre, qui est plein. Des gens en face de moi. Qui me parlent peut etre. La femme qui se trouve directement face à moi rit à gorge deployée, surement en reponse à une blague douteuse d'un des hommes proches de moi. Je ne le connais pas, et elle non plus. Ces gens se trouvent a quelques centimetres de moi, et pourtant je n'arrive pas à les distinguer precisement. Ils forment un groupe qui semble s'amuser, discuter rire. D'un point de vue exterieur je suis integré au groupe, constituant un des maillons du cercle que nous avons créé autour des blagues de Mr Marrant et des rires de Mme Cherchemari.
Mais cela n'a jamais été aussi loin de la vérité. Les rires que j'entends sont faux, et semblent provenir d'une autre piece tant ils sont assourdis. Je n'arrive pas à capter la moindre phrase de ceux qui cherchent à me parler, bien que cela à mon grand soulagement ce soit rarement produit. Les gens peuvent me voir, essayer de communiquer avec moi, mais je ne suis pas là. 54eme étage d'un building, mon corps est là, et rien d'autre.
Tout ce qui m'entoure me semble si lointain et intouchable que je decide de m'eclipser, sans meme m'excuser auprès de mon groupe d'amis jetables de cette prise de congé intempestive. Je marche d'un pas tranquille vers le fond de la salle de reception, mais plus je me rapproche de la sortie plus les rires et les discussions que je percevais à peine il y a quelques instants grimpent en intensité. Je n'entends plus qu'un brouaha inaudible constitué de cris et de pleurs. Cette sensation est si forte qu'accelerant lentement le pas pour quitter cet enfer je me retrouve a courir au milieu de la salle, n'esperant qu'une seule chose, atteindre le plus vite possible la porte.
J'y arrive finalement et mes oreilles commencent a se calmer. Je reprends mon souffle en fermant les yeux, adossé a la porte fermée de la salle qui a mon avis ne s'ouvrira plus pour moi, tout du moins ce soir. Cela me soulage.
Mes esprits repris je me dirige vers l'ascenceur. Je ne sais pas où je suis, mais je sais où aller. Tous les buildings de cette ville ont le meme schema de construction. Connaissez en un par coeur et vous sera capable de fuir les flammes de n'importe quel autre batiment, a moins bien sur que les flammes ne vous laissent aucune echapatoire, vous laissant l'humble choix de finir brulé vif ou applati une 50aine d'etages plus bas.
Je me demande ce que je ferai dans un telle situation en attendant l'ascenceur. Lorsque les portes s'ouvrent j'en suis arrivé a la conclusion que les 2 fins me conviendraient.
Une fois dans l'ascenceur qui descends lentement au rdc, je me met à penser à une defaillance. Un bruit horrible de tole tordu et de ferraille, puis une chute sans fin depuis le50e etage où je me trouve, 49eme maintenant. Une chute, une defaillance des freins de securité laissant a cette boite de metal toute la liberté de prendre une vitesse phenomale, pour enfin exploser au contact du sol, me reduisant à l'epaisseur d'un timbre poste.
« Cling »
Les portes s'ouvrent, m'interrompant a ma reverie. Je me rends alors compte que j'ai un sourire aux levres. Je l'efface rapidement, sortant du building par le hall où le vigile ne me prete aucune attention. L'air exterieur ne me donna pas autant de reconfort que je l'esperai. Il y avait une fine bruine humidifiant l'air.
« Mais merde putain, qu'est ce que je branle ?! ». Je parlais tout seul, le pas rapide, la fine pluie mouillant mon visage. « Putain ». Je me sent accelerer, sans meme savoir pourquoi. Tout dans ma tete se bouscule. Mon pere, mon ami, ma copine, mes copines. Tout se bouscule, tout va trop vite. Je veux m'arreter, reprendre mon souffle quelques minutes, mais je ne fais qu'accelerer.
23e, 24e, bientôt la 25e rue. Puis la suivante. Je croyais que marcher sous la pluie me ferait du bien, m'aiderait a vider mon esprit, mais c'est un combat perdu d'avance. Je me met à courir. La pluie qui maintenant tombe en trombe et bat violemment les trottoirs ne me ralentit pas. Le vent redouble, comme si Dieu ou quelconque force controlant le temps me defiait d'avancer. Mais je ne fais que courir plus.
#5
= DISCUSSION GENERALE = / Le Duc me fait peur.
Août 28, 2009, 16:02:36
Aujourd'hui j'ai reçu ça :

Citation
Salut mec, j'ai fais un rêve trop chelou. Il faut absolument que je t'en parle.
Tu m'avais invité à venir chez toi, ce que j'ai fais avec la plus grande joie. Arrivé on a passer not' journée à fumer des joins, picoler des trucs et se taper des délire sur différents trucs. On jouais à un FPS qui n'existe pas mais qui était démentiel, il foutait trop les jetons. Y'avais même une scène dans le jeu tirée du film sphère (je sais pas si t'as vu) où on arrivé devant elle et ton perso ce faisais absorber après tu créé des apparitions de monstre un peu partout. Bref super jeu.
Sinon t'avais une mère asiatique plutôt canon qui me racontait sa vie dont j'en avais rien à secouer. T'avais une soeur un tout petit peu plus jeune que nous avec qui j'ai couché.
Ensuite on a été à une épicerie voler des balles de magnum pour aller tirer sur des pigeons et des boites de conserves avant que tu me ramène à la gare où tu m'avoue que ton vrais prénom est Manuel.

Bordel.


Je suis sensé faire quoi, là ?
#6
= INITIATIVES = / Kommandantur
Août 20, 2009, 19:37:22
Sur le même principe que le confessionnal, mais en vicelard : Balancer des dossiers sur les autres zonards.

Je commence :

Glo a passé son adolescence en étant surnommé " Jambon ".

Tu m'étonnes qu'il soit agressif et aigri, Jambon.
#7
= INUTILE = / Jeu de nuit
Juillet 23, 2009, 01:44:35
http://hotel626.com/

Un jeu d'ambiance, très très prenant et bien stressant.
#8
= INITIATIVES = / La marionnette : Cobaye Narak
Décembre 02, 2008, 22:34:02
Equipe 1 :
Glaüx (team leader)
Cuddle
Lahyenne

Equipe 2 :
nihil (team leader)
Putsch
Strange

Equipe 3 :
Hag (team leader)
Lapinchien
Kwizera
#9
Dans le cadre d'une animation gogole du forum, la question se pose.

Si vous deviez vous définir par un génocide se serait lequel ?
En gros, selon vous si vous deviez être un génocide, vous seriez lequel, et surtout pourquoi.
J'attends bien évidemment des argumentations détaillés, et si possible des photos de vos dernières vacances en Arménie.
#10
= INITIATIVES = / TS
Mai 30, 2007, 22:15:12
Je propose de récupérer une vieille idée de Glo, trouvée dans les commentaires, et que personnellement je trouve assez sympa:

Racontez votre TS ratée.
#11
= INUTILE = / Des gens ma tête ! Aazaaaargh !
Décembre 14, 2006, 20:46:52
Je dois être une sorte de grand phare pour tout les pauvres mecs qui n'ont rien à faire dans leur pauvre vie de merde. Il doivent reconnaitre en moi une sorte de gourou, d'ami peut-être, qui sait ? Peut-être que je leur ressemble.


(20:17) Dae : salut  
(20:17) Narak : ...
(20:17) Narak : Bon, tu es quoi toi au juste ?
(20:18) Dae : j'ai pris ton adresse sur la zone j'aimais bien tes textes  
(20:18) Dae : sa te poses un problème ?  
(20:18) Narak : si c'est pour me vendre des massages thailandais, je ne suis pas interessé
(20:19) Dae : mdrrr
(20:19) Narak : ça me pose pas de problème, je commence à m'inquieter rien de grave
(20:19) Dae : nan je donen dans la prostitution chinoise
(20:19) Narak : houlà, déjà un "(oh mon dieu ! je brais, je suis un âne) " on commence sur de très mauvaises bases
(20:20) Narak : Je te connais pas donc...
(20:21) Dae : ne tenquiete pas ce langage propre a internet était plus une ironie qu'autre chose  
(20:21) Dae : effectivement  
(20:21) Narak : ça vaut mieux
(20:21) Dae : mais si tu le permet , on peut faire plus ample connaissance , n'y voit rien de sexuel du moins pour l'instant
(20:23) Narak : Euh, je sais pas si t'es au courant, je fais pas dans le matrimonial de toute façon
(20:31) Narak : Donc, je t'écoute ?
(20:31) Dae : excuse moi , la connection est vraiment super instable dans ma chambre universitaire
(20:31) Narak : Etudiant donc.
(20:32) Dae : j'ai arrété la philo il ya de cela 2 jours
(20:33) Narak : Tu étudie la philo et t'es assez taré pour prendre des adresses au hasard sur internet ?
(20:33) Narak : Bravo
(20:33) Dae : je ne pense pas avoir pris des adresses au hazard  
(20:35) Narak : Je comprends toujours pas ce que tu veux, ma vision personnelle des théories nietzschéennes ?
(20:37) Narak : Si en plus tu mets deux plombes à répondre on va pas s'en sortir mec
(20:38) Narak : T'es bien un mec ?
(20:38) Dae : jsui o tel dsl


...

Edifiant
#12
Il y a une couille dans le paté au niveau des balises dans les textes visiblement :

http://zone.apinc.org/articles/1356.html

Texte incompréhensible sans les couleurs marron et noir
#13
J'entends dire que Monsieur Goret s'améliore avec le texte publié en ce moment. Oh oh, même nos pires auteurs se découvrent du talent !
Ce qui m'amène à me demander si LE pire auteur de la zone, voir du monde, et peut-être même de tous les temps aurait un texte valable...

*Regard vers le plafond*
*Grattage de tête*
*Eclatage de rire*

La réponse est non, bien sûr ! Mais j'en viens à la vraie question :

Quel est selon vous le meilleur texte du Duc ?
#14
Je suis en train de bouffer des tagliatelles avec l'assiette posée à même mon clavier en écoutant Brigitte Fontaine.

Je défie quiconque de me décrire une soirée plus chiante que ça.
#15
Idée qui me viens en lisant un post de Tyler D :

Quels morceaux de musiques écoutez vous en écrivant ?

(En admettant bien sur que vous écoutiez de la musique en écrivant au lieu de vous branler dans un reste de lapin aux pruneaux...)
#16
= INUTILE = / MSN terror !
Novembre 13, 2005, 01:12:26
.--------------------------------------------------------------------.
| Début de la session : dimanche 13 novembre 2005                    |
| Participants :                                                     |
|    Narak (Narak96@hotmail.com)                                     |
|    ************************************           |
.--------------------------------------------------------------------.
hugoboss_5@h: salut sale merde ca va
hugoboss_5@hotmail.fr vous a envoyé un wizz !
hugoboss_5@h: va y parle pedale
Narak: crève enfoiré
je suis une : ta mere enfan de salope je te beze fils de pute
Narak: euh...surveille ton language enculeur de chèvres mortes
je suis une : non mé ta mere la
Narak: pute ?
Narak: ouai chui au courant
je suis une : ah ok
je suis une : ca va ca po eté trop dure
Narak: t'es pas vraiment hugo
je suis une : quoi commen ca
Narak: tout ça c'est dans ma tête hein ?
je suis une : non mé la je te pige plus gars
je suis une : ba creve alor t atten quoi
je suis une merde et je m apelle hugo et aissa et mon boss vous a
envoyé un wizz !
Narak: Tu me dégoûtes. J'ai envie de gerber.Je devrais de te démolir
jusqu'à ce qu'il ne reste rien de ta gueule, te démembrer et te
foutre dans un sac poubelle.
Narak: hein salope c'est ça que tu veux ?
Narak: dit le que t'en a envie...
Narak: alors victime toujours là ?
Narak: reviens
je suis une : quoi
Narak: j'ai pas encore fini
je suis une : mé tu me fé + que pitié va y cassee toi hahaha
Narak: retourne lecher la chatte de ta mère, chéri.
je suis une : toz
je suis une : tu me fé pitié
je suis une : et toi la espece de merde tu croi que cé hugo ba non cé
son pote
Narak: tu l'a déjà dit, t'a pas autre chose en magasin ?
je suis une : je sui un arabe de ponta alor ta mere fils de pute
Narak: merci je savais,
Narak: j'ai trop peur,
Narak: mouhahahaha
je suis une : non je vé cramer la chatte de ta mere fils de pute
Narak: ma mère est morte, je mis suis mis bien avant toi.
je suis une : oh la guel je m enf ou que ta mere soi morte pk tu medit
sa
Narak: pasque si tu veux niquer le cadavre de ma mère va te falloir une bite plus grosse que ta petite nouile de trisomique, mais si ça te branche va y je te file la clé de ma piaule ya à bouffer dans le frigo.
je suis une : va y je ve pol m enbrouille avec des merde je sui po motivé ses oir alor casse toi espece de soumis
je suis une : ahn oé
je suis une : bien dit
je suis une : mé la arrete parce que va y ou on pe se voir
je suis une : ou on pe se voir
je suis une : va y demain ou on pe se voir
Narak: dans ton cul salope
je suis une : é ta mere fils de pute
Narak: je commence à m'ahbituer là
je suis une : ta mere cé moi uqi la tué je lé tellemen peté que elle é
morte sur le coup et moi je me sui mi a etre ptdr
Narak: oui, d'accord je veux bien
je suis une : va y si té po une pedale dit moi ou on pe se voir
Narak: allez t'a quelle age ? 12 ? 14 ?
je suis une : non 19ans
Narak: putain ! chui trop mort de peur
Narak: je vais me chier dessus là serieux
je suis une : oé mé bsartik pour toi
Narak: bsartik ? tu parle en quoi là ?
je suis une : va y fé ce que tu ve a mon avi cé ce que tu é en train
de faire parce que tu ve po me donner un endroit pour qu on se voit
Narak: nan, là en fait j'avai envie de me branler juste avant que tu
vienne me faire chier
Narak: mais là bof
je suis une : toz hahaha
je suis une : arrete ya pa plus piti =é que toi
je suis une : tien je vé te suprime et te blqouer
Narak: tout ce que tu veux
je suis une : hugo va gueler mé je me n bas
Narak: m'en cogne aussi en même temps
Narak: c'est juste le frère d'un pote
je suis une : va y t ahbite ou
je suis une : cé qui ton pote camille
Narak: pourquoi ça t'interesse ?
je suis une : parce que je conné camille espece de merde va y met juste ta cam ou une tof de toi
je suis une : que je voi a quoi tu ressenble
Narak: ben ouai je connais camille et probablement mieux que toi
je suis une : ou a moin que ta peur que je te soumete a mes ordre
Narak: Oui, j'avoue.
je suis une : ba alor cé le meilleur pote a mon sinque camille alor casse toi
Narak: ben alors pourquoi je devrait avoir peur ?
je suis une : je té dit que tu devé avoir peur non ba alor pk tu l
ouvre
je suis une : va y mé une tof de toi
Narak: bon et ton zink en question il s'appelle comment ?
je suis une : pour que je voi a quoi tu ressemble toi ossi tu fé de l
atlhétisme
Narak: nan, cherche pas j'en fait pas
je suis une : ba ptet
Narak: j'adore ta photo, les poneys c'est tellement mignon.
je suis une : oé non mé cé parce que je me connecte de mon pc tu voi
je suis une : et je vien de carotte l adresse a hugo
Narak: c'est ce qu'on dit
Narak: nan, mais tu peut le dire que t'aime les poneys, moi je juge
pas mouhahaha
je suis une : franchemen tu me fé trop pitié tu te chi dessu comme une
victime ou un soumi casse toi
je suis une : ptdr
je suis une : non moi j aime be aden
je suis une : ben aden tu voi
Narak: ben aden ?
je suis une : é mola omar et zarkaoui
je suis une : eu sé mé idole tu voi parce que avec eu je te chie dessu
je suis une : é oé
je suis une : té quoi espece de mangeur de porc
je suis une : rien que tu parle tu fé pitié
Narak: mouahahaha !
je suis une : un conseil soumé toi a tes bosse
je suis une : espece de soumi
Narak: ouai ben je les attend mes boss
je suis une : hahaha
Narak: mais ils viendrons pas
je suis une : oé parle po trop vite parec que quan je te chope la tu
va voir sé quiu té bosse
je suis une : va y mé ta cam
je suis une : si ta lé couille
Narak: j'ai pas peur de me faire casser la gueule, je vais avoir mal
sur le coup ptètre, et après...?
je suis une : non mé t oré mal et tu sera mort
Narak: j'ai pas de cam de toute façon alors tu sais les couilles...
je suis une : va y bouge que est ec que je vé me pouille avec une
merde comme toi alor que lundi je sui convoquer ché le juge je vé
rien tefaire parce que tu me fé trop poitié
Narak: merci, c'est gentil
je suis une : et je vé avoir + d enmerde
je suis une : va y je bouge allé salut  grosse merde
Narak: salut à la prochaine
#17
Bon, c'est bien joli d'enculer des brebis neurasthéniques mais il y a bien des moments ou vous n'êtes pas zonard à 100%. Et vous en avez probablement un peu honte...C'est vrai qu'un zonard qui raconte sa journée à son chat ou qui est gentil avec les enfants ça le fait pas vraiment.
Ce que je vous propose ici, c'est de décharger...non, range ta bite mec et laisse moi finir ma phrase...je disais donc de décharger tous ces petites choses de votre vie qui brisent votre coté " Je me fais régulièrement sucer par des fox-terrier, je suis subversif ! ". Oui, vous commencez à comprendre, toutes les aspects non-zonards de vous même doivent être déballés...Je t'ai dit de ranger ta bite merde !

Je commence :

Bon j'avoue, des fois j'écoute du Kool and the gang, et à jeun.
#18
= INUTILE = / Ouverture facile
Août 23, 2005, 23:34:37
http://www.ouverture-facile.com/

Un jeu d'énigmes super bien foutu, j'ai renoncé arrivé au niveau 4, mais c'est frustant bordel !
#20
= INITIATIVES = / Suçage de boules (4)
Juin 28, 2005, 22:22:02
Lapinchien c'est moi qui t'ai mis en employé du moi parce que je voulais que ton génie soit enfin reconnu, tu es bon Lapinchien, ton intelligence est telle qu'on comprend que dalle mais ce n'es qu'un preuve supplémentaire du grand destin qui t'attend. Tu es le meilleur Lapinchien !