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La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 
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Sujets - Lembaumeur

#1
= DISCUSSION GENERALE = / Canard vs Poney
Novembre 05, 2008, 14:52:56



Court traité comparatif entre le Canard et le Poney.

Assez de mensonges ! Suite aux propos éhontés de « MÔSSIEUR » Yo, japonais de son état, affirmant au moyen d'une rhétorique peu scrupuleuse la supériorité du canard sur le poney, il me fallait prendre la plume pour rendre compte de la réalité des faits. Pour ce faire, j'ai choisi d'utiliser la plus pure logique Aristotélicienne. Ainsi, nul ne pourra plus professer de pareils mensonges.

L'essence
Du point de vue de l'essence, nous ne pouvons que constater, c'est irréfutable, la supériorité manifeste du poney. En effet, un poney moyen peut, sans aucune difficulté, ingérer 10L de gazoil cul sec, tandis qu'un palmipède commun ne saurait guère en avaler qu'une pinte, et encore, en forçant.
Canard 0 – Poney 1

Le quantifié
En nombre d'individu, les canards obtiennent un avantage écrasant. En nombre de rapports sexuels aussi. Mais le poney à plus de pattes. En poids total, la planète terre doit supporter 200 000 tonnes de poney contre 1 250 000 tonnes de canards.
Canard 1 – Poney 1

Le relatif
Le poney est bien plus grand que le canard, et je ne parle même pas de la taille des organes sexuels.
Canard 1 – Poney 2

Le lieu
On trouve des Poney un peu partout, mais principalement dans mon cul. Le canard, quant à lui, se trouve aussi un peu partout, mais principalement empalé sur la bite de M Yo. Égalité.
Canard 2 – Poney 3

Le temps
Le canard peut être considéré comme la référence de l'éjaculation précoce. Vite, toujours plus vite. Tactactac. Le temps, 2s chrono. Le poney, lui, sait prendre le sien, se faire lascif et langoureux, faire varier le rythme.... Oh pardon, j'ai juté.
Canard 2 – Poney 4

La position
Le canard est très maniable. Sa légèreté, sa souplesse, ainsi que l'étroitesse de ses orifices, sont un régal pour l'imagination. Ainsi, on pourra sans problème adopter les positions les plus originales, comme celle du gavage, ou encore celle du manchon. Plaisir assuré ! Le poney ou la ponette – selon vos goûts – compensera son inertie et ses accès qu'on qualifiera d'abyssaux, par une langue râpeuse et un membre de belle facture (dans le cas des poney, c'est pour cela que je les préfère aux ponettes, mais bon, faites à votre convenance). L'avantage reste cependant du côté du volatile.
Canard 3 – Poney 4

Avoir
Le canard a des ailes, le poney une crinière. Tous les deux ont des excréments. Une polémique fort vigoureuse a lieu pour départager qualitativement leur matière fécale. Si les crottes du canard sont visiblement « jolies et décoratives, à la senteur fluette et mélancolique », le crottin du poney est bien plus utile à l'amendement des terres. Dès lors, il faut se placer dans une perspective philosophique. L'idéalisme platonicien d'un côté, l'utilitarisme Benthamien de l'autre... Difficile de trancher.
Canard 4 – Poney 5

Agir
Ah ! Du point de vue de l'action, on ne peut que constater la propension du poney à monter sur tout ce qui bouge. Ses élans fougueux, bien connus des hippophiles, ainsi que sa taille plus réduite que celle d'un étalon, offrant un angle d'attaque optimal, raviront toute la famille ! Le canard, lui, bat des ailes et fait coincoin, ce qui est nettement moins intéressant, il faut l'avouer.
Canard 4 – Poney 6

Pâtir
Le canard est une victime née : regardez dans votre assiette, vous y verrez bien plus souvent confits et foies gras, laqués et rillettes, que steack de poney. La photo ci-dessus montre à quel point le canard adore subir n'importe quoi. Le poney, lui, digne et fier, ne s'abaisserait jamais à se faire prendre par un chien, et ce n'est qu'avec moult précaution, après une période d'adaptation conséquente, qu'il se laissera monter.
Canard 5 – Poney 6

Nous venons, ainsi de démontrer, et ce de manière parfaitement objective, la supériorité du poney sur le canard, et mis fin au joug de la félonie et du mensonge.

Nous ajouterons, pour soutenir notre propos, quelques phrases d'auteurs qui ne s'y sont pas trompés.
« J'ai fait un poney » (ML King), « Le XXIe siècle sera poney ou ne sera pas » (A Malraux); « Poney moi fort, mon salaud » (C Morgane)
« Le canard, c'est la santé » (H Salvador),  « Le canard rend libre » (GWF Hegel feat. A Hitler), « Canard, Famille, Patrie » (P Pétain).
#2
= INITIATIVES = / Journal d'un boulet
Octobre 23, 2008, 10:24:43
Toi aussi, tu es un boulet ? Ecris ici le récit de tes aventures !
Si tu n'es pas un boulet, tu peux en choisir un à ta convenance et écrire à sa place...
J'appelle tout un chacun à militer pour la liberté d'expression des boulets : ils ont besoin de vous !

1er jour
Tiens, c'est quoi ce site ?

2ème jour
Putain, mais c'est quoi ce PUTAIN de site ?

3ème jour
Je me remets lentement de mes émotions. Le fait qu'il existe un tel lieu sur la toile m'emplit de félicité.

4ème jour
Bon, après quelques explorations, j'ai réussit à dégager certaines caractéristiques types de cette étrange peuplade. Les indigènes disposent d'un vocabulaire tout à fait spécifique, une sorte de patois créole haut en couleur, convivial et chantant.
« TA GUEULE PUTE » est sans conteste la locution la plus utilisée. Après m'être prudemment présenté, munis de breloques que je comptais échanger, c'est en ces termes que j'ai été accueilli. Son sens est multiple, et on prendra bien garde à l'utiliser à tort et à travers (je ne m'y suis pas encore risqué, par crainte de commettre un impair). Selon le contexte, on pourrait le traduire par « Bonjour », « Au revoir », « Merci », « De rien », « T'as de beaux yeux tu sais » ou « Ta gueule pute ».
Vu l'équivoque de ces termes, j'ai préféré commencer en douceur, par un « Salut bande de tarés », certain que la populace locale serait sensible à cette ouverture prudente. Ce à quoi, on m'a répondu « Bioman ou Dorothée ». J'ai des progrès à faire.

5ème jour
J'ai lu quelques textes. Certains m'ont paru tout à fait sympathiques, et d'autres complètements pourris. Cela semble correspondre à une forme de ligne éditoriale éclectique. Aujourd'hui, on m'a reproché, à juste titre, de ne pas être assez méchant dans mes commentaires. Je bois une bouteille d'orangina rouge, cul sec.
Encore un sigle intéressant : « DTCS » ou « DTC, S ». Je n'ai pas encore réussi à le décrypter, mais je vais concentrer mes efforts là-dessus. « Dandine Tes Cils, ma Sœur » ? « Dévoile Ton Cœur, Sandrine » ? En attendant, je me garderai bien de l'employer à mauvais escient...
La population indigène est en tous points fascinante, tant elle semble chaotique, instable au premier abord, et pourtant s'avère au bout du compte remarquablement organisée, disposant de codes complexes et précis. Il me faudra du temps pour parfaire mon étude.

6ème jour
J'ai déposé quelques textes sur la Zone. J'espère que les commentaires qu'ils susciteront m'en apprendront un peu plus sur cet étrange endroit. Je patienterai le temps qu'il faudra,  bien que le rythme de publication soit sévèrement contrôlé.
Je fais d'autres tentatives dans les commentaires, sans plus de succès : j'ai même fait vomir un pauvre diable souffrant de la gale, à l'aide d'une note que j'ai voulu constructive. J'espère qu'il n'a pas trop souffert.

7ème jour
Je suis en désaccord avec un autre commentateur, répondant au sobriquet de « Contre-Paix » (Ce soit être un jeu de mots subtil que je m'attacherai à décrypter, mais je ne nourri aucun espoir là-dessus). Pour lui montrer ma bienveillance, je lui dis que son commentaire est « con ». J'espère qu'il comprendra la portée biblique du terme et s'en trouvera ragaillardi. Je prie très fort le bon dieu de ne pas m'être fourvoyé. J'en tremble d'angoisse.

Diable ! Il a cru que je m'excitais et me traite d' « ami », ce qui doit être, je n'en doute pas, la pire insulte dans le vocable zonard. De plus, il argumente tout à fait intelligemment son point de vue.
La sueur perle de mes tempes fébriles, sur lesquelles apparaît, diaphane, le bleu de mes veines. Je suis coincé.
Il me faut à la fois relever l'insulte et abdiquer devant sa puissance analytique. Il faut jouer serré.
Pris d'une impulsion soudaine, je décide d'agir à la manière de la femelle chimpanzé, qui exhibe ses organes génitaux en signe de soumission, mesure désespérée, j'en ai bien peur. Et ça ne manque pas...

Je suis un boulet.
Un vrai.


#3
Salut bande de tarés,
Sous Firefox 3 et des boulettes, y'a des petits soucis, genre fuites urinaires, pour poster un texte, qui pourrait pousser quelque blaireau de passage à utiliser ce merdouilleux IE, que je voue aux flammes des enfers et au vagin d'Yvette Horner.

1. C'est un détail, mais les bulles d'aides ne s'affichent pas lorsqu'on caresse langoureusement les petites icônes.

2. Les ajouts de balises de mises en formes n'encadrent pas le texte sélectionné mais sont systématiquement ajoutées en fin de page.

Voilà, c'est pas méchant, mais quand même ça fait chier.

Sinon, rien n'est prévu pour supprimer ses propres textes. Dommage, surtout quand on a posté en double et qu'on va passer pour un con. Ceci dit, j'assume.