La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 
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Sujets - Koax-Koax

#1
= INITIATIVES = / Pré-Saint-Con
Avril 02, 2012, 02:30:06
J-8, il va falloir. Et pour ce faire, pourquoi ne pas, avant la tant attendue date :
- Cramer un texte aléatoire du site, avant, après, pendant, dans la chatte ou sur un tracteur-tondeuse ?
- Placer en tête du site un mémorial des précédentes victimes, sorte de monument aux morts Zonards ?
- Assaillir le net de messages subversifs afin que commence L'INVASION ?
- Rester bouché bée comme une loque avec son thermos serré tout fort contre soi en actualisant la page toute les deux secondes jusqu'à ce que son index se mette à chauffer de plus en plus jusqu'à l'inévitable CRÄMAGE DE GUEULE SURPRISE?
- Une Otarie. Toujours.
#2
= INITIATIVES = / Nous, c'est le gnou.
Février 16, 2012, 21:13:31
Vous écrirez un texte vantant les mérites, la grandeur, et l'infini rayonnement dans votre vie de La Zone.
Ou bien encore un texte sur lequel vous improviserez ce que serait votre morne existence sans La Zone, du moins, si elle n'avait jamais été là.
Du reste, il ne vous aura pas échappé que Dourak à posté un Edito. Réhabilitons les Editos !
Plus de Gnous, moins de feignasses !
#3
= INITIATIVES = / GLOUGLOUGLOU.
Février 23, 2011, 16:37:13


Même si je sais pertinemment que lancer une initiative ici c'est quasiment peine perdu, je tente quand même.
J'aurai bien besoin d'un gens motivé pour un projet de texte long, chiant, presque confus et tournant autour d'un monde dystopique se situant entre le manga Lain (http://fr.wikipedia.org/wiki/Serial_experiments_Lain), le livre 1984 et quelques trucs piochés au hasard sur diverses théories, et du complot et scientifiques.
Dans les grandes grandes lignes (les seuls choses que j'ai écrites jusque ici étant de simples idées et bout de phrases sans but), il s'agirait d'ondes et de formes de vie qui se présentent sous la forme de fréquences hertziennes, il y aurait aussi des hallucinations collectives et des punks serviles. Et pourquoi pas des cyber-castors.
Le tout serait écrit à n'importe quel mode, personne, etc, et serait surtout sombre (mais du marrant, ça pourrait aussi le faire, selon la motive et tout l'bordel). Et en gros, pas forcément de zèle mais le truc serait dans le meilleur des cas plié en six mois, gros max. Voilà.
#4
= TRI SELECTIF = / Obscur - Tranches de vie
Janvier 31, 2011, 20:10:09
[Le Duc] Bon on a ici un texte "tranches de vie" où l'auteur nous exprime à sa façon son dégoût pour sa copine, ou Dieu sait qui. Le style bien que pathétique reste Zonard : Un vomissement de rancunes et de frustrations. On sent le défoulement de la part de l'auteur, par contre c'est bien trop court et bien trop vague pour en faire un texte correct. Du coup, on panne rien, le sourcil droit se lève et on oubli aussitôt ce qu'on vient de lire. 

Citation
Le Laideron.
Posté le 28/01/2011
par Syel.


    « Si les pavés étaient des bites, tu marcherais sur le cul. »

    Quand on me cherche, on me trouve. Faut pas pousser mémé dans les orgies non plus. Supporter ses histoires de cul depuis des mois, là, je ne peux plus. C'est une fille laide, mais pas comme on en trouve partout : elle est laide à tel point que même le miroir vomit son reflet, une espèce de laideur insoutenable, celle qui prête autant à rire qu'à pleurer.

    Bref, elle est moche.
    C'était ce matin, quelques clopes fumées avant un devoir de philosophie. Je venais de m'enfiler un café qui passait pas, j'étais hagard, d'une humeur de chien, prêt à défoncer tout ce qui bouge. Et voilà que le Laideron se pointe pour parler cul. Sa voix de crécelle enrouée n'aidant pas mes nerfs à ne pas s'échauffer, j'ai tenté tant bien que mal de me concentrer sur ce cours qui commençait sérieusement à me broyer les testicules dans un presse-agrumes. J'ai résisté à la tentation de repeindre les murs en crépis avec l'œuvre abstraite qui lui sert de face ; je me suis même mordu pour ne pas la mordre, elle. Et c'est parti, soudain, comme un boulet de canon.

    Ouais, ma fille. Tu me regardes avec ta tronche de sole, et moi je me fous ouvertement de ta gueule. D'ailleurs, apparemment je ne suis pas le seul. T'es vulgaire, t'es moche, tu pues la sueur. Tu sers à rien.

    C'est quand on a vu ta gueule qu'on a inventé la cagoule, et même si c'est sur Faceprout que j'ai vu cette phrase, je trouve qu'elle correspond parfaitement à ta situation.

    Vas te faire refaire, alien.

*Soupir*

Mais ouvrez donc des blogs, bandes d'abrutis. Ca nous épargnera de devoir se loguer pour faire ça.



#5
= TRI SELECTIF = / Obscur - Humeur noire
Janvier 26, 2011, 22:10:23
[Le Duc] On a ici le récit d'un meurtre lesbien emballé dans un paquet de fioritures peu digeste. C'est extrêmement chiant. Le champs lexical du texte, bien que maitrisé, donne la furieuse sensation de péter plus haut que son cul. Jugez vous-même.

Citation1
Posté le 09/01/2011
par Tank Theory


    Elle se tenait debout, en face de moi. Agitant ses membres pour mîmer une logghorée incroyable. Je n'entendais plus ce qu'elle me disait, je ne percevais que cette agitation. Plus elle parlait, plus je m'enfoncais dans une confortable torpeur. Qu'est ce que je devais lui dire? Rien, sûrement rien. De toutes manières, je ne me sentais pas concernée par ce présent. Bientôt, son image devint floue. A mes yeux, elle ne representait même plus un être humain. Elle perdait son sens, pour devenir qu'une simple entité nerveuse. C'est son agitation qui impactait sur moi, je ne ressentais plus qu'elle. Ma machoîre se crispa et le son de sa voix ne devenait plus qu'un simple bourdonnement, une sorte d'écho sous marine. Je me sentie vide. Mon esprit se dissipa, mon âme s'endormie dans un corps que je sentais gonfler de violence. Bientôt le bourdonnement de sa voix disparu. Elle vivait encore, en face de moi, n'avait pas mis fin à son discours, mais je ne l'entendais plus, ne la percevait plus. La seule chose que mon corps ressenti était la puissance ineffable qu'il renfermait. Il y eu un silence, un parfait néant. Je ne perçus plus que les battements de mon coeur, frappant mon âme, martelant ma conscience, l'assomant par sa turbulence. J'eus une ardente sensation dans le nez, comme un snif de soude. Comme si une perceuse venait me perforer la narine. Je crois qu'une larme a coulé de mon oeil droit. Et là je l'entendis, cette voix insane et hystérique, du plus profond de moi, qui me hurlait : "Casse lui le cul! Casses lui le cul à cette pute !". Cette voix, cette sensation qui me transpersait l'échine et remontait le long de ma colonne vertebrale en un frisson jouissif. 1000 aiguilles jalonnaient mes muscles, un viol de ma dépouille éthéré et magnifique. La haine me controlait. Je laissais mon corps obtempérer à la douceur de cette folie. Alors, j'approchais mes mains doucement du cou de cette femme, qui toujours dans l'autre monde s'évertuait à faire des sons, des bruits. Je sentis sa peau, douce et légère. Son poul écraisait mes pouces lorsqu'ils vinrent effleurer ses amygdales. Je les pressaient avec amour, lui offrant toute ma puissante. Mes doigts, derrière sa nuque agrippaient ses cervicales. Même si cette femme se débattait, en vain, je savais qu'elle ne pouvait me haïr. Qui pourrait répugner une si belle offrande? Je lui offrait ma colère toute puissante, à elle. La bonté, même démoniaque, reste la bonté. Quand elle efflorait la mort, je la sentis pleine de reconnaissance. J'étais heureuse, euphorique. Enfin, le contact humain prenait tout son sens. J'admirais cette femme pour sa considération. Malgré ses cris étouffés, elle me laissait sa vie. Alors, je l'embrassa, lecha son visage écarlate. Je pressa ma poitrine contre la sienne et à son dernier souffle, je lui mordit le visage. Je jouissais d'un tel contact et avec toute ma force, je lui arracha la joue. La délectation de la sincérité humaine. Un plaisir divin.

Même la merde peut être fade. A quand le retour d'un vrai putain d'auteur bien nase et bien débilisant qui fasse de la merde pour la merde sans fioritures ? Bref, le titre est "1", ça laisse donc supposer qu'il y aura d'autres textes pour venir nourrir cette section, hélas.