Messages

Ce matin j'ai fait une pause dans ma recherche effrénée de caractères d'imprimerie (cf: le grand livre des choses dont on à rien à foutre).

Ce présent fait à moi-même d'un moment d'oisiveté à la saveur oubliée et la moiteur de ma peau, firent comme un fil d'Ariane me guidant dans mes méandres de ma caboche, jusqu'ici, dans l'idée et dans le geste.
Après dégustation de madeleines proustiennes au fourrage zonard, m'est revenu le souvenir du temps que je trainais en ces lieux. A l'époque, j'avais touché un vague héritage.

Ce qui suit n'est en rien l'expression du déni, mais un constat empli de tendresse pour l'état dans lequel je me trouvais à l'époque :

PUTAIN DE MERDE, j'étais perpétuellement bourré ou en cuvage piquette. JE GERBAIS MA GNÖLE A LONGUEUR DE TEMPS ET MES DOIGTS HUILEUX DE SUEUR ALCOOLIQUE COLLAIENT AUX TOUCHE DE MON CONNARD DE CLAVIER.

C'était un genre de bon vieux temps, horde de chiures.



d'un coup, j'ai soif.

Ca yest, c'est fait, tu as gagné.

http://www.youtube.com/watch?v=uuGaqLT-gO4

C'est harmonique visuellement.

*Anonyme* : Tu es jaloux parce que toi, tu n'as pas d'avatar.
Evariste : Oui, et alors ?
*Anonyme* : Puis tu n'as rien à foutre de ta vie.
Evariste : M'en tape, il est deux heures et demi et pour une fois j'ai envie de dormir.
*Anonyme* : Va calmer tes angoisses autrement qu'en nous cassant les couilles.
Evariste : Non.
*Anonyme* : Pfff...
Evariste : C'est ça ou j'allais buter ceux après qui j'ai vraiment quelque chose.
*Anonyme* : Quel gâchis.

Version 1 :

A mon arrivée, les dames ainsi que les demoiselles de la soirée et de ma connaissance, ont exprimé bruyamment leur contentement.

Version 2 :

J'étais raide dans ma tête, dans les poches, dans le froc. Alors comme d'hab', oui, je me murge avant de faire le tapin, je suis allé au bois pour me renflouer.
Après quelques passes qui m'avaient égratigné un torse trop sensible au contact rugueux des arbres, une voiture s'est arrêtée. Le mec portait vraisemblablement un fausse barbe et des lunettes noires. J'avais ma perruque et mon maquillage de voiture tunée.

Il m'a baisé comme par amour, trop doucement, et mon trou de balle se resserrait comme pour évacuer sa vilaine queue de merde. Je hais les bites.
Il me l'a mise dans la bouche. Je suçais ma propre merde sans jamais relever la tête, sans jamais affronter son sourire satisfait, sans y penser pour ne pas céder à la tentation de le mordre lorsqu'il s'est répandu dans ma bouche et sur mes cheveux synthétiques.
La joie d'une bite, ça fait vaciller les jambes, et tu ne m'imagine tout de même pas courir avec des talons qui m'empêchent de marcher. Encore une fois les lampe-torches, leurs voix de cons, leurs moqueries puis la cellule, puis les moqueries.

Ils ont passé plus de temps à le travailler que "l'habitué" que j'étais. Tout de suite, je l'ai reconnu. La lumière blafarde du mitard à fait la suite.
Plus tard, il m'a lancé, "je t'ai toujours trouvé affriolant". Que répondre d'autre qu'un "merci" ? Puis, "putain, ça va faire une plombe que je bande rien que d'y penser. Suce mon gland et je te paye un resto".
A ça, comment peut-on répondre autrement que par l' étreinte violente de son cou ? Comment résister à l'envie de fracasser sa gueule suffocante pendant que le maton peine à trouver la clef de la cellule ?
Quand il est entré, je me suis laissé maîtriser, feinteur que je suis, avant de déverser par mon anus un flot violent de haine multicolore et tourbillonnante.
Papy me l'avait interdit, mais ce cas de force majeure avait bien mérité que je déchaine ma "colique diabolique".
Maintenant, j'ai un royaume à moi ou personne n'encule personne et où les femmes portent des soutifs en sardines fraîches.
 

Un de mes vieux (la soixantaine) amis et camarades vient de me désigner comme étant affriolant... Il n'est certes pas gay (auquel cas ce ne serait pas grave... Enculé !), mais entendre ça de la part d'un homme que l'on considère et qui nous a connu jeune, ça ne rassure pas, même si le contexte prête à ce genre de remarques.

Mon filon !

http://www.dailymotion.com/video/x3h23t_clip-officiel-4p-laveyron-2

Du rap hardcore campagnard ! Masque 100% cochon.

(La petite chanteuse, je l'avais croisée lors d'une soirée durant laquelle elle faisait de la chansonnette bien mignonne, son fond de commerce.)

Si c'est une compétition, je laisse, en tant que juge impartial, l'avantage à mes choix et plaisirs. Si c'est autre chose, je salue l'intention puis savoure la musique. Cela faisait longtemps que je ne l'avais écoutée, concentré que j'étais sur d'autres sonorités.

Si tu possèdes ce dont tu parles, matériel et musique, je te décerne le titre d'enculé notoire, parce que, PARCE QUE !!! (et ça n'a aucun lien avec une forme de jalousie, puisque je me préserve de telles émotions afin de garantir ma vie éternelle dans un luxe cinq étoiles.) Amen


Edit : 7 étoiles.
Manipulation mentale et hypnose : Et cet enregistrement que je ne connais pas, tu serais prié de me l'envoyer par porteur...

Schubert quoi, ce magnifique trio, le fameux de Schubert interprété par le Beaux Arts Trio, je ne sais pas s'il existe quelque chose de plus beau.

Je n'ai plus de vélo depuis de nombreux mois maintenant. Je suis trop pauvre pour m'en acheter un. PUTAIN DE VOLEURS DE V2LOS §§§ JE ME SENS TRISTE ET D2SENPAR2? JE BOIS DE LA VODKA POUR OUBLIER MA PEINE... NA ZDOROVIE §§§

CEla fait deux jours que, chez moi, j'allume mes clopes en mettant d'abord feu à la mèche d'une bougie avec un briquet vide et un aérosol inflammable. J'y ai pris goût je dois dire.

Je connais, merci. Par contre, ce dont je ne m'étais jamais rendu compte, c'est peut-être nouveau, c'est qu'ils font une sélection à l'entrée du panier. Quand certains ont l'honneur de voir la 'foule' fendue  par deux de ces messieurs pour les attraper (comme moi), d'autres se font relâcher, comme du menu fretin (comme deux amies).

Sinon, on m'a fait boire un breuvage répugnant... Un alcool danois... Antérieur et modèle gustatif des fisherman's friend... Danois... Putain, mais merde ! Du FISK.

Avant hier, les gendarmes mobiles ont encore chargé comme des tarés alors qu'il n'y avait aucune hostilité du côté des manifestants. Ces fils de putes sont de plus en plus violents et n'hésitent pas à se mettre à plusieurs pour matraquer un pauvre type. Surtout quand ils savent qu'il n'y a aucun journaliste. Surtout parce que les journalistes ne sont là que quand les manifestant deviennent agressifs.

c'etait un jour ou peut etre une nuit soudain L"AIGLE NOIR