La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

Texte de merde : Hag - un autre jour...

Démarré par nihil, Juin 28, 2007, 16:18:04

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nihil

C'est un petit texte militant que j'ai écris pour dénoncer des choses injustes. Peut-être que vous ne serez pas d'accord avec moi, c'est pas grave, je pense que chacun doit avoir son opinion surtout sur un sujet aussi important que notre société. Je me suis permi de me mettre en scèné, j'espère que vous m'excuserez pute Aller je me lance.


Je sortis de chez-moi dans cet après-midi
Mais le destin il était en marche aujourd'hui
Dehors il pleuvait encore mais quel temps de chien
J'aurai bien mieux fait d'y aller par le train
Mais le climat breton est ainsi fait ainsi
Mais jamais assez froid pour pouvoir faire du ski.

Je me présente, je m'appelle Henri Waslane et je suis un poète. Même si c'est vrai que dans la rue les gens ne me reconnaissent pas, je dois dire à ma grande satisfaction que depuis les quelques années que je fais des poèmes j'ai formé un certain cercle d'admirateurs, des gens formidables car modestes mais cultivés qui apprécient fort mon travail. Je sortais donc de chez moi en cette belle après-midi de novembre, les vers comme à leur habitude flottant librement comme des petits serpents ailés dans ma tête pour former quelques jolies rimes qu'il me tardait de coucher sur le papier tant il est vrai que j'aime la poésie qui n'est malheureusement pas mon gagne-pain, mais presque quand on voit tout les gens qui m'écrivent je me dis qu'un jour c'est sur je vivrai de mes vers. C'est que le vie n'est pas si facile quand on sort du moule social et j'ai parfois bien l'impression que les gens cherchent à me destablilliser, car être au dessus du lot à aussi son lot d'inconvénients. C'est aussi vrai lorsque je croise au quotidien mes semblables, comme tous ont l'air abattus par la vie, et les prends en pitié car chez moi jamais la poésie ne cesse de me réconforter elle est comme une caresse de l'esprit et je ne pourrai jamais vivre sans elle, c'est elle qui me donne l'entrain que j'aitoujours et qui dérangent tant les gens.

Je longeait le magnifique boulevard Montaigne, et la pensée de ce grand chercheur m'emplit mon coeur de légèreté, tant est si bien que je me mis à chantonner un refrain trouvé à l'instant à la gloire de ce grand homme.

"Montaigne toi celui le plus grand
Puissant parmi les puissants
Puisse-t'on jamais t'oublier
Car en nos coeur et pour toujours tu sera le premier."


Je suis très satisfait de mon dernier vers qui brise habilement le rythme pour surprendre le lecteur. Mais assez de poésie. Ce jour était sérieux, je devait en effet me rendre à un rendez-vous avec un ami qui connaissait quelqu'un dans une maison d'édition, et oui car enfin j'envisageai de faire publier mes écrits !!! Je croise une femme bien habillée qui marche l'air sombre et la tête baissée l'air engluée dans ses problèmes. Elle a l'air intelligente, ce n'est pas le problème, elle a due faire de longues études et avoir une bon boulot réputé mais ca ne l'a pas rendue plus heureuse. Au contraire presque. Pense t'elle toujours aux choses simple de la vie, la poésie, les petites choses innocentes qui échappent au regard de ceux qui ne savent pas les regarder et qui rendent heureux ceux qui savent, comme un oiseau, un plant en fleur avec des abeilles, ou même des droles de coincidnces, comme des plaques d'immatriculations amusantes, des couleurs qui vont bien entre des voitures ou des vêtements, un oiseau qui plane au dessus de la ville et de toute l'agitation de nous autre pauvres fourmis inutiles qui ne savons plus ce qui est beau, englué dans le progrès et la course à la technologie et au pouvoir que l'on voit partout tout les jours, transformant la vie agréable en lutte ou personne pas même cette femme bien entrainée ne peux survivre sans perdre son ame. Est-elle parfois contente ? Joue t'elle encore parfois ? A telle encore des amies, discute t'elle avec elles autour d'un thé chaud ? Toutes ces choses simples et à la portée de chacun mais que l'on apprends nul part et aue de nos jours tout le monde sauf les gens comme moi a oublié. Je la laisse continuer sa triste route et moi de même je reprends mon chemin vers mon objectif comme le roc innébranlable que rien ne saurait arrêter. A quoi sert toute cette agitation ? je ne sais pas, et eux non plus, sauf que moi je suis heureux de ma vie simple et pure. La poésie devrait être apprise à l'école, à la place de toutes les choses inutiles que l'on fait apprendre de force à nos enfants et qui après leurs examens ne leur servent plus ? La poésie c'est toujour utile, c'est important, toutes les cultures dans le monde ont inventé la poésie, la preuve que c'est vitale et proche de l'origine de l'homme quand il était si heureux. Parfois je me dis qu'il faudrai revenir à la nature, détruire toutes les centrales nucléaires, tous les avions qui font tant de bruit et qui polluent ainsi que tout ce qui sert à faire laguerre, détruire les voitures, couper les lignes électriques et revenir au vrai valeurs. Vivre de la chasse et tout et tout, je me dis que ca devait être marrant et au moins c'étair respectueux de la planète que nous détruisons un peu plus chaque jour avec notre soit-disant progrès. Quelle manque de respect, ça me rends malade. Quand je pense que des jeunes veulent faire ingénieur ou mécanicien ou même pilote de voiture, comment peut-on être attiré par ces monstres de métal comme les voitures, ces boites à roulettes bruantes et poluantes qui transforment la ville en enfer sonore et irrespirable ! Que les gens sont irresponsables ! Comme si les voitures étaient pas si dangereuses, il y a tellement de gens qui conduisent trop vite ou même en ayant bu se transformant en danger pour les gens et tuant sans faire exprès des innocents un soir de fete. Combien de vies ont été gachées de cette manière ? Ce monde est rempli d'irresponsables et de malheureux, ce qui n'est sans soute pas si différent car je pense que les gens malheureux ne respectent pas assez les autres, et c'est comme ça qu'il y a des drames tout les jours, cachés dans les journeaux sous le nom anodin de "fait divers" comme si c'étais les chien écrasés. Je passe devant une boutique de télévisions avec tous les écrans allumés de toute les couleurs prêts à diffuser leur programmes débilisants rendant les gens bêtes et serviles, les empêchant de ses poser comme moi les vrais queqtion sur l'existence. Alors ils deviennent malheureux et consomment des médicaments qui se vendent bien à la grande joie des fabricants, comme quoi tout ce tient. Il fonctionne bien leur programme pour nous rendre malheureux et dépendant du système mais je l'ai découvert et tant que'il restera des gens comme moi il restera un espoir de liberté ! Mais quand on ni pense, c'est incroyable d'en être arrivé à ça, en un siècle on a plongé dans la décadence, la violence omniprésente, la manipulation et le non respect. Et quand est ce que ça a commencé ? Avec ce qu'ils appellent la "révolution industrielle" ! Ah ça me fait bien rire la révolution ! C'est plutôt une révolution en arrière, un pas dans le précipice qui nous guette. J'ai peur du futur quand je regarde ce passé qui fut le notre. Comment le monde va t'il devenir ? Meilleur ou pire ? Je dois dire que je ne le sais pas mais je pense qu'au rythme actuel on va droit au futur cauchemardesque comme on peut lire dans certains livres d'anticipation bon marché, ce qu'ils appellent science-fiction, ce qui ne veux rien dire, car la science est différente de la fiction, ce titre pompeux servant simplement à dissimuler des récits servant à nous distraire de la triste réalité en nous montrons des mondes imaginaires pour que nous ne voyons plus le notre qui va si mal. Comme ça tout le monde est content, avec la littérature comme ça le pouvoir empêche les gens d'avoir leurs idée à eux et de se rendre compte de l'horreur de la situation, pas comme les gens comme moi qui savent discerner le mensonge de la vériter qu'on cherche à nous cacher. Je traverse la route, une voiture arrive. Je vois à travers le par-brise salit le visage d'un homme qui me regarde fixement. Je vois clairement tout les détails de la scène, et je ne peux m'empêcher de regarder l'homme et remarque son air las. Encore une autre victime de la société qui n'a jamais fini de manger les âmes de tout ceux qui passent à sa portée. Je pense à si cet homme avait décidé de ne plus être malheureux et d'aller faire une balade dans un bois ou parmi les champs qui meme si ils sont aujourd'hui pollués par les hommes irresponsables restent des beaux témoinages de la beauté de la nature. Retournerait-il un jour dans sa voiture ? Je ne sais pas, personne ne le sais mais la réponse se devine quand même, rien n'est plus beau que la nature et rien n'est plus laid que la ville sombre et polluée.


"Pauvre être sans âme
Opprimé et damné
Un jour tu sera sauvé
Un jour tu sera si heureux"

Si j'avais su...

Je me sens aspiré en bas, tiré de toutes mes forces vers le sol que je ne sens pas comme si je traversais la route et tout est noir autour de moi. C'est un sensation bizarre. Suis-je mort ? Est-ce que c'est ça le paradis ?

Je me réveille en sueur, n'arrivant pas à croire de ce à quoi j'ai rêvé. Je me lève et je me prépare, car aujourd'hui est un jour important : j'ai rendez-vous avec quelqu'un qui connait un éditeur pour mes poêmes. Vous comprenez pourquoi j'étais étonné, c'est comme dans mon rêve !
Je me présente, je m'appelle Henri Waslane et je suis un poète. Mais je crois que vous connaissez la suite de l'histoire! pute

Trafiquant d'organes
[www.nihil.fr]

MILL

Je suppose que c'est pas assez zonard, mais ça colle bien à l'exercice : j'ai pas réussi à finir. Ca devient une habitude.

Hyenne

Hmmm celui-ci est une bonne bouse bien fumante.

Grosse à souhait !