= TOUT ET N'IMPORTE QUOI = > = INUTILE =
Poèmes déguelasses
El Dégueulis:
Dégueulouse.
En m'coupant les veines
Au bord d'la Seine
J'vois des rats boiteux
Suivre un clochard-moi-l'nœud.
Moignons tordus en dégueulis
Sur mon imaginaire honni !
Soit, qui mal y pens' ne nuit
Qu'à la mamelle de la truie.
Mais mon cochon qu'est-ce tu fous-là ?
C'est pas que j'veux t'virer mais moi,
J'ai des salopes à masturber
Et des phocidés à bouffer.
Moi mon cochon celle que j'préfère
C'est la guerr' de 14-18
Cell' mon côlon que j'voudrais fair
C'est l'118-218 !
Je versifaille avec mes tripes
En répandant le mauvais goût
Sur les abominhomm's des neiges
Je versifaille avec mes tripes
Et si je suis complèt'ment saoûl
C'est pas que je m'appell' Nadège !
El Dégueulis:
Les monstres chouettes chauvelus
Chevauchent les horticultrices,
Diaboliques traîtress' à tresses
Empalées sur le Grand Cornu !
L'homo sapiens, sapiens sapiens,
Plus savant que les savants-fous
Déverrouille les grott'd'calais
Où sont planquées les pyramides !
Y'a un perroquet qu'a l'hoquet
Et j'sais pas trop quoi lui fair' dire
Pour qu'y s'bouge un peu le derrière
Pendant que j'l'encule profond.
C'est pas de la zoophilie
C'est un traitement pelliculaire
Médical et pharmaceutique
Contr'un mal anaphylactique.
J'ai pas foutu son déplumage
Sur la liste de mes onguents
La colle galeus' sur ses ailes
N'est pas autre chos' qu'un macaque.
J'vois pas pourquoi j'versifierais
En rimant riche ou même pauvre
Viv' le vers libre sémaphore
Et l'écriture automatique.
J'ai pas l'temps d'penser à aut'chose
Et j'ai la plume un peu pétée
Mon cerveau s'est fait pirater
Par un enculé de dauphin.
Scaphandriers scolopendriques !
Ô astronautes sexologues !
Superpouvoirs et superflu,
J'invoque votre invocation !!!!!
!!!! !!!! !!!! !!!! !! !! !!!
J'suis pas l'premier à m'fair péter
Les côt's par un grand baraqué
Mais j'ai l'fumier qui fumigène
Et la rancune hyper tenace.
Alors m'sieur dam' le Grand Cornu
Je vous tire ma révérence
Et si il faut fellationner
Votre membre aux poils serpentants...
C'est avec plaisir, Ô Cornu
Que je lècherai vos morpions
En avalant votre nectar
Afin d'me remplir l'estomac.
El Dégueulis:
Un dernier mot cependehant
Je suis un peu surexcité
J'crois qu'vous l'avez remarqué,
Car j'ai revu ma dulcinée,
Avec sa barbe et sa moustache.
Ah, que je t'aim' ma bien-aimée !
Ah, que je t'aim' ma bien aimée !
Ah, que je t'aim' ... Mais qu'est-c'que j'fous ?
J'ai révélé d'ma dulcinée
L'existence à des inconnus
Et j'ai pas trouvé d'autr' endroit
Que cet' putain de Zone morte !
Argle urgul urguhugul
Droukol Morgnol Dor Nargaroth
Zobi zobou Zob zbibouba
Uglukhhhhhh'kkk zbzbzbzbz !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Fosard:
Oh mon pouet ! Queue d'amour !
El Dégueulis:
Dans le derrièr' de ta maman
J'ai rencontré Serge Oriflan
L'avait la queue qui f'sait coin-coin
En lui ramonant les recoins.
C'est cool, que j'me suis dit soudain,
En sortant de mon pantalon
Mon gland tout vibrant de ronrons
Comme un gros chat avec des mains.
L'avait l'anus anadyomène
Et les sphincters tout frétillants
À tour de rôle comme des flancs
Et moi j'étais énergumène.
L'avait l'anus ANADYOMÈNE
J'VOUS DIS BORDEL C'ÉTAIT RONFLANT
Comme un artilleur v'nu d'Athènes
Dansant sur un pont vacillant.
Alors mon gland, tout frémissant
S'est fendu d'un beau geyser blanc
Alors mon gland, tout frétillant
S'est fendu d'un beau jet brillant.
Et just'après j'me suis castré
Pour pas ruiner ce souvenir
Oui, juste après, j'me suis castré,
Pour devenir comme Mjölnir.
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