Viol

Le 16/10/2007
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par Junk
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Thèmes / Obscur / Tranches de vie
Le viol, c'est brutal et peu raffiné, mais c'est pas une raison pour en faire un texte de merde. Là c'est lapidaire, cliché à souhait, trop court pour qu'on rentre dans l'ambiance. Sur le même thème préférez l'excellent 'de passage' par Aem.
La prochaine fois, j’espère que ce sera un viol collectif.
J’entends ses pas se presser derrière moi
Il m’attrape par les cheveux, me colle violemment une main sur la bouche et me traîne jusqu’au mur le plus proche alors que je rentrais tranquillement chez moi, pensant au lit bien chaud que j’allais retrouver.
Mon effroi se change rapidement en désir.
Mon fantasme le plus sophistiqué est entrain de se réaliser. Pourquoi gâcherai-je cette chance ?
Tout le monde sait que les filles rêvent de se faire prendre de force par un inconnu dans une ruelle sinistre qui sent la pisse. Encore plus si ce type est répugnant et sauvage.
Il commence à me prendre brutalement par derrière. Et à sec bien entendu.
Il me renifle comme un fauve reniflant sa proie, son souffle est si rauque que je m’attendrais presque à sentir couler un filet de bave chaude et acide dans ma nuque.
Oh oui vas-y salaud, pompe-moi le peu d’innocence qu’il me reste !
Mais c’est qu’il est brusque le monsieur, mes muscles anaux vont finir par lâcher s’il continue comme ça.
Mon cul a dû en connaître des pires, mais tout de même !
Dans son élan de bestialité, il me retourne et ne décolle sa main de ma bouche que pour y enfoncer sa queue. J’ai envie de gerber, on dirait que des morceaux de gruyère râpé m’emplissent la bouche. A ce moment, un doute m’envahit « Et s’il me tuait ? »
Il me relève et me plaque contre le mur avant de me pénétrer violement. Je peux à présent sentir son odeur âcre qui m’irrite le nez.
Oh mais c’est qu’il porte une cagoule, ce petit cachottier.
J’essaye tant bien que mal de transformer mes cris de plaisir en cris de terreur, histoire que ça reste excitant. "Non, arrêtez, je vous en prie !" A peine crédible.
Il m’inonde de son foutre. Olala, je me sens si souillée.
Heureusement, il me laisse partir, titubant comme morte saoule.