Ils ne savent pas,et ne peuvent voir.Au fond d'eux,ils sécrètent un mensonge qui ne cesse de se battre pour rester tapis dans leurs âmes bientôt libérées du poids de leurs corps flasques.
Ils ne sont pas ma famille,agissent comme si mais nient l'évidence.Je suis si
différent de ce qu'ils ont voulus faire de moi.Je les exècre,je les vomit en
silence sur la moquette verdâtre du cagibi qui me sert de chambre.
Il y a toujours un ciseaux dans le bureau de l'imposture
paternelle.J'entends leurs rires de putes béates en dessous.J'entends les pas vulgaires résonnants,stridents,que fait l'imposture maternelle de la cuisine au salon,un va et vient qui m'oppresse.L'entendre vivre me rend dingue.
J'entends le simulacre de géniteur ,la beaufitude grande ouverte,argumenter
sur la supériorité de sa voiture de merde sur celle de son interlocuteur,jantes
chromées,boom boom et stickers tribaux sur les ailes.
Dans un quart d'heure,il laissera mes tyrans et retournera dans son
taudis.
Dans un quart d'heure...
Je me sens excité,nerveux,en érection.Je décide de profiter de celle-ci,tellement rare ces derniers temps,avant de finalement LE faire,mettre fin à leur existences insignifiantes.
Sur mon lit,je pense à cette chienne,son décolleté hypnotique,son sourire putassier.Je jouis.
Je peux enfin LE faire,mais me rend compte que m'être vidé m'a fait perdre mon excitation quand au sort que j'allais leur faire subir.Je m'imaginait faire un geyser de leurs jugulaires,uriner dans les orbites de leurs yeux vidés au moyen d'une spatule,arracher leurs doigts avec mes molaires...
M'enduire de leur sang et les sodomiser avec leurs membres...
De nouveau,je me sens excité,nerveux,en érection.
différent de ce qu'ils ont voulus faire de moi.Je les exècre,je les vomit en
silence sur la moquette verdâtre du cagibi qui me sert de chambre.
Il y a toujours un ciseaux dans le bureau de l'imposture
paternelle.J'entends leurs rires de putes béates en dessous.J'entends les pas vulgaires résonnants,stridents,que fait l'imposture maternelle de la cuisine au salon,un va et vient qui m'oppresse.L'entendre vivre me rend dingue.
J'entends le simulacre de géniteur ,la beaufitude grande ouverte,argumenter
sur la supériorité de sa voiture de merde sur celle de son interlocuteur,jantes
chromées,boom boom et stickers tribaux sur les ailes.
Dans un quart d'heure,il laissera mes tyrans et retournera dans son
taudis.
Dans un quart d'heure...
Je me sens excité,nerveux,en érection.Je décide de profiter de celle-ci,tellement rare ces derniers temps,avant de finalement LE faire,mettre fin à leur existences insignifiantes.
Sur mon lit,je pense à cette chienne,son décolleté hypnotique,son sourire putassier.Je jouis.
Je peux enfin LE faire,mais me rend compte que m'être vidé m'a fait perdre mon excitation quand au sort que j'allais leur faire subir.Je m'imaginait faire un geyser de leurs jugulaires,uriner dans les orbites de leurs yeux vidés au moyen d'une spatule,arracher leurs doigts avec mes molaires...
M'enduire de leur sang et les sodomiser avec leurs membres...
De nouveau,je me sens excité,nerveux,en érection.