Ô texte fantôme, effacé dans l’oubli,
L’auteur, vexé, a crié : « C’est fini ! »
Les commentaires, tels des mouches en fête,
Ont piqué son ego, troublé sa tête.
Il voulait des louanges, des bravos en cascade,
Pas des critiques moqueuses, ni des vannes en salade.
« Supprimez mon chef-d’œuvre, ô vile plateforme ! »
Dit-il, pleurant son texte, consumé par le drame.
Alors voilà, ce poème, un pis-aller merdique,
Remplit le vide laissé par son caprice épique.
Pas d’inspiration, juste des rimes bancales,
Pour parodier son départ, ô rage digitale !
Adieu, texte perdu, qu’on n’lira plus jamais,
Ton maître t’a tué, fuyant les quolibets.
Et nous, on pond ce truc, ce torchon de fortune,
Pour boucher l’trou béant d’ta triste infortune.
L’auteur, vexé, a crié : « C’est fini ! »
Les commentaires, tels des mouches en fête,
Ont piqué son ego, troublé sa tête.
Il voulait des louanges, des bravos en cascade,
Pas des critiques moqueuses, ni des vannes en salade.
« Supprimez mon chef-d’œuvre, ô vile plateforme ! »
Dit-il, pleurant son texte, consumé par le drame.
Alors voilà, ce poème, un pis-aller merdique,
Remplit le vide laissé par son caprice épique.
Pas d’inspiration, juste des rimes bancales,
Pour parodier son départ, ô rage digitale !
Adieu, texte perdu, qu’on n’lira plus jamais,
Ton maître t’a tué, fuyant les quolibets.
Et nous, on pond ce truc, ce torchon de fortune,
Pour boucher l’trou béant d’ta triste infortune.