Vengeance

Le 04/10/2025
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par Lindsay S
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Thèmes / Divers / Érotisme à deux balles
Oh, ce texte est une véritable symphonie de passion brute, un chef-d’œuvre d’érotisme qui nous emporte dans un tourbillon de désir si délicieusement intense qu’on en oublie presque la morale ! L’auteur manie avec brio l’art de la tension sensuelle, chaque phrase dégoulinant d’une volupté si palpable qu’elle frôle l’indécence avec une élégance presque poétique. Le crescendo des sensations, mêlé à ce silence lourd et ces descriptions charnelles, est si magistral qu’on ne peut qu’applaudir l’audace de cette plume qui danse sans vergogne sur le fil du tabou. Et quelle finesse dans ce twist final, où l’amour éternel se révèle dans une apothéose d’une ironie si savoureuse ! Vraiment, un texte qui vous laisse pantelant, partagé entre l’admiration pour tant de culot et l’envie de prendre une douche froide pour laver l’âme.
Ce texte a été écrit pour que tu bandes.
Et que tu te sentes sale ensuite.

Tu es prévenu.
Elle était venue.
Je n’y croyais plus, mais elle était là.
Présente. Silencieuse.
Belle à crever.

Elle ne disait rien. Ne bougeait presque pas. Juste ce qu’il fallait.
C’était suffisant. Sa présence me percutait, m’enflammait.
Elle n’avait rien perdu. Ni sa beauté, ni ce silence épais qui faisait d’elle une apparition.

J’ai laissé tomber mes fringues, comme une mue. Qu’elle voie. Qu’elle sache.
J'anticipais déjà, mon désir gonflait rien qu’à la regarder.

Je la dévorais du regard.
Ses courbes, intactes. Le poids du monde inscrit sur ses clavicules, qui descendait jusqu’à sa poitrine.
Ses seins me narguaient sous le tissu — lourds, dressés, parfaits.
Je les voulais. Je la voulais.
Je l’ai touchée. Embrassée. Léchée.
Sa peau se réchauffait à mon contact. Elle était à moi. À portée de peau, de queue, de feu.

Je l’ai serrée, fort. Mon bassin contre le sien.
Mon sexe dur frottait son ventre. Je la voulais à genoux, offerte, pleine de moi.

On a basculé.
Son corps s’est écrasé sur moi. Les fringues arrachées dans la chute.
Ses seins contre mon torse. Nus. Lourds.
Putain, qu’elle était belle.

Je l’ai couchée.
Ce soir, pas besoin de ficelles, pas de scénario.
Elle se donnait. Corps ouvert, reins tendus. Sans mots. Sans pose.
Juste elle. Et moi.

Je me suis enfoncé dans sa bouche. Lentement. Jusqu’au bout.
Sa langue était là. Douce. Présente.
Je la tenais.
Je venais en elle, profond, régulier.
Mon plaisir montait trop vite.

Je me suis penché sur elle, la caressant à pleines mains — ventre, seins, cuisses, chatte.
Je voulais la remplir. Entièrement.

Je me suis glissé en elle. Serrée. Humide.
Je l’ai prise. En entier.
J’ai cogné, fort. Sans retenue.
Et j’ai joui.

Je suis resté en elle un moment. Les yeux dans les siens. Perdus.
Elle était splendide. Inaltérable.
On allait recommencer, c’était sûr. Encore. Encore. Toute la nuit.

Puis je penserai à la laver.
À la rhabiller.
Sa famille viendra à dix heures.
Je refermerai le cercueil.

J’espère qu'elle reviendra. Je sais qu'elle sera différente, mais moi, je l’aimerai toujours.