A fucking anglo-saxon title perfectly suited to this fucking ballade in your ass

Le 06/09/2004
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par Dourak Smerdiakov
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Thèmes / Divers / Textes de chansons
Il fallait bien que la fixation de Dourak sur les ballades accouche (voire avorte) de quelque chose, et voici le résultat, fumeux, stupide et incohérent.
A lire comme ça s'écrit, c'est-à-dire en s'avalant du Cabernet Sauvigon bulgare et en se grattant les couilles, pour la plus grande gloire de ce genre ardu mais éternellement renouvellable qu'est la ballade, même si les règles en sont ici quelque peu bafouées.
Dans le soir un moteur s’éloigne
C’est un crépuscule baveux
Qui dans sa fuite l’accompagne
En dégueulant ses derniers feux
Puis le silence et la nuit bleue
Que les cigales qui jacassent
J’ai presque cru être amoureux
Mais c’était dans ton cul grognasse

La nuit le silence me gagnent
Oh que ces amours sont fangeux
Ici plaçons le mot lasagne
Et l’Amour miséricordieux
Pauvre âme on aime quand on peut
Si fallait-il que je me casse
Je crains d’avoir été pompeux
Mais c’était dans ton cul grognasse

Mon trop-plein de bile en témoigne
Et cet autre témoin m’émeut
Que ne peux nommer mais que soigne
Par peu de pisse et chaste vœu
J’ai des souvenirs douloureux
Nos passions fades et fugaces
S’égarent dans des fruits véreux
Mais c’était dans ton cul grognasse

ENVOI

Grognasse de ton corps spongieux
Bien vite nos humeurs se lassent
Et fanent les amours envieux
Mais c’était dans ton cul grognasse