Thèmes
- Textes de chansons :
- Morceaux de chansons à la con.
Textes :
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Chantalgoyite
par
Lapinchien
A l'origine initiative lancée sur le forum par Lapinchien, le but de cet article est de poursuivre la chanson 'ce matin, un lapin' de Chantal Goya. Comme c'était prévisible, Lapinchien fut le seul à suivre sa propre initiative et est donc le seul crédité pour cet article idiot. -
Crying like a diplodocus
par
Narak
Un texte de chanson imaginaire en anglais, enfin dans un anglais de 3ème quoi... Narak tombe bien bas avec cet immondice qui fait que nous sommes encore plus idiots après l'avoir lu qu'avant, et ça c'est plutôt cool. Une ode (involontaire) à la confusion mentale qui ne vaut que comme temoignage ethnologique de la connerie crasse de nos adolescents. -
Babette
par
Bobby-Joe
Bobby-Joe est en fait l'ancien parolier du célèbre groupe de merde Téléphone et il le prouve avec ces paroles de chanson puissantes et inspirées, dont la forme se rapproche du célèbre 'quand je pense à Fernande, je bande, je bande'. Taupe délire, vraiment. -
A fucking anglo-saxon title perfectly suited to this fucking ballade in your ass
par
Dourak Smerdiakov
Il fallait bien que la fixation de Dourak sur les ballades accouche (voire avorte) de quelque chose, et voici le résultat, fumeux, stupide et incohérent. -
Le révoluchionneur
par
Lapinchien
Le djeunZ moderne est un amateur de subversion, surtout lorsqu'elle est marketée, formatée et vendue au prix fort. C'est ce que nous susurre LC de sa belle voix de mâle. Une ballade qui rit des consommateurs de rébellion sous cellophane, et qui devrait plaire intensément à Dourak Smerdiakov. -
Appeau à diplodocus
par
Dourak Smerdiakov
Notre chanteur de country local, chanteur de gospel stalinien (genre très très rare) à ses heures, est de retour pour une nouvelle ballade. Etonnamment c'est pas si décalé, ce texte ferait sans doute une vraie bonne chanson, froide, laconique et étrange. -
My bullet
par
Tabasco
Non content d'utiliser la Zone pour publier des textes de chanson et des poèmes, voilà que Tabasco le fait en anglais maintenant. Et qu'il nous envoie nous faire foutre, de surcroit ! Non mais dites-donc, ça ne va pas bien mon petit monsieur ? -
Chanson (hé oui) : 'borderline'
par
Nounourz
Nounourz a trouvé le syndrome psy qui lui correspond le mieux : il est 'borderline'. Du coup il utilise le mot comme un slogan, il l'agite comme un étendard. C'est bien écrit mais discutable : on dirait un ado qui crie sa différence alors que tout le monde crie la même chose que lui. La robotisation de l'individu est un thème intéressant mais assez rebattu. -
Ballade de la gnôle de Lisant
par
Dourak Smerdiakov
Dourak est de retour et enfonce le clou : sa ballade éthylique est étrange, disjonctée, drôle. C'est la réinvention de la chanson paillarde version zonarde, et ça tient largement la route. -
J'enfoncerai mon tire-bout-de-chou
par
Obn
Cette petite ode à la césarienne artisanale est plus qu'amusante et très entrainante. Ca a beau être un poème de merde, c'est scandé comme une chansonnette pas désagréable. -
Poison smoke
par
MantaalF4ct0re
Un texte de chanson en anglais, c'est pas notre créneau, mais pourquoi pas. Tout n'est pas à jeter, notamment quelques visions étranges et mystiques pas dégueulasses. Mais le ton bascule sans transition de l'agression apocalyptique à un appel au respect pour hippies. Quant à la réalisation, c'est pas trop ça : slogans primaires, exhortations pourries, bref que du cliché de merde. -
Gouzi gouzi : chanson pour enfants
par
MantaalF4ct0re
Cette comptine débile pour enfants vise clairement le worst-of et Mentalfactor s'assure des appuis solides en paraphrasant en introduction une phrase de Aure la poétesse maléfique. Une ambiance puérile et dégénérée qu'apprécieront les nombreux moniteurs scouts pédophiles qui, j'en suis sûr, fréquentent la Zone. C'est le fin-fond de la déchéance là. -
On est dans la merde
par
Mill
Ca ressemble à une chanson, qui aurait pu interprêtée par les Garçons Bouchers ou Ludwig Von 88, ou autre vieux groupe de punk dépassé. En tous cas on se récupère les errements gastriques et intestinaux de notre nouvel ami. C'est plutôt entraînant, mais sans la musique de fête foraine qui va avec, c'est un peu triste. -
Y a des cons
par
Mill
Un poème de merde qui concerne et attaque les cons n'en reste pas moins un poème de merde. Calembours, mauvais foi, tout y passe. On dirait du vieux Brassens mal embouché, on s'imagine déjà Mill chevrotant cette daube sur sa guitare sèche, là au moins ça pourrait être drôle. Assomant. -
Mon caca, c'est ton papa
par
Chevalier Liqueur
Soit Chevalier Liqueur est un espèce de fan de Stupeflip version scatophile, soit Chevalier Liqueur est Lapinchien (comme nous tous); pour le reste, il y a Spasfon. -
Chanson du Gros
par
LePouilleux
LePouilleux nous gratifie d'une chanson pour célébrer les fêtes de fin d'année. Chanson à boire, à manger et à éructer par tous les orifices. Une question reste ouverte cela dit : Est ce un méchant tacle contre la société de surconsommation ? Une critique sans pitié contre le capitalisme, le libéralisme et la haute finance triomphants ? Un trip bling bling genre wesh wesh Gros, KOI § Un foutage de gueule de type bullying des cours de récréation contre les petits enfants boulimiques compulsifs ? Une polémique zemmourienne contre les invasions de sauterelles réfugiées ? Peut-être tout simplement une proposition de lyrics pour le prochain tube de Patrick Sébastien ? Chacun se fera sa propre idée. Je propose qu'on lance un grand Band Aid contre la famine en Érythrée pour récolter des fonds en crowdfunding et détourner les fonds pour se faire un petit resto sympa entre zonards.