Juste pour faire plaisir à Nihil : à lire en écoutant BFM.
Je travaille en grand deuil
D’un moi plus abyssal
Mais la banque recueille
Ce petit capital
Et le bonheur s’installe
Quand l’euro va croissant
Question subliminale
Suis-je l’air ou le vent ?
Je vis dans mon cercueil
Rentier d’un idéal
D’avarice et d’orgueil
Pervers et libéral
Dérisoire et très sale
J’ai mal à l’air du temps
Et mon esprit s’affale
Suis-je l’air ou le vent ?
Parfois dans mon fauteuil
Un silence anormal
La chute d’une feuille
M’extirpent du banal
Mais l’heure du journal
M’éloigne prestement
De la question cruciale
Suis-je l’air ou le vent ?
ENVOI
(à l'air du temps)
Néant philosophal
De l’aire et du substant
Je me fiche pas mal
Suis-je l’air ou le vent ?
D’un moi plus abyssal
Mais la banque recueille
Ce petit capital
Et le bonheur s’installe
Quand l’euro va croissant
Question subliminale
Suis-je l’air ou le vent ?
Je vis dans mon cercueil
Rentier d’un idéal
D’avarice et d’orgueil
Pervers et libéral
Dérisoire et très sale
J’ai mal à l’air du temps
Et mon esprit s’affale
Suis-je l’air ou le vent ?
Parfois dans mon fauteuil
Un silence anormal
La chute d’une feuille
M’extirpent du banal
Mais l’heure du journal
M’éloigne prestement
De la question cruciale
Suis-je l’air ou le vent ?
ENVOI
(à l'air du temps)
Néant philosophal
De l’aire et du substant
Je me fiche pas mal
Suis-je l’air ou le vent ?