La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

Tri sélectif : Quelqu'un

Démarré par nihil, Mars 24, 2008, 22:16:39

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nihil

Les symptômes d'un abattement général...
Posté le 01/03/2008
par Quelqu un


Ca doit être la fin..., les symptômes d'un abattement général, je me sens rejeté de tous... bof...

Même le chat a vomi... Par contre j'ai trouvé un aquarium en écran de veille, alors ce soir je vais le regarder pour retrouver une certaine sérénité, avec mon chat qui aime aussi cet aquarium..., mais j'ai peur que pendant la nuit il tente d'entrer dans l'écran ou d'aller voir derrière et ronger les cables... Ma main gauche tremble, au moins cela peut avoir un coté pratique pour jouir, mes cheveux tombent..., il y a un trou dans ma chaussette gauche, une lampe au dessus de mon bureau s'est éteinte... c'est un signe... Je sens même comme un courant d'air glaçé qui m'entoure alors que j'ai la sueur au front.. Ma lèvre inférieure tremble, je viens de perdre mes dents de devant, j'ai comme des flashs illuminatoires... Les constellations ne faisaient pas des hommes, mais des guides. Mon moral n'est pas en cause. On m'a posé une question, oui mais qui ?... Je crois que ce n'est pas moi. La cause de ce bordel ici, ce n'est pas de ça qu'il s'agit. Il s'agit de racines. Profondes. Accrochées aux cercueils, dans la terre. A des abysses que seuls les gens comme moi connaissent. Surtout, n'y voyez rien de présomptueux. J'ai passé l'âge ou la nature de me vanter de mes abysses. Sinon, vous imaginez ? Construire quelque chose d'écrit là-dessus. Des millions et des millions d'êtres, de racines. Dans la Terre. La pluie imprègne. Coule dans les profondeurs de la Terre. Les cercueils... ne résistent pas. Le mal est plus profond qu'un simple problème de moral. C'est bon pour le moral, chantait La Compagnie Créole. Mais merci de vous être inquiétés. Je ne m'inquiète pas pour moi vraiment, je pense à moi, et je me demande comment je vais. Il y a une barrière. J'ai été plusieurs fois tenté. Mais cela m'est impossible. Impossible parce que mon corps, ma langue, mon cœur, tout ça est mon tombeau et que peut-être, peut-être, oui peut-être, j'ai bien fait à une époque lointaine, adolescente, de me dire de te méfier de moi-même. Les abysses de certains êtres sont si noirs que je sais, que je me doute, que je ne pourrais pas les en sortir. Je veux y rester. Je le dis tout de suite pour éviter tout malentendu. Je préfère mes abysses à ceux des autres. La valeur est vite faite. J'ai vite pesé. Le pour. Le contre. Les constellations guident les hommes, mais ne font pas d'eux des Grands Hommes, ou des hommes de valeur. On m'a posé la question de si je vais bien. Mon moral va bien, mais j'ai le blues du blues, l'abattoir blues recommence à fonctionner. La valse des crochets chantent à mon oreille restante. Et je ne sais pas combien de temps ça va durer. J'entends les abysses, dans les racines, je suis emprisonné. Je ne dis pas ça pour me faire mousser, mais force est de reconnaître que je mousse. J'aimais la mousse au chocolat, et de temps en temps un Viennois. Je n'ai pas besoin de tout ça finalement. Je me suis vu dans un miroir, je suis resplendissant de lumière. Une lumière blanche, par vagues. Je l'ai vue, cette lumière dans la rue, on aurait dit une lumière blanche ou un truc du genre. Non, la Poèsie, ce n'est pas mon moral, mon sujet. Je n'ai jamais évoqué mon moral en fait. Jamais, que des trucs légers. Jamais la surface. Attention je ne dis pas que je suis d'une grande profondeur. Je ne dis rien de tel. Je sais que j'ai dépassé l'époque où les trains arrivaient par dizaines vers moi pendant mes nuits, avec des animaux qu'on emmenait sans sourciller à la mort. Ils hurlaient de terreur. Ils avaient chauds. Ils avaient soif. Certains mourraient pendant le voyage. On ne pouvait rien y faire. On ne pouvait rien y faire. Mes mains pleines d'huile de masturbation..., j'espère que cette huile est celle des oliviers. Des oliviers sur la colline. Mes vieilles histoires voyez-vous, c'est mon futur. C'est mon futur, demain, peut-être, peut-être pas, mais mes vieilles histoires me serviront à transformer la boue en eau de source. Il y a, dans les abysses, cette certitude, que demain, peut-être... Dans le noir. Malgré l'orage qui arrive. Il faut ramasser les crânes ensuite (en fuite). Dans l'abattoir. On transforme les os en fine poudre. Un jour, on verra. Certains voient déjà. Il n'y a, d'ailleurs, pas de mauvaises ou de bonnes phases. Il y a juste des moments où la magie se passe. C'est tout. Ce sont des moments rares. Mais vous et moi nous avons passé le stade de l'admiration des génies, très peu le passent ce stade. Très très peu et ils ne sont pas remerciés en le passant. On ne dit pas merci non plus à la mort lorsqu'on passe. Donc, c'est vrai, pourquoi toujours vouloir être remercié ? J'ai une tendance peut-être, je dis bien peut-être, à vouloir tout de la vie, le maximum. Son maximum, si on soustrait l'horreur et la bêtise. Pourtant je suis fait d'horreur et de bêtises, mais que je soustrais. Le Poète qui est en moi, moi, en moi, de moi, j'ai décidé de prendre l'écriture comme si je prenais un mojito. Je la respecte désormais, l'écriture, je n'ai plus besoin de me confronter avec elle, le moral est au beau fixe, et c'est bon pour le cœur il paraît. J'ai décidé de la respecter comme je respecte de la connerie inhumaine, c'est-à-dire très peu. Malgré moi, malgré moi. Je sais que vous pouvez entendre ça, vous pouvez entendre ça, vous pouvez imaginer, lorsque je vous parle des cris de l'abattoir, au fond du désert. C'était le bon temps quand j'y pense, l'horreur prenait toutes mes pensées, et toute ma libido. L'horreur prenait toute la place pour résumer. Et c'était exaltant, c'était contre le vent, contre les autres, et l'écriture, c'était contre elle, avec elle en même temps. C'était le bon temps. Mais il y a eu une erreur plus tard, dans la machine, j'ai dû faire quelque chose que je n'aurais pas dû faire, ce qui a entraîné la conséquence de goûter aux mondes des lumières, si tu ne comprends pas ce que je veux dire, alors dis-toi comme le siècle, pareil, et je n'aurais pas dû. Mais c'est trop tard à présent. Ce qui a été fait ne peut pas être effacé. Les futurs possibles m'ont embarqué dans les délires. Les racines des arbres s'accrochent au cercueil pourquoi ? Parce qu'ils ont peur de tomber dans l'espace noir et inquiétant, gouffre infini (peut-être) mais pas unique (sûrement) et les abysses laissent échapper des bulles. Mes vieilles affaires qui traînent sont bien rangées, ça ne veut pas dire que je ne peux pas tirer le tiroir pour les regarder de temps en temps, comme on regarde le squelette de cet oiseau qu'on n'a pu se résoudre à jeter aux ordures. J'ai du mal de faire de la poésie dans ce cycle de violence. Et d'incertitude. J'ai téléphoné à Quelqu'un d'autre qui a décroché, il a dit allô et finalement, ma voix s'est manifestée récemment, j'ai fouetté des soumises. Le regret pour ce geste n'a pas de commune mesure avec l'autre geste. Que je regrette moins. Mais nous avons tous des vieilles affaires qui traînent dans nos caves. Cependant ma cave un jour s'est ouverte, et des abysses sans fond sont apparus dans ma cave, qui, de fait, a cessée d'exister..., d'autres m'ont demandé la même chose pour mon moral. Eux aussi voulaient me faire écouter la chanson de La Compagnie Créole pour me remettre d'aplomb, ils ont pensé que je faisais une crise. Alors que seuls les gens comme moi peuvent et savent vraiment le principe de la nature humaine. Sans paraître présomptueux et puis de toute façon on s'en f.... C'est quoi ces pertes de temps, c'est quoi ces vies fatiguées, qui voient des parasites leur dire : oui oui ? Et puis quoi encore ? Ils se croient dans un film ou dans la réalité ? Ils se croient dans un livre ou dans une guerre ? Ils se croient dans la littérature ou dans le roman-photo ? Les gens qui écrivent et qui l'écrivent ont le droit d'avoir mal, pour peu qu'ils savent vendre leur abattoir. Nous avons tous des vieilles histoires qui traînent au fond de nos abattoirs. Etre soi ne signifie rien sans souffrance excessive, j'espère que vous comprenez quand je vous dit que je n'ai jamais parlé de mon moral ici. De mes humeurs. Ni de mes états d'âmes. Je ne voudrais pas recommencer à expliquer pourquoi, je me tiens bien éloigné de toutes les appellations misérables. La poésie ne se saisit pas. La bulle à crever en soi n'est pas dans l'écriture, elle est dans la vie. La vie ! She's alive criait Frankenstein face à sa créature. Dans la vraie vie, les morts ne se relèvent pas (pas encore). La vie. Crève la bulle dans ta vie. Crève la tout de suite, n'attend pas demain. J'ai téléphoné à Quelqu'un d'autre, pourquoi ? Pourquoi pas ? Je n'aurais pas dû, je sais, mais je n'aurais pas pu m'en passer. Il fallait que je lui en parle. On trouve toujours la mauvaise personne, ou le mauvais quelqu'un, pour épancher un peu son cœur, et après on regrette, ou alors pas du tout, on savait pourquoi on le faisait, et pourquoi justement la personne choisie était la mauvaise, la mauvaise personne, surtout celle à pas choisir, pour faire une confidence. En parlant de confidence, plein de pseudonymes sont très inquièts, angoissés par mon silence, que je ne donne plus signe de vie depuis deux mois, j'ai répondu que j'étais décédé dans un accident sexuel , que avais coincé mon sexe dans la bonde de mon lavabo, je suis persuadé que ça leur rendra service, vu qu'ils n'ont pas jugé utile de sortir de mon silence angoissant. Si les femmes n'ont pu attraper mon pénis avec leurs mains, elles auraient pu le faire avec leurs yeux, avec leurs bouches, avec leurs cœurs, avec leurs nez, avec leurs langues, avec leurs dents, avec leurs pieds. Comment font les gens qui n'ont pas de mains ? Coupées ? Comment font les gens qui n'ont pas de cœur ? Arraché ? On devrait pas les autoriser à mourir moi je le dis. Je suis fier de m'avoir poussé à écrire : j'ai rencontré des femmes et j'avoue que cela, c'est gratifiant, alors que je savais qu'il existe des teneuses d'abattoir qui ont le sentiment d'errer dans leur existence quoi qu'elles fassent : l'amour, travailler, la cuisine, le cinéma, lire un livre, manger, dormir, respirer (surtout ça), grandir, vieillir, pisser, baiser. Quoi qu'elles puissent faire, ces teneuses d'abattoir aux mœurs légères et dépravées errent telles des zombies de ce pauvre George Romero (condamné à faire sans cesse des films de zombies, tu parles d'une vie) dans l'existence (comprendre : dans l'existence du monde) et sortent de leur corps la nuit à leur propre insu, c'est dire à quel point elles sont pathétiques. Ces teneuses, meneuses de revue pour funérarium, en amour ou en faisant du sport, ont ce sentiment ingommable d'errer, sauf, sauf, et encore ça se perd, lorsqu'elles écrivent. La différence entre la vie se fait sentir, et en même temps se superpose la vie, tout se sépare et tout se rejoint en même temps, ce qui est complexe à comprendre pour un cerveau humain de base, mais qui se révèle fascinant à ressentir et à observer. L'huile est l'amie des masturbants et masturbantes, leurs mains glissent à cause de cette huile : pas grave. Il leur reste l'esprit pour arriver à leurs fin, les choses, les gens. Le meilleur, c'est que je n'arrive pas à abandonner. Bon, c'est pas tout ça, là, mais faut que j'aille bouffi, là, un macaroni au fromage gratiné, ça plus la pensée de jouir dans quelques mois... me redonne l'espoir... Cela veut dire faire la cuisine avec bonheur, et aimer avec toutes ses forces, les dernières qui restent, l'épuisement moral ça d'accord ça arrive, et c'est pas bon pour la chorale. Et ça arrive à tous les âges. Personne n'est épargné avec le bonheur d'être dans quelque chose de juste et de simple, surtout de juste, je me sens libéré, comme la Statue de la Liberté. Sérieusement, elle ne devrait pas exister. La Statue de la Liberté. Si la Liberté était là. Vraiment là. Dans nos cœurs, dans notre amour... Dans nos maisons. Les Oliviers sont restés au même endroit. Chaque année, de l'endroit où ils se trouvent, j'espère trouver une huile encore meilleure que la précédente, elle est tellement jouissante que je vais l'utiliser pour les macaronis...

Trafiquant d'organes
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nihil

FLOU...
Posté le 01/03/2008
par Quelqu un




Je rêve, je fuis, je floute bleu, je ne suis pas fou, les tâches blanches gâchent mon cerveau bleu qui flotte, j'imagine, je mange l'air, je m'immisce dans le bleu, je ne suis pas fou, les bruits de mon automobile rouge, cahotent dans mon cerveau métal qui brille, je crie, je vise, je crime bleu puis rouge, je ne suis pas fou, les autos d'à coté hurlent dans mon cerveau flou qui disparaît au-delà du bleu violet, je ne suis pas flou, je ne suis pas flou, je ne suis pas flou, je respire encore pour vous, pied au plancher..., vite rentrer...

J'attends un autre départ, le temps s'enfuit comme un copeau de rouille, immobile à capturer le babillement de l'air sur mes rouages, je ne suis pas fou, que flou en flou de fou, je sais bien que le vert brillant de mes yeux aveugle tout le monde, tandis que derrière c'est le néant qui file, l'auto qui huile pour donner un sens au sens des sens, je ne suis pas flou, ni fou, que flou...

Subitement, depuis 5 jours, mon acouphène à augmenté à un point où il devient à la limite du tolérable, un truc de fou, avant il était à peine perceptible, je pouvais complètement l'oublier, maintenant, c'est impossible..., ça me rend fou et je vois flou, je cherche à comprendre ce qui aurait pu causer cette désagréable augmentation de folie, je ne vois qu'une seule chose, trop de bruit, trop de fureur, lever le pied, assouplir..., non, je ne suis pas fou, je suis dans le flou..., godasse, pied au plancher encore, un bruit assourdissant, je décolle... !

En plus du bruit qui me rend fou, j'ai fait une intoxication alimentaire et ça m'a jeté par terre, je vois flou, je me dis que mon système immunitaire a tellement mangé un dur coup qu'il s'en est ressenti jusqu'au bruit dans mes oreilles, me rendant encore plus comme fou..., ça, mélangé avec la fatigue et d'un coup c'est flou, mais je ne suis pas fou..., j'espère fortement qu'avec un peu de repos mon moi redeviendra comme avant, c'est-à-dire tolérable, parce que là, il y a vraiment de quoi virer fou, et je ne peux pas virer fou, je dois continuer droit, ne pas sombrer fou, ne pas voir flou, virer fou, continuer flou...

J'ai attrapé le pitch classique de l'écrivain, je ne suis pas fou juste flou, je suis une idole anti puritaine, un vrai fou, un personnage de fiction écrivant des texticules extatiques où mes rares lecteurs et ma lectrice ne savent jamais si j'èrre dans un rêve éveillé, un trip sous emphétamines ou dans un délire mégalomaniaque de fou furieux, mais non..., je ne suis pas flou, juste un peu fou, non..., promis, plus de Mojitos, du moins pas autant, juste quelques-uns...

Fin d'année passée, je me suis retrouvé propulsé sur le devant de la scène des fous, avec un livre trashouille et référentiel pour les vrais fous, un roman qui aurait du se nommer "Moins que zéro", ou "Les tribulations d'un fou", une histoire floue de fou rendu fou par le flou de la folie de la vie..., le référentiel de toutes les causes perdues.

Ma vie de fou tient en une seule phrase d'un sens incroyable et qui tient en une ligne : J'ai compris l'unique chose que j'étais en train d'apprendre : à quelle solitude les gens se condamnent..., c'est fou, ça, dingue ce flou de fou... et je ne suis pas flou, croyez-moi, pas fou, que flou..., de voir défiler en cette ligne, mes angoisses à la pelle qui sont mes conditionnalités de demain, c'est fou, je suis un enfant de la balle qui se retrouve délaissé, harcelé, jaugé, mitraillé, controversé, hai, adoré, un enfant meurtri, qui n'a de legs que le traumatisme et qui malgré lui, devient fou et flou au fil de mes erreurs, piétinant les mots au gré de mes folies... c'est fou, non ?

Ma vie n'est qu'anecdote de mes nuits et de mes vices..., les Mojitos qui me rendent fou, les chairs qui se mélangent, le désir qui floute mon regard, l'emprise qui prend le pas sur mes rencontres... et la folie, toujours, qui se terre, sournoise, à l'ombre de mes vices, le nez suintant la coke, reniflant la misère dans un mouchoir XXL, sniffant dans des soirées orgiaques tout en lorgnant sur les seins pendouillants..., c'est fou..., ma vie c'est aussi une histoire de fantômes et de démons, je ne suis pas fou mais je ne sais plus vraiment si j'hallucine où si je fais une rencontre du troisième type, la peur est là, tenace..., c'est irracontable, un truc de fou furieux, terrifiant, schizophrène et complètement psychédélique.

Ce texticule couillu que vous lisez d'un ait ahuri (je vois tout flou, je suis fou) est le mea culpa d'un écrivain qui a créé le mâle absolu sous couvert d'un personnage de fiction ( Quelqu'un ) et qui se retrouve plagié dans la vraie vie par un psychopathe mi homme mi singe qui s'inspire textuellement de mes délires pour copier mes meurtres hallucinés..., j'enrage, je deviens fou rien que d'y penser..., le summum de la banale histoire de l'artiste maudit qui devient fou le jour où ce qu'il crée et ce qu'il vit se mélangent, de manière à former un imbroglio tel qu'il sera impossible de démêler le vécu du rêvé...

Mais je floute sciemment cette histoire de fous rendus flous, irrésolumment, car..., quand l'écrivain et le narrateur se font face en se fondant l'un dans l'autre, le fou dans le flou et le flou qui rend fou..., dans un combat sans pitié dont on ne sait pas d'avance qui en sortira fou, flou ou vivant, alors que réalités et fantasmes se côtoient dans un univers débridé et onirique à souhait..., car écrivais-je..., car malgré tout mes talents de conteur et de menteur invétéré, je vous rappelle, risiblement, le surréalisme de nos propres vies....
C'est fou, là, non ?
Flou aussi...


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400asa


nihil

Rassure-toi, j'en ai encore au moins trois autres des comme ça, à balancer au broyeur.
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400asa

Vous n'aimez pas mes textes, c'est donc que vous êtes aigris. Mais je comprends, mon talent sans équivoque vous aveugle par sa trop grande lumière et en vils animaux de vase que vous êtes vous le dépréciez à l'extrême.
Mais je vous comprends etc nananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueuleputenananatagueulepute.

areziwK Gaston

c'est drôle moi j'ai tout lu et j'ai pas vu Celine du tout
Tout bien considéré, sous l'angle du guetteur et du tireur, il ne me déplait pas que la merde monte à cheval. (Char, Moulin Premier)

http://www.kwizera.net
http://www.mfk.xooit.com

Glaüx

hihi, il est tout drapé dans sa petite toge, c'est choupinou




(et la sortie sur les vrais auteurs reconnus par le monsieur à mesure qu'ils sont encensés par la critique établie, qu'ils passent à la télé et qu'ils sont sur les étals, je me gausse, haha)

(tapette)

nihil

Non non les gars, arrêtez de déconner. C'est le grand Patrick H venu nous honorer de sa présence auguste, incognito dans sa Très Grande Humilité ! Et nous, pauvres chiens sans foi, nous rejettâmes son amour débordant et le moquâmes de la plus odieuse des façons. Là on va direct en enfer, on va pas y couper. Il nous faut tout de suite le restaurer dans toute sa splendeur et battre notre coulpe. Reprenons ses textes de merde illisibles et publions-les avec la place d'honneur sur notre humble site indigne. Nous apposerons un gros sticker jaune sur les textes "VU A LA TV" ou "LU EN LIBRAIRIE" ou "20% DE REMISE SUR LES TEXTES DE MERDE ILLISIBLES" ou "REPOMP2 SUR LE PLUS GRAND AUTEUR DU 207ME SI7CLE PUTE PUTE PUTE" , et nous partagerons les agapes du succès et de la considération internationale et, qui sait, la grosse grosse thune. Amendons-nous bordel de merde. Nous sommes des cafards écrasés sous la gloire de la sacro-sainte Edition. La sacro-sainte Edition de pute qui publie n'importe quelle daube pour se faire du blé.
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nihil

Tu sais quoi ? T'as sûrement raison sur plein de points, ou pas, ou peut-être qu'on s'en fout. Juste, ne parle pas de Nounourz sans savoir. Merci.
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Glaüx

Citationon cherche une trace de vie, la sienne et celle des autres

branleur


"Se" faire éditer, chercher dans une édition papier et prétendue plus "réelle", une reconnaissance pour soi, pour son putain de petit égo merdeux, pour sa petite bistouquette rabougrie qu'on n'a jamais trop osé montré dans les douches des vestiaires, oser enfin "se" faire éditer et sortir dans le mooooonde, le monde de ceux qui cooooomptent, pour pouvoir dire, "vous savez, j'ai cotoyé Gainsbourg, Combass, Honorez, Starck, Leloup et quantités d'autres", c'est l'acte, ou le non-acte, le plus misérable que je connaisse, dans le domaine de l'écriture.


Pauvre merde.
T'es patron de société ; mais tu seras jamais éditeur.
Ni artiste, ni du monde de l'art.

Juste un servant occupé à briquer sa vitrine.

Range tes costards et range ta teub trop propre. Autant je respectais, extrêmement, le fait de venir sous pseudo et sous un pseudo aussi explicitement blanc que celui-ci, autant tu te révèles être une merde pire que les autres, là.
Ridicule.




nihil

CitationD'autres textes sont d'une nullité crasse, bourrés de fautes même pas voulues, et ne font rire personne, sauf vous qui y trouvez l'avantage qu'ils mettent vos textes, ainsi que ceux de votre clan..., en valeur.

Sauf que ces textes, on les publie avec plaisir parce qu'ils sont divertissants, au contraire des tiens. Y a pas un seul de ces textes pourris, pas une seule tournure imbécile du Duc ou un vers minable d'Aure que j'échangerais contre tes bouses. Je les apprécie mille fois plus que tes litanies pénibles, quelles que soient leurs qualités littéraires supposées. Crois ce que tu veux, mais on juge pas de la qualité littéraire ici, pour la publication. On juge simplement de l'adéquation à l'esprit du site.
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Astarté

....
Pourtant, à lire les textes de votre ami "Nounours", une reconnaissance du dehors ne l'aurait pas fait se suicider...

C'est minable ça!!!

"Te laisse pas impressionner Astarté, acharne-toi sur lui, tu as mon soutien silencieux"
Aelez le 10 mars 2007 à 01.05.09

Glaüx

Bah c'est surtout non informé et très con, étant donné qu'il l'avait, la reconnaissance, tant pour sa musique que ses textes, mais bah. Quand on a une p'tite biroutte rabougrie toute souffrante de pas pouvoir se montrer aux yeux du monde et un gros costume pour la cacher, c'est le genre d'arguments qu'on emploie, je suppose.

Astarté

Vous êtes définitivement minable, fat, et idiot...
"Te laisse pas impressionner Astarté, acharne-toi sur lui, tu as mon soutien silencieux"
Aelez le 10 mars 2007 à 01.05.09

Glaüx

#14
Mon vrai nom est un peu partout, celui de la plupart des autres ici, aussi ; mais le sortir comme ça tac pour faire le malin, une fois encore, c'est montrer sa bite. Bite qui n'a aucun intérêt, mon enfant, mis à part la ressemblance phonique avec Jimmy, dont je croyais pourtant qu'il était mort. C'est marrant que les clampins en mal de reconnaissance réutilisent tout le temps cet argument, de l'anonymat, comme une attaque ; alors qu'en soi c'est un compliment qu'ils nous font. Mais ça, tu le capteras pas, je crois, t'as trop d'hormones qui tachent ton encéphale.

Le vieux truc du "je me casse comme un prince, effacez toutes les traces que j'ai daigné vous laisser de moi, ô fourmis", aussi, ça revient tout le temps. Marrant. Faudra décidément faire une sociologie de l'égo en souffrance sur le net, c'est fascinant.


Content de voir que t'es vraiment, complètement, à côté de la plaque, pour Nourz. Parce que là, pfiou. Wolala.



[edit]"Bite qui n'a aucun intérêt, mon enfant" : ni la tienne, ni la mienne, d'où la raison pour laquelle, c'est pourquoi, ainsi, tout ça. Sans préjudice des insultes méritées et joyeuses à ton encontre.[/edit]