Messages

Oui, j'ai lu ses mémoires, il y a environ quainze ans, sur le trajet New York-Kuala Lumpur à dos de chameau. De la bonne pataphysique. J'aprécie vos références, masta Dourak.

Je la ramène quand je veux où je veux et avec qui je veux. De toute façon, je suis une pyramide. Au fait, Dourak, tu citais qui au juste?

Ces bots sont faites pour marcher,
Et c'est bien ce qu'elles font.
Un de ces jours, ces bots,
Elles vont te marcher sur la gueule.



these boots are made for walking (Nancy Sinatra)

Vu le retour des tomates tueuses il y a deux jours. Je ne m'en remets toujours pas. Incroyablement stupide et terriblement mal joué. J'arrive toujours pas à déterminer si c'est fait exprès...
N'empêche, il s'agit là d'un des tout premiers rôles de George Clooney - avec des cheveux longs de chez longs - et le film est bourré de toutes sortes de conneries. En vrac : une tomate velue, une femme-tomate, un savant fou ridicule, Monsieur Potatoe, des pubs assumées dans tous les coins, des personnages héroïques qui font vibrer (warf warf) et des dialogues écrits avec les pieds gauches de Pierre Richard. Un must.

What's the ugliest part of your body?
Some say your nose.
Some say your toes.
I think it's your mind.


Frank Zappa

Philippe Séguin, ce n'est pas un taureau, c'est une vache folle qui a contaminé tout le troupeau.




Jacques Chirac

Un jour, John Wayne m'a envoyé un scénario qu'il avait écrit quelques années auparavant. Je ne l'ai pas rappelé. C'est lui qui, finalement, m'a téléphoné. Il m'a tout de suite dit : "Je pense que j'aurais dû mettre un peu plus de feu dans le scénar, non?" Je lui ai répondu : "Et vice-versa." Et j'ai raccroché.


John Huston.

Curiosité de langage : Reich, à l'envers, ça fait "chier".

Les Nuls.

Désolé, j'touche pas aux produits avariés.

C'est de Desproges. Du coup, une autre de Desproges :

De deux choses l'une : ou bien Jacques Séguéla est un con, et ça m'étonnerait tout de même un p'tit peu. Ou bien Jacques Séguéla n'est pas un con, et ça m'étonnerait tout de même beaucoup.

Hey Winteria. Je sais qu'on m'oublie pas. Et je donne le sens que j'veux au mot "rigoler".

Love you Astarté. J'insiste : tu t'acharnes. C'est très rigolo.

Ouh... Je sens qu'on va bien rigoler avec toi.

Je viens de croiser Régine qui revenait de l'institut de beauté. A mon avis, c'était fermé.


Coluche.

Hello nihil. Merci de cet aparté. Je m'explique : je n'ai pas d'ordi chez moi. Donc, j'imprime au boulot (beaucoup, beaucoup), je lis au lit et commente idem - sur papier. Du coup, quand je lis dix textes à la suite, je n'ai pas toujours envie de développer. Mais il y a des exceptions notables. Il est évidemment plus intéressant pour les auteurs que je développe mon avis, mes sentiments, le pourquoi du comment de mon jugement esthétique, mais je ne peux pas le faire pour tous. Par ailleurs, et contrairement à ce que j'ai pu lire ici ou là à mon sujet, je suis beaucoup plus humble que ce qu'on s'imagine. Je n'ai pas toujours la prétention de la ramener, sauf quand ça m'interpelle.
Par exemple, quand j'adore un texte ou quand l'idée me plaît mais ne correspond pas à l'intention que je crois deviner derrière.
En fin de compte, je suis désolé d'emmerder tout le monde (ou presque), mais je le fais avec les meilleurs intentions du monde.
Enfin, dites-vous un autre truc, les gars : les commentaires de MILL correspondent tous à des textes lus. Ca devrait vous faire un poil plaisir, non, un gars qui débarque de nulle part et qui s'éclate à tout dévorer.
Ah oui, et pour ce qui est de l'ironie, des boutades, et tout ça. Des fois j'ai envie, des fois j'ai pas envie. Comme j'ai commencé par être très méchant sur un de mes tout premiers commentaires et je me suis attiré les foudres de many people, je m'en tiens désormais à une règle (avec quelques exceptions, je pense) : je me défends mais j'attaque pas.
Ciaobye et à bientôt.