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Dourak, homme de peu de foi...

Je livrerai ici même en pâture, à vingt heures, une allocution inoubliable et riche en fibres.
Dans cette attente, je retourne à mes cahiers et mon business-plan, de même qu'à mon tableau d'amortissement dégressif sur quinze ans, qui devrait permettre à LA ZONE de devenir plus en vogue, dès cet été, que le monoi marque repère.

"Tu veux qu'les autres ils te donnent des points mais toi t'en donnes à personne"

VAZIMEMOIJMENSBALAISKOUIL :

1. Muscadet, parce que c'est beau
2. Koax, parce que c'est con
3. Dourak, parce que ça rime

nE ME TWITTES PAS IL FAUT OUBLIER TOYUT PEUT S OUBLEIR QUI SENFUIT DEJA TAVU

C'est malheureusement impossible dans la mesure où j'ai quitté cet emploi après avoir été surpris au petit matin dans une triste (bien qu'inévitable) séance de cunnilingus sur une réplique diaboliquement fidèle de Britney Spears.

Il est entendu que nous avons besoin d'une personne de confiance pour s'assurer que la tapisserie du site ne se décolle pas trop dans les coins, pendant une longue et pénible année.
Ayant été gardien de nuit dans un musée de cire pendant sept ans, je me sens tout à fait qualifié.

Voter pour moi, ce n'est pas seulement faire preuve d'élégance et de vision du jeu dans l'appréciation d'une œuvre littéraire. Je reconnais, en toute bonne foi, certaines qualités aux ébauches de texte de fiction livrées par "la concurrence". Ces semi-fulgurances sont indiscutablement le fruit du hasard mais peu importe. La grâce aime à effleurer du bout du doigt les auteurs laborieux, de même qu'un nourrisson peut faire rouler un dé sur le six , puis l'avaler et mourir étouffé, comme il se doit. Tout cela est assez pervers quand on y pense.
Voter pour moi, c'est donc avant tout éviter de se ridiculiser aux yeux des générations futures, dont le jugement sera irrévocable.
Voter pour moi, c'est surtout choisir la vie, le respect de son prochain et accorder, tout simplement, du crédit au talent véritable.
Voter pour moi ne saurait propulser vos existences sinistres sur l'autoroute de la sagesse ou les rails étincelants de l'estime de soi.
Ne pas voter pour moi, en revanche, constituerait un acte de barbarie envers la stylistique et la pensée.

Confiant face à cet enjeu électoral,
Ne souhaitant pas ergoter sur les retards intolérables, pour ne pas dire injurieux (autorisés pourtant de manière unilatérale par et pour des membres de l'autorité en place) (pensez-y) et autres hors-sujet textuels dont se sont rendus coupables devant le Seigneur certains autres compétiteurs,
Je souhaite longue vie à la Saint Con,
Et que le meilleur l'emporte.

Mais comme c'est beau, tout de même, un con qui brule.

"Et mon texte contient le mot nonchalamment"

C'est le plus beau teasing depuis la campagne de Robert Hue sur le marché de Tarascon, en 1995.

Fais péter le Pulco citron, gros.

https://www.youtube.com/watch?v=-0DGEJbh4Bs

Allez, on sort les cotillons et on se fout à poil !
Joyeuse Saint Con à tous

https://www.youtube.com/watch?v=It7107ELQvY

Posez vos putains de stylo et finissons-en.

https://youtu.be/6IIaItMokv4

https://youtu.be/vq9ioJB9Wqo

Esprit de concorde ?
Foutre Dieu...
Mais c'est à VOUS, Monsieur Smerdiakov, qu'il conviendrait d'ôter une cinquantaine de points dans le cadre de votre (toujours hypothétique mais néanmoins très attendue) performance : 50 points de pénalité pour petitponisme. Car je m'excuse mais zut à la fin !
Je croyais cet espace d'expression destiné aux campagnes diffamatoires ou militaires. J'imaginais que seraient menées ici de véritables offensives en direction des parties génitales, du sable dans les yeux, qu'on sectionnerait des câbles de frein, qu'on affublerait nos mères respectives de sobriquets incestueux...

Et l'on m'amputerait une perspective de victoire éblouissante aux retombées médiatiques insoupçonnées pour m'être conformé à la ligne éditoriale ?
C'est la Zone ici, ou une commission d'étude parlementaire ?

Retirez-moi immédiatement ces dix points et bombardez au plus vite vos textes inachevés, illisibles ou superbement indignes de vous.

Que comptiez-vous donc branler d'autre, un dimanche soir ?

Nous passons pour des baltringues aux yeux du monde, je vous en conjure, portez vos balls et poutrons-nous la gueule.

Non, parce que putain, le monde est Ordre donc ta gueule, branleur.

Ou alors, éventuellement un sonnet.
Et on ouvre à nouveau le concours de sonnet.
LApinchien écrit un truc qui n'a rien à voir, mais veut quand même inviter Dourak au restaurant Campanile à la fin.
Winteria propose un arbitrage en oubliant son cours de natation synchronisée.
UNe lampe de bureau s'envole.
Darid gagne quelques points parce que son oncle est bien connu sur le marché de Carnac.
DArid est ravi.
Dourak annonce une participation bien à l'arrache, genre illisible et glauque. Et incertaine. On sent qu'il se chie dessus.
Lapinchien lui répond que non, même si tu le voulais...., et si tu n'existais pas..., connais-tu l'Ibis-Budget de la grande rocade ?
Darid nous balance un lien vers un site sans couleurs qui me fout les miquettes.
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