La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 

osef (mais c'est quand même trocool)

Démarré par Glaüx, Janvier 28, 2007, 23:08:04

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Narak

Les femelles hyènes ont un clitoris hyper-développé, de la taille d'un pénis avec lequel elle sodomisent les mâles plus petits qu'elles pour les humilier.

J'aurais voulu être une hyène.
L'amour c'est fort, l'envie de chier c'est pire...

400asa

J'écoute The Cold Song de Nomi entièrement nu, la baie grande ouverte en bouffant des glaçons imibés de pulpe d'orange.

Glaüx

Et tu es un pauvre ignare de merde car ce que tu appelles "the cold song" est l'air des paroles gelées dans King Arthur de Purcell, repris par Klaus Nomi de façon absolument nulle à la fin de sa vie, et qui n'a pour intérêt que le fait de savoir que le chanteur va clamser, et mis en oeuvre médiatiquement à l'époque, en effet, de façon à montrer un mec qui va clamser et OH COMME C4EST TRIIIIISTE ; musicalement, c'est de la merde. Le véritable air, oui, c'est de la musique.

400asa

Ah, mais je m'en tape, en 1982 je n'étais pas né. C'est juste qu'écouter cette chanson me fait aimer le froid => osef mais c'est trop cool

400asa

Non, en fait je m'en tape pas. Je me disais aussi. Les lyrics sont un peu trop forts pour avoir été composés il y a moins de 400 ans. *sigh*

Glaüx

Comme je suis un homme bon et un pédagoguenot-né, je vais télécharger deux trois versions de la vraie pour faire ta culture. Pour ce que belle et bonne oeupvre est.

lapinchien

ah, c'est la chanson des pâtes Barilla

Glaüx


Hyenne

"Les femelles hyènes ont un clitoris hyper-développé, de la taille d'un pénis avec lequel elle sodomisent les mâles plus petits qu'elles pour les humilier.

J'aurais voulu être une hyène."

*orgasme*

Glaüx

#429
D'abord, une version tout à fait bien, dirigée par Gardiner, qui est ma putain de référence presque tout le temps, pour le respect de l'esprit des oeuvres sans ajouter du "sens" et de la glaire partout, et la finesse de la mise ne place, et ses instrumentistes et chanteurs :

http://tinyurl.com/6x8wwz

[edit] A écouter SUPER FORT.


Ensuite, une absence de version par le Deller Consorts, chez Harmonia Mundi, qui est pourtant fort bonne mais mon cd gravé a péri de sa belle mort de cd trop écouté ; si tu peux choper, chope.


Ensuite, une version plus sombre, plus lourde, autre interprétation possible (moins bien exécutée, tu verras, beaucoup moins bien, y a beaucoup de déchet et d'approximation et d'excès), dirigée par A. Lewis, où l'on voit que c'est putain de pas de la tarte à chanter, ce truc, même pour un pro, et où l'on comprend comme Nomi est excusable de se vautrer comme une merde. C'est en fait un des airs à casser les dents des chanteurs, du genre de l'air de la Reine de la Nuit ou autres. Pour le chanter, faut en avoir sous le plastron et savoir son métier. D'ailleurs King Arthur en général est une oeuvre difficile et il est peu monté et peu enregistré, en fait.

http://tinyurl.com/5gmtwo


Pour finir et parce que c'est un air qui a inspiré des centaines d'artistes, un petit bout des Ténèbres du dehors, des très gothiques mais fort écoutables Elend (malgré les sons de synthé vraiment à chier du cuivre en fusion, surtout les putain d'espèce d'étincelles sonores qu'ils foutent partout, on se croirait dans Blanche Neige). A écouter en entier et en dernier, en faisant attention à la progression du morceau.

http://tinyurl.com/6m94tq

400asa

Franchement, j'ai vraiment envie de mettre ton gland salé dans ma bouche là, juste pour le geste.
T'imagines pas ce que ça représente à mes yeux, ce morceau.
Putain.
Bordel.
BORDEL J4AI MAL. BORDEL.

areziwK Gaston

Tout bien considéré, sous l'angle du guetteur et du tireur, il ne me déplait pas que la merde monte à cheval. (Char, Moulin Premier)

http://www.kwizera.net
http://www.mfk.xooit.com

Le Duc

résumé de l'épisode de streap tease de ce soir
Citation
Résumé : Un crime abominable, des indices, des inspecteurs de la police scientifique, des suspects : on pourrait se croire dans une série policière, il n'en est rien. Ce documentaire met en scène des situations et des personnages bien réels, même si ces derniers n'ont rien à envier à leurs collègues fictifs. Le premier indice est une frite, les policiers belges sont sur le coup, le commissaire chargé de l'enquête joue aussi bien les naïfs que le lieutenant Columbo. Quant au suspect, boucher de formation, il déclare : «Je ne me souviens même pas de l'avoir tuée». Puis, à minuit cinquante-et-une, c'est le coup de théâtre : l'enquête rebondit. La police scientifique vient de trouver du sang, loin du lieu du crime.
"Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d'être un homme."


Glaüx

Je fuck le system et mes textos font plus de 800 caractères et six segments en tout. Nik le rassioneman kwa.