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Boarf, je ne serais pas contre une petite STDM. Mais il faudrait qu'il y ait un minimum de participation, pour que ce soit fun.

En fait, c'est surtout histoire d'avoir un évènement qui génère de l'émulation. Donc on pourrait tout aussi bien balancer un thème pas trop prise de tête, mais avec une ou des contraintes d'écriture.

(Nombre de signes maximum ? Concept farfelu ? S'inspirer d'une image obscure ? Obligation d'intégrer des clichés propres à la littérature de genre (pour mieux les détourner ? ou pas)... )

Je me dis qu'il y a moyen d'être inventif. Bon, là je le suis pas du tout, à cette heure-ci.

Bref, plaignez-vous moins et écrivez plus.

Voilà.

   

https://www.youtube.com/watch?v=Ubo7pZix0CU

Faut pas dire du mal de Johnny.

j'ai toujours pas compris s'il valait mieux être en négatif ou en positif avec les points pute, peut être à zéro même ?

Je me suis souvent posé la question, aussi.
Est-ce qu'il y aurait comme une sorte d'équilibre de la puterie, quand on reste à zéro ?

Mais dans le doute j'en retire. C'est un acte négatif, une façon de déposséder l'autre, et je le fais en pleine conscience. Parce que je suis très méchant. Ou pas tant que ça, et donc c'est une façon d'oublier que je suis trop gentil.

Vous voulez voir mon slip ?

https://youtu.be/efaMbyg976k?feature=shared

Cerumen, tes références sont tellement obscures qu'elles voilent mon soleil.

Quand je pense que c'est cette pute de Clacker qui gagne alors qu'il m'a niqué mes points putes. J'en rage. J'me casse, ça pue du cul ici.

Rase-toi la tête, Britney. C'est l'été, profite du grand air.

(Note qu'un gentleman te les a refilés, tes points putes. Et non, c'est pas moi)

https://www.youtube.com/watch?v=ESEdP7UauHU

Quand même, il envoie sur ce live, le con.

Tout est vrai.

Sandy, c'est moi.

LePouilleux est un marginal notoire. Forcément, il apprécie la poésie.

Je domine, mais seulement si tout le monde est consentant.

Et si tout le monde est d'accord, préparez-vous à saigner du cul, parce que je m'apprête à énoncer tout un tas de mesures terrifiantes que je n'appliquerai jamais, mais leur évocation dans votre esprit titillera votre masochisme plus ou moins latent, on va s'éclater la rondelle textuellement, et déjà Lacan valide totalement le concept. Je le sais, je le sens, Lacan me parle dans la tête. 

Vous avez bon goût, quand même.

Cuddle, je suis en train de te tuer.

Question points pute. Sur le site.

Tu mérites, avec tes smileys du cul.

Au programme : une pénétration, des va-et-vient, deux petites et deux grandes morts, des considérations sur le feu et la glace. Minimum 500 mots pour l'ensemble.

Je lance une idée de thème au passage : Double peine ou double péné

Au programme : une pénétration, des va-et-vient, deux petites et deux grandes morts, des considérations sur le feu et la glace. Minimum 500 mots pour l'ensemble.

Je lance une idée de thème au passage : Double peine ou double péné

Y a matière (et fluides) à faire un truc.

Présent ce soir.
Je m'attelle à relire et commenter les textes, et puis je consacrerais peut-être mon restant de soirée à chanter du Cabrel en agitant mon mulet de gauche et de droite.

Au programme : une pénétration, des va-et-vient, deux petites et deux grandes morts, des considérations sur le feu et la glace. Minimum 500 mots pour l'ensemble.

Que suis-je devenu ?

"Est-ce que Dourak est sérieux ? Palam pam pam."

Se montrer cordial dans ce monde de brutes, c'est la rebelle attitude.

T'es un tueur, LC. N'arrête surtout pas la vodka-javel.

A partir du 27 mai, je devrais être en mesure de trouver le temps, si Venus s'aligne avec Jupiter et que Neptune se sort le sceptre du cul, d'éventuellement pondre quelque chose de plus ou moins consistant (avec des vrais morceaux de maïs à moitié digérés dedans). Mais ne m'attendez pas non plus pour lancer les votes, au pire ce sera juste un modeste addendum à cette Saint-Con. Qu'on me coupe la tête.

- Explique-moi à quoi sert une chaîne de vélo.

- Une chaîne de vélo, voyez-vous, c'est comme un lien rouillé entre le mouvement et la stagnation. Elle relie les pédales à la roue arrière, transformant l'effort saccadé de nos jambes en une rotation fluide qui propulse la bicyclette en avant. C'est un maillon vital dans la mécanique de la mobilité urbaine, un symbole de la liberté retrouvée sur les chemins pavés de la ville.

Mais n'allez pas croire qu'elle ne soit qu'un simple assemblage de maillons métalliques ! Non, la chaîne de vélo, c'est aussi un rappel constant de la fragilité de notre avancée, de la nécessité d'entretenir ce lien ténu entre l'homme et la machine. Car une chaîne usée ou mal entretenue, c'est le risque de la rupture, de la chute brutale dans l'immobilité forcée.

En somme, la chaîne de vélo incarne cette dualité entre la liberté et la dépendance, entre le mouvement et l'immobilité, dans le ballet chaotique de la vie urbaine.

CTRL X, sors de mon ordinateur.