La Zone
La Zone - Un peu de brute dans un monde de finesse
Publication de textes sombres, débiles, violents.
 
 
Menu

Voir les contributions

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.

Voir les contributions Menu

Sujets - Le Duc

#1
Ça n'a rien à voir, mais on ne peux plus uploader d'illustration pour les textes. Et je viens de me rendre compte que le problème n'est pas récent.

Ou alors c'est peut-être seulement moi qui ne peux plus à cause d'une protection que tu aurais mis à mon encontre du fait de mon ancienne technique d'hébergement d'avatar, ce qui serait de bonne guerre bien que caduc. Je suis peut-être légèrement parano, aussi.
#2
Citation de: Koax-Koax le Janvier 31, 2011, 20:10:09
[Le Duc] Bon on a ici un texte "tranches de vie" où l'auteur nous exprime à sa façon son dégoût pour sa copine, ou Dieu sait qui. Le style bien que pathétique reste Zonard : Un vomissement de rancunes et de frustrations. On sent le défoulement de la part de l'auteur, par contre c'est bien trop court et bien trop vague pour en faire un texte correct. Du coup, on panne rien, le sourcil droit se lève et on oubli aussitôt ce qu'on vient de lire. 

Citation
Le Laideron.
Posté le 28/01/2011
par Syel.


    « Si les pavés étaient des bites, tu marcherais sur le cul. »

    Quand on me cherche, on me trouve. Faut pas pousser mémé dans les orgies non plus. Supporter ses histoires de cul depuis des mois, là, je ne peux plus. C'est une fille laide, mais pas comme on en trouve partout : elle est laide à tel point que même le miroir vomit son reflet, une espèce de laideur insoutenable, celle qui prête autant à rire qu'à pleurer.

    Bref, elle est moche.
    C'était ce matin, quelques clopes fumées avant un devoir de philosophie. Je venais de m'enfiler un café qui passait pas, j'étais hagard, d'une humeur de chien, prêt à défoncer tout ce qui bouge. Et voilà que le Laideron se pointe pour parler cul. Sa voix de crécelle enrouée n'aidant pas mes nerfs à ne pas s'échauffer, j'ai tenté tant bien que mal de me concentrer sur ce cours qui commençait sérieusement à me broyer les testicules dans un presse-agrumes. J'ai résisté à la tentation de repeindre les murs en crépis avec l'œuvre abstraite qui lui sert de face ; je me suis même mordu pour ne pas la mordre, elle. Et c'est parti, soudain, comme un boulet de canon.

    Ouais, ma fille. Tu me regardes avec ta tronche de sole, et moi je me fous ouvertement de ta gueule. D'ailleurs, apparemment je ne suis pas le seul. T'es vulgaire, t'es moche, tu pues la sueur. Tu sers à rien.

    C'est quand on a vu ta gueule qu'on a inventé la cagoule, et même si c'est sur Faceprout que j'ai vu cette phrase, je trouve qu'elle correspond parfaitement à ta situation.

    Vas te faire refaire, alien.

*Soupir*

Mais ouvrez donc des blogs, bandes d'abrutis. Ca nous épargnera de devoir se loguer pour faire ça.




Lâchez-vous
#3
Citation de: Le Duc le Février 24, 2011, 07:29:11
On a ici une note, type journal intime, qui commence en introspection et qui digresse un peu dans tout les sens sur plusieurs sujets dont le principal est une aventure à priori sans lendemain. C'est pas mauvais, mais ça ne mène nulle part.

message de l'auteuse :
     Ce matin en me levant je me suis demandée pourquoi est-ce que j'irai pas un peu m'en faire mettre plein la gueule sur cette Zone ou j'ai adoré rire des écrits des autres. Alors j'en ai sélectionné un, au hasard, parmis la cinquantaine d'epaves peuplant mes notes et autres décharges de textes ou elles se cachent a l'abris d'un certain public, juste pour voir à quelle profondeur les gens sont prêts a creuser ma tombe, s'ils s'en donnent la peine.

Minuit.
Posté le 08/02/2011
par Yayayu


   
Citation
      Déjà minuit et je m'envole, je ne suis qu'un amas de légèreté microscopique, une ambiance incommensurable, inimaginable et pourtant incontournable. Je suis le tout et le rien, matière et anti-matière, et sur mon passage tout se renverse et le sens n'en a plus, se muant dans l'absurde il est épanoui, ainsi la lumière fait scintiller l'obscur et l'obscur se dessine dans la lumière, la haine est amoureuse et l'amour est une guerre. Qu'est ce qui est ? Qu'est ce qui n'est pas ? Qu'est ce qui était ? Qu'est ce qui n'est plus ? Je me demande, et les questions s'agitent dans mon crâne telle une fourmilière mais je les repousse et les chasse. Elles s'en vont la tête baissée et l'humeur triste bien que j'aperçois leur sourire en coin qui me chuchote l'air sadique qu'elles seront bien vite de retour et qu'elles l'attendent, ce n'est qu'une question de temps et de quantité d'enképhalines libérée. J'aime. Et j'aime encore plus l'air chaud qui me parcoure le dos, comme un souffle sensuel, une invitation au jeu et au plaisir charnel. Une invitation qui serait acceptée sans nulle hésitation. Soyons fous et amusons nous, la vie n'est fait que pour être vécu dans luxures et autres pêchés mortels. Qu'ils m'enivrent et me saoulent de joie et de plaisir, qu'ils me droguent de leurs parfums aux multiples senteurs aphrodisiaque. Je ère dans un état semi conscient, un état fait de rêve, de douceur enchanteresse. Je rêve et je respire, je respire, j'ouvre les yeux et la banalité m'amuses, elle me chatouille et me fait rire. D'aussi simples choses, brulons ! Brulons ! Tout, plus rien, brulons tout par le feu purificateur, il nettoie et rase, le feu c'est le pouvoir de tout effacer et de laisser un corps pure. Plus d'infections, et autres saletés et crasses. Un corps carbonisé. MORBIDE.
    Faisons ! Faisons ! Faisons l'amour ! Laissons nous aller a la passion, au désir du corps, a l'attraction singulière des âmes par le biais de la matière. Jouissons de toutes ces joies qui sont nos crimes, et soyons serein. Soyons calme. Et réfléchissons, qui sommes nous ? Nue, vulnérable, accessible, ou sommes nous ? Apres l'excès que devons nous faire ? Recommencer pardi ! Encore et inlassablement les mêmes souhait du diable qui s'éprend de nos corps, ce diable que l'on nomme drogue, cette drogue que je nomme bonheur et ses effets apaisant sur l'âme et ses composantes ! Je l'aime cette aura qui s'approche de moi et me transperce de son délicieux venin mortel. Que la mort semble douce, quand la vie ne nous suffit plus. Mais elle me suffit et la mort, je n'en veux point. Elle est bien trop radicale, je ne veux pas dormir éternellement tout de suite, laisser moi donc vivre ma vie de débauche et ainsi seulement je serais heureuse. Le bonheur m'attend, je n'ai plus une minute a t'offrir, je t'aime et te quitte dans l'indifférence la plus totale. Et tu t'en retourne et c'est a ton dos parfaitement souligné et vêtu d'une peau d'une pâleur étourdissante que je fais les adieux et auquel je promets de revenir secrètement. Je l'ai tellement vu, il me connait bien désormais.
    Cela suffit. Viens me retrouver.




J'ai bien aimé, j'y ai trouvé quelque chose d'artistique et poétique. Je suis assez en phase avec le raisonnement de l'auteure, ça peux probablement venir du fait que je viens de voir le film Gainsbourg et que j'ai ADORÉ. Du coup je peux peut-être voir de la poésie là où il n'y en a pas.
Dans tout les cas j'ai furieusement envie de suivre son conseil final, surtout que je pense savoir de qui ce texte provient, et qu'elle est foutument jolie.
#4
= TRI SELECTIF = / Réflexions & Introspections
Février 24, 2011, 07:29:11
On a ici une note, type journal intime, qui commence en introspection et qui digresse un peu dans tout les sens sur plusieurs sujets dont le principal est une aventure à priori sans lendemain. C'est pas mauvais, mais ça ne mène nulle part.

message de l'auteuse :
     Ce matin en me levant je me suis demandée pourquoi est-ce que j'irai pas un peu m'en faire mettre plein la gueule sur cette Zone ou j'ai adoré rire des écrits des autres. Alors j'en ai sélectionné un, au hasard, parmis la cinquantaine d'epaves peuplant mes notes et autres décharges de textes ou elles se cachent a l'abris d'un certain public, juste pour voir à quelle profondeur les gens sont prêts a creuser ma tombe, s'ils s'en donnent la peine.

Minuit.
Posté le 08/02/2011
par Yayayu


   
Citation
      Déjà minuit et je m'envole, je ne suis qu'un amas de légèreté microscopique, une ambiance incommensurable, inimaginable et pourtant incontournable. Je suis le tout et le rien, matière et anti-matière, et sur mon passage tout se renverse et le sens n'en a plus, se muant dans l'absurde il est épanoui, ainsi la lumière fait scintiller l'obscur et l'obscur se dessine dans la lumière, la haine est amoureuse et l'amour est une guerre. Qu'est ce qui est ? Qu'est ce qui n'est pas ? Qu'est ce qui était ? Qu'est ce qui n'est plus ? Je me demande, et les questions s'agitent dans mon crâne telle une fourmilière mais je les repousse et les chasse. Elles s'en vont la tête baissée et l'humeur triste bien que j'aperçois leur sourire en coin qui me chuchote l'air sadique qu'elles seront bien vite de retour et qu'elles l'attendent, ce n'est qu'une question de temps et de quantité d'enképhalines libérée. J'aime. Et j'aime encore plus l'air chaud qui me parcoure le dos, comme un souffle sensuel, une invitation au jeu et au plaisir charnel. Une invitation qui serait acceptée sans nulle hésitation. Soyons fous et amusons nous, la vie n'est fait que pour être vécu dans luxures et autres pêchés mortels. Qu'ils m'enivrent et me saoulent de joie et de plaisir, qu'ils me droguent de leurs parfums aux multiples senteurs aphrodisiaque. Je ère dans un état semi conscient, un état fait de rêve, de douceur enchanteresse. Je rêve et je respire, je respire, j'ouvre les yeux et la banalité m'amuses, elle me chatouille et me fait rire. D'aussi simples choses, brulons ! Brulons ! Tout, plus rien, brulons tout par le feu purificateur, il nettoie et rase, le feu c'est le pouvoir de tout effacer et de laisser un corps pure. Plus d'infections, et autres saletés et crasses. Un corps carbonisé. MORBIDE.
    Faisons ! Faisons ! Faisons l'amour ! Laissons nous aller a la passion, au désir du corps, a l'attraction singulière des âmes par le biais de la matière. Jouissons de toutes ces joies qui sont nos crimes, et soyons serein. Soyons calme. Et réfléchissons, qui sommes nous ? Nue, vulnérable, accessible, ou sommes nous ? Apres l'excès que devons nous faire ? Recommencer pardi ! Encore et inlassablement les mêmes souhait du diable qui s'éprend de nos corps, ce diable que l'on nomme drogue, cette drogue que je nomme bonheur et ses effets apaisant sur l'âme et ses composantes ! Je l'aime cette aura qui s'approche de moi et me transperce de son délicieux venin mortel. Que la mort semble douce, quand la vie ne nous suffit plus. Mais elle me suffit et la mort, je n'en veux point. Elle est bien trop radicale, je ne veux pas dormir éternellement tout de suite, laisser moi donc vivre ma vie de débauche et ainsi seulement je serais heureuse. Le bonheur m'attend, je n'ai plus une minute a t'offrir, je t'aime et te quitte dans l'indifférence la plus totale. Et tu t'en retourne et c'est a ton dos parfaitement souligné et vêtu d'une peau d'une pâleur étourdissante que je fais les adieux et auquel je promets de revenir secrètement. Je l'ai tellement vu, il me connait bien désormais.
    Cela suffit. Viens me retrouver.


#5
= TRI SELECTIF = / Débile - Absurde
Février 11, 2011, 18:53:46
Attention ami lecteur, voici un texte qui fait mal, mal à ta tête. Ça te grille les neurones et ça ne fait aucune concession. Munis-toi vite d'une boite de vicodine codéinée.
La narration est totalement schizophrénique : Un regroupement de mots. Sans à priori qu'il y ai de rapports entre eux, exemple : « Mes lèvres mâchouillent des cendres. Oh tiens, une mouche. Chiures de mouche au plafond. »
C'est tütafë lampadaire.
Mais enfouie derrière cet amas de mots se cache une pseudo ligne directrice, ça a l'air de se passer en Chine et de parler de Jack Johnson. La 1ère partie est très chiante, la seconde est un peu mieux ; La schizo entre en phase violente et s'attaque à des Chinois.
Le final twist est totalement à chier.

Le Péril Jaune
Posté le 07/02/2011
par HK


Citation
    Ma vie me manque.
    Il fait blanc. Le blanc d'un après-midi tranquille. Pas ce blanc pétant, tape-à-l'œil. Jack Johnson bat la cadence et mon cœur fait des saltos avants, arrières. Vas-et-vients incessants entre mon pc et mon lit, les lèvres pincées sur ce bout de clope. Mon corps s'enfonce davantage dans la couette. Mon cul ne décolle pas de la chaise.
    Il fait jaune, plus que blanc. Normal, on est en Chine. Jack Johnson chante chinois, ça baragouine gentiment à mes oreilles. Je l'imite mais je ne parle pas anglais alors je me contente du langage de base « lalala ».
    Il fait calme. Les gens ont cessé de se défenestrer. Les chiens ont cessé de crier à la mort.
    Il fait un temps à se mettre sur le toit des bâtisses pour un bain de soleil. En apparence.
    Il n'y a personne sur les toits. Et j'ai oublié ma chaise longue à IKEA. Je devrais peut-être vérifier s'ils en vendent. Le soleil tire sa révérence et j'ai une soudaine envie de pleurer. C'est la fumée. C'est ce qu'on dit.
    Tout devient or sauvage. C'aurait pu être vrai mais le soleil fait des économies d'énergie.
    Une mouche se balade dans ma tête. Les propos de Jack deviennent incompréhensibles. Dis-tu ? Mourir ? Pourrir ? Depuis quand t'es-tu mis au français ?
    Mes lèvres mâchouillent des cendres. Oh tiens, une mouche. Chiures de mouche au plafond.
    Mon corps se fond dans les draps. Le petit réveil de mon ancienne colocataire ricane à mes oreilles. Jack se fait méprisant. Inutile de m'insulter en français ! Je comprends tout.
    Qu'avez-vous à me fixer ? Ce n'est pas moi, le bouffon qui doit mourir au bout de dix minutes de film. Je n'ai pas à mourir. Pas ici. Les gens disparaissent simplement. Je n'ai pas à disparaître. Jack, arrête de hurler des insanités ! Ca ne me fera pas revenir. Il faut que je m'occupe de cette dame, une importante cliente pour notre société de cosmétiques. Depuis mon arrivée dans la boîte, le chiffre d'affaire a explosé. L'économie de la France s'est redressée me propulsant en tête de liste. Les gens de la commune de Neuilly m'adorent et voient en moi un président. Mais je ne suis que son épouse...sa maîtresse. Celle qui portait des minis jupes émoustillant les hormones de nos petits camarades masculins. Tu te rappelles de Grégoire en particulier? Il a beaucoup plu ce jour-là et même tempêté au point qu'il s'est fait griller les testicules au bord de la piscine. Et pourtant, on lui a bien dit de ne pas jouer avec le chien, qu'il avait le sida canin et que ça se choppe comme la grippe. D'ailleurs, il en est mort. Qui ? le voisin pardi !
    J'ai perdu le fil de mes pensées. Une mouche s'est écrasée sur ma paupière crevant la bulle de mes rêves.
    Il fait si calme que j'ai peur de déranger la vie endormie. Jack a fini par se taire. Mon pc a planté. J'ai un arrière goût de vomi dans la bouche. Je fais passer avec un peu de vodka. Ca râpe contre les parois de mon œsophage.
    On toque à la porte. Trois petits coups secs bien distincts. J'ouvre en grand et sors, ce n'est pas moi, j'ai un alibi, je suis restée chez moi depuis samedi 22 janvier 2011 6h00 jusqu'à maintenant lundi 24 janvier 2011 minuit. Elle me hurle quelque chose en chinois, TCHING TCHONG HA TOILETTES TCHANG WANG. Je jette un œil à la salle de bains. Les culottes s'entassent dans leur puanteur. J'ai découvert la seconde utilité des sous-vêtements. Ils peuvent servir de couches. Je hurle, TCHONG HA WANG SHENG HANG avec la même intonation de Chihuahua écrasé. J'ignore la signification de mes paroles, elle n'a pas l'air de bien saisir non plus et fait mine de partir. Je l'attrape par sa queue de cheval et la tire violemment vers l'arrière. Sa tête heurte mon menton. PUTAIN SALOPE C'ETAIT UN COUP BAS ET MESQUIN. MESQUIN. Je lui fous un pain et l'attache à la tuyauterie des toilettes. On frappe pour la seconde fois. JE N'AI RIEN ENTENDU. On insiste. IL N'Y A PERSONNE, seule phrase chinoise que m'ont apprise les bureaux de l'administration communiste. Ca frappe plus fort. TROIS GRANDS COUPS BIEN RESSENTIS. Je me plaque au mur et mon cœur se prend un coup de basse. Deux. Trois. Je ferme les yeux. On veut défoncer ma porte. C'est un petit livreur chinois fait dans le stéréotype. BIG MAC ? BIG MAC ? J'ai faim ; je prends, paie et lui claque la porte au nez. Deux big mac plus tard, on cogne encore. Mauvais destinataire, les big mac étaient pour mon voisin du dessous. ET ALORS. Je l'empoigne brutalement et lui fais une prise de judo comme on en voit à la télé. Je me sens d'une force surhumaine. Il part tenir compagnie à mon agent d'entretient. ON DIT AGENT D'ENTRETIENT MAINTENANT. Il gueule un truc en chinois. QU'EST-CE QU'ILS ONT TOUS A PARLER CHINOIS. Je lui vole son portable et appelle son boss. C'EST QUOI CES CONNERIES C'EST QUOI CES CONNERIES. Il parle vite, trop vite. Je m'inquiète. Je répète plus doucement dans un couinement de chihuahua...PUTAIN CRACHE LE MORCEAU T'AS FOUTU QUOI DANS TES BIG MAC. Je balance mon portable dans les chiottes. PUTAIN MON PORTABLE. Par réflexe, je tire la chasse. PUTAIN MON PORTABLE. J'assomme le livreur à coups de burgers pour me venger. Et puis, je lui fourre à l'autre une portion de frites dans la gueule pour que tout le monde soit à égalité. T'AS FAIM TOI AUSSI ????
    On m'appelle. Ca sonne au creux de mon oreille. Je ne peux pas décrocher, mon portable est hors de portée quelque part dans les égouts chinois. Je décide de prendre les devants et d'aller leur rendre visite. J'empoigne le casque du livreur et laisse la porte grande ouverte en partant. J'enfourche sa bécane de petit chinois et roule en direction de la piaule de mes amis. L'air frais me fait du bien. J'ai dû laisser cette foutue fenêtre ouverte. On me secoue gentiment pour me réveiller. J'ai de la morve plein la bouche. Quelqu'un se marre bêtement dans la pièce. Je me rends compte que je suis seule à rire. D'un rire de hyène stupide.
    Ma vie me manque mais je ne peux pas m'arrêter.
    « Un doigt dans ta chatte et je te dirai ce que tu as bouffé à midi. »
    _ Tout ce que tu veux tout ce que tu veux mais laisse-moi dormir. LAISSE-MOI REVER.
    _ J'en demandais pas autant mais si tu insistes...
    Il fait sombre. Maman j'ai peur. Les ombres ont l'air méchantes. Elles me veulent me bouffer. Maman j'ai peur. J'ai peur. Froid. Mal. Bobo...
    Il me défonce. J'entends les vas-et-vients rageurs. Je vois son ombre grandir, rétrécir au-dessus de moi. Ca tape, ça tape contre le carreau de la fenêtre. Une branche d'arbre me fait signe. Je me lève. Un homme se tient debout sur le vieux ponton. Ca me rappelle des souvenirs. Il nous fallait marcher, les yeux fermés, jusqu'à l'extrémité sans se faire prendre par les planches pourries. Le petit Grégoire y a laissé sa jambe. Faut dire qu'on était gosses à cette époque. Je ferme les yeux et m'engage sur le ponton. UN. DEUX. TROIS. Enjambée. QUATRE. CINQ. Petite enjambée de côté. SIX. SEPT. HUIT. NEUF. Grande enjambée. L'homme me sourit sans découvrir ses dents, de ce sourire timide, discret. Un bon mètre nous sépare. Ca pêche quoi là-dessous ? désignant du menton sa cane à pêche. Le fil se tend, la cane se courbe. Dans un effort surprenant pour son âge, il ramène sa trouvaille à l'air libre. JE LA CONNAIS, fixant la tête blonde accrochée à l'hameçon par le piercing sur sa bouche. Il me sourit, d'un sourire sans dents. Ca fleure la cyprine...SA BOUCHE EST UNE CHATTE EPILEE.
    [...]




#6
Citation de: Koax-Koax le Janvier 26, 2011, 22:10:23
[Le Duc] On a ici le récit d'un meurtre lesbien emballé dans un paquet de fioritures peu digeste. C'est extrêmement chiant. Le champs lexical du texte, bien que maitrisé, donne la furieuse sensation de péter plus haut que son cul. Jugez vous-même.

Citation1
Posté le 09/01/2011
par Tank Theory


    Elle se tenait debout, en face de moi. Agitant ses membres pour mîmer une logghorée incroyable. Je n'entendais plus ce qu'elle me disait, je ne percevais que cette agitation. Plus elle parlait, plus je m'enfoncais dans une confortable torpeur. Qu'est ce que je devais lui dire? Rien, sûrement rien. De toutes manières, je ne me sentais pas concernée par ce présent. Bientôt, son image devint floue. A mes yeux, elle ne representait même plus un être humain. Elle perdait son sens, pour devenir qu'une simple entité nerveuse. C'est son agitation qui impactait sur moi, je ne ressentais plus qu'elle. Ma machoîre se crispa et le son de sa voix ne devenait plus qu'un simple bourdonnement, une sorte d'écho sous marine. Je me sentie vide. Mon esprit se dissipa, mon âme s'endormie dans un corps que je sentais gonfler de violence. Bientôt le bourdonnement de sa voix disparu. Elle vivait encore, en face de moi, n'avait pas mis fin à son discours, mais je ne l'entendais plus, ne la percevait plus. La seule chose que mon corps ressenti était la puissance ineffable qu'il renfermait. Il y eu un silence, un parfait néant. Je ne perçus plus que les battements de mon coeur, frappant mon âme, martelant ma conscience, l'assomant par sa turbulence. J'eus une ardente sensation dans le nez, comme un snif de soude. Comme si une perceuse venait me perforer la narine. Je crois qu'une larme a coulé de mon oeil droit. Et là je l'entendis, cette voix insane et hystérique, du plus profond de moi, qui me hurlait : "Casse lui le cul! Casses lui le cul à cette pute !". Cette voix, cette sensation qui me transpersait l'échine et remontait le long de ma colonne vertebrale en un frisson jouissif. 1000 aiguilles jalonnaient mes muscles, un viol de ma dépouille éthéré et magnifique. La haine me controlait. Je laissais mon corps obtempérer à la douceur de cette folie. Alors, j'approchais mes mains doucement du cou de cette femme, qui toujours dans l'autre monde s'évertuait à faire des sons, des bruits. Je sentis sa peau, douce et légère. Son poul écraisait mes pouces lorsqu'ils vinrent effleurer ses amygdales. Je les pressaient avec amour, lui offrant toute ma puissante. Mes doigts, derrière sa nuque agrippaient ses cervicales. Même si cette femme se débattait, en vain, je savais qu'elle ne pouvait me haïr. Qui pourrait répugner une si belle offrande? Je lui offrait ma colère toute puissante, à elle. La bonté, même démoniaque, reste la bonté. Quand elle efflorait la mort, je la sentis pleine de reconnaissance. J'étais heureuse, euphorique. Enfin, le contact humain prenait tout son sens. J'admirais cette femme pour sa considération. Malgré ses cris étouffés, elle me laissait sa vie. Alors, je l'embrassa, lecha son visage écarlate. Je pressa ma poitrine contre la sienne et à son dernier souffle, je lui mordit le visage. Je jouissais d'un tel contact et avec toute ma force, je lui arracha la joue. La délectation de la sincérité humaine. Un plaisir divin.

Même la merde peut être fade. A quand le retour d'un vrai putain d'auteur bien nase et bien débilisant qui fasse de la merde pour la merde sans fioritures ? Bref, le titre est "1", ça laisse donc supposer qu'il y aura d'autres textes pour venir nourrir cette section, hélas.




Ce texte m'avait échappé. Putain, qu'est-ce qu'il est chiant.
#7
= MINISTERE DE LA MAINTENANCE = / Galeries
Décembre 07, 2010, 01:44:01
#8
Je voulais soumettre l'idée suivante pour soulager un peux l'équipe éditorial dans un premier temps et faire un peu, sans trop n'en faut, d'innovation dans un second temps.

Je propose de prendre à ma charge la publication sur le forum ou bien en front page des textes les plus nuls, vraiment débiles et dislexyques du site. Avec la mention "approuvé par Le Duc".
Ma réputation de gros naze n'étant plus à faire je me sens à même d'endosser un tel rôle.

Après si toute fois l'idée fait son chemin, je peux sélectionner parmi tout ceux que j'aurais publié, et ce chaque mois, le texte "gagnant". Et à ce titre le parrainer pour le worst off.

Voilà, j'attends vos réactions, ou pas.
#10
= MINISTERE DE LA MAINTENANCE = / Bordel de foutre
Septembre 01, 2009, 21:27:51
Douap, après avoir posté un texte sur la zone j'ai décidé de corrigé un truc. Comme il s'aggissait d'un texte de merde je ne me suis pas fais chier à le taper sous word et l'ai directement écris sur la zone.
Je disais donc que j'ai voulu corriger un truc. Du coup t'es scripts DE MERDE mon transformé tout les "é-è-ê-à" en "��ï¿c�t�". J'ai tenté de recorriger le problème. Ce qui n'a strictement rien arrangé.
Sache que je suis extrêmement désappointé. Et que tes scripts je te sodomise avec. Voilà.
#11
= INUTILE = / Liste des liens artistiques
Août 28, 2009, 18:47:09
http://www.youtube.com/watch?v=AhepBgy9viQ

Désolé pour la pub qui est faite, mais je trouve cette vidéo assez chouette et je savais pas vraiment où la placer.
#12
= INUTILE = / Doctisimo zonardo
Mai 04, 2009, 05:12:02
Bonjours, quand je m'insert mon frigo jusqu'à la rate j'ai systématiquement mon gros orteil gauche qui convulse ainsi que mon œil droit qui fait la toupie dans le sens des aiguilles d'une montre. Comme vous vous en doutez cette situation m'handicape fortement dans mon travail.

Puis-je faire quelque chose ?
#13
= INITIATIVES = / Le prétendant au trône
Janvier 25, 2009, 12:23:40
Je propose une mini initiative, ou tout du moins un thème imposé. Vous devez faire un texte en vous glissant dans la peau d'un des "sauvages" ou l'un des convives de cette fête st connesque paillarde et raconter l'histoire de votre point de vue, en rajoutant ci besoin est, quelques "guirlandes" par-ci, par-là, histoire d'étoffer un peu le truc. N'est-ce pas ?

Attention chers amis, vous devez cependant avant le début de votre magnifique ouvrage respectif, préciser quels personnages vous allez incarner (oui car le texte doit être écrit à la première personne). Et pour faire varier les textes de tout à chacun, il est interdit, tas de cons, de prendre un personnage déjà incarné par un autre auteur. (Bah ouais c'est pas beau de copier).

Comme dans toutes les initiatives zonardes à succès, il y aura vote du publique à la fin de la date limite et après publications pour élire le meilleur des textes.

Le/la gagnant(e) ce verra attribué(e) le titre de Souverain(e) du royaume Zonard et à ce titre (justement) il recevra un trône, une couronne et un sceptre royal en bois.
Il aura grâce à ces preuves de sang bleu, l'immense honneur de pouvoir poster un édito officiel zonard au même titre (décidément) que les admins. Il y publiera sa parole divine et nous honorera de son récit ou il décrira son ascension au trône (ou ce qu'il a envie de raconter). De plus son pouvoir absolu lui permettra d'écrire sur le mur de la page d'accueil. Ceci pendant une période de (je sais pas faut voir avec Nihil) 

Vous avez jusqu'au 28 février 00h00, tas de mollusques pour poster votre texte sacré.
#14
= MINISTERE DE LA MAINTENANCE = / AU SECOURS !!!!
Octobre 18, 2008, 16:38:14
MAIS QU'EST-CE QUI SE PASSE AHHH LE FORUM CE BARRE EN COUILLES BORDEL DE SAC A FOUTRE? J4AI DES NOUVEAUX MESSAGES DE PARTOUT TOUT LES SUJETS SONT NOUVEAUX LA MISE EN PAGE 0 COMPLETEMENT CHANG2E ET EN PLUS ELLE A DES BUGS

et j'ai ma durée de connection qui s'affiche (suis je devenu admin ?) en tout cas 6jours et 45 minutes c'est flippant !
#15
J'ai des bestioles qui ressemble à des cocinels en plus petit et marron, et elles logent dans mon matela ou du moin aux allentour. Et ces putes ne sortent que la nuit et n'hésite pas à monter sur moi et certaines fois à me piquer, j'en fais une parano et j'arrive plus à dormir le soir. J'en ai déjà enfermer 23 dans un bocal de confiture, combien il y en a bordel, et surtout C QUOI C PUTE DE MERDE DE BESTIOLES A LA CON QUI M4EMPËCHE DE DORMIR RAAAAH ?
#16
J'ai une petite sugestion à faire pour les textes, ils sont noté de "-" à "++".

Ce serait pas mal de pouvoir voir la note de chaque texte, je sais pas en dessou du résumé par exemple, parce que on peu la voir uniquement sur la page d'acceuil actuelement.

Et vus que je suis un putain d'égocentrique (comme tous le monde ici) j'aimerais voir si un de mes textes à reçu autre chose que la note "-".

Et ça permetrais aussi de ce faire une première idée à la lecture d'un texte pris au hasard, et pis aussi de faire chier Douap dans l'écriture de script interminable à lui faire se faire sauter le caison et rien que pour ça ça vau le coup.


Dans un autre registre ce serait sympa de nuancer encore un peu plus le truc et d'instauré la note "--" qui vienderais d'office couronné les textes vraiments nazes, parce que faut pas déconner y'a quand même des textes de merde, et des textes de Merde, la nuance est énorme et je suis bien placé pour le savoir.

Au boulot Douap
#17
= INUTILE = / URGENT URGENT URGENT
Février 09, 2008, 16:17:13
CEUX QUI SONT DERRIERE LEURS PC MAINTENANT METEZ LA 6 ET VITE !!!!!!!!
#18
= DISCUSSION GENERALE = / C'est la crise !
Janvier 22, 2008, 16:38:45
Amis Zonards, Zonardes

Préparer vos tronçonneuses, vos cokteils molotov.
Sortez les capotes ! Le grand jour de la prophétie est pour bientôt, je vous le dis !!

http://news.google.fr/news?sourceid=navclient&hl=fr&ie=UTF-8&rlz=1T4ADBF_frFR256FR257&q=crise+financi%C3%A8re&um=1&sa=X&oi=news_result&resnum=1&ct=title
#19
= INUTILE = / Huh ?
Décembre 08, 2007, 21:40:15
Je pense être, sans vantardise aucune, un des plus vieux membre de la zone (putain ça me fais bizzare de dire ça).
Mais là je suis carrément vexé, j'aurais aimé être mis au courent quand même que la zone possédait son propre groupe de musique !
Non mais sans déconner zauriez pus me metre au jus.

http://www.lazone.org/